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Au rythme régulier de notre monture – Chapitre 4




Cela fait environ 10 ans maintenant que nous vivons ensemble, Marie Hélène et moi. Nous nous sommes installés, et avons fait de notre passion commune notre métier. C’est ainsi que nous faisons naître, dressons, mettons en valeur et sortons des équidés en compétition. Comme dans tous les couples, il y a parfois des heurts, des moments où plus rien ne va… mais nous avons aussi, sur l’oreiller, des réconciliations très chaudes. Et nous sommes un couple très uni, avec une passion toujours aussi grande pour ce que nous avons créé, et cela fait notre fierté. Les chevaux sont chez nous omniprésents et, quand un cheval est malade et qu’il faut le veiller, ou bien qu’une poulinière doit pouliner, nous passons toujours la nuit tous les deux dans les écuries, en souvenir de cette veille qui avait vu le début de notre liaison.

Et aux beaux jours, quand il fait très chaud dans la journée et que les soirées sont les plus longues, nous aimons par-dessus tout faire une grande balade tous les deux, à cheval, main dans la main, profitant de notre amour aussi bien que de la nature.

Nous nous sommes aussi souvent amusés, de front, à sauter de petits obstacles, main dans la main… ce qui au début, avant de bien nous régler, avant de bien nous roder, fut sources de nombreuses chutes, heureusement sans gravité.

Bref nous avons fait, ensemble, beaucoup de choses à cheval… mais nous avons encore un dernier fantasme : faire l’Amour… sur le dos de nos chevaux… Et pas avec un cheval qui reste immobile, non… avec un cheval qui se déplace… au moins au pas.

Et ce fantasme je crois que nous n’allons pas tarder à le réaliser, car nous avons en ce moment une monture qui semble l’idéal pour cela : une jument très calme, bonne porteuse, avec du coffre, une arrière main assez large et qui ne réagit pas lorsqu’on lui chatouille un peu le dos. Pas question, bien sûr, d’envisager de faire cela avec une selle, car ce serait vraiment gênant et peu adapté. Mais, ayant fait tous les deux un peu de voltige, nous sommes habitués aussi à monter à cru… Alors, une couverture bien épaisse, tenue en place par un léger surfaix devrait suffire.

Reste cependant le problème de la direction, car pas question de tenir les rênes en même temps, pas question d’avoir les mains prises. Car je souhaite, à cheval, prodiguer à Marie Hélène toutes les caresses que nous échangeons d’habitude lorsque nous nous aimons.

C’est en regardant défiler la Garde Républicaine de Paris que l’idée m’est venue… Les timbaliers… ils ont les mains prises par les baguettes… et ils conduisent donc leurs chevaux… avec leurs jambes !

Relier les rênes à mes bottes, cela ne devrait pas me poser de problèmes. Cela m’oblige simplement à mettre des bottes… et à être nu dans ces bottes.

Quel accoutrement… érotique !

Avec quelques séances, il ne m’a pas été difficile de dresser la jument à obéir ainsi. Puis nous l’avons habituée à porter une double charge. Ce qui en fonction de sa morphologie ne lui posa aucun problème. Il est vrai aussi que nous n’avons pas non plus un poids prohibitif. D’abord nous sommes montés tous les deux habillés normalement, puis nous l’avons fait nus, non pas l’un derrière l’autre, mais face à face. Et c’est magnifique, car le mouvement naturel du cheval en marche se prête vraiment bien au rythme de l’amour… Et puis, quelle sensation voluptueuse, après un bon moment, quand le cheval commence à avoir un peu chaud, de sentir sa chaleur animale traverser le tapis, venir nous envahir les fesses, le pubis… merveilleuse sensation !

Nous sortions en fin de journée, lors des jours les plus longs. L’endroit est désert, surtout à cette heure, et nous étions certains de ne pas faire de rencontre. La première fois, je suis monté le premier, faisant face à l’arrière, et j’ai aidé Marie Hélène à venir me rejoindre. Elle s’est mise à genoux, me faisant face, les mains accrochées à mes épaules. J’avais sa petite chatte, toujours aussi belle et aussi accueillante juste devant ma bouche. J’ai commencé de la caresser avec mes doigts puis, les premiers moments et une certaine appréhension passés, quand j’ai senti qu’elle commençait à mouiller, ma langue a commencé à prendre possession de son vagin. La cadence de notre monture renvoyait son pubis vers ma bouche à chaque pas, et c’était merveilleux. Marie Hélène serrait bien mes épaules, elle mouillait beaucoup et ses cris de plaisir résonnèrent bientôt.

C’était merveilleux de la voir et de l’entendre jouir ainsi en pleine nature, en pleine forêt… le tout sur le dos d’un cheval !

Lorsqu’elle a eu bien joui elle s’est remise à califourchon et le tapis a vite été inondé de sa cyprine. Je l’ai alors prise dans mes bras, j’ai serré mon buste contre ses seins dont les belles pointes bien dressées étaient encore toutes rouges, et nous nous sommes embrassés longuement.

La seconde étape, ce fut de faire l’inverse… C’est elle qui était assise, et moi à genoux, mon sexe à hauteur de ses lèvres. Le rythme du pas de notre monture faisait que, de lui-même, mon sexe était projeté contre ses lèvres, le quittant l’instant d’après, pour mieux y revenir. Nous restâmes ainsi un moment, sans bouger, nous laissant porter par le pas de la jument… j’étais déjà tout dur, tout tendu. Et puis Marie Hélène commença à faire aller ses douces lèvres le long de mon sexe… et stimulé à la fois par son savoir-faire et le rythme de notre jument, je ne fus pas long à lui donner ma semence.

Restait maintenant à réaliser la dernière étape… Faire l’amour, faire l’amour tous les deux en restant sur le dos de notre monture…

Enrichi par les deux expériences précédentes, j’avais rajouté devant moi un coussin assez épais, toujours retenu par le surfaix, pour que Marie-Hélène, assise dessus, ait sa petite chatte un peu plus haute que mon sexe, pour mieux pouvoir la pénétrer. Je montais le premier, me mettant dans le sens de la marche, puis je l’aidais à venir se mettre face à moi.

Et nous gagnâmes la forêt toute proche. La jument était maintenant bien habituée à être guidée par des rênes placées plus bas que d’habitude et son calme habituel faisait que nous nous sentions sur son dos en parfaite sécurité. Je tenais Marie-Hélène par les hanches, et je sentais ses mains qui venaient caresser mes omoplates, qui couraient dans mon dos. Tout en surveillant le mieux possible la route d’un il j’avais posé mes lèvres sur les siennes et nos langues s’emmêlaient dans un somptueux ballet. Puis ma bouche descendit à hauteur de ses seins. La petite pointe bien rouge, toute tendue, me faisait toujours le même effet et c’est avec délice que la pointe de ma langue jouait avec.

Elle commençait à gémir, se serrait de plus en plus contre moi et je sentis bientôt sa main prendre possession de mon sexe, commencer de le caresser doucement, jouant bien avec le gland avant de descendre tout du long de la hampe. Lorsqu’il fut bien en érection je lui demandais de le diriger vers son sexe. Elle caressa un moment sa fente avec, et je pus sentir de la pointe de mon gland qu’elle commençait à être bien humide, à bien s’entrouvrir… petit à petit nous nous rapprochions l’un de l’autre… et je me sentis bientôt glisser entre les parois bien humides de son vagin. Je sentais son souffle, sa respiration de plus en plus haletante dans mon cou. Ses mains dont les doigts s’étaient crispés dans mon dos me serraient bien contre elle et à chacun des pas de notre monture je sentais mon sexe qui inexorablement prenait possession de son intimité. Je n’avais même pas besoin de donner de coup de reins, l’allure du cheval les remplaçait largement.

Sous l’excitation mes jambes se crispèrent un peu, et la jument prit cela pour un appel à passer à l’allure supérieure… Léger moment de confusion, mais calmée par ma voix elle reprit bientôt le pas et nous retrouvâmes une position plus stable.

Tout comme moi très excitée par la situation, Marie Hélène mouillait en abondance, et je sentais son pubis et ses seins qui se frottaient contre moi. Je sentais la tension qui montait en nous et mon bassin accompagnait les mouvements réguliers du pas de notre jument.

Dans un cri Marie Hélène se laissa emmener par le plaisir et je me déversais bientôt en elle.

Après un long baiser, tandis que mon sexe maintenant tout mou s’extirpait de son vagin, elle se remit dans le sens de la marche et nous rentrâmes ainsi, serrés l’un contre l’autre, elle devant moi tandis que ma main pour prolonger sa jouissance jouait avec son clitoris.

Voilà… nous avions fait l’amour à cheval, ce qui nous tenait à cur depuis un certain temps. La passion que nous avions l’un pour l’autre et notre passion commune pour nos chers équidés s’étaient trouvées réunies.

Maintenant, il faut bien l’avouer : si nous étions heureux, tous les deux, de nous être donnés l’un à l’autre sur le dos de notre jument, ce ne fut pas non plus la plus belle de nos jouissances.

Mais la plus inédite, sans aucun doute !

MISE EN GARDE…

Nous sommes de plus en plus nombreux à monter à cheval, et la fin de mon histoire donnera peut-être des idées à certains… alors je précise (sans vouloir me vanter, là n’est pas mon but) que Marie Hélène et moi étions alors d’excellents cavaliers, habitués aux chevaux, vivant avec eux et en ayant une longue pratique.

Enfin bref, à ne pas imiter sans un certain bagage équestre….

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