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Déchéance d'une épouse dévouée – Chapitre 4




J’ai commencé dans un premier chapitre à vous raconter comment moi, Vanessa, épouse fidèle jusque-là, mère d’un adorable fiston de 3 ans, j’en suis arrivée à me soumettre à l’auteur de ce récit pour qu’il puisse ensuite témoigner de ma déchéance assumée. Dans un deuxième chapitre, j’ai exposé la progression de ma soumission à mon Maître écrivain beaucoup plus en détail avec notamment le récit de mon premier passage à l’acte hors couple avec un routier sur une aire d’autoroute. Dans un troisième chapitre, j’ai indiqué comment mon homme a été informé de cette incartade, mais aussi comment j’ai fini par succomber aux avances de son patron avec l’aide de mon Maître.

Mon Maître a exigé que je lui décrive dans les moindres détails intimes, tout le ressenti de mon avilissement progressif d’épouse dévouée jusqu’à la réalisation, un jour peut-être, de mon fantasme, de devenir le jouet sexuel d’un homme mature, vicieux et pervers. Il a souhaité pouvoir intervenir lui-même dans mon récit chaque fois qu’il est concerné.

Dans ce quatrième chapitre, mon homme va découvrir ma liaison avec son patron, et ma punition pour lui avoir menti sera de lui dévoiler in situ mon côté obscur, jusque-là de reine des salopes, que mon Maître a su faire renaître en moi.

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Je suis une femme épanouie de 34 ans qui est mariée depuis 12 ans à mon homme, Éric, qui, malheureusement, n’a d’autres choix que de me laisser seule élever notre fils en son absence, durant chaque semaine, en raison de son travail pour me retrouver chaque week-end seulement et y accomplir ses devoirs conjugaux.

Côté sexe, très classique jusqu’à ma libération récente à l’initiative de mon Maître, je n’avais jusque-là jamais dévoilé entièrement mon corps nu à d’autres que mon mari. J’aime pratiquer la fellation depuis longtemps moins que la sodomie que je n’autorise que rarement à mon homme.

Tout a commencé, il y a deux mois, début septembre, quand j’ai reçu une réponse à l’un de mes posts’ sur les forums d’un site de récits érotiques d’un des auteurs, JP’. Il m’a proposé de dialoguer un soir prochain pour faire plus ample connaissance et savoir ce que je cherchais réellement.

Ce n’est que trois semaines après que j’ai relevé un premier défi de mon maître, d’exhiber ma chatte nue sous ma jupe dans un restaurant, avant deux jours plus tard, de le faire, cette fois seins et minou à l’air libre, dans un sex-shop où le vendeur est même venu m’aider à enfiler le rosebud’ que je venais d’acheter sous les yeux de clients ébahis.

Mon troisième défi fut d’exaucer le souhait majeur de mon homme de coucher avec un autre mec sur une aire d’autoroute avant le quatrième défi, trois jours plus tard, d’inviter son patron chez nous et de l’aguicher jusqu’à ce qu’il me prenne sur notre lit pendant que mon homme dialogue avec mon Maître pour savoir avec qui je découche cette deuxième fois, et surtout être tenu informé au fur et à mesure du déroulement de la soirée.

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Après une courte nuit où j’ai longuement repensé, avant de m’endormir, à comment j’ai pu être aussi salope avec son patron en lui ayant sciemment exposé ma chatte, certes sur demande de mon Maître, mais après avoir multiplié les situations pour finir par me changer pour une minijupe au ras des fesses et me baisser face à lui pour essuyer le lait renversé par terre et offrir ainsi ma chatterie’ à son regard en écartant ostensiblement les genoux pour faire remonter entièrement le dernier rempart de tissu qui pouvait encore la masquer !

Mais finalement, je suis très heureuse d’avoir pu jouer mon propre rôle, cette fois encore, dans ce récit avant même qu’il ne soit écrit. Mon homme aura ainsi la primeur de mon histoire ce week-end lorsque je lui raconterai tout ce que j’ai vécu cette semaine pendant qu’il me prendra. Mon Maître m’a donné comme seul défi, pour ces deux jours de retrouvailles avec Éric, de profiter de l’absence de notre fils, pour vivre nue toute la journée chez nous, afin qu’il puisse me prendre directement par-devant ou par derrière quand bon lui semble, et ce, n’importe où dans la maison. Je dois même, pour le faire bisquer, rejouer avec lui les scènes avec le livreur et mon amant d’hier au même endroit.

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Dans la matinée de ce samedi 12 octobre, au cours de l’échange de SMS avec Éric, le mari de Vanessa, sur le caractère très dominateur du dernier amant de sa femme la veille au soir, il me parle beaucoup de son patron, à croire qu’il se doute de quelque chose. Il insiste en effet lourdement pour savoir si je connais l’identité de ce visiteur du soir.

Je contacte donc aussitôt Vanessa pour convenir, ensemble, d’une stratégie commune et donner une identité fictive à cet amant, car elle ne tient pas encore à lui dire qu’il s’agit de son patron. Elle décide pourtant d’utiliser le même prénom, jugeant qu’il n’y a aucun risque que son homme fasse le rapprochement, me dit-elle, puisqu’ils connaissent tous deux de nombreux Christophe’ autour d’eux. Mais pour plus de crédibilité, elle lui dira, quand il arrivera cet après-midi, que c’est un représentant qui passe parfois à son entreprise et qu’elle a flashé dessus depuis un moment, ce qui devrait lever tout doute auprès d’Éric !

Nous continuons d’échanger avec Vanessa jusqu’à l’arrivée de son mari sur ce qu’elle a ressenti jusque-là en devenant une vraie salope avide de sexe et surtout sur la suite à donner à ses aventures extra-conjugales :

Vanessa, si tu fais ton ménage et ta lessive en attendant ton homme, pense à le faire à poil, tu verras, c’est très agréable de vaquer à ses occupations habituelles toute nue !

Ton mari ne sera là que vers 15H à ce qu’il m’a dit ?

Comme tu es seule sans le petit, tu pourras nettoyer l’extérieur aussi en étant toujours à poil bien sûr, comme hier soir en raccompagnant ton amant. Cela t’a fait flipper, mais surtout exciter après coup, non ?

Toi qui n’étais pas trop chaude pour l’exhib, au début de nos échanges, tu dois admettre aujourd’hui que tu apprécies, voire en jouir; non ?

Oui, je suis toute nue et c’est plutôt gênant.

Oui, j’ai flippé hier soir, surtout quand il m’a fait aller avec lui jusqu’à la voiture pour récupérer les papiers. Cela a été très dur de traverser la route nue. Heureusement, il n’y avait personne !

Tu me diras quand tu sors nue dehors de chez toi, et pour y faire quoi ?

Ben, à vrai dire, pas grand-chose à faire, je suis juste allée étendre le linge dehors. Il ne fait pas très chaud.

Je viens de prévenir à l’instant Éric qu’il a une bonne petite femme soumise qui l’attend nue et qui vient d’étendre le linge dehors dans cette tenue de peau. Je lui ai dit aussi que le représentant qui t’a baisé hier s’appelle Christophe ! Je lui ai promis de le tenir au courant au fur et à mesure de tes exploits futurs.

Il t’a répondu quoi ?

Rien pour l’instant ! Tu aimes déambuler nue maintenant ?

Non, je ne suis pas à l’aise nue !

Mais ne t’inquiète pas, tu vas le devenir avec l’habitude que je vais te donner et Christophe aussi, je pense ?

Donc, vous comptez sans doute que je vais le revoir ?

Oui bien sûr, mais en douceur. Pas de précipitation pour t’offrir comme tu le voulais hier soir directement comme une chienne en chaleur avec le collier de la tienne autour du cou !

Tu accepteras pour commencer son invitation au restaurant la semaine prochaine. Au fait, c’est à midi ou le soir ?

Le soir, car le midi c’est compliqué !

OK. Donc, attends-toi à baiser de nouveau avec lui ! Tu as hâte qu’il te prenne de nouveau, je suppose ?

Ah, vous voulez que je le revoie déjà la semaine prochaine. Il faut que je lui téléphone alors ?

Pourquoi ? Tu n’es pas contente de retrouver sa queue infatigable en toi ?

Je n’ai pas dit ça, mais vous venez de me dire : pas de précipitation ! Lol.

Quand j’ai dit :"pas de précipitation", c’est concernant ton attitude vis-à-vis de lui et ne pas se jeter sur lui le premier soir venu en chienne offerte à son maître. Attends qu’il te fasse un peu plus la cour et t’amène petit à petit à porter un jour un collier pour lui ?

Éric vient de me répondre et me demande si tu penses revoir ton Christophe prochainement à l’entreprise. Je lui dis quoi ?

Je ne sais pas. A vous de décider !

J’espère que de son côté, son patron ne va pas se vanter de t’avoir accrochée à son tableau de chasse. Cela pourrait parvenir aux oreilles de ton mari !

Non, il ne dira rien !

Tu es excitée à l’idée de t’offrir à lui de nouveau un soir de la semaine prochaine ? Une baise extra-conjugale par semaine te convient comme rythme ?

A vous de voir. Je l’appelle maintenant, donc !

Pour info, ton mari vient de me dire qu’il a rendez-vous à 14H avec Christophe son patron !!!

La vache, le salaud ! Il veut que je le rappelle à 14 h justement !

Non, attends qu’il ait parlé à ton mari d’abord. Il ne faut pas le perturber, il risque de penser à toi en parlant à ton mari. Attends plutôt lundi pour l’appeler !

Cela ne risque pas de le mettre en colère ?

Non, envoie-lui juste un SMS pour lui dire que tu le rappelles lundi !

OK. Il vient de répondre que lundi ce sera trop tard !

Mais il voulait t’inviter quand ? Je ne comprends pas.

Je ne sais pas. Il m’a juste dit un soir de la semaine et de lui téléphoner aujourd’hui pour donner ma réponse !

Appelle-le maintenant alors avant l’arrivée de ton mari dans son bureau et ne laisse pas la discussion traîner !

Il m’a réécrit un SMS pour que je le rappelle à 14h précisément !

OK. Tant pis, ce sera excitant pour toi de savoir que ton mari écoute la conversation, non ?

Ça craint plutôt !

Il n’est pas obligé non plus de te mettre sur haut-parleur au risque que ton mari reconnaisse ta voix !

Je n’espère pas !

Bon, je dois partir. Tu me diras à mon retour comment s’est passé votre entretien téléphonique.

Bon, et bien c’est pour jeudi soir au restaurant dans une ville voisine. C’est pour l’accompagner à un repas d’affaires avec un client. Mon homme était bien présent dans son bureau. Il lui a même dit de servir un café pendant qu’il me parlait. Il passera me prendre et m’amènera une robe. Il veut aussi que je pose mon vendredi !

Ah d’accord. Cela va plus vite que je ne l’envisageais, mais bon, tu as déjà été si vite la semaine qui vient de s’écouler que tu vas pouvoir faire face à ce nouveau défi !

Tu dois t’attendre déjà à ta première double en perspective. Il faudra donc que mardi je te fasse connaître cette sensation pour que tu sois plus disponible jeudi soir. Je te ferai sucer un mec pendant qu’un autre te baise !

J’avais pensé voir avec une amie pour garder mon fils jeudi soir pour que cela ne semble pas drôle à mes beaux-parents, mais elle ne pourra pas l’emmener à l’école vendredi matin. Il faudrait que vous m’aidiez pour que mes beaux-parents puissent garder mon fils jeudi en plus du mardi, sinon je ne pourrai pas accompagner Christophe.

Tu veux que je trouve une raison plausible ?

Ben, que ce soit plutôt mon homme qui demande à ses parents à ma place ! Vous lui dites que vous m’avez prévu quelque chose jeudi soir; et si c’était possible que je sois libre !

Oui, mais pourquoi te le ferais-je faire le jeudi alors que je sais que tu es libre le mardi ?

Dites-lui que vous voulez faire de moi une salope deux soirs par semaine et que je vous ai refusé le jeudi, car j’ai notre fils ce soir-là et n’ose pas abuser de ses parents !

Pourtant, ton mari aimerait bien que l’aventure avec ce Christophe dominant se poursuive, je crois.

Non, il va avoir un doute, car il a entendu la conversation avec son Christophe pour jeudi justement.

Mais tu ne penses pas qu’il se doute déjà que c’était toi au bout du fil ?

Non, il n’a pas prononcé mon prénom. Il m’a juste dit : "à jeudi, salope !"

Voilà mon homme qui arrive. Je vous laisse.

OK, je le contacte, et te dis quoi ?

Il rentre la voiture. Je vous abandonne. Bisous.

OK. Je viens juste de lui envoyer un SMS. Demande-lui de te le lire.

On coupe la conversation tout le WE, OK ?

Je vous laisse tout le week-end pour vos retrouvailles, avec Éric découvrant ton côté obscur de salope mis en évidence toute cette semaine, mais en conservant ton côté d’épouse accomplie et bonne mère de famille !

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C’est par un SMS qu’Éric m’informe laconiquement quelques heures après qu’il est d’accord pour que Vanessa accompagne son patron jeudi prochain à un repas d’affaires et qu’il a contacté ses parents pour qu’ils gardent leur fils. Il a juste ajouté que sa femme est en pleurs ! Je m’empresse alors de recontacter Vanessa :

Je viens de prendre connaissance des messages d’Éric. Je suis désolé que tu aies été obligée d’avouer l’identité véritable de Christophe. Je comprends que tu as pu craquer à ce moment-là. Nous pouvons faire une pause, si tu trouves que cela va trop vite. Dis-le franchement ?

Je te demande pardon, j’aurais dû suivre ton intuition féminine. Mais tout est bien qui finit bien. Il vaut mieux que l’entente règne entre nous trois et que la vérité ait pu finalement éclater sans choquer personne.

Vous formez vraiment un chouette couple. Tu demanderas à Éric de t’embrasser de ma part là où tu veux. Bonne continuation dans tes retrouvailles avec ton mari. Bisous !

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Ce n’est qu’en début de soirée que Vanessa, remise de ses émotions et soulagée finalement d’avoir tout avoué à son homme, me recontacte :

Re Bonjour. Je voudrais que vous choisissiez ma tenue de salope pour ce soir pour aller au restaurant avec mon homme et que vous me donniez des ordres que je devrais réaliser. Je n’ai aucun passe-droit ce soir, et devrais lire tous les messages à mon homme, si vous êtes disponible Monsieur ?

D’accord Vanessa. Tu es toujours à poil, j’espère ?

Oui; et mon homme est en train d’enculer sa salope de femme infidèle !

Pendant que ton mari t’encule, dis-lui de te mettre le rosebud’ dans la bouche !

J’ai déjà le rosebud’ dans ma bouche, Monsieur !

Vous comptez faire quoi ?

On va prendre l’autoroute pour aller au restaurant dans la ville voisine et pour le retour aussi. La lumière intérieure de la voiture sera mise à aller comme au retour. Aussi, faites de moi une vraie salope pour me faire pardonner d’avoir menti à mon homme sur l’identité de mon amant d’hier soir !

C’est vrai que tu le mérites bien. Alors tu mettras un chemisier transparent, sans soutif bien sûr, une jupe courte, des bas, et des bottes à lacets avec une veste. Tu remettras exceptionnellement un string que je te ferai enlever sur place au resto. Donc on reste en contact tout le temps.

Si à l’aller tu arrives déjà à appâter un routier en t’exhibant poitrine à l’air et jupe relevée, tu demanderas à ton mari de sortir à la prochaine aire d’autoroute en s’assurant que le routier vous suit.

Oui Monsieur, comme vous voulez !

Parfait. Tu demanderas à ton mari de se garer près du camion qui vous a suivis avec toujours la lumière allumée. Tu garderas ton chemisier ouvert et ta jupe relevée jusqu’aux hanches. Tu glisseras ensuite une main dans ton string pour te caresser.

Dès que le routier s’approchera, tu demanderas à ton mari d’ouvrir la vitre de ton côté et tu te laisseras caresser les seins en continuant de te caresser sous le string.

Puis tu lèveras ton bassin pour ôter ton string et offrir ton ticket de métro à regarder.

Si sa bite apparaît à la vitre, tu la branleras, puis la suceras en laissant les mains te caresser la chatte, puis fouiller ton vagin.

J’ai été une mauvaise épouse cette semaine, et je dois être humiliée comme je le mérite. Pour me faire pardonner, on s’arrêtera plus longtemps sur le retour, car on risque d’arriver tard au restaurant, si l’on s’arrête avant, Monsieur !

Je voulais te faire arrêter deux fois, mais il est tard, tu as raison. Tout ceci sera pour le retour, donc !

Je m’excuse. Finalement pour l’arrêt à l’aller, ce sera possible, Monsieur, si l’on ne part pas trop tard. Mon homme vient d’éjaculer dans mon cul et a remis mon rosebud’ en place pendant que je discute avec vous !

OK, garde bien tout ça au chaud et partez vite.

Il faudrait plutôt que vous me disiez au fur et à mesure ce que je dois faire. Je resterai en contact avec vous !

Oui, d’accord. Tout ce que je viens d’exposer reste dans le dialogue que tu auras donc en mémoire sur la messagerie privée et selon les événements, j’aviserai pour m’adapter aux circonstances.

Je vous recontacte quand on part, Monsieur !

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Je n’ai finalement pas longtemps à attendre le top départ de Vanessa qui a dû prendre sa douche et s’habiller plus rapidement que d’habitude pour ne pas faire attendre son homme :

OK. Voilà, on part, Monsieur.

Tu me dis quand vous êtes sur l’autoroute et que la lumière intérieure est mise.

La lumière est mise et on est au péage, Monsieur !

OK, ouvre ton chemisier et relève ta jupe jusqu’aux hanches.

Bascule un peu ton dossier vers l’arrière et met tes jambes sur le rebord devant toi en les écartant bien. Caresse-toi sous le string et dis-moi à chaque fois quand tu l’as fait !

Voilà, je suis en position. Il n’y a pas de camions, Monsieur !

OK. Tu me dis dès qu’il y en a un ! Le samedi soir, il y en a peu !

Ça y est, on va en dépasser un, Monsieur !

Parfait, caresse-toi les seins en même temps et souris bien au conducteur.

Mon homme reste derrière lui pour attendre qu’il n’y ait plus de voiture qui arrive pour rester un peu à sa hauteur en le doublant !

Tu me diras s’il fait des appels de phare.

Voilà, il double, Monsieur !

Parfait, regarde le chauffeur, souris-lui et pince-toi les tétons.

Oui, il m’a vue et m’a fait un signe du pouce levé avant de klaxonner et faire des appels de phare, Monsieur !

Parfait. A combien de kilomètres est la prochaine aire ?

Il a mis son clignotant pour nous demander que l’on s’arrête à la prochaine aire de repos dans 5 kilomètres, Monsieur !

Y a-t-il d’autres camions en vue au loin ?

Non; pas d’autres camions, Monsieur !

Parfait; vous sortirez donc à cette aire en espérant en doubler d’autres d’ici là, où il y en ait d’autres, déjà stationnés pour la nuit.

Mon homme roule devant lui et il n’y a pas d’autre camion devant nous. Il prend un peu d’avance en le gardant en vue dans le rétro. On va bientôt arriver à l’aire de repos, Monsieur !

Parfait, tu as pensé à prendre ta boîte de capotes ? Elle ne devra plus quitter ton sac à main désormais.

Oui, elle est dans mon sac, Monsieur !

OK. Je te dirais alors au fur et à mesure quoi faire !

Mon homme a mis très tôt son clignotant pour lui faire comprendre que l’on s’arrête à la prochaine aire de repos, Monsieur !

Parfait, vous irez vers le côté parking poids lourds.

Voilà, nous, on arrive sur l’aire de repos, Monsieur. Le camion a mis son clignotant comme nous au loin.

Vous laisserez la lumière intérieure allumée. Rappelle-moi quand vous êtes garés face aux camions du parking.

On y est Monsieur. Là, il faudrait me dire quoi faire. Il va arriver, Monsieur.

Tu continues de te caresser en fermant les yeux pendant que ton mari ouvre la vitre de ton côté.

Il descend du camion, je ne sais pas ce que je dois faire après, Monsieur.

Tu te caresses en fermant les yeux et tu le laisses te caresser à son tour !

Ensuite, tu baisseras ton string et tu le laisseras mettre ses doigts dans ton vagin.

Si sa bite se présente à la fenêtre, tu ouvriras les yeux pour la saisir, la branler, puis la sucer !

Je pose mon tel, car je ne pourrais plus répondre quand il sera là. Je vous dis quand on repart, Monsieur.

OK, ton mari n’aura qu’à lire sur ton tel ce que tu dois faire !

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Au bout d’une demi-heure sans nouvelle, je contacte Éric par SMS sur son portable, il me répond :

Elle l’a sucé à fond et il lui a craché sur les seins par la fenêtre ouverte.

Dommage qu’elle n’ait pas lu mes instructions à temps; je voulais qu’il la baise sur le capot, et qu’elle te regarde dans les yeux pendant qu’il la besogne !

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Une fois mes seins couverts de foutre, je referme la vitre en regardant le routier repartir vers son camion. Je prends une lingette pour m’essuyer pendant que mon homme redémarre. Je remonte mon string et reboutonne mon chemisier avant de reprendre mon téléphone pour contacter mon Maître :

On repart, Monsieur. J’ai dû improviser n’ayant pas eu d’autres instructions. Il m’a doigté la chatte, caressé les seins. Je l’ai sucé par la fenêtre ouverte et il a éjaculé sur ma poitrine en continuant de me doigter la chatte, Monsieur !

Je suis désolée. Je viens juste de lire qu’il fallait que je regroupe toutes les instructions quand on s’est garé, Monsieur !

Très bien; mais dommage que ton mari n’ait pas lu mes messages comme je te l’avais demandé ! Je voulais que le routier te baise sous ses yeux sur le capot !!!

J’avais déjà posé le téléphone, Monsieur, sans avoir eu le temps de lire que mon mari devait prendre le téléphone !

Tant pis pour toi, tu seras punie au restaurant ! En attendant, dis-moi ce que cela t’a fait de sucer une autre bite sous les yeux de ton mari.

Très gênant, et même de me faire caresser, Monsieur.

Tu as aimé montrer ton côté Mrs Hyde de salope à ton mari ?

Non; pas trop, Monsieur.

Tu sais, quand tu ne seras plus gênée, tu seras devenue une vraie salope ! Tu n’as pas été excitée du tout, je suppose ?

Non; pas du tout; car en plus, j’ai eu mal à la chatte alors qu’elle était bien mouillée en partant de chez nous, Monsieur.

La présence de ton mari t’a noué le ventre, non ?

Oui, trop gênée qu’il soit là. Sa présence m’a bloquée, Monsieur.

On sort de l’autoroute, Monsieur.

OK. Je te dirais quand et comment enlever ton string au restaurant.

On arrive au restaurant, je vous réponds une fois installés, Monsieur.

Au resto, tu feras comme vendredi midi, avec tes collègues, ouvrir et fermer tes jambes et remonter insensiblement ta jupe tout en discutant avec ton mari.

Pour l’instant, il faut que l’on attende une table. On boit un verre au bar, Monsieur.

Mets-toi sur un tabouret comme avec Laurent au bar de la station-service.

Il n’y en a pas. Ça y est, on va à notre table, Monsieur.

OK, place-toi face à des hommes. Tu me dis s’il y en a beaucoup susceptible de voir ton entrejambe ?

Il y a deux hommes qui me font face, dont un en couple. Mais il y a une table à côté de nous avec des enfants. Ils ne devraient pas tarder à partir, ils sont au dessert.

Tu me préviens quand ils seront partis ?

Ça y est, la petite famille à côté part et on boit un apéritif. Nous sommes au Buffalo Grill dans la partie box pour chaque table.

Tu peux commencer d’ouvrir et fermer tes cuisses tout en remontant ta jupe lentement en papotant avec ton mari, l’air de rien !

Bien, Monsieur.

As-tu fait mouche ? L’un des deux hommes t’a vue ?

Oui, mais il est avec sa femme, heureusement, elle me tourne le dos !

C’est parfait, tu vas enlever ton string en le faisant glisser jusqu’en bas. Tu le récupéreras pour le donner ostensiblement à ton mari quand il te regarde.

Voilà, c’est fait, Monsieur !

Il a vu ton manège ?

Oui, il m’a fait un sourire voyant que j’enlevais mon string et surtout quand je l’ai donné à mon mari qui l’a carrément posé sur la table !

Tu vas remonter ta jupe jusqu’à la lisière de tes bas en le regardant dans les yeux !

C’est fait, Monsieur.

Parfait; la prochaine fois qu’il te regardera, fixe-le dans les yeux en souriant et remonte encore ta jupe !

Je la remonte jusqu’où ?

Totalement, quand il te regarde, jusqu’aux hanches pour qu’il découvre bien ton minou rasé et qu’il voit même ton ticket de métro, et ce, toujours en lui souriant ! Est-ce que sa femme a remarqué quelque chose ?

Non, je ne pense pas, Monsieur.

Il voit ton minou ?

Oui, je pense, Monsieur. La serveuse l’a vu aussi mon minou, et a vu mon string sur la table.

Elle a souri ?

Oui, Monsieur.

Alors, écarte les cuisses, puis glisse un doigt dans ton vagin pour le faire sucer à ton mari toujours en le regardant et lui souriant ! S’il se lève à un moment pour aller aux toilettes, suis-le !

Est-il proche du dessert ?

Oui, ils y sont au dessert, Monsieur.

S’il lui reste un peu de temps avant de partir, fais-lui un petit signe pour qu’il te suive et va aux toilettes lentement pour qu’il ait le temps de te rejoindre !

Oui d’accord, et j’y fais quoi s’il me suit, Monsieur ?

Tu entres avec lui dans les toilettes, puis tu le laisses te caresser partout !

C’est tout, Monsieur ?

Non, tu t’agenouilles ensuite pour le sucer. Quand il est raide, et si tu n’as pas le vagin irrité, enfile-lui une capote et mets-toi en levrette ! Si tu as mal, suce-le à fond !

Quand tu te sens prête et que tu vois qu’il a fini son dessert, fais-lui signe pour qu’il t’accompagne.

OK, j’y vais, Monsieur.

Oui; vas-y. Tu ramèneras à la fin discrètement la capote pleine à ton mari !

D’accord, à toute, Monsieur.

Parfait; tu es une bonne petite, Vanessa !

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Je reçois aussitôt un SMS d’Éric qui prend le relais pour me commenter la scène :

Elle se lève, ça y est. Elle a laissé son téléphone, c’est moi qui continue avec le mien.

Le voilà qui se lève à son tour et suit ma salope de femme.

OK, elle a bien compris qu’elle devait te ramener la capote pleine ?

Oui, elle me l’a dit rouge de honte.

Tu ne l’imaginais pas aussi salope, il y a une semaine ?

Non, mais elle a toujours aimé le cul !

Ah, je comprends mieux pourquoi elle accepte tout ce que je lui demande aussi facilement !

Un bon moment se passe avant un nouveau SMS d’Éric :

Elle est encore aux toilettes et lui aussi.

C’est bon alors, c’est qu’il doit la baiser. Que fait sa femme pendant ce temps ?

Elle mange son dessert.

Et son mari se paie la tienne en dessert !

La serveuse vient de prendre la commande de nos desserts.

Parfait. En guise de punition, je demanderais à Vanessa de verser le contenu de la capote sur son dessert et de regarder son baiseur en le faisant !

Le mec revient avec le sourire, mais ma femme n’est pas encore là !

Tu me préviens quand elle arrive ?

Ça y est, Vanessa revient avec la capote.

Dis-lui d’abord de lire mes instructions sur son portable.

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J’ai donc entre temps envoyé le défi suivant sur la messagerie de Vanessa :

Comme punition, quand tu auras montré la capote à ton mari, tu la verseras sur ton dessert, et tu le dégusteras en regardant ton baiseur en souriant !

Voilà, j’ai vidé la capote, il l’a bien vu, Monsieur.

Tu me dis quand tu as versé tout en regardant ton baiseur.

Tout le contenu de la capote est sur le dessert, Monsieur.

Tu n’as pas eu mal à ta chatte cette fois ?

Ben, il n’avait pas une grosse bite; aussi, cela a été vite du coup !

Et son jus est bon ? J’espère que son goût se marie bien avec le reste du dessert ?

Oui, ça va, il n’est pas mauvais, mais plutôt épais, Monsieur.

Il t’a traitée de salope ou d’autres mots grossiers ou ne t’a pas parlé du tout ?

Il n’a rien dit.

Tu es fière d’avoir relevé ce défi sous les yeux de ton mari ?

Non, j’ai honte. Que va-t-il penser de moi maintenant ?

Il t’aime encore plus, je crois. Offre-toi totalement à lui cette nuit. Laisse lui faire ce qu’il veut de ton corps !

Je suis déjà à lui, Monsieur !

Tu as mis ton rosebud’ au fait ?

Oui, mon homme me l’a mis après m’avoir enculée et éjaculé dans mon cul et je l’ai gardé depuis !

Parfait. Tu aimes qu’on te baise la chatte avec le cul rempli en même temps ?

Cela me procure une drôle de sensation !

OK. Mais si le rosebud’ était une bite qui bouge en même temps, cela t’exciterait plus, tu crois ?

Je ne sais pas, Monsieur.

Tu ne l’as jamais pratiqué, c’est ça ?

Non; jamais Monsieur. Là, on sort du restaurant, Monsieur.

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Comme demandé par mon Maître, une fois sur l’autoroute, je me suis remise en position, comme à l’aller, seins et minou à l’air libre, et lumière allumée à l’intérieur de la voiture; mais cette fois, aucun camion à l’horizon. Nous nous sommes quand même arrêtés sur une aire dans le parking poids lourds où il n’y avait qu’un camion polonais stationné pour la nuit. Aussi, mon Maître m’a dit de rentrer à la maison :

Il est tard de toute façon, et cette fois, tu as une queue à la maison; pas besoin de ton gode pour te finir !

Oui; en plus, c’est vrai. Lol.

Comment as-tu trouvé ta soirée ?

Très bien dans l’ensemble parce que j’étais avec mon homme.

Tu as aimé exciter ce client du resto en t’exhibant ?

Oui.

Tu n’as pas dû avoir le temps de jouir vu la rapidité avec laquelle vous êtes passés à l’acte ?

On ne pouvait pas prendre notre temps, sa femme aurait pu se demander ce qu’il faisait à rester aussi longtemps dans les toilettes.

Tu as quand même eu le temps de le sucer pour le faire bander ?

Ben, tout est allé très vite. Je l’ai sucé. Il m’a baisée. Je n’ai pas joui. Il a éjaculé dans la capote que j’ai pris soin d’enlever moi-même de sa bite pour être sûr qu’il ne la jette pas !

Tu t’es sentie comment quand tu as dû ramener la capote pleine à ton mari pour lui prouver que tu avais consommé ?

J’étais déjà très gênée en baisant, sachant que mon homme m’attendait à table et j’ai surtout eu la honte quand j’ai dû vider la capote sur mon dessert devant mon homme et mon baiseur en lui souriant comme vous me l’avez demandé !

Mais tu as vu que ton homme t’aime finalement quand tu joues la salope ?

Oui, depuis le temps qu’il voulait que je couche avec un autre. Cela en fait trois dans la semaine grâce à vous, il est ravi.

Voilà, on arrive chez nous.

OK, bonne nuit en amoureux et bonne journée demain en famille. Bisous, tu es vraiment super, ma petite Vanessa.

Merci de même pour vous, Monsieur. Bonne nuit à vous.

Fais de beaux rêves, Vanessa.

A lundi. Demain, c’est Mrs Jekyll qui revient, l’épouse attentionnée et bonne mère qui va retrouver son fils et ses beaux-parents pour leur préparer un bon repas dominical en famille.

Maintenant que son mari a vu sa salope de petite femme à l’uvre, les partenaires de jeu de la soumise vont se dupliquer pour la combler totalement dans les semaines à venir.

Les personnages et les situations de ce récit sont totalement réels, et le reflet exact, des événements vécus par l’héroïne, même s’il semble parfois que la réalité dépasse la fiction !

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