Je viens donc de me faire baiser par deux mâles en rut, et j’ai adoré, ils m’ont laissé dans la cabine de l’aire d’autoroute dans laquelle ils m’ont souillés. Je suis par terre, affalé contre le mur, du sperme sortant encore de mon cul, et plein le visage. Même dégoulinant entre mes lèvres.
Il y a un homme qui viens d’ouvrir la porte de ma cabine, je lève la tête et le détaille : C’est un homme noir, la trentaine je dirais, environ 1m80 et de carrure musclée. Il reste un petit moment a me regarder, Il est vrai que je dois avoir l’air pitoyable comme ça…
Je m’attend à deux réactions différentes : soit il s’en va, soit il me baise aussi. Mais il me surprend en me tendant la main.
J’attrape sa main, et il me relève. C’est avec un sourire aux lèvres qu’il m’adresse enfin la parole :
-" Et bien ! T’as l’air d’avoir bien profité toi !
– Oui, euh… J’ai… désolé je suis sale… lui disais-je en guise de réponse.
– Ne t’en fait pas pour ça, c’est habituel de voir ça ici, enfin peut-être pas autant que toi haha ! Ils t’ont mis la dose !"
Me plaquant contre le mur, il continue :
-" T’as l’air d’une bonne salope dis-donc, tu en re-veux?"
J’acquiesce, et entreprend de lui déboutonner le jean. De son côté, il a pris du PQ, et me nettoie la bouche pour m’embrasser.
Sa langue fouille ma bouche, ses mains viennent pétrir les fesses, et je sent une bosse énorme grossir au niveau de son entrejambe. Je parviens enfin à ouvrir son jean, et je le descend en même temps que son boxer. Une queue énorme jaillit, elle doit faire 20 centimètres de long, pour 7 ou 8 de large !
Je me met a le branler, toujours pendant qu’il m’embrasse et me tripote. Ses mains courent sur mon corps, Et ses doigts viennent titiller mon anus, étalant la semence qui en sort toujours.
il y rentre directement 3 doigts, sans aucune difficulté étant donné que j’ai encore le cul élargis par les deux autres mecs, et même un quatrième.
Quatre doigts dans le cul, la bouche fourrée par sa langue et la main prise par une que dont je ne peux même pas faire le tour, Je me sent de nouveau défaillir et lâcher prise. Je redeviens chienne d’un coup, soumis a sa bite…
je me met à genoux et met un coup de langue sur ses couilles, lui me regarde attentivement en m’incitant à me lancer d’une poussée de sa main sur ma tête. je gobe donc ses couilles en le branlant et soutenant son regard comme la bonne salope que je suis. Je relève la tête et avale son gland, et tente d’aller plus loin.
Je n’arrive pas a dépasser de plus de 3 centimètres après le gland, j’entame donc les mouvements avec gourmandise. Je salive abondamment et gagne quelques centimètres grâce à ça, j’ai désormais la moitié de sa queue dans la bouche, mais apparemment cela ne lui suffit pas, car il me force à aller de plus en plus loin, a chaque mouvement il force un peu plus et me fait, centimètre par centimètre, avaler son membre jusqu’à la base. Je sent maintenant à chaque fois ses poils pubiens écraser mon nez et toucher mes lèvres. La salive étant plus épaisse, plus glissante, sa queue coulisse sans mal dans ma gorge, bien que je sente ma trachée étirée et écartelée.
Voyant que je m’adapte, il se permet d’aller de plus en plus vite, sa queue coulissant le long de mes lèvres, son bas-ventre tapant de plus en plus fort contre mon visage, il me baise désormais la bouche. Il s’arrête quelques secondes la queue bien ancrée dans ma gorge, puis sort entièrement, me laissant reprendre mon souffle, pour me la ré-enfoncer encore plus fort.
Il me défonce la gorge encore quelques minutes, puis sort à nouveau, cette fois-ci dans l’intention de profiter de mon cul.
Je me retourne, pose les main contre le mur, et me cambre. Il crache dans ma raie, et étale sa salive avec sa main jusque dans mon anus en y enfonçant quatre doigts. Il recommence deux fois, puis, quand il juge que je suis suffisamment lubrifié et dilaté, il pose son gland contre mon anus. Doucement, il pousse par petits à-coups, le premier faisant entrer la moitié du gland, le reste passe petit à petit, millimètre par millimètre.
Je sent mon anus tiraillé, je crois qu’il va atteindre la imite à son élasticité et je suis prêt a tout stopper quand je le sent légèrement se relâcher… Le gland viens de passer, et la queue de black s’engouffre dans mon cul d’un coup, m’arrachant un cri de surprise et de douleur quand elle touche le fond. A peine enfoncée aux 3/4, elle touche déjà le fond de mon anus…
Ce n’est pas ce qui empêche mon homme de remuer doucement son membre d’avant en arrière, me faisant gémir à chaque fois.
Petit à petit, il accélère et y met de la force. Il vient toucher le fond à chaque mouvement, me faisant un peu mal, jusqu’à que je le sente taper sur mes fesses. quelques à-coups après, je ne sent plus aucune douleur, il y va violemment, ses boules claquant contre mes fesses, mes gémissements s’intensifient, et j’en viens presque à hurler. Ses mains sur les hanches, il me maintient fermement et m’attire à lui à chaque pénétration.
Il se retire, et me fait retourner, face à lui. Il m’attrape la jambe gauche et la met sur son épaule, puis positionne sa verge à l’entrée de mon anus et pousse pour la rentrer. Le passage étant fait, elle repasse sans difficulté, et de nouveau il s’enfonce complètement, jusqu’à la base, puis entame les va-et-viens. les jambes ainsi écartés, il me pénètre plus profondément, et doit donc refaire la profondeur du passage. Il n’a pas fait attention à ça et quand il se remet à me baiser sans vergogne, comme il baiserai une pute de bas étage, il m’arrache quelques gémissements de douleur… Mais dans l’action, il n’y fait pas attention, et continue a me défoncer.
De nouveau, mon cul s’habitue, et je reprend du plaisir à me faire fourrer. Il m’attrape la deuxième jambe et, sans arrêter de me besogner, il la soulève aussi pour la mettre sur son épaule. Le dos appuyé contre la paroi, les jambes sur les épaules de mon baiseur, je prend mon pied bien que ce ne soit évidemment pas la priorité de l’homme noir. Lui il veux juste baiser sa pute, ce mec qui viens déjà de se faire fourrer sans ménagement par deux autres mecs, cette espèce de salope qui ne mérite rien d’autre que les coups de bite qu’elle réclame. Et il le fait très bien, il s’en fout que j’ai mal, ou que je jouisse, il veut se vider, et je suis l’objet dans lequel il va gicler. Un trou, un simple bout de viande, voilà ce que je suis, et il me le fait comprendre à chaque coup de rein.
Il à atteint l’apogée, ses mouvements sont secs et violents, chacun d’eux m’écrase contre le mur, je sent qu’il va bientôt jouir. Il me met encore quelques coups de bite, puis il se retire, lâchant mes jambes et me laissant retomber à genoux. Immédiatement il m’attrape la tête et me pose sa queue sur les lèvres, j’ouvre la bouche et il me l’enfonce dans la gorge. La bite à perdu la salive qui la lubrifiait, donc elle ne va pas immédiatement au fond de ma gorge, elle bloque un peu. Mais rapidement ma salive redevient visqueuse et glissante et au fur-et-à-mesure qu’il me baise la bouche, il s’enfonce de plus en plus loin dans ma gorge.
Je sent rapidement ses poils pubien venir taper contre les lèvres, sa verge entre et sort de ma bouche sans que je n’ai mon mot à dire, même si je le voulait, je ne pourrais plus l’arrêter. Il est au bord de la jouissance, ses mouvements ne sont plus du tout mesurés, ils sont secs, tant qu’il se fait du bien, ça lui va.
Il se retire de ma bouche, et me met une, puis deux bifles, avant de me replanter son dard dans la gueule. à deux mains, il imprime à ma tête le mouvement inverse de ses reins, il pousse sa queue dans ma gorge quand il me tire vers lui.
Un coup se fait plus sec que les autres, sa verge se gonfle et je comprend qu’il arrive… Un deuxième, puis un troisième mouvement encore plus secs, et il s’enfonce complètement dans ma gorge. Il reste comme ça, mon visage dans sa toison pubienne, maintenu avec force, Sa queue gonfle par à-coups et je sent son foutre chaud gicler et couler dans mon oeusophage.
Il me maintiens ainsi le temps de se vider complètement, m’étouffant à moitié, puis il refais quelques va-et-viens avant de sortir.
Je tousse et crachotte, étouffé par son sperme. Mais sans attendre que j’ai fini, i me remet son engin en bouche et me le fait nettoyer minutieusement. J’obtempère avec plaisir et lèche goulûment son mandrin qui ramollit.
Profitant de l’engin que j’ai dans la bouche, bien qu’il soit désormais mou, je continue à sucer tendrement, doucement. Son propriétaire s’est adossé au mur, le regard au ciel en profite…
Je me lève et sors de la cabine, nu, pour me nettoyer un peu aux lavabos. alors que je me passe de l’eau sur le visage, je sent quelqu’un derrière moi, et je reconnais la queue de mon noir se frotter entre mes fesses. Elle a repris du volume.
Il met sa main sur ma nuque et me pousse contre le lavabo, la tête contre la glace, de sa deuxième main je le sent positionner son membre sur mon anus. Il lui suffit d’une poussée pour me fourrer à nouveau sa bite dans le fondement, et il s’active à nouveau pour mon plus grand plaisir, à m’élargir les parois anales.
Cette fois-ci, c’est à la vue de n’importe qui qui entrerai dans les WCs que je me fait baiser. Je n’ai pas d’autre choix que d’accepter de prendre ce risque. Et à vrai dire, ce n’est pas ce qui m’importe le plus à ce moment précis, pas plus que le vieil homme qui viens justement d’entrer et qui reste ébahi devant ce spectacle. C’est vrai qu’on voit pas ça tout les jours, un petit jeune qui se fait littéralement défoncer par un black très bien membré. En fait, mes cris de salope ont rameuté tout les mecs du coin, ils sont tous là, a se branler ou juste observer. Je les vois sans les voir, obnubilé par le plaisir que me fais mon baiseur.
Voyant le monde, il me lâche la nuque et me fait pivoter vers eux en gardant sa verge bien enfoncée. C’et désormais lui qui me tiens uniquement par les hanches, si bien, que je manque de tomber en avant a chaque coup de rein. Je vois une bite se pointer devant moi, alors j’attrape les hanches du type pour me tenir, et celui-ci m’attrape la tête pour que je le suce. Autant par automatisme que par envie, je le prend en bouche et dès le premier mouvement de mes lèvres sur sa queue, aidé par mon noir qui viens de pousser son engin au fond, je prend toute la longueur de son dard dans la gorge.
voyant cela, le mec que je suce décide de se calquer sur les mouvements du black, ainsi je prend les deux bites au fond en même temps, ce qui ne fait qu’ajouter à la violence des pénétrations.
Malgré tout cela, malgré la brusquerie et le manque d’égard donc mes baiseurs font preuve, je prend mon pied, tellement que j’en redemande. Et bien que mon noir, qui viens déjà de jouir, tienne le coup, je sent celui qui profite de ma bouche gonfler et se lâcher. Des jets de sperme atterrissent sur ma langue, et tandis que j’essaie d’en avaler le maximum, quelqu’un d’autre prend déjà place. une queue plus petite, mais bien dure qui se met aussi à me baiser la bouche.
Tout comme l’autre, elle ne tiens pas bien longtemps, et j’avale la semence qu’il me crache à la bouche. Un autre mec s’approche, mais c’est uniquement pour jouir dans ma bouche, je n’ai presque pas le temps de le sucer qu’il à déjà tout lâché.
Le noir me ré-attrape par la nuque et me re-colle contre la glace, continuant sans-arrêt à me besogner. Il me baise ainsi une bonne dizaines de minutes, puis je sent sa queue gonfler et sa semence gicler dans mon anus. à chaque jet, il me met un violent coup de rein. C’est à ce moment que je jouis pour la deuxième fois de la journée. Mon sperme coule par terre pendant que le sien me remplis.
Il reste figé quelques instants, puis se retire. Moi je m’écroule a genoux par terre pour lui nettoyer la verge. Une fois nettoyée, je me relève et entreprend de me nettoyer l’anus, mais le noir passe sa main dessous et récolte son sperme qui coule. Je le laisse faire, à nouveau appuyé sur le lavabo, et il me présente sa main devant la bouche. Message reçu, je m’empresse de lécher et d’avaler son foutre qu’il récolte petit à petit de mon anus. Une fois fini, il s’est lavé les mains, m’a donné son numéro et m’a dis à bientôt.
Moi je me suis nettoyé, rhabillé et je suis retourné à ma voiture sous les félicitations et les insultes salaces des mecs encore présents.