Chantal était en train de se faire baiser par Quentin dans la voiture de Marc.
Baiser était bien le mot, car il l’avait prise sans ménagement. Il avait joui rapidement, sans l’attendre, mais avait aussi « remis son ouvrage sur l’atelier » plusieurs fois.
Elle avait finalement joui.
Sur le chemin du retour, elle avait honte de ce qu’elle venait de faire. Elle avait honte, mais elle devait aussi avouer y avoir pris beaucoup de plaisir.
Quentin avait recommencé plusieurs fois, il bandait dur et débander à peine après avoir éjaculé, il caressait alors Chantal, puis la léchait entre ses jambes, y prenait le sperme présent et venait l’embrassait pour qu’elle puisse y gouter. Puis, son érection revenue, il recommençait.
Elle était épuisée, mais quand Quentin eut donné tout ce qu’il pouvait, Marc avait reconduit Quentin jusqu’au parking de la boite où se trouver sa propre voiture, puis est revenu dans le petit chemin, Chantal était toujours à l’arrière, il s’est garé et est venu la rejoindre.
Lui aussi l’a baisé, une seule fois, mais il prit son temps et attendit qu’elle jouisse à nouveau avant de se laisser aller en elle.
Au petit matin, Chantal dormait comme un loir après ce qu’elle venait de découvrir, c’était sa première soirée libertine, une sorte de dépucelage, ce qu’elle ignorait, c’est que lors de ce même weekend, Charlotte aussi aller connaitre sa première fois la vraie, celle de sa défloraison.
En effet, ce dimanche matin, Charlotte était nue dans son lit avec Antoine.
Avant qu’elle ne succombe sous sa langue, Antoine remonta son baiser vers le ventre de charlotte puis vers ses seins.
Il taquina, léché et téta chaque téton de sa poitrine.
Elle aimait ses caresses buccales et autres agaceries, mais regrettait sans oser lui dire d’abandonner ses « baisers d’amour » comme il les appelait.
Antoine, après avoir badiné avec les seins de Charlotte, repris sa progression vers son petit museau qu’il aimait picorer autant que ses lèvres intimes.
Il s’était positionné sur Charlotte et l’embrassait dans le cou puis vers l’oreille droite qu’il mordillait aussi de temps en temps.
C’est à ce moment qu’elle remarqua qu’il était, lui aussi, entièrement nu.
Il bandait et son sexe frottait la toison humide de Charlotte.
Elle avait resserré par réflexe ses jambes quand elle se rendit compte qu’il était aux portes de son intimité, mais elle n’osa rien dire en pensant que ce simple geste suffirait à lui interdire le passage.
Sans dire un mot, il continua ses petits baisers, sa main caressait sa poitrine et ses jambes écartaient méticuleusement et l’air de rien, celle de Charlotte.
Il s’était glissé entre ses jambes et son sexe taquinait gentiment le mont de Vénus de Charlotte. Elle n’avait pas vraiment vu la manuvre, mais elle se savait maintenant presqu’entièrement ouverte à lui.
Elle prit peur.
– Non, je n’ai jamais
– Chut, je sais
Il posa un baiser sur ses lèvres pour clore cet embryon de discussion.
Sa main glissa entre les cuisses de Charlotte et taquina son abricot bien gonflé. Elle laissa échapper un petit gémissement.
– Ne t’inquiète pas, je vais faire attention et être doux.
– Mais, je ne prends pas la pilule.
Dit-elle sur un ton qui mélangeait l’angoisse et la résignation.
Elle n’avait trouvé aucun autre argument, mais celui-ci aurait dû convaincre Antoine, du moins, l’espérait-elle.
Antoine ne répondit rien, mais ne chercha pas à visiter ce lieu inexploré jusqu’à maintenant et se contenta simplement de continuer sa caresse.
Ses doigts agaçaient son bouton puis effleuraient ses lèvres intimes.
Ses lèvres s’unissaient à celles de Charlotte en de fougueux baisers.
Le jeu continua le temps nécessaire, charlotte était de plus en plus excitée, son bassin se soulevait pressant le corps d’Antoine, il enleva sa main, serra charlotte son sexe en érection se frottait contre les lèvres humides et ouvertes de Charlotte, il appuyait sans pénétrer, elle perdait de plus en plus le sens de la réalité, son corps avait faim, son sexe était affamé, il réclamait ce festin annoncé en perdant toute notion de sagesse.
Ses jambes s’écartèrent, son bassin se souleva et Antoine, d’une légère pression sans aucune difficulté trouva l’entrée que seuls ses doigts avaient effleurée jusque-là.
Elle cria de surprise.
– Ah !
Il était en elle.
Il s’immobilisa un peu, puis avait fait quelques lent va et vient, mais sans trop s’enfoncer profondément. Charlotte avait ressenti une légère douleur mais supportable, puis avait trouvé la présence de cet intrus étrange, mais loin d’être désagréable.
Elle avait peur et quand Antoine avait commencé ses mouvements du bassin, des larmes coulèrent sur les joues de Charlotte. Il les lécha puis donna quelques petits baisers sur ses yeux.
Il s’approcha ensuite de son oreille et murmura :
– Tu veux que j’arrête ?
Elle émit un petit gémissement avant de répondre un timide « non ».
Il embrasa le lobe de son oreille.
– Tu es certaine ?
– Oui continue.
Dit-elle en se forçant un sourire.
Il reprit son mouvement de bassin, il était lent et délicat, mais chaque impulsion avançait son pénis plus profondément.
Au départ elle était immobile et très passive, puis son bassin singea celui d’Antoine pour l’accompagner.
Il entra plus profondément en elle et accéléra le rythmé, elle écarta instinctivement les jambes pour l’accueillir en elle et l’avaler entièrement.
Il regardait son visage et voyait monter en elle le plaisir, elle pinçait ses lèvres comme pour retenir ses bruits qu’elle devait trouver incongrus.
Antoine a toujours aimé regarder le visage d’une femme lors de l’orgasme, même les moins jolies devenaient extraordinairement belles à ses yeux. Charlotte ne dérogeait pas à la règle.
Il caressa de ses doigts ses lèvres en cherchant à les entrouvrir, à peine eu-t-il réussi qu’elle laissa échapper un profond gémissement.
– Oui, laisse-toi aller
Lui dit-il comme pour l’encourager à ne plus se retenir.
Il accéléra le mouvement et dans un râle sonore qu’elle laisse échapper, son bassin se leva comme pour mieux engloutir le sexe d’Antoine et son corps se crispa sous l’orgasme qui l’inondait.
Elle avait joui, son orgasme avait été d’une puissance telle qu’elle s’effondra ensuite épuisée.
Il s’écarta d’elle, puis l’attira vers lui pour qu’elle vienne se blottir dans ses bras.
Elle resta ainsi heureuse de ce qu’elle venait de vivre.
Antoine n’avait pas joui, mais il était satisfait d’avoir défloré sa novice de si belle manière.