Sale journée au final. En plein été avec une chaleur caniculaire, la climatisation au bureau ne fonctionnait évidemment pas, sinon ce n’est pas drôle. Enfin si, mais avec un fonctionnement qui vous rend chèvre. Je m’explique.

Au moment où l’hiver se pointe, le chauffage ne fonctionne plus. Après plusieurs passages des techniciens de maintenance, on est enfin arrivés à réparer le chauffage. Au bout de six mois. Donc plus d’hiver au final. Au moment donc où l’on passe à la climatisation, idem, il ne fonctionne plus. De même, après maintes maintenances, il finit par fonctionner. Au bout de six mois. Plus besoin de climatisation du coup.

Et ce petit manège dure depuis maintenant plus de 4 ans. Donc effectivement, j’apprécie le côté ironique de la chose, mais à ces moments mon humour à des limites. Pourtant certains diront qu’a l’instar de ma couleur de peau antillaise, la chaleur devrait pourtant me connaître.

Alors oui effectivement je suis antillais, mais j’ai toujours été orienté vers les températures hivernales. Lorsque tout le monde au pays était en doudoune, j’étais le seul hurluberlu à me promener en petite chemise.

De même, beaucoup disent que les personnes de mon style sont naturellement bien bâties, que je n’ai pas tant d’effort à faire, eh bien il faut savoir que le corps svelte haut d’un mètre quatre-vingt-dix musclé, mais avec tout de même une légère bedaine, ça s’entretient ! Séance de sport tous les jours, et pas de pause pour les weekends, et il faut faire attention à son alimentation sinon ça compte pour du beurre : (vous l’avez ?)

La seule chose « clichée » à mon égard qui n’est pas démentie est la taille de mon engin. Et honnêtement je suis assez fier de mon mandrin nervuré ! Aucune pour l’instant n’en était pas satisfaite, au contraire !

La journée était alors relativement longue, le nombre de dossiers à traiter avait pris une dimension pharaonique, et les clients étaient d’office excédés, même avant que l’on leur fasse nos salutations. Une journée pénible à passer donc.

Une fois la journée de travail terminée, je n’avais qu’une seule chose en tête : Faire des courses rapidement, et rentrer chez moi. C’est alors que je pris la route vers mon hypermarché habituel. Route de courte durée, il est assez proche de mon lieu de travail.

Près de la porte d’entrée du magasin, on pouvait voir une jeune fille roumaine d’environ une vingtaine d’années, les cheveux bruns et longs, mais avec un brossage plus que douteux.

On pouvait voir par-delà, mis en valeur par un col en V bleu clair derrière un châle mauve sa poitrine arrogante. Malgré son visage rond, elle avait des traits fins mais la lèvre supérieure un peu plus épaisse et redressée que la lèvre inférieure, détail que je trouvai immédiatement très sensuel sur elle. Dans un pantalon noir coton satiné trop serré, on distinguait des cuisses énormes, reliées par un mont de vénus protubérant voir vulgaire.

Et pour finir, Des fesses très galbées et remontées, ornées d’un string rouge au bordures noires. D’apparence rondelette voire obèse, une légère érection semblait poindre dans mon jean

Après l’avoir analysé de loin sur toutes les coutures, je fis mine, de passer près d’elle. C’est là que de son accent significatif elle me balança son : « tite pièce sivouplai » habituel.

Faisant semblant de chercher dans mon portefeuille, je lui répondis avec un dédain non dissimulé que je n’avais que des billets sur moi. Elle se faisait alors plus persistante.

— « T’es bien mignonne ma chérie, mais pour juste ton sourire je ne vais pas lâcher un billet de 20 ! » Ai-je lancé.

Sur son visage se lisait alors une intense réflexion. Elle se faisait même de plus en plus hésitante, et laissait apparaître un regard de chien battu.

— « Comment tu t’appelles ? » Répliquai-je.

— « Je m’appelle Samia. »

Elle était accompagnée d’une autre fille d’à peu près son âge et son origine, rondelette également mais dans des proportions différentes. Le type de fille avec qui j’aimerais réaliser des expériences sexuelles, mais ici juste pour le fait de connaître les sensations.

En effet, elle avait les cheveux courts, la mèche cachant une bonne partie de son visage constellé par de petits grains de beauté. La peau un peu plus hâlée, dressée d’un petit haut à rayures et d’un jean vieilli, desquels on pouvait remarquer une poitrine légèrement timide, voir naissant, un ventre très rebondi, ainsi que des fesses des hanches et des cuisses énormes. Des jambonneaux qui n’appelaient qu’à la levrette.

— « Son nom c’est Ileana » Devança son amie, qui semblait être trop timide pour répondre.

« Bon eh bien, désolé, j’y vais ! » ai-je donc avancé afin de la brusquer un peu, et peut-être troubler sa réflexion.

— « Attends ! » S’est-elle écriée, dans un ultime essai. « Viens. » me dit-elle sur un ton résigné.

Elle m’a alors pris la main et commençait à me guider un peu plus loin. Pour rassurer son amie, elle a répondu quelque chose dans sa langue que je ne saurais répéter. La petite s’est alors assise sur un banc non loin de là.

La petite Samia quant à elle continuait à m’emmener vers une destination inconnue. Je n’ai pas eu à attendre énormément de temps, car on a juste bifurqué dans le coin du magasin, dans une petite ruelle. Elle semblait peu fréquentée, même moi, habitué à ce magasin, je ne passais jamais à cet endroit. Derrière des bennes à ordures industrielle elle s’est arrêtée. Se retournant vers moi, elle esquissait un sourire des plus malicieux, qui en disait tellement long que l’on pouvait d’ores et déjà imaginer la suite des événements. Le changement d’attitude fut plus que soudain, j’en fus même surpris, je m’attendais à une certaine appréhension, surtout vu son jeune âge, mais il en était rien. A peine eu le temps de reprendre mes esprits, qu’elle s’était déjà agenouillée et détachait ma ceinture. Avec autant de hardiesse, je ne pus m’empêcher de lui demander son âge.

« 19 ans. » me répondit-elle le plus naturellement possible.

La glissière du jean déjà défaite, et le caleçon déboutonné, elle a alors pris mon engin d’une main assurée. Avec mon naissante et à mes origines, elle fut troublée par la taille de mon sexe. De ce côté je n’ai effectivement pas à me plaindre. Je n’ai pas la taille du très connu Rocco, mais j’ai fait pâlir toutes mes conquêtes jusqu’à maintenant, aguerries ou non. Dans tous les cas, elle fut troublée mais pas choquée. D’une main, elle entamait un lent va et vient afin de donner à ma verge sa vigueur habituelle. Ce ne fut pas très long, le côté sordide des événements aidant.

Les va et vient continuaient de plus belle, mais cette fois-ci la petite avait la bouche légèrement entrouverte, pour une raison que j’ignorais à ce moment précis. La masturbation était, quoique agréable, mais mécanique tout de même. Ses yeux étaient rivés vers mon bâton incandescent. C’est alors que de sa bouche entrouverte, s’écoulait lentement un léger filet de salive qui descendait lentement mais sûrement vers la pointe de mon gland. C’était très clair, elle savait y faire. Elle n’en était pas à son premier essai.

La salive se mêlait alors à cette masturbation machinale faisant mon plaisir monter au cran au-dessus. Sans attendre, s’est alors qu’elle posa ses lèvres sur ma verge, la parcourant rapidement de sa langue, pour ensuite la prendre en bouche complètement. Je n’étais pas au bout de mes surprises : Elle a tout pris en bouche ! Après des années avec plusieurs conquêtes, aucune n’avait réussi à mettre plus de la moitié en bouche. Avec ses dix-huit ans c’est déjà une salope de gorge profonde ! J’étais aux anges. Mon sexe était dans une espèce de manchon humide et brûlant, ses lèvres fixées à la garde de mon sexe, elle me faisait une fellation des plus bruyantes. C’est dingue comment une personne aussi jeune peut avoir déjà autant d’expérience ! Accompagnée de gémissements lorsqu’elle respirait entre deux pénétrations, je devenais fou. C’est alors que je ne sais pour quelle raison, une question m’est venue à l’esprit

— « Et ton amie là, Ileana, elle a quel âge ? »

Peut-être pour ne pas me répondre, par jalousie ou que sais-je encore, elle accéléra le mouvement.

Epris par une excitation violente, à l’aide de mon pieu je l’ai clouée contre le mur derrière elle. Elle ne pouvait alors plus bouger la tête, soit elle enfonçait mon pal dans sa gorge soit elle était bloquée contre le mur. Je baisais alors sa bouche avec une rapidité et une violence déconcertante, et elle ne bronchait pas pour autant.

Le traitement fut de courte durée, je n’avais alors pas eu de relations sexuelles depuis de nombreux mois, sans compter l’expertise de ma partenaire ainsi que l’absurdité de la situation.

Je me suis donc répandu en elle, par de puissantes saccades, ressentis de mes bourses au bout de mon gland puis déposé directement au fond de la gorge, la tête encore coincée entre le mur et la base de mon pal. Mon orgasme ne semblait pas finir, je n’ai jamais eu autant la sensation de me vider qu’à ce moment, et en elle. Une fois repus, mes yeux tombèrent alors dans les siens, mon pénis encore fiché en elle.

Son regard était embué par de lentes larmes. Mon envie de pilonner son visage me les avait masqués. Légèrement choqué je me dégageai, mon sexe encore gluant et un filet de sperme reliant le bout de mon gland aux lèvres de la petite.

C’est alors qu’elle s’est immédiatement relevée, et a de nouveau baragouiné quelque chose dans sa langue, puis en m’embrassant fougueusement, elle a commencé à se déshabiller, avec un empressement presque bouleversant. Le haut et le soutient enlevé, laissait pendre sa poitrine effectivement opulente et parcourue de petites veines, des aréoles bruns très larges, surmontés par des tétons durcis et boursoufflés. A peine le temps de détailler sa poitrine qu’elle a alors dégrafé son pantalon et baissé son string, puis déposé le tout à côté, laissant apparaître des jambes luisantes et humides, qui prenait naissance à son entrejambe qui semblait liquéfié, sous une toison pudique, voire inexistante. On pouvait alors voir ses lèvres intimes bien épaisses, et un clitoris dardant fièrement dans la commissure de celles-ci. Sa chatte appelait à la plus langoureuse des léchouilles. Cependant, je n’eus pas le temps de faire quoique ce soit.

En effet, elle me prit par la verge, puis se mis dos à moi pour se pencher complètement, la main droite sur le mur et la main gauche sur mon vit, la guidant vers son intimité. Sans plus attendre, j’ai introduit ma verge encore luisante et poisseuse en elle. Brûlante comme de la braise, trempée comme dans un torrent, elle commença alors à faire des va et vient rapides sans aucune forme de douceur. Je pouvais voir ses fesses claquer contre mon pubis, je sentais mon gland toucher son col de l’utérus. Ses gémissements commençaient à se faire entendre. Avec ma précédente éjaculation, mon sexe était légèrement anesthésié. J’ai alors commencé à faire des va et vient plus rapides les doigts plantés dans ses fesses avec assez de force pour faire balancer sa poitrine en avant. La vue du caniveau en dessous d’elle était singulier. J’étais littéralement en train de baiser au coin de la rue !

Ses gémissements étaient de plus en plus bruyants, je dû alors étouffer avec ma main. Sûrement sur le compte de l’excitation, je la sentais lécher ma main pendant que je la bourrais.

Peu de temps après, je ressentais le long de mon vit des contractions de plus en plus rapprochées, la bougresse prenait son pied et pas qu’un peu ! Mes va et viens continuaient de plus belle, pilonnant comme une bête sauvage en rut. Quelques secondes plus tard, supplantant de violents spasmes significatifs de son vagin, je sentis un torrent chaud inonder ses cuisses et les miennes par la même occasion laissant une flaque de cyprine au sol, rejoignant lentement le caniveau.

Mon orgasme n’était toujours pas sur le point d’arriver, et ce n’était pas plus mal car je prenais mon pied d’une autre façon à admirer la façon qu’elle se dandinait avec violence sur mon pieu, son vagin devenu qu’un immense cratère avec en son sein une mare de cyprine, qui débordait de partout à n’en plus finir. Une impression de flotter dans son antre, voire de nager dans ce torrent.

Plus aucun son ne sortait de sa bouche, elle avait même arrêté de me lécher la main, même si sa bouche était restée ouverte. Pour me rassurer j’accélérais le rythme, en la tenant par les cheveux d’une main, mais rien de plus, plus aucun son. Seul le bruit des claquements réalisées entre nos cuisses et le son du torrent qui partait de sa chatte vers le sol. Tout allait bien, elle pouvait encore jouir. Mon orgasme s’éloignait encore un peu plus.

Dans un moment d’inattention, mes mains ont lâché ses hanches. C’est alors qu’elle s’est littéralement laissé choir, se retournant pendant la manuvre, et tomber fesses premières à terre.

Le visage inanimé, la bouche ouverte et baveuse, je ne voyais que le blanc de ses yeux sous sa tignasse rebelle. Elle avait perdu connaissance.

J’étais donc là seul devant cette fille de 19 ans à poil, la bite à l’air, tressautant nerveusement et luisante comme après un bain au lubrifiant.

A ce moment précis je ne sais pas ce qui m’étais passé par la tête. Sans la brusquer, je me suis mis à genoux entre ses jambes, j’ai relevé ses jambes et ses fesses de mes mains, et j’ai présenté le bout de mon gland vers son orifice interdit.

Lentement, je poussai mon sexe en elle, le gland étant passé avec une facilité déconcertante. A contrario de sa chatte béante et liquéfiée par nos ébats, son petit trou était accueillant, mais très serré tout de même. J’ai alors commencé à m’activer en elle. Sensation de pur délice. Ma bite coulissait dans son manchon à merveille je sentais déjà le plaisir remonter lentement. J’avais une vue sur sa chatte béante qui se replissait comme un verre d’eau de cyprine, ce qui m’excitait complètement.

Après quelques minutes d’acharnement, ses gémissements avaient repris de plus belle, le blanc de ses yeux avait laissé place à des iris brillantes d’excitation. D’elle-même, elle m’enlaça de ses bras autour de mon cou, pendant que je la pilonnais par le cul. C’est alors qu’elle m’embrassa à pleine bouche, me mordillant même la lèvre inférieure. Cette dernière action m’acheva.

A peine une dizaine de secondes plus tard, je me suis retrouvé fiché en elle jusqu’à la garde, complètement bloqué, et à m’épancher avec une violence rare dans son rectum. Un orgasme puissant me parcourait de nouveau.

Nous sommes restés environs 5 minutes dans cette position, la verge toujours plantée en elle, jusqu’à ce qu’elle soit expulsée en dehors, toute flasque, avec des traces brunâtres et de mon sperme.

Les jambes toutes tremblotantes, elle arrivait à peine à se mettre debout, elle s’habillait avec difficulté. Moi de mon côté J’attachais mon jean trempé par ses sécrétions, que je dissimulai avec mon pull attaché à la taille.

On rejoignit alors son amie lentement, elle complètement béate et moi avec le sourire satisfait aux lèvres.

— « Bon eh bien, salut » me lança-t-elle timidement.

— « Passez une bonne journée vous deux ! » Répondis-je.

Puis je me suis éloigné afin de vaquer à mes occupations.

C’est de cette manière que je me suis tapé une jeunette de 19 ans derrière un magasin. Par la suite je me suis fait également son amie, mais je ne le raconterais pas ici.

Ah mais attendez, je ne l’ai finalement rien donné comme argent

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