Chapitre 27 : Plan Q comme Qualité
-Simon, appela Morgane en rentrant chez elle, J’ai besoin de toi.
Le jeune homme était dans le cuisine, en train de prendre Juliette. Les gémissements de plaisirs de la jeune fille s’entendaient dans toute la maison.
-Oh oui, Simon ! Baise-moi !
-Je suis là, Morgane, haleta la scientifique.
Juliette était écrasée contre le comptoir de la cuisine par les coups de boutoirs du jeune homme. Morgane s’approcha en souriant devant le couple.
-Cindy, clair et Erika dorment ? Questionna Morgane.
-Oui, approuva Juliette entre deux gémissements. Et puis j’ai voulu moi aussi me reposer mais avant que je n’aie pu faire quoique ce soit, la queue de ce cher Simon me labourait la chatte.
Morgane rit devant la mine de la jeune fille, mélange de fatigue et de plaisir.
-Tu peux combler le vide entre mes fesses, s’il te plait ? Demanda innocemment Juliette en grimpant dans les bras de Simon et en présentant sa croupe à la jeune femme.
Cette dernière ne résista pas longtemps à la vue de ce superbe cul tendu vers elle. Elle baissa son pantalon, dévoilant ainsi son sexe à moitié dressé et le planta derechef dans le cul de la jeune fille.
-Mmh oui ! Souffla-t-elle, comblée par les deux queues.
Elle monta et descendit avec une immense joie sur ces deux sexes qui l’empalaient profondément. Ses gémissements doublèrent d’intensité si bien que Morgane lui conseilla de faire moins de bruit si elle ne voulait pas réveiller les filles.
-Bon, Simon, j’ai besoin de toi, dit Morgane en pelotant gaiement les fesses de Juliette.
-Dis-moi, Morgane, sourit le jeune homme par-dessus l’épaule nue de la jeune fille qui tressautait entre eux.
-Il me faut un produit qui permet d’exciter instantanément quelqu’un.
-Tu veux dire quelque chose qui excite autant que toi tu excite quelqu’un, c’est ça ?
-Oui, mais de façon encore plus rapide !
Simon eut un sourire éclatant.
-Ça tombe super bien que tu me demandes ça, je voulais l’essayer.
-Essayer quoi ?
Simon ne répondit pas. Il posa Juliette au sol et fonça dans sa chambre. Morgane le regarda partir sans comprendre mais ne cessa pas pour autant de sodomiser la jeune fille.
-C’est bon ! Gémit celle-ci.
Simon revint armé d’un curieux gode rose et bleu.
-Voilà !
-Qu’est-ce que c’est que ça ? S’enquit Morgane.
-C’est ma toute dernière invention. Attends, penche-toi, tu vas voir.
Morgane s’exécuta avec une légère appréhension. Simon passa rapidement sa langue sur la moule de la jeune femme pour en récolter la précieuse cyprine avant d’y planter le gode en profondeur.
-Oooh
Il actionna ensuite un bouton et l’objet se mit à vibrer intensément.
-Mmmh, waouw ! C’est divin ! S’exclama Morgane en souriant aux anges. Je sens que ça racle toute ma chatte.
-Je sais, sourit le scientifique en reprenant sa place dans le con de Juliette. C’est moi qui l’ai fait.
La jeune fille se laissa pénétrée avec joie et sans rien dire. Les deux queues en elle la comblaient de bonheur et elle était trop concentrée sur son plaisir que pour écouter Simon et Morgane.
-Mais en quoi est-il différent d’un gode normale ? Demanda Morgane. C’est vrai qu’il est très agréable mais
-Tu comprendras très vite, sourit mystérieusement Simon. Mmh Juliette !
-Mmh oui ?
-Je viens ! Abaissa-toi, vite !
La jeune fille s’exécuta tout en conservant la queue de Morgane dans ses tréfonds. Elle ouvrit grand le bouche et Simon y enfourna prestement son sexe. Il se déchargea en râlant et Juliette avala tout avec gourmandise. Lorsqu’on avait goûté au sperme de Morgane, tous les autres spermes se transformaient subitement en un breuvage aussi délicieux que le meilleur des vins.
Juliette ferma les yeux de contentement et savoura la semence laiteuse du jeune scientifique en gardant cette dernière dans sa bouche. Finalement, elle déglutit en souriant rêveusement.
-C’est délicieux, murmura-t-elle pour elle-même.
Morgane, elle, sentait qu’elle était au bord de la jouissance.
-Ooh ! Simon, ce gode est incroyable ! S’écria la jeune femme.
Alors que ces va-et-vient ne faisaient qu’accélérer, l’étrange objet électrique poursuivait son travail dans le vagin de Morgane. Bizarrement, cette dernière avait beau être au summum du plaisir, aucune goutte de cyprine ne s’évadait de son con.
Finalement, la jeune femme enfonça sa queue le plus loin possible dans le petit cul serré de Juliette et jouit en poussant un érotique geignement.
-Aah ! C’est booon !
Elle fut prise de convulsion et se serra contre le dos de sa jeune élève afin d’endiguer le plaisir qui manquait de la submerger. Quand enfin l’orgasme cessa, tous ses muscles se relâchèrent et elle resta couchée sur le dos trempé de sueur de Juliette.
-C’était incroyable ! Haleta Morgane en enfouissant une main dans ses cheveux noirs. Merci, mon petit cul.
Elle déposa un tendre baiser dans la nuque de Juliette. Cette dernière sourit, elle aussi essoufflée par l’intense pénétration qu’elle venait de subir.
-Le plaisir est pour moi. Houla ! Je vais avoir des crampes, moi ! S’exclama cette dernière en prenant appui sur la table pour se relever.
Simon s’était déjà rhabillé et tendit une bouteille d’eau à Morgane. Celle-ci lança un regard reconnaissant au jeune chercheur et s’empressa de la vider. Simon vint se glisser derrière la jeune femme et pétrit tendrement l’une de ses fesses. Sans crier gare, il arracha le gode de son fourreau de chair et Morgane manqua de s’étouffer de surprise.
-Simon ! Prévient quand tu fais ça !
Le jeune homme rigola mesquinement.
-Je trouve ça plus amusant comme je l’ai fait. Tu devrais voir ta tête !
Morgane ne put s’empêcher de sourire devant la face hilare de son ami.
-Dis-moi plutôt à quoi ce gode va me servir.
-J’allais y venir. Vois-tu, il y a deux parties à cet ustensile. La première partie est le gode en lui-même, c’est ce que tu places dans ton vagin pour te procurer du plaisir. La seconde partie se situe à la base du gode. On pourrait croire qu’il s’agit du manche mais c’est beaucoup plus que cela
Simon admira l’objet avec adoration.
-Qu’est-ce que c’est alors ? S’enquit la jeune femme avec impatience.
-Excellente question !
Morgane leva les yeux au ciel avec exaspération. Simon adorait se faire tirer les vers du nez.
-Ce manche, poursuivit-il, est en fait un réservoir.
Simon patienta un peu mais quand il vit que Morgane n’avait pas l’intention de poser davantage de question il poursuivit :
-Un réservoir à cyprine !
-A cyprine ? Mais pourquoi faire ?
-Eh bien … À la base, c’était pour moi, pour que je n’aie pas à toujours m’abreuver à la source. Mais quand tu m’as dit que tu avais besoin d’exciter quelqu’un le plus rapidement possible, la réponse m’est apparue très clairement. Tu as besoin de ta cyprine.
-Je ne suis pas sûre de comprendre, avoua la jeune femme. Pourquoi ma cyprine ? Je pensais que c’était mon odeur qui excitait les gens
-En fait ce sont certains types de phéromones qui excitent les gens. Tu en as une grande partie dans ton odeur mais une quantité bien plus phénoménale dans ta cyprine.
Il dévissa le manche du gode et présenta l’étrange capsule grise à Morgane.
-Asperge quelqu’un avec cela et il sera excité comme jamais il n’aura été excité de sa vie entière.
Morgane s’empara avec perplexité de l’objet que lui tendait le jeune chercheur.
-Et c’est tout ?
-Tu n’as qu’a essayé si tu ne me crois pas.
Morgane sourit malicieusement.
-Excellente idée
***
***
Morgane avait disposé le liquide dans un ancien flacon de parfum enfoui quelque part au fond de son sac. Elle se promenait en ville et scrutait attentivement les passants.
Elle chassait.
Certains hommes ne pouvaient s’empêcher de la détailler intensément mais Morgane ne s’intéressait aucunement à ce type d’énergumène. Non, elle savait pertinemment quel genre de proie elle pourchassait. Au bout d’un moment de recherche intensive, une jeune fille ayant plus ou moins la vingtaine passa devant elle sans lui prêter la moindre attention. Morgane eut un sourire carnassier. Elle venait de dénicher sa proie
Aussi silencieusement qu’une ombre, elle suivit la jeune fille. Cette dernière était grande avec de longs cheveux blonds réunit en une tresse compacte d’où s’échappaient quelques mèches rebelles. Un mince t-shirt dévoilait un corps fin et sec et un legging enserrait ses jambes et son cul dans une délicieuse prison de tissus. Un sac en bandoulière contenant une série de carnet appris à Morgane qu’elle devait être une étudiante.
La jeune fille marcha durant quelques minutes sans remarquer qu’elle était suivie et finit par s’engouffrer dans un bar.
Le sourire de Morgane s’agrandit. C’était parfait !
Elle s’installa au comptoir du bar et observa à la dérobée l’étudiante s’asseoir à une table et patienter. Elle devait sûrement attendre quelqu’un. Probablement un garçon, vu la manière aguicheuse dont elle était habillée.
Morgane vint se glisser sur le banc derrière elle et dégaina son flacon de parfum. Elle pressa le bouton ce qui fit pleuvoir un nuage de gouttelette dans la nuque de la jeune blonde.
Celle-ci sursauta et se retourna vivement en poussant une exclamation :
-Qu’est-ce que ?
Le regard vert de la jeune fille, d’abords surpris et contrarié, changea du tout au tout lorsqu’il se posa sur Morgane. Il se fit intense et fiévreux, comme si l’objet de tous ses désirs se trouvait juste devant lui. C’était peut-être le cas, d’ailleurs
Sans crier gare, elle prit le visage de Morgane entre ses mains et plaqua ses lèvres contre les siennes en gémissant. Elle était à genoux sur sa banquette et remuait érotiquement le bassin pour frotter son entre-jambe contre son dossier. Sans cesser d’embrasser avidement Morgane, elle glissa une main sous son legging et caressa langoureusement son abricot.
-Hey, les lesbiennes, les accosta d’un ton bourru un homme qui devait être le propriétaire du bar, j’veux pas d’vot cochonnerie dans mon bar. Si vous avez l’trou qui démange, vous vous bavez dessus chez vous ! Pas chez moi !
Morgane releva la tête mais la jeune étudiante, elle, ne fit pas le moins du monde attention à cette interruption. Elle continua d’embrasser la jeune femme dans le cou avec une envie sans cesse croissante.
-Je suis désolée, sourit Morgane, nous n’avons pas pu nous en empêcher. Mais puisque vous êtes là, vous voulez bien aider cette pauvre jeune fille à se soulager ? J’ai bien peur qu’elle n’y parvienne pas toute seule
Avant que le barman aie eut le temps de répliquer vertement, Morgane vaporisa un nuage de cyprine directement sur son visage. La colère de l’homme retomba immédiatement tandis que son regard se fixait avec une envie bestiale sur le sublime petit cul de la blonde. Au travers du fin legging, on pouvait deviner les doigts de la jeune fille caresser sa fente avec une envie torride. Par moment, une phalange se dessinait davantage puis disparaissait complètement comme pour prendre de l’élan avant de s’enfoncer avec force dans son trou d’amour.
L’homme posa une énorme main sur la fesse de la jeune fille. Cette dernière ne montra aucun signe de surprise et tendit même son cul vers le nouveau venu. Il s’accroupit et embrassa le legging avec voracité tout en serrant à pleine main la fesse d’une incomparable fermeté.
-Mmmh ! Oh mon Dieu ! S’écria l’étudiante.
-C’est bon, hein ? Sourit Morgane.
Elle releva la tête et constata que trois autres hommes éparpillés de-ci de-là dans le bar observaient leurs ébats avec des yeux ronds d’étonnement.
-Eh bien alors, messieurs ! S’exclama Morgane. Vous voyez bien que cette pauvre enfant a besoin d’aide. Ne restez donc pas plantés comme ça la queue entre les jambes ! Venez !
Les trois hommes se regardèrent avec une terrible indécision. Ils finirent par hausser les épaules. Si même le barman s’y mettait, pourquoi pas eux ? Ils arrivèrent en tirant la braguette de leur pantalon, la mine soudainement éclairée par une joie lubrique.
Pendant ce temps, le barman n’avait pas perdu une minute. Il avait abaissé le legging de l’adolescente, dévoilant ainsi un magnifique cul et y avait plongé sa face rougeaude. Sa langue s’escrimait avec avidité contre les doigts de l’étudiante et tentait d’atteindre les lèvres humides aux effluves entêtantes. Ses deux mains écartaient la paire de fesse pour pouvoir enfoncer plus encore son visage contre la raie chaude et moite.
-Oh ! Je veux plus ! Gémit l’étudiante alors qu’elle poussait son cul contre la tête du barman. Donnez-moi plus !
L’un des trois hommes prit la main de la jeune fille et la posa contre son sexe dressé qu’elle se mit à branler instinctivement. Un autre homme présenta sa verge devant sa bouche en haletant d’anticipation. La jolie blonde se rua littéralement sur ce sexe qui sentait la sueur rance et l’engloutit intégralement avec une joie enfantine. Le dernier homme se branla en pelotant sournoisement la poitrine de la jeune fille.
Morgane observait les quatre hommes et l’adolescente avec satisfaction. Ça allait être encore plus facile que ce qu’elle pensait
Soudain, le patron du bar souleva l’étudiante qui poussa une exclamation surprise. Il s’assit sur la banquette et plaça la jeune fille à califourchon sur lui. Lorsqu’il la fit descendre sur son sexe, le barman se rendit compte que le legging qui n’était qu’à moitié baissé l’empêchait d’aller jusqu’au bout. Sans perdre de temps, il déchira le vêtement sous le regard brillant de désir de l’adolescente. Cette dernière prit alors les commandes et descendit elle-même sur la hampe dressée en geignant et en se mordant la lèvre inférieure. Elle s’accrochait au barman avec force comme si cela pouvait lui permettre de s’enfoncer plus encore sur le membre viril.
L’un des hommes se mit sur la banquette derrière le couple en plein ébat et présenta sa queue déjà luisante de bave. La jeune fille engloutit la verge et la pompa avec une envie dévorante pendant qu’elle s’empalait fiévreusement sur la queue du barman. Deux autres sexes entrèrent dans son champ de vision et elle s’empressa de les branler vigoureusement.
Au bout d’un moment, l’un des hommes qui se faisaient branler passa derrière l’étudiante. Le spectacle de cette dernière montant et descendant sur la queue du barman le ravi au plus haut point. Des gouttes de sueur commençaient à perler sur ses généreuses fesses, rendant ces dernière plus appétissantes encore. L’homme se lécha les lèvres. Il s’empara du sublime cul de l’étudiante afin de le stabiliser et présenta son sexe devant l’anus entrouvert.
La jeune fille, la bouche encombrée par la bite d’un autre homme, ne comprit pas pourquoi quelqu’un la forçait à arrêter ses mouvements et voulut protester. Mais avant qu’elle n’ait pu pousser le moindre son, elle sentit son anus se faire écarteler par une brusque et chaude incursion.
-MmmMmMmm ! Gémit-elle, ses yeux roulant follement dans leur orbite.
Elle se sentit poussée en avant tandis que le sexe s’enfonçait davantage en elle. Enfin, le bassin de l’homme buta contre son cul et elle comprit qu’il était complètement en elle. Trop absorbée par son désir toujours plus dévorant pour se formaliser de cette première sodomie, elle se remit à bouger langoureusement.
Le moindre mouvement était pour elle une myriade de sensations nouvelles. La double pénétration qu’elle subissait était tout bonnement divine et la queue qui se trouvait tout au fond de son gosier n’allait bientôt plus être suffisante pour faire taire ses gémissements de plaisirs.
Alors qu’elle profitait des fourmillements orgasmiques que lui renvoyaient son bas-ventre, elle reçut soudainement des giclées de sperme contre se glotte. La surprise se peignit sur ses traits et, instinctivement, elle avala tout.
L’homme la remercia en lui caressant les cheveux et referma sa braguette. La jeune fille ne perdit pas une minute et enfourna derechef la queue de l’autre homme qu’elle branlait.
C’est le moment que choisit Morgane pour partir. Elle avait vu ce qu’elle avait besoin de voir et n’avait pas envie qu’on lui pose des questions gênantes
Elle sortit et, dans la rue, elle croisa le regard d’un jeune homme qui portait un livre d’algèbre sous le bras. Ils se sourirent et Morgane le vit ensuite entrer dans le bar qu’elle venait de quitter.
Peut-être que si tu étais arrivé à l’heure pour ton rendez-vous, songea la jeune femme en reprenant sa route, tout ça ne serait pas arrivé Ah ces étudiants ! Si seulement ils écoutaient moins leur sexe
