Le nouveau facteur (4)

Mon jeune facteur avait fini par rejoindre sa compagne au bout de deux semaines de vie commune et je lavais laissé partir, certain quil me reviendrait. Depuis, lui et moi nous sommes revus plusieurs fois, et chaque fois je lai possédé avec fougue, par la bouche et par le cul, usant et abusant de son corps déphèbe que jaimais caresser, palper, embrasser, lécher, sucer, mordiller. Lui se donnait à fond, désormais sans réticence, de plus en plus accroc à la bite, fou de la mienne en particulier, littéralement fasciné et obsédé par mon corps dhomme mûr et viril. Cest lui maintenant qui, lors de sa tournée, de passage à mon domicile, me relance et me mendie un rendez-vous ou qui, le samedi, monte directement à mon appartement pour passer un moment torride en ma compagnie.

Un matin, alors que nous avions passé la nuit ensemble chez moi et pris notre petit déjeuner dans la cuisine, nus selon notre habitude, je profitais du moment où il desservait la table pour mapprocher de lui et létreindre par les hanches.

— Ce soir, viens avec tes affaires tinstaller chez moi lui murmurais-je à loreille.

— Ce nest pas possible, je ne peux pas lâcher ma copine comme cela dit-il, indigné.

— Pourquoi pas ? Je ne te suffis pas ? rétorquais-je en glissant mes mains sur son ventre et en collant ma verge contre ses fesses.

— Si. Je ne pourrais plus me passer de toi. Mais jai aussi besoin de ma copine, de ses seins, de son ventre et de son vagin. Disant cela il sétait retourné et son sexe en effervescence venait comprimer le mien, tandis que sa bouche cherchait la mienne.

— Cest à prendre ou à laisser. Où tu viens habiter chez moi définitivement ou ce nest plus la peine de revenir. Jamais. En disant cela je me reculais légèrement et prenais sa bite dans ma main droite et ses couilles dans la gauche en une caresse voluptueuse. Puis je le laissais pour mhabiller et aller au travail.

Pendant trois semaines je ne lai plus revu et je nai rien fais pour le relancer, estimant quil était ferré et quil finirait par obtempérer. Un dimanche, étant à la piscine pour mon entraînement hebdomadaire, je tombais sur lui. Cétait la première fois que je le voyais en ce lieu et je compris quil me cherchait. Comme il était beau dans son mini slip de bain bleu roi, mettant bien en valeur ses fesses rondes et son sexe bien apparent au travers du fin tissu moulant ! Jai eu une érection instantanée en le matant. Heureusement que jétais déjà dans leau ! Il a plongé et sest mis à nager vers moi, glissant souplement et rapidement dans le bassin. Nous nous sommes retrouvés à lune des extrémités et je lai rejoint dans un coin. Il avait les joues rouges et les yeux brillants. Sans un mot il a passé ses mains dans mon short de bain et saisi ma verge déjà raide pour lextraire de sa prison de tissu. Jai cru que jallais jouir sous cette prise en main brutale et je me reculais vivement, libérant mon vit et remontant mon maillot de bain.

— Pas touche. Si tu as envie de moi, quitte ta femme et viens loger avec moi. Je ne partage pas avec une meuf.

— Mais toi aussi tu vas avec des filles, protesta-t-il en se collant à moi.

— Cest vrai, mais maintenant cest toi ma femme et je te veux toute à moi

Je le laissais en plan et repris mon entraînement, sans plus moccuper de lui. Deux heures plus tard, allant me doucher, je le retrouvais à lentrée des douches, lair désespéré. Je décidais de le remotiver. Choisissant une cabine de douche libre, jy entrais et laissais la porte entre ouverte. Peu âpre il my rejoignait et je refermais la porte. Sans perdre un instant je lui baissais le slip, dégageant son sexe encore rabougri et le pris en bouche pour le ranimer. Leffet fut instantané et mon jeune ami se mit vite à bander au maximum. Comme jaimais cette bite longue, fine, rosée, au gland rouge foncé et ces couilles blanches, ornées de poils blonds. Je le suçais à fond, le nez dans les poils de son pubis et le menait à la jouissance en à peine cinq minutes. Il me remplit la gorge de longues coulées dun foutre salé et visqueux. Javalais tout en nettoyant sa verge. Retirant mon maillot de bain et sans lui laisser le temps de souffler, je retournais mon amant et dun seul coup le pénétrais de mon vit dressé, dur et brûlant. Le tenant fermement par les hanches, je le ramonais avec fureur, assouvissant de longues semaines dattente et de frustration. Jéjaculais au plus profond de ses entrailles dans un grognement de jouissance. Métant retiré, je le frappais sur les fesses avec force, remontais mon short de bain et quittais la cabine pour aller me rhabiller et rentrer chez moi, en lui disant : « ce nest quun acompte. Je tattends samedi, après ta tournée, avec tes affaires ».

Le samedi suivant je me réveillais avec la trique, certains de voir arriver mon petit facteur enfin dompté. Je décidais de lui réserver un accueil inoubliable pour marquer le début de notre cohabitation. Je téléphonais dabord à Karim pour linviter à nous rejoindre laprès-midi vers 16h. Puis jéchangeais des mails avec un de mes amants occasionnels , un jeune Ivoirien rencontré dans un club gay de la ville. Il était libre et acceptait sans hésiter de se joindre à nous. Vers 11h30 le jeune facteur mappelait par linterphone pour mannoncer quil avait rompu avec sa copine et arriverait chez moi vers 15h. Javais réussi, je le tenais !

A poil selon mon habitude, le sexe mi bandé, jattendis avec impatience son arrivée. Lorsquil sonna, jallais lui ouvrir et il se jeta dans mes bras, affolé de désir, les mains ségarant déjà sur mes fesses et ses lèvres cherchant les miennes. Je le fis entrer, refermais la porte et nous échangeâmes une longue pelle profonde. Puis je lui fis porter ses affaires dans la chambre et commençais à le dévêtir. Blouson bleu et jaune, chemise grise, maillot de corps de coton blanc, ceinture de cuir, pantalon bleu marine et boxer de coton noir valsèrent dans la pièce, découvrant ce corps mince et musclé, à la peau laiteuse et aux toisons dorées. Avec fougue Christian se colla contre moi et nos membres semmêlèrent avec frénésie, dans une sorte de danse sensuelle. Il se donnait entièrement mon jeune amant, suçant mes tétons, ma bite, ma raie du cul.

Ny tenant plus, je me penchais vers son sexe, humant son pénis dressé, le gland décalotté et ses bourses rétractée, ridées et poilues. Javalais ses couilles, faisant rouler ses testicules dans ma bouche à laide de la langue, puis je léchais sa hampe dure du bas en haut, suçais une perle de semence sur le méat béant et enfin entourais le gland de mes lèvres. Christian répondait à mes caresses, le corps vibrant, ses mains crispées sur mes globes fessiers, sa bouche dans ma raie intime, à la recherche de mon illet. Enfournant entièrement son zob brûlant, je me mis à le sucer frénétiquement. Je sentais la jouissance monter en lui. Il poussait des grognements de plaisir, activait sa verge dans ma bouche et finissait par introduire le bout de sa langue dans mon anus ouvert. Soudain il explosa, me remplissant la bouche de son foutre épais et onctueux. Après de longues minutes de repos, la respiration redevenue normale, nos sexes débandés, je me relevais et linvitais à installer ses affaires dans la partie gauche du placard que javais dégagée pour lui et allais préparer ma petite réception.

Patrocle

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