A mon tour de prendre la plume pour essayer de vous raconter une petite histoire. Je me lance pour une première fois, à relater mes souvenirs de vacances, alors soyez indulgents siouplait…

    Je m?appelle Archibald, et au moment de cette histoire, j?étais un étudiant célibataire en vacances dans le bungalow familial sur la côte Aquitaine. Se décrire, voyons, vous connaissez Brad Pitt, George Clooney… Ben je n?y ressemble pas ! Arrêtez les fantasmes. Je suis quelqu?un de banal sur lequel on ne se retourne pas…

    Début Juillet, je me retrouvais allongé sur ma serviette de bain, à la plage. Plage fort sympathique ma foi, puisqu?à l?écart des textiles, baignée d?un parfum de pinède et pas encore surpeuplée en ce début d?été. Bouquinant une revue, le walkman sur les oreilles, mon regard fut attiré, à juste titre, par la jeune fille descendant l?accès au sable. Elle hésita quelques instants, puis se décida à venir de mon côté, parcourut une cinquantaine de mètres et s?installa au-dessus de moi à 5m de distance. En fait, elle s?arrêta au premier espace libre qu?elle avait trouvée, pour ne pas être à cheval sur la serviette du voisin. Inutile de s?entasser quand il y a de la place.

    Je pus ainsi mieux la voir et ma première impression s?avéra la bonne. Du haut de son mètre 65, sa gentille frimousse montrait qu?elle devait avoir une vingtaine d?années. Sans être une top model, elle était superbe et naturelle avec ses yeux verts pétillants et sa chevelure blonde mi-longue, maintenue sur la gauche par une barrette blanche. Sur la droite, ses cheveux passaient derrière l?oreille, où le tragus était traversé d?un petit piercing très sexy. Elle étala son drap de bain et s?installa dessus. Elle commença à déboutonner sa robe légère révélant deux seins bien dessinés, de tailles moyennes mais bien fermes. Un éclat de lumière titilla ma pupille, décidément il y en avait à tous les étages. Sur son sein droit, son aréole étroite érigée d?un mamelon espiègle soutenait un anneau doré, rehaussé d?une petite pierre étincelante. (et oui, les aréoles sont sur les seins, tandis que les auréoles sont au-dessus de la tête ou sous les aisselles !). Elle fit glisser le reste de sa robe non défaite et s’étendit sur le ventre. Sa peau claire n?étant pas encore parfaitement hâlée, elle sortit un spray de crème solaire et s?en vaporisa sur le dos et les jambes en prenant soin de ne pas en appliquer sur son string blanc. Elle parut s?endormir aussi repris-je ma lecture nonchalante.

    Quelques pages plus tard, ma nouvelle voisine s?agita pour se retourner. Elle se redressa et entreprit de se tartiner l?autre face. Après s?être occupée du visage, elle mit de petites lunettes de soleil et s?occupa des bras, des épaules… de la poitrine en la massant longuement, tant et si bien que ses mamelons se redressèrent… puis se furent le tour du ventre, des cuisses, des mollets et des pieds, toujours en commençant par la gauche… Non décidément la page de pub du magazine était stupide, et n?avait rien à voir avec mon Aphrodite. Cependant, quelque chose semblait la déranger, elle regarda de droite et de gauche, apparemment rassurée, elle approcha les mains de son string et fit glisser délicatement celui-ci, pour se retrouver nue comme tout le monde autour d?elle. Une nouvelle fois, elle reprit son spray et s?aspergea copieusement le pubis. Son mont de Vénus était plus clair avec une vulve resserrée laissant à peine entrevoir les petites lèvres, et au-dessus une langue étroite, bien taillée, de duvet blond. Cool, une vraie blonde. Certainement, la première fois de l?année qu?elle pratiquait le naturisme étant donné les marques !

    Je me replongeai dans la lecture. Quelques temps après, mon CD (quelques berceuses de Snake River Conspiracy) se termina et je décidai d?en profiter pour aller piquer une tête. Les rouleaux ne tardèrent pas à me mouiller entièrement et je pus m?immerger en douceur. Néanmoins, impossible d?effectuer une nage effective dans cette mer agitée. Le jeu consistait plutôt à sauter ou plonger à bon escient, pour éviter le ressac. La fraîcheur de la mer était un délice. Je jetai un coup d?oeil vers ma place pour m?assurer que mes affaires étaient encore là. Imaginez être obligé de rentrer chez soi, nu comme un ver, au milieu de gens habillés, qui vous regardent d?un air interrogateur ! Brrr, ça fait froid dans le dos. Oui, les affaires étaient toujours à leur place, mais tiens la serviette de ma voisine était vide. Elle avait dû faire comme moi et aller se rafraîchir.

    Soudain, un coup de sifflet strident me sortit de ma torpeur. Je me retournai et vis le maître-nageur au sommet de sa chaise d?arbitre faire signe de sortir de l?eau alors que deux autres se précipitaient dans les vagues. Ne manquaient que Pamela la siliconée et David, et Kitt (euh, non, pas Kitt) ! Je me dépêchai de sortir. Arrivé sur le sable, je regardai l?intervention des sauveteurs. Tout le monde ? contemplait ? le spectacle, malheureusement habituel avec les baïnes. Ma jolie nymphe ne tarda pas à apparaître trempée avec un air un peu inquiet. M?apercevant elle se dirigea vers moi, me sourit et fit un signe d?interrogation avec les doigts. Je lui expliquai en vitesse qu?une personne avait dû aller trop loin et, emportée par le courant, avait dû faire un malaise.

    -Sorry ! I don?t understand.

    -Well, …

    J?oubliais, prenons en français toute la suite pour la compréhension. Je lui expliquai de nouveau, dans la langue de Shakespeare, le danger des baïnes et des gens qui se croyaient plus forts qu?elles ou insouciants. Résultat, ils faisaient un malaise en essayant de se sortir du courant. Tout en racontant cela, nous étions remontés jusqu?à nos serviettes et je l?invitai à me rejoindre pour continuer la conversation.

    Elle attrapa sa serviette, se frictionna et vint s?allonger à mes côtés. Elle me dit se prénommer Efje (prononcer éfieu) et était hollandaise. Elle précisa qu?elle m?avait parlé en anglais car elle se doutait que sa langue m?était inconnue et qu?elle ne connaissait que très peu la mienne. Je lui dit qu?au moins en anglais, on était à égalité, chacun parlant une langue étrangère. Tout en échangeant des banalités et en rigolant de nos problèmes respectifs pour nous exprimer, nous finissions par sécher. Je me tournai sur le ventre, elle sortit son vaporisateur et me demanda si ça m?intéressait qu?elle m?en enduise le dos. Bien que cela fût inutile, car déjà bien bronzé et doté d?une peau mate, je lui répondis volontiers (les caresses étant toujours les bienvenues). Elle pschitta plusieurs fois sur les épaules et le dos, avec à chaque fois un petit soubresaut de ma part du fait de la sensation glacée. Elle s?appliqua à la façon d?un kiné et stoppa au niveau des reins, semblant s?arrêter définitivement.

    – Continue, s?il te plaît !

    Elle s?exécuta sans tergiversations, quoiqu?un peu plus rapidement sur les fesses. Elle s?allongea à son tour, s?apprêta à s?asperger, mais se ravisa et me tendit la bouteille avec un sourire. J?effectuai plus un massage, pour appliquer soigneusement la lotion et précisai que j?allais en mettre un peu plus au niveau des marques blanches au sommet des fesses, sinon le soleil allait respecter la loi de Murphy et la gratifier de magnifiques souvenirs écrevisse douloureux. Ma main passa rapidement sur une fesse soyeuse, puis sur l?autre, sans aucune réaction notable de sa part. Le fait de m?être agenouillé me permis de camoufler l?érection naissante entre les cuisses, cependant l?état d?excitation grandissant, la sensation douloureuse due au coincement s?accrut. Je caressai gentiment son aîne en prenant garde de ne pas effleurer son sexe. Elle sembla ronronner. Sa peau de soie ayant créé le désir et m?enhardissant, je lui passai deux doigts dans la raie. Immédiatement, elle tourna la tête, toujours souriante.

    – Pas ici. Pas maintenant.

    Je retirai la main investigatrice et repris la sage séance de caresses huileuses au niveau des cuisses et des mollets, l?esprit confiant. Le reste de l?après-midi se déroula sans geste équivoque de part et d?autre, mais avec des conversations parfois tendancieuses et des sourires échangés. En jetant un coup d?oeil à l?heure et réalisant qu?il allait bientôt être temps de partir, je lui proposai de venir manger chez moi, en lui précisant bien que mes talents culinaires se limitaient à l?ouverture du réfrigérateur et la cuisson de plats simples. Ni une ni deux, elle enfila sa robe et me dit en route.

    Le bungalow étant situé non loin de la plage, juste derrière la pinède, la route fut vite expédiée. Néanmoins, Efje m?offrit sa main sur le chemin, ce qui pour moi était très bon signe. En arrivant, j?ouvris le congélateur inquiet, et lui demandai si une pizza lui convenait (j?avais oublié de faire les courses !). Devant son acquiescement, je l?enfournai dans le four et mis celui-ci en marche immédiatement.

    – Allez hop, à la douche vite fait, le temps que cela cuise !

    Elle m?emboîta le pas et se déshabilla en deux temps trois mouvements. Il est clair que les robes d?été sont pratiques pour cela. Le temps que je retire mes vêtements, elle avait déjà commencé à faire couler l?eau et s?était glissée dessous. Je la rejoignis dans le nuage de vapeur, lui tendis un gant, et versa dessus du gel douche. Je fis de même avec le mien, lui déposai un tendre baiser dans le cou et entrepris de la savonner tendrement pour retirer le goût salé provenant de nos baignades. Elle m?appliqua alors le même délicieux traitement, le câlin semblait en route. Les gants glissèrent sur nos corps. Quand je pelotai sa poitrine, ses mamelons pointèrent derechef. Mon attention était scotchée par le sein droit et je jouais avec son bijou, le faisant tourner entre les doigts, tirant subtilement dessus. Pour ne pas être en reste, elle attrapa ma queue plus tout à fait empreinte de flaccidité et eut tôt fait de la mettre au garde-à-vous en prenant soin de décalotter le gland pour retirer le sable et le briquer. Puis, trop rapidement à mon goût, elle se consacra à mes jambes. Ma tentative de lui frictionner les parties intimes me valut un pas si vite, la pizza sera bientôt cuite et tu as besoin de prendre des forces !… Grrr, pas moyen de lui oindre le minou. Deuxième fois qu?elle refusait mes avances. Je quittai la douche dépité, me séchai, enfilai un peignoir et courut au four. Effectivement, sixième sens féminin, il était temps pour éviter le charbon de bois. A l?aide de la manicle, je disposai la pizza sur un plat, attrapai assiettes, verres, et tout l?attirail nécessaire. Je sortis du placard une bouteille de Lambrusco et fis sauter le bouchon… Elle sortit à ce moment là de la salle de bain, une serviette accrochée autour de la poitrine et s?arrêtant à mi-cuisses. Au lieu de venir s?asseoir, elle se dirigea vers le congélateur, ouvrit les tiroirs, fureta quelque peu, referma l?appareil, et se décida à se mettre à table, l?air énigmatique.

    La pizza fut assez vite expédiée, le vin pétillant aidant la descente. Je lui demandai si elle désirait autre chose. Elle se leva sans rien dire. Je m?attendais à ce qu?elle s?orienta vers le congélateur, étant donnée son étrange attitude d?avant le repas, mais au lieu de cela elle dénoua sa serviette, me prit par la main et me dit

    – Maintenant j?ai envie.

    Enfin, on en venait aux galipettes ! Pour la faire un peu enrager, je la guidai vers la salle de bain pour un petit brossage de dents (la pizza, point trop n?en faut). Ensuite, résolument, je la dirigeai vers la chambre où elle s?assit en tailleur sur le lit. Elle m?invita à faire de même devant elle, mais les jambes légèrement écartées. Elle desserra alors les siennes, se rapprocha de mon torse, et les resserra derrière moi. Nous étions tendrement enlacés. Elle mit alors un doigt sur les lèvres pour me demander de ne rien dire et me donna un petit baiser sec sur les lèvres. Elle m?attrapa la main, pour un baisemain, puis m?embrassa délicatement le bout des doigts et remonta langoureusement, en me couvrant de bisous, jusqu’au cou et aux lèvres. Sensualité exquise. Commença alors un french kiss torride. Elle goûta mes lèvres avant d?utiliser sa langue. Langues et lèvres n’en finirent plus de se toucher, de s’entrelacer, de se mouiller, impossible de s?arrêter, un torride bouche-à-bouche. Elle en finit par utiliser les dents pour me mordiller gentiment lèvres et langue.

    Puis, elle s?affaissa sur la couche. Prenant ma tête entre les mains elle vint me la déposer sur sa poitrine. Je pus alors commencer une série de bisous et de léchouilles sur les seins, tentant quasiment de les forer. Alors que j?en suçais un, je pouvais agacer l?autre entre les doigts, et vice versa. J?entrepris par la suite une consciencieuse exploration sans lâcher son piercing. J?embrassai toutes les parties du corps, faisant voyager bouche et langue partout et lui découvrant des zones sensibles au baiser, comme l’intérieur des coudes, l’arrière des genoux ou la plante des pieds. Je louvoyai finalement vers l’intérieur de ses cuisses, lui pliant les jambes pour lécher le pourtour de son sexe et suçoter sa vulve aux lèvres externes gonflées de désir. Tout en travaillant avec le plat de la langue, plutôt qu’avec le bout, et en alternant de grandes léchouilles rectilignes avec des vagabondages circulaires, je commençai d?immiscer les doigts pour faire jaillir son clitoris. J?eus alors une grande surprise, en tirant sur les petites lèvres, j?aperçus un nouveau piercing extraordinairement bien caché, une véritable perle de nacre dans une conque ! Celui-ci était fixé au travers du fin tissu séparant la cavité vaginale de l?urètre. J?appris ultérieurement que cela s?appelait un princesse Albertina. Cela m’immobilisa un instant, contemplant l?étrange parure et songeant que lors des passages de portillons dans les aéroports elle devait sonner de partout…

    Elle me tira de ma rêverie en reprenant la direction des opérations. Elle m?allongea complètement, la tête au niveau du mur, et vint me chevaucher pour placer son sexe au-dessus de la bouche, son dos appuyé sur la cloison. L’intérêt ? La liberté de son bassin l’autorisa alors à varier les angles et la profondeur d’attaque. Peut-être aussi de pallier mon interruption en prenant le relais avec ses hanches. Je ne bougeai plus la tête, n’entravai pas ses mouvements en plaquant trop fortement les mains sur ses fesses, la laissai manoeuvrer à sa guise, ne léchant que ce qu’elle mettait à disposition ! Pour servir quand même à quelque chose, je profitai de mon autonomie toute relative pour lui masser son bouton et tenter de mettre le doigt sur son point G. Conclusion, dès que je l?effleurai, elle fila tout droit à l’orgasme, et me gratifia d?un cri aigu ainsi que d?une douche. Ma première idée fut que c?était de l?urine, mais ce liquide était trop épais. Le mucus blanchâtre était inodore et légèrement sucré. Efje était une femme fontaine, j?avais eu droit à une éjaculation féminine !!

    Elle bascula en avant et poussa sur le mur pour nous ramener vers le centre du lit en position tête-bêche. Elle prit ma verge tumescente et descendit le prépuce, libérant le gland. Tenant le sexe dans une main, de l?autre, lentement, elle massa avec sensibilité son extrémité. De temps à autre, une douce saccade de ses cheveux sur les testicules venait ajouter un agréable chatouillis. Elle frotta aussi le pénis entre ses paumes de mains, telle une paire de serre-livres, pour créer le frottement de deux bâtons, en pressant durement et en faisant coulisser. Durant tout ce temps, je n?étais pas en reste, ce n?était pas parce qu?elle avait joui que je devais être égoïste. Je continuai plus doucement, mais avec la même régularité, le frottement doux sur la vulve entière. Je caressai, bougeai légèrement, déplaçai la main dans un mouvement circulaire minuscule. Quand le bassin d?Efje recommença à se laisser aller de gauche à droite et de haut en bas, je découvris astucieusement ses petites lèvres et avec le bout de la langue taquinai son anneau. A d?autres moments, je tins ses pétales humides entre pouce et index et, serrant juste un peu, je tirai dessus afin de les tendre. Ses lèvres humides et chaudes, luisantes de cyprine, invitèrent une nouvelle fois mes doigts à l?intérieur.

    Pour répondre, elle fit tourner sa langue autour de la base de mon gland et suça méticuleusement mon phallus, en introduisant la pointe de la langue dans le méat. A ce rythme là, je n?allais pas pouvoir me retenir longtemps ! Comble de l?extase, de sa main maintenant libre, elle frottait le périnée. Elle dut me sentir arriver car, au moment opportun, elle appuya fortement sur mon muscle pubo-coccygien voisin, ce qui eut pour effet de m?empêcher de sourdre. Elle recommença l?exercice maintes fois et j?eus ainsi droit à plusieurs orgasmes secs. Ne souhaitant pas être en reste, je posai le pouce sur son clitoris et pressai très fermement son point G de l?index, comme une sonnette. Pressant, reposant, pressant… A chaque fois que je ressentais un orgasme, je donnais un coup de sonnette, et j?entendais par ses gémissements, qu?elle parvenait, elle aussi, au nirvana. Finalement, elle me laissa me répandre dans sa bouche et astiqua convenablement le membre pour qu?il ne restât bien vite plus aucune trace de sperme.

    Brusquement, Efje se leva et me conseilla de chercher des préservatifs, qu?elle revenait. J?ouvris la commode et sortis une boîte de capotes. Je l?entendais fouiner dans la cuisine. Elle revint, un esquimau à la main (la gourmande, même pas un pour moi !), et s?assit sur une chaise qu?elle disposa face au lit. Visiblement nos torrides ébats l?avaient affamée. Elle me dit de me branler pour retrouver de la rigidité. Elle déballa la barre glacée à l?écorce recouverte d?éclats de noisettes et là, nouvelle surprise, car elle la porta non pas à sa bouche, mais à sa chatte maintenant bien ouverte ! Elle ne se contenta pas de la frotter à l?extérieur, elle se l?introduisit entièrement et la fit coulisser, émettant de petits chuintements (sûrement du fait de la fraîcheur de l?engin). De temps en temps, elle retirait le dessert pour le sucer. Bien vite, il fut complètement ramolli, elle haussa les épaules de dépit et l?avala goulûment. Elle me regarda les yeux brillants. Voyant que mon sexe était de nouveau turgescent, elle me l?enveloppa d?un condom et vint s?empaler dessus. Une fois de plus, elle prenait l?initiative en levant puis baissant son bassin. Toutefois, elle se fatigua assez vite et alors qu?elle reprenait son souffle , je me retirai, la culbutai et vint me placer derrière elle, remontant sa croupe, pour la prendre en levrette. Les bruits de succion se firent de plus en plus forts, mes bourses claquaient sur son fessier de plus en plus rapidement. La sensation du frottement de son bijou sur ma trique était extraordinaire. Avec le rythme effréné, je ne fus pas long à jaillir et elle poussa un feulement de contentement. Je ressortis de son antre (du diable parce que Satan l?habite, désolé, pas pu m?en empêcher), retirai le bout de latex humide, y fit un noeud et le posai sur la table de nuit. Efje poussa une série de petits soupirs et s?allongea. Je vint me lover contre elle, lui fis un tendre bisou sur la joue et remis un peu d?ordre dans ses cheveux avec les doigts. J?éteignis et nous nous endormîmes bien vite, rassasiés comme des bébés venant de téter…

    Voilà pour cette première journée. Faites moi parvenir vos commentaires complaisants ou acerbes. Je pourrai alors améliorer, avec vos remarques constructives, la narration du second épisode (l?Attaque des Clones, euh non faudra trouver un autre titre)…

E-mail: [email protected]

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