C’était à la fin juillet pendant les vacances scolaires. Je venais d’avoir le bac et de terminer un job chez un fleuriste histoire de me faire un peu d’argent
Je venais d’arriver pour quelques jours chez ma tante sur de ma mère, elle était mariée à Georges
Ils étaient en retraite depuis 2 ans et s’étaient installés dans le nord de la France
Mon oncle avait terminé sa carrière comme fonctionnaire à la SNCF.
Il avait retrouvé un emploi de garde forestier pour un gros fermier du coin qui possédait une chasse privée. Lors de battue en foret, il était chargé de l’organisation du repas de retour de chasse, cela l’occupait quelques jours par mois.
Le séjour se déroulait calmement.
Le matin ,vers 8h30, nous avions l’habitude de nous retrouver dans la cuisine pour y prendre le petit déjeuner.
Un matin, vers les 9 heures, je me levais, j’aimais de temps en temps paressé au lit.
En rentrant dans la cuisine, je vis mon oncle qui s’agitait bizarrement en émettant des sons étranges.
Je m’approchais pour lui faire la bise.
Un spectacle curieux s’offrit à moi.
Il avait ouvert son pantalon , son sexe était dehors et sa main allait et venait sur son membre qui avait une taille impressionnante
Il était tout raide et son gland était bien visible .
Il était en pleine masturbation et semblait y prendre gout
Cela m’arrivait aussi de me branler.
Qu’elle ne fut pas notre surprise!
La situation était assez irréaliste.
Nous ne savions comment réagir. quoi dire ? quoi faire ?
Après une seconde de flottement, en silence il reprit son activité
Moi, j’étais tétanisé, mes yeux étaient fixés sur son sexe.
Tout en continuant de se caresser, il effleura ma cuisse et me toucha à l’endroit de mon sexe qui manifestement appréciait cette sollicitation.
Devant cette état de fait , mon oncle s’enhardit et commença à baisser mon pantalon, le slip suivit .
Il me demanda de me mettre face à lui.
"Ta tante est sortie faire des courses, nous n’avons pas beaucoup de temps "
Plus cela allait plus j’étais troublé
Tout en continuant de faire aller une main sur son sexe, il passait l’autre sur le mien.
Je commençais à mon tour a éprouver une sensation étrange et je m’aperçu que je bandais et que ç’était très agréable.
"Viens sur mes genoux" ce que je fis bien volontiers.
Nous bandions de plus en plus, nos deux sexes se faisaient face, parfois se touchaient .
J’étais aux anges de voir nos deux sexes si près l’un de l’autre.
D’une main ferme,il les saisit ensembles.
Nos bites se frottaient l’une à l’autre. Sa main descendait et montait le long de nos tiges. Nos glands décalottés luisaient, nous étions tendus au maximum.
Nos respirations se faisaient de plus en plus rapides, nous remuions
beaucoup, nous gémissions
Soudain, il se cambra un peu plus et un jet de sperme fusa de sa bite
Il venait d’éjaculer
Son sexe se ramolli rapidement, il avait moins fière allure.
Mon excitation était montée d’un cran, et n’y tenant plus j’entrepris de continuer seul.
Je me frottais le gland de la paume de la main et me branlais de plus en plus vite sans oublier mes couilles.
Mes gémissements étaient de plus en plus sonores , je sentais le point de non retour arriver.
" Que c’est bon ! ….Ahhh, ça vient! ..Ahhhh, je jouis!!"
Je me poussais un max vers mon oncle et à mon tour j’éjaculais, j’étais secoué par des spasmes, et sentais de fortes contractions dans le bas ventre.
Jamais je n’avais eu une telle jouissance.
La vue de mon oncle se masturbant, le contact de nos deux sexes, l’interdit de la situation tout cela avait décuplé mon plaisir.
Nous remîmes de l’ordre dans nos vêtements et fîmes disparaître toute trace de nos ébats .
"As tu aimé? me demanda mon oncle
"Oh oui! Tu fais ça souvent?"
"Oui à chaque fois que je le peux,lorsque ta tante s’absente.
Habituellement, je fais ça tout seul c’est la première fois que je me branle devant un homme"
"Moi aussi"
"Heureusement que tu m’as surpris en train de me branler, sinon jamais je n’aurais osé te le demander.
Ta tante va bientôt rentrer"
"J’ai bien aimé mais ça été trop rapide"
"la prochaine fois,si tu es d’accord, nous irons dans la cabane des chasseurs
nous y serons tranquilles "
Je ressentais un étrange sentiment de bien être mêlé à de la frustration et d’espoir que ça se reproduise rapidement.
Je n’eus pas le temps de rester sur cet état d’âme,ma tante venait de rentrer
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