Histoires de sexe mobiles Histoires de tromper

Une première – Chapitre 2




Salut c’est votre folle de lycra.

Voilà plus de 5 ans et demi je vous avais parlé d’une amie grande et forte qui se prénommait Christine et qui avec le temps m’avait dévergondé même si elle n’avait pas eu beaucoup à faire. Avec elle j’avais découvert le plaisir du travestissement, de la sodomie et du triolisme avec ses copines. Malheureusement Christine s’était retrouvée à travailler à l’étranger et nous nous étions perdus de vue. Elle travaillait pour l’OCDE avec un un gros salaire non imposable. Grâce à un réseau social très connu, j’ai appris qu’elle était revenue car c’est elle qui m’a recontacté voilà très peu de temps. Dans ses propos sur Messenger, elle n’avait pas changé, elle était toujours aussi coquine et gourmande de sexe voire même peut-être de moi. Il va de soi que nous avons tout fait pour vite nous retrouver pour le plaisir de chacun.

Quelle n’a pas été mon plaisir de la retrouver, de constater qu’elle s’était quelque peu affinée; toujours aussi grande, aussi belle mais surtout aussi coquine car dès le premier jour de nos retrouvailles j’avais le droit à ma petite fellation dans sa voiture. Cela tombe bien car tous les deux étions toujours célibataires même si nous avions été butiner un peu partout entre-temps. J’étais tellement heureux de la revoir ce jour-là je je n’ai pas été bien long à me vider dans sa bouche, le pire c’est qu’elle adorait toujours continuer à me pomper. Pour les non connaisseurs, une fois que l’on s’est vidé, on a envie de reprendre nos esprits; quand quelqu’un continue à ce moment-là, arrive un moment où cela devient insoutenable. Christine le savait et la bougresse me tenait par le sexe. J’étais un peu gêné quand elle m’a demandé si j’étais toujours une bonne suceuse d’homme. Je lui ai avoué que je n’avais jamais remis ça entre-temps.

Rapidement elle s’est mise à m’envoyer des photos d’elle dans les tenues légères, quand elle était habillée… Je peux vous avouer que quand vous êtes célibataire, que vous recevez de ce genre de photos, c’est plus fort que vous; vous vous faites un petit plaisir en les regardant. Du coup, avant de la retrouver, je m’étais déjà fait plusieurs plaisir en pensant à elle les 10 jours avant que nous nous retrouvions au lit. Christine s’était acheté un superbe appartement de pièces en vallée de chevreuse, tout près d’une gare. Un immeuble de grand standing, au dernier étage, avec un balcon circulaire avec vue sur la gare l’église et le parc urbain. Comme 6 ans auparavant, quand je suis arrivé chez elle; elle m’a fait me déshabiller pour enfiler la tenue qu’elle m’avait préparée, une tenue bien féminine cela va de soi. J’étais tout excité comme au bon vieux temps je dirais même que je l’étais encore un peu plus; peut-être le fait d’en avoir été privé de longues années durant.

J’ai vite retrouvé les sensations, j’ai vite repris l’adresse qu’il me fallait pour marcher avec des escarpins; bref j’ai vite retrouvé le plaisir d’être en femme avec elle. Dès que je suis arrivé chez elle elle s’est mise à me parler au féminin, c’est un truc qui me faisait fondre. Elle m’a aussi dit qu’il serait bien qu’elle me retrouve un étalon pour que je me fasse saillir régulièrement devant elle et avec elle. Le programme qu’elle m’annonçait était tout aussi coquin voire aussi hard qu’il y a 6 ans, je vais vous avouer qu’à l’époque je ne m’en suis jamais plaint et même peut-être que j’en redemandais. En fait la cochonne qui est en moi s’était mise en sommeil pour 6 ans et Christine venait de la réveiller en un rien de temps. Toute la soirée je me suis retrouvé à lui manger son petit abricot et lui bouffer son petit cul. 

Pour mon plus grand plaisir Christine avait fait attention à ne pas nettoyer son abricot quelque jours pour que ce soit moi qui m’en charge. Ce dernier avait un goût et une odeur inimitable et qui m’excitait au maximum, il va de soi que la culotte que je portais était une qu’elle avait porté deux jours durant où je sentais très fort la femelle désireuse. Grâce à Christine entre temps j’avais retrouvé une petite habitude de femelle en chaleur prête à tout pour donner du plaisir. Le côté débridé et surtout dominant de Christine me plaisait énormément, elle n’avait pas changé sur ce plan-là. Je ne sais par quel miracle, quand je l’ai pénétrée, il m’a semblé constater un rétrécissement de son vagin et du coup un plaisir augmenté lors de la pénétration. Son vagin avait rétréci mais toujours aussi bien lubrifié et aussi goûteux.

Ce soir-là, le soir de nos retrouvailles, vu de l’extérieur c’était deux femmes qui baisaient entre elles, mais de l’intérieur c’est moi qui donnais du plaisir à Christine. Il n’y a pas à dire tous les frottements de ces textiles, les uns contre les autres, me chauffaient au maximum. Les mains de ma partenaire me caressaient une bonne partie du temps, le dos, les flancs, les cuisses; en gros toutes mes zones érogènes, mais par moment il lui arrivait de me griffer. J’adorais le traitement qu’elle m’infligeait, j’étais vraiment à elle pour lui donner du plaisir et me laisser faire. Plus j’y pensais et plus je me disais que cela m’avait manqué d’être sa chienne les weekends. Vu comment elle m’a chauffé j’ai été relativement rapide à partir en elle; mais heureusement je ne fis que la devancer de quelques secondes.

Ce vendredi soir nous nous sommes endormis après l’amour sous les draps qui sentaient le sexe, masculin et féminin. Le hululement des chouettes m’ont aidé à m’endormir. Dormir en femme c’est une habitude que j’avais pris avec elle et il m’arrivait encore de temps à autre à la maison de faire cela car je m’étais monté une petite garde-robe personnelle. Sentir les fesses parées d’une douce culotte glisser sur la douce longue robe tout ceci sous les draps. Quand en tant qu’homme, on découvre cette sensation; ensuite on ne peut plus s’en passer. Le pire c’est que même aujourd’hui, je prenais grand plaisir à aller travailler avec ou une douce culotte ou un collant en lycra ou un body en lycra voire même une robe longue très fine que je pouvais dissimuler sous mon jean. Tout cela pour vous dire que voilà 6 ans Christine m’avait définitivement dévergondé.

À l’exception de quelques caresses dans la nuit, nous avons passé une bonne nuit sage et réparatrice. Nous nous sommes levés vers 10h tous les deux étions de belles femmes et nous avons mangé entre quatre yeux. Il va de soi que j’avais une érection digne de ce nom qui faisait honneur à ma partenaire à retrouvée. J’ai déambulé en femme toute la matinée chez elle on pouvait quand même deviner mon érection sous la robe toute fine et toute douce. Ça me faisait tout drôle qu’elle me parle qu’au féminin comme il y a bien longtemps. Son téléphone a sonné elle a décroché et je l’ai entendue parler et elle parlait de moi, elle parlait de moi au féminin. J’en étais sûr maintenant elle était en train de me préparer un coup fumant comme il y a bien longtemps mon petit doigt me dit que j’allais vivre encore un événement au courant. Vers 13h j’en eu la confirmation quand on a sonné à la porte, je suis rapidement devenu tout rouge et je suis parti me dissimuler dans sa chambre.

Je n’ai pas eu beaucoup à attendre pour voir Christine et une copine à elle arriver dans la chambre; j’étais face à la fenêtre et regardais dehors. Les deux femmes ont été très douces avec moi mais convaincantes pour que je me retourne vers elles et que j’embrasse Sophie, son amie dont j’avais fait la connaissance voilà 6 ans. Tout comme Christine, Sophie avait perdu de nombreux kilos mais tout comme Christine, elle avait pris de l’assurance en tant que femme dominatrice. Voilà comment, quelques minutes après; Sophie était assise sur le bord du lit, les jambes bien écartées et Christine m’a invité fermement à lui faire une langue d’anthologie. Il n’y avait pas besoin de me forcer à faire cela; c’est un plaisir que j’ai découvert et dont je ne peux plus me passer, nettoyer un petit abricot est devenu une passion pour moi.

Une fois le nez collé sous la robe de Sophie, j’ai pu constater que cela faisait un sacré bout de temps quelle ne s’était pas fait une toilette intime. Le goût et l’odeur était fort mais pas repoussant, son abricot avec de la saveur c’en était limite meilleur. Pendant que je lui mangeais sa petite chatte, j’étais en train en même temps de me remémorer le nombre de fois où je lui avais butiner le berlingot. Les deux femmes ne me parlaient qu’au féminin et cela ne me choquait pas du tout. Christine est venue me fixer un gros collier en cuir autour du cou, ainsi que des bracelets en cuir autour des poignets, autour des chevilles et une grosse ceinture en cuir autour de la taille. Ensuite méthodiquement elle a attaché mes deux poignets à l’arrière de la ceinture, bref j’avais les bras fixés dans le dos. Elle a fait de même avec mes chevilles, du coup, j’étais en déséquilibre et ne me tenait que grâce à mon visage coincé dans le minou de Sophie; j’étais totalement à leur merci. 

Pendant que j’étais affairé entre les deux gros orteils de Sophie, Christine est venue s’amuser me titiller mon petit trou. Manifestement elle se souvenait combien ce dernier était sensible et accueillant pour les sextoys et des hommes. Au rythme où ça allait il ne m’aura fallu qu’un weekend pour redevenir l’esclave sexuel qu’elles avaient fait de moi 6 ans auparavant. En peu de temps les trois doigts de Christine rentraient dans ma chatte à mec et je ne pouvais me retenir d’en demander encore. J’étais en train de retomber aussi bas et surtout en train de redevenir aussi désireux de leurs caresses. Sophie me tenait fermement la tête à lui nettoyer sa fente, il n’y a pas à dire je n’avais pas perdu mon petit coup de langue expert. Pendant ce temps Christine était partie chercher un gode ceinture car elle avait envie envie de me rendre à nouveau opérationnel. 

Elle n’a pas été longue à revenir puis se glisser en moi et me donnait des grands coups de reins heureusement que son sexe factice était souple, il était rentré sans aucune douleur et ne me donnait que du plaisir. J’en arrivais même à pousser des petits cris pas vraiment masculins mais de plaisir. En un après-midi elles avaient réussi à me rendre à nouveau accro à leur sexes et surtout à la sodomie. J’ai même eu le droit à un vibromasseur de belle taille dans mon anus qui me fit un effet tel, que je pris mon pied uniquement grâce à lui. J’ai balancé ma liqueur dans ma robe, Christine a récupéré la semence avec ses doigts puis s’est mise à les sucer en partageant avec Sophie. Grande fut ma gêne quand j’ai constaté que Christine prenait des photos de moi dans cette tenue et ces positions peu valorisantes. Comment avais je pu me passer de telles séances de sexe intense…?

En espérant que ce second chapitre vous ait plu 

Bisous à vous et bonne et heureuse année 2018

 

Related posts

Laisse toi faire… – Chapitre 1

historiesexe

Dialogue de filles – Chapitre 1

historiesexe

Des soumissions en Cam hot à ma première bite – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .