-4- Julien
Julien, jeune ingénieur, remarque la jolie fille à la cafétéria de la société. Il ne lavait jamais vu. Cest sûrement la nouvelle stagiaire pense-t-il. Elle a lair un peu perdue sa tasse de café à la main. Il sapproche.
— Pardon mademoiselle, vous cherchez quelquun ?
— Non, cest la première fois que je viens ici.
— Vous avez été embauché récemment ?
— Non, je suis en stage dans le cadre de mes études.
— Puis-je vous accompagner ?
— Avec plaisir.
Ils sinstallent à une table vide.
— Mon nom est Julien. Je travaille dans cette société.
— Je mappelle Marine. Je suis ici pour trois mois. Après je retournerai en fac à X pour mon diplôme de fin détudes.
— X ? Je dois y créer une filiale de notre groupe dont je prendrai la direction.
— Nous aurons peut-être loccasion de nous revoir alors.
Cest ainsi quil a fait connaissance avec Marine. Il se rencontre plusieurs fois à la cafétéria. La jeune fille trouve sa conversation intéressante aussi ne fait-elle pas de difficulté lorsquil linvite à déjeuner.
La première invitation a été suivie de plusieurs autres. Ils prennent lhabitude de sortir ensemble. Il apprécie de plus en plus sa compagnie mais nose saventurer trop loin. Il a peur dêtre déçu Cest que Sylvie a placé la barre très haut !
Ce nest quau terme du stage quil a le courage de lemmener dans sa chambre et de lui faire lamour
Effectivement il est déçu, il espérait trop de cette étreinte. Oh Marine se défend pas mal ! Mieux que les quelques minettes quil a connu. Mais Sylvie reste supérieure et ne peut cacher sa déception. De son coté la jeune fille sattendait au résultat : Julien est un bon amant, meilleur que beaucoup mais il ne vaut pas son père. Néanmoins elle aime être avec lui et le retrouverait avec plaisir sil venait à X. Elle voit quil nen est pas de même pour lui.
— Quest-ce quil y a ? Je ne fais pas bien lamour ?
— Si, si !
— Mais tu as connu mieux
— Euh
— Jai compris, je crois quil est préférable quon en reste là.
Quel dommage ! Pour une fois quelle trouvait un garçon avec qui elle se trouvait bien. Elle se lève et commence à shabiller.
— Sil te plait ne ten va pas comme ça ! Je Je me sens bien avec toi. Je ne veux pas Euh Tu ne veux pas quon se revoit ?
— Pour mentendre comparer à une rivale, non merci !
— Ce nest pas une rivale !
— Cest quoi alors, un fantôme ?
— Euh Cest Euh
Il ajoute en baissant la voix :
— Cest ma mère.
— Ta mère, sexclame Marine ?
— OuOui.
Il sattend à un esclandre et ferme les yeux en prévision. Il est tout surpris dentendre un rire clair. Marine est tout heureuse : elle nest pas la seule à avoir succombé à linceste. Rien nest perdu avec Julien !
— Quest-ce quil y a de comique ?
— Rien, rien, excuse-moi.
— Tu acceptes de me revoir ?
— Mais oui gros bêta. Quand tu rejoindras X
Il se débrouille pour accélérer sa mutation et cest ainsi que peu après il lattend à la sortie de la faculté.
— Toi ici déjà ?
— La direction de la boite est pressée que je crée cette filiale. Veux-tu déjeuner avec moi ?
Marine contente de le revoir, accepte avec plaisir. Ils prennent lhabitude de se retrouver à midi Et même le soir Un jouir après le repas il lui pose la question qui le taraude depuis quils ont couché ensemble pour la première fois.
— Pourquoi as-tu ri lorsque jai avoué que javais des relations avec ma mère ?
— Tu men veux ?
— Non mais conviens que cest étonnant.
— Cest que Euh Comment te dire ? Euh Jai avec mon père Euh Des relations Euh
— Semblable à celles que jai avec ma mère ?
— Oui, et Euh Lui aussi fait mieux lamour que toi.
— Ah !
— Oui. Cela nempêche pas que jaime ta compagnie.
— Cest vrai ?
— Oui. Et si tu tolères que je rejoigne mes parents le week-end il se pourrait que jaccepte si tu me demandes de vivre avec toi !
Il la soulève de sa chaise et lembrasse.
Marine visite son grand-père quelle navait plus revu depuis le début du stage. Jean renoue avec un plaisir non dissimulé avec la douceur des caresses simultanées.
— Comment ça sest passé avec Camille pendant mon absence ?
— Impeccable, mais si je lavais laissé faire nous aurions consacré tout laprès-midi au sexe ! Jai du me gendarmer pour que les révisions ne soient pas oubliées. Bien men a pris car au vu de ses résultats scolaires mon fils ma remercié et ma prié de poursuivre les cours de soutien jusquaux vacances. Il ma même proposé, si je le voulais bien, de suivre les progrès de Camille au lycée lannée prochaine ! Sil savait comment nous passons une partie du temps, il ne serait pas si enthousiaste !
— Sûrement ! As-tu dépucelé ta petite fille ?
— Non, ce nest pas lenvie qui ma manqué mais tu connais mon opinion à ce sujet.
— Et avec Laura et Manon ? Sont-elles venues comme elles mavaient promis ?
— Oui. Au départ ce na pas été évident. Jai tout de suite posé comme conditions que le soutien scolaire ne serait pas une plaisanterie et que jexigeais dêtre présent tout laprès midi !
— Comment lont-elles pris ?
— Elles ont fait une figure de mal content, mais devant ma détermination elles ont accepté. Après la leçon je leur ai dit quelle pouvait faire ce quelles voulaient. Elles étaient un peu inquiètes et je ne les ai pas brusquées me contentant au début de les observer discrètement en faisant semblant de lire.
— Au début ? Parce que ensuite
— Elles se sont rendu compte que je nétais pas un obstacle à leurs amours. A la deuxième leçon elles mont demandé si elle pouvait se déshabiller. Tu penses que je nallais pas leur interdire !
— Je men doute !
— La séance suivante, après leurs ébats Laura a suggéré de me remercier. Elles mont gratifié dune magnifique sucette.
— Cela a du te plaire.
— Evidemment ! Les révisions sont devenues agréables pour tous mais elles refusent que je les baise ! Elles sont toutes les deux vierges mont-elles dit, et entendent le rester !
— Pauvre Papy !
— Cest ça moque-toi de moi !
— Viens va ! Je saurai te dédommager.
— Tu ferais ça ? Il est vrai que depuis ton départ je nai pas eu loccasion de faire lamour.
Marine ouvre les bras, Jean sempresse de la serrer contre lui
— Merci, merci ma chérie, dit Jean lorsquil récupère. Je sais que ce nest pas ce que tu préfères avec moi Si, si, ne rouspète pas ! Mais pour moi ce sera toujours un enchantement.
— Je suis heureuse de te faire plaisir Au fait, je ne pourrai plus venir aussi souvent. Jai pendant le stage rencontré un jeune homme
— Ah ! Ah ! Il est bien ?
— Comme javais toujours rêvé que soit mon fiancé ! Nous avons décidé de vivre ensemble. Jai emménagé chez lui.
— Euh Tu lui as parlé de nous ?
— Non rassure-toi. Ce qui se passe entre nous est notre secret.
— Alors ainsi tu quittes le giron familial.
— Nest-ce pas le lot de tous les enfants, de prendre leur essor et de vivre leur vie ? Mais sois tranquille je viendrai aussi souvent que je pourrai, Julien
— Parce quil sappelle Julien ?
— Ça te choque ?
— Euh Non.
— Je disais que Julien ne mempêche pas de rendre visite à mes parents. Jaurais toujours un instant à te consacrer
Marine sest installée chez lingénieur. Elle ne le regrette pas et découvre chaque jour un nouvel aspect chez son compagnon qui lui fait apprécier la vie commune.
Ils viennent de faire lamour. Elle repose contre le torse de Julien. Elle est bien. Daccord ce nest pas le feu dartifice comme après une étreinte avec son père mais elle est bien. Elle se fait câline :
— Tu mavais promis.
— Promis quoi, sétonne-t-il ?
— De me raconter comment cela a commencé avec ta mère.
— Je ne tai rien promis du tout !
— Sil te plait.
— Bon jaccepte mais à condition que toi aussi me dévoiles tout.
— Si tu veux.
— Ben javais dix sept ans, jadmirais ma mère qui est une belle femme
« Julien fantasme sur Sylvie. Il ne loupe aucune occasion de la mâter. Il a même eu la chance un jour dapercevoir un tétin avant quil ne disparaisse sous le t-shirt. Il est ressorti de cette séance de voyeurisme avec une trique denfer et sest isolé dans la salle de bain pour se soulager.
— As-tu besoin que lon taide ?
Surpris en pleine masturbation Julien se retourne. Horreur ! Sa mère est là qui le contemple un sourire ironique aux lèvres.
— On dirait que mon petit garçon a bien grandi ! Approche !
Sylvie sassied sur une chaise. Julien savance, cachant son sexe comme il peut.
— Tu peux ôter tes mains tu sais, je sais comment cest fait, je lai déjà vu. Je lai même nettoyé quand je te baignais.
Elle écarte les bras de son fils. La verge comprimée par les doigts se libère.
— Waouh ! Cest vrai que ton sexe a grandi ! Une vraie queue dhomme !
Soudain elle a envie de toucher cette verge dressée.
— Me permets-tu dexaminer si tout est en ordre ?
Sylvie tire sur le prépuce. Elle sourit.
— Tu es encore puceau mon grand ? Ce nest pas grave tu as le temps.
Ses doigts glissent sur la peau. La queue hoquette de plaisir.
— Mmmh, gémit Julien !
Sylvie est hypnotisée par le bout de chair qui palpite dans sa paume. Elle en oublie quil appartient à son fils et poursuit la masturbation. Le garçon est rouge comme une tomate et gémit de plus en plus fort. Que la caresse est douce ! Tellement meilleure que lorsquil se la procure ! Maintenant Sylvie empoigne la queue à plein main. Le méat souvre et se referme au rythme des mouvements. Le garçon gémit de plus en plus fort.
— Tu as mal ?
Il ne répond pas et avance le ventre comme si cela augmentait le plaisir. Tout à coup le sperme jailli et manque dasperger la figure de sa mère.
— Ça fait du bien nest-ce pas !
Julien senfuit dans sa chambre et senfouit la tête dans la couverture. Sa mère la fait jouir ! Et quelle jouissance ! Le refera-t-elle ? Il nosera jamais lui demander »
— Cest tout, interroge Marine ?
— Non. Maman ma surpris une autre fois dans ma chambre entrain de me faire plaisir et
« – Encore ? Veux-tu que je taide à nouveau ?
Sans attendre une réponse elle empoigne la verge dune main gourmande et commence à la masturber. Il retrouve la jouissance quil avait éprouvé la première fois. Lorsque le lendemain Sylvie entre dès quil a sa queue en main Julien devine quelle la espionné et a attendu le moment propice pour intervenir. Il décide de profiter de la situation.
— Tu sais ce qui me ferait plaisir, Maman ?
— Dis toujours.
— Cest que tu te déshabilles.
— Ça va pas non !
— Sil te plait.
— Pas question !
— Je ten prie.
Sylvie hésite. Elle a tellement envie de caresser son fils !
— Ce que je ne ferais pas pour toi ! Jaccepte mais à condition que toi aussi tu te déshabilles.
En réponse Julien ôte son t-shirt
Ils sont nus face à face. Julien ne peut détacher ses yeux des seins, des hanches, du sexe de sa mère. Il peut enfin admirer ce corps qui le fait fantasmer. Sylvie intimidée par le regard de son fils se serre contre lui pour dérober ses appâts à sa vue. Cest pire car la verge durcie presse son pubis. Elle ne résiste pas à lenvie de sexe qui la submerge. Elle guide son fils sur le lit, place la queue au bon endroit, empoigne les fesses de Julien et lattire à lui »
— Cest la première fois que je faisais lamour. Cétait merveilleux. Nous navons pas cessé depuis. Même maintenant jai hâte de retourner voir mes parents le week-end car je sais que je ferai lamour avec Maman.
— Et ton père ? Comment accepte-t-il la situation ?
— Je ne sais pas. Il ne nous a jamais faits de reproches.
Julien ne dit pas quun jour pendant que sa mère et lui faisaient lamour
« La porte de la chambre souvre brutalement sur Patrick. Julien veut senfuir mais Sylvie lemprisonne avec les talons. La queue fichée dans le vagin de sa mère il ne peut se dégager.
— Je vous y prends ! Voilà à quoi vous passez le temps quand je ne suis pas là ! Tu nas pas honte Julien ?
— Patrick ait pitié de lui. Ne le punit pas, intercède Sylvie !
— Ce nest pas mon intention mais puisquil te baise jai droit à une compensation !
Il fouille du doigt entre les fesses serrées de son fils, trouve lanus et enfonce une phalange.
— Ah tu croyais ten tirer comme ça !
Patrick pistonne dans le cul de son fils. Celui-ci réagit à la caresse.
— Oui je sens quil revit, sexclame Sylvie !
Julien comprend que ses parents sont de mèche. Il se décontracte. Cest deux doigts qui sagitent maintenant dans le cul. Aucune douleur au contraire. Quand il juge lorifice bien préparé Patrick présente sa verge.
— Attention Julien, jentre !
Sylvie écarte les cuisses de son fils. Celui-ci sent le gland forcer, franchir le barrage musculaire. Une douleur fugace vite remplacée par un plaisir diffus dans son bas ventre. Il a limpression de navoir jamais autant bandé. Cest aussi lavis de Sylvie.
— Vas-y Patrick, Julien apprécie !
Les deux hommes conjuguent leurs coups de reins »
Non il navouera pas à Marine quil adore être enculé pendant quil baise Pas encore
— Et toi, tu me racontes ?
— Euh
— Dis donc ! Tu avais promis ! Moi je ne tai rien caché. Cest à ton tour maintenant !
— Que veux-tu savoir ?
— Comment ton père et toi en êtes venus à coucher ensemble.
— Quand javais seize ans, un soir je suis entrée dans la chambre de mes parents
Marine relate ce qui sest passé ce premier soir, et les week-ends suivants.
— Tu nas pas baisé avec ton père alors ?
— Si mais plus tard
Elle raconte comment elle sest fait dépuceler par Kevin et quelle a enfin fait lamour avec son père.
— Tu vois nous sommes pareils toi et moi.
— Nous étions faits pour nous rencontrer !
A suivre
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