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Moi, Aline, une femme différente – Chapitre 6




Au commencement de la série, j’avais utilisé le terme shemale que vous retrouverez encore dans les premiers épisodes. Mais comme me l’a justement fait remarquer quelqu’un, c’était un terme non approprié à la série d’histoires que vous lisez. J’ai donc demandé à l’administrateur du site de renommer la série et choisi de ne plus utiliser le terme shemale dans la suite de mes histoires. En espérant que l’histoire restera appréciée tout de même.

Nous étions mariées, Carine et moi. Nous avions ouvert une société de consulting informatique en association avec Tania et Stephi, nos meilleures amies et amantes, mariées ensembles elles aussi.

Je vous ai aussi raconté comment nous avions baisé avec la jeune vendeuse du magasin de robes de mariées. Depuis quelques semaines, nos deux amantes régulières et ma femme étaient enceintes de moi, et nous allions embarquer pour notre voyage de noce. Un mois de visite de la Nouvelle Zélande. Pourquoi là-bas me direz-vous ? Parce que un des grand-pères de Stephi était originaire de là-bas, et elle voulait s’y rendre pour découvrir une partie de ses origines. Et puis bon, nous n’étions pas comme tout le monde, quatre sublimes geekettes bisexuelles, ou différente pour moi, pourquoi irions nous faire les voyages de Monsieur et Madame tout le monde ?

Petite note, nous parlons toutes les quatre anglais couramment, j’écrirai donc en français les dialogues tenus en anglais, pour que vous, lecteurs non bilingues, puissiez les comprendre.

Sur place, nous avions loué un camping-car pour faire un road trip. Nous avions aussi loué une voiture plus petite pour les visites locales, ne pas avoir besoin de tout démonter à chaque fois. Une remorque pour la voiture nous permettait de voyager toutes les quatre dans le même véhicule.

Notre boîte tournant bien et avec les participations au voyage des cadeaux de mariages, nous avions un budget assez important pour ne pas avoir à faire trop attention aux dépenses.

30 octobre, les affaires étaient bouclées, le lendemain, ce serait l’embarquement. Entre la durée de vol et les formalités, nous allions en avoir pour plus de 24h de trajet. Nous aurions bien voyagé en classe affaire, mais c’était quand même encore trop cher, même avec notre budget. Du coup, ce serait en classe normale que nous allions passer le vol. Nous avions pu réserver une rangée centrale pour nous quatre. Ça nous laisserait sans doutes quelques possibilités de nous amuser quand même.

Au petit matin, un taxi vint nous chercher devant notre immeuble. Voyant deux jeunes femmes, le chauffeur nous prit galamment les valises pour les charger dans le coffre.

Pour le voyage, nous nous étions habillées de façon confortable. Carine portait un chemisier blanc sur un body blanc et une jupe noire ample arrivant au-dessus des genoux avec des bas autofixants blancs brillants. Pour ma part, j’avais tanga et un soutien-gorge en dentelle avec une robe noire arrivant aussi aux genoux et des manches longues, le tout avec des bas autofixants noirs mat. Des chaussures plates pour toutes les deux, nous partions voyager, pas en rendez-vous professionnel.

Arrivées au terminal de l’aéroport, nous vîmes Tania et Stephi qui nous attendaient. Elles aussi avaient choisi des tenues similaires aux nôtres, fonctionnelles et jolies, comme toujours. Elles avaient adopté les mêmes habitudes vestimentaire que Carine et moi, pas de pantalons ou de shorts, que des jupes ou des robes.

Salut les filles, leurs dis-je en les embrassant, comment ça va mes chéries ?

Coucou mes belles, ajouta Carine en les embrassant à son tour.

Bonjour vous-deux, nous répondirent en chur Tania et Stephi, prêtes pour le grand saut ?

Allons voir le panneau d’affichage des vols, enchaîna ma chérie toujours là pour organiser. Normalement, nous avons le temps d’aller prendre un café avant l’enregistrement des bagages. Ensuite, nous verrons, ajouta-t-elle.

Nous nous dirigeâmes vers les affichages des départs. En effet, comme l’avait prédit notre organisatrice, nous avions du temps avant le début de l’enregistrement. Nous allâmes donc nous installer à un bar pour boire un café et faire un point professionnel sur les derniers jours écoulés. Comme nous travaillions de chez nous, nous ne nous voyions pas tous les jours, même si nous avions de nombreuses réunions par Skype ou autres outils équivalents, ou simplement des points par téléphone ou messageries instantanées.

L’embarquement si fit bien, nous étions placées dans la dernière rangée de l’avion. Nous étions tranquilles, sauf quand les gens voulaient aller aux toilettes. Mais comme l’avion n’était pas complet, ça allait encore.

Nous nous installâmes en tirant à la courte paille les places. Et durant tout le voyage, nous avions prévu d’en changer régulièrement. Comme ça, si l’une d’entre nous voulait jouer avec sa ou ses voisines, ce serait possible. Et ça nous permettrait de profiter des caresses de chacune d’entre nous. Une couverture sur la jupe et hop, personne ne voyait rien.

Durant le vol, nous avons eu plusieurs orgasmes chacune. Ce qui fut plus gênant pour moi, car il fallut que je fasses en sorte de ne pas m’en mettre plein partout. Mais ce fut très amusant aussi. Même qu’à un moment, Carine fit semblant de dormir allongée sur mes cuisses et elle en profita pour me sucer le chibre. Mon meilleur orgasme du voyage, et sans risque de m’en mettre partout. Ensuite, nous nous embrassâmes et nous partageâmes le fruit de ma jouissance, que je partageai avec Tania, qui était ma voisine, et cette dernière partagea avec Stephi.

À l’arrivée à Auckland, juste avant de débarquer, une des hôtesses de l’avion échangea un moment avec ma chérie et lui glissa une carte. Elle nous rejoignit sur la passerelle avec un grand sourire.

Qu’est-ce qu’elle t’a dit ma puce, lui demandai-je ?

Elle a adoré nous voir nous caresser et jouir pendant tout le vol. Et encore plus quand elle a compris que je ne dormais pas, mais que je te suçais. Elle trouvait étrange la façon dont je bougeais jusqu’à ce qu’elle comprenne que tu n’étais pas vraiment une fille. Elle aimerait bien nous revoir toutes les quatre. Elle m’a même raconté que grâce à nous, elle a enfin pu lécher sa collègues, la jolie asiatique, dont elle rêvait depuis longtemps. Nous voir les avait excitées toutes les deux.

Nous rîmes un moment en allant récupérer nos affaires. Voyant le monde qui était déjà autour du tapis, nous décidâmes d’aller nous poser tranquillement dans un coin et d’attendre plus de calme.

Nous discutions de tout et de rien en attendant qu’il y ait moins de monde autour du tapis, quand nous vîmes passer notre hôtesse et sa collègue asiatique, elles avait l’air de chercher quelque chose. Quand elles nous virent, elles se dirigèrent vers nous.

Elles étaient fort jolies dans leurs uniformes. Gaëlle, notre hôtesse, était une grande brune, avec des origines antillaises visibles, sa peau était d’une belle couleur chocolat clair et ses lèvres pulpeuses, de belles formes mises en valeur par la coupe ajustée de ses vêtements. Sa collègues était un peu plus petite, moins de relief que chez Gaëlle, mais très jolie quand même. Elle s’appelait Sui Wha et ses parents étaient des immigrés venant de Chine.

Bonjour mesdames, nous dit Gaëlle, ça vous dit de partager les frais de transport vers l’hôtel ? Carine m’a dit que nous allons au même.

Bien entendu, répondit la coupable avant de nous laisser le temps de réfléchir. Comme ça, nous pourrons faire plus ample connaissance.

Entendant cela, je vis Sui Wha rougir. Elle était à croquer. Nous décidâmes d’aller chercher nos bagages, le gros du flux était parti. Nos quatre valises récupérées, nous nous dirigeâmes vers la sortie. Ce ne fut qu’une formalité, n’ayant rien à déclarer et le chien n’ayant pas réagi à nos bagages. Notre seule drogue, c’était le sexe.

Une fois dehors, nous nous dirigeâmes vers les taxis. Le véhicule était assez grand pour nous recevoir toutes les six et la route vers l’hôtel fut un bon moment d’échange entre nous.

Nous découvrîmes que Gaëlle était en binôme avec Sui Wha depuis maintenant presque deux ans. Bien que mariés depuis environ vingt ans et ayant quatre enfants, elle et son mari étaient libertins. De ce fait, elle se trouvait libre de faire ce qu’elle voulait, à condition de tout raconter à son époux et de ne pas tomber enceinte. Lui de son côté couchait avec d’autres femmes pendant les absences de son épouse et lui racontait tout aussi.

Sui Wha, quant-à elle, était célibataire. Elle avait à peine plus de 20 ans et son métier n’aidait pas à faire des rencontres. Elle avait bien quelques amants de passage et n’avait jamais couché avec une femme. Mais nous voir nous caresser pendant le vol l’avait tellement excitée qu’elle avait commencé à se toucher. Quand Gaëlle arriva, elle n’eut que le temps de baisser sa jupe, prise en flagrant plaisir, les doigts luisants de son jus. Gaëlle, qui était sa supérieure, au lieu de la tancer, prit ses doigts et les lécha un par un, se délectant du goût de la jeune asiatique. Ensuite elle l’embrassa et releva sa jupe avant de descendre lui lécher la chatte. La chinoise eut un orgasme rapidement, mais une sonnette les rappelant à leur travail, elle ne put rendre la politesse à sa cheffe. Elles comptaient bien se rattraper avec nous, nous dirent-elles.

Nous papotâmes encore un moment avant d’arriver à l’hôtel. Nous leur racontâmes mon histoire, celle de notre rencontre et comment nous avions scellé notre association. Gaëlle avait un regard gourmand, tandis que la pauvre Sui Wha était rouge comme une tomate tellement nos histoires l’émoustillaient. Une fois à l’hôtel, nous avions réservé une suite. Nos hôtesses, elles devaient partager une chambre à deux lits. La compagnie économisait en regroupant autant que possible les personnels navigants dans les chambres.

Habituée de l’hôtel, Gaëlle eut vite fait de récupérer nos clefs et nous guida vers notre suite. Elle entra et laissa sa valises dans le salon pour se diriger vers la chambre.

Évidemment, la suite nuptiale, j’aurais dû m’en douter, dit-elle en visitant. Vous êtes quatre belles coquines mes chéries, je sens que je vais apprécier la rencontre.

Elle nous gratifia chacune d’un baiser sur les lèvres avant de rouler une pelle magistrale à sa binôme tout en lui caressant le sexe par dessus la jupe. Celle-ci semblait encore plus rouge que dans le taxi, si c’était possible.

Alors, continua la belle quadra en commençant à se dénuder, pour commencer et nous mettre en appétit, une bonne douche et un bon repas. Ensuite, nous aurons quelques jours pour apprendre à faire connaissance. Notre vol de retour est dans trois jours. Et si j’ai bien compris, vous comptez rester ici quelques jours aussi ?

Oui, répondit ma belle, nous devons partir dans quatre jours, d’ici là, nous comptons visiter un peu les environs.

Bonne idée, ajouta Gaëlle presque nue, allez ranger vos affaires, moi, je rêve d’une douche. Sui Wha, tu viens quand tu veux.

La dernière phrase était presque plus un ordre qu’une demande. La concernée ne répondit pas mais se dénuda à son tour. La petite coquine portait une paire de collants gris sur laquelle se voyaient les traces séchées de son plaisir pris dans l’avion, elle n’avait pas de culotte dessous. Suivant nos regards, elle nous avoua qu’elle n’en portait jamais. Elle portait toujours des collants au travail, même en été, des très fins, elle adorait la sensation que ça procurait.

Elle laissa ses affaires dans l’entrée de la suite et se précipita dans la salle de bain avec sa supérieure. Quant-à nous, il ne nous restait plus qu’à nous installer. Le lit était grand, et nous comptions le partager à quatre, mais à six, ce serait encore plus sensuel car nous serions serrées les unes contre les autres.

Nous nous dénudâmes à notre tour, histoire d’être prêtes à aller à la douche, et puis les vêtements que nous portions commençaient à coller, plus de 24h que nous les portions.

Le bruit de l’eau coulant nous parvenait de la salle de bain, quand au bout de quelques instants, nous entendîmes des gémissements provenant du même lieu. Gémissements suivi de peu par des cris de jouissance poussés par Gaëlle. Elle avait enfin eu son plaisir en retour de celui qu’elle avait donné à la jolie asiatique.

Rapidement, elles sortirent de la salle de bain en nous disant que la place était libre.

Carine et moi prîmes le relai, puis une fois notre toilette faite, ce fut au tour de Tania et Stephi. Nous choisîmes des tenues légères, le temps était beau et la température agréable. Gaëlle avait pris les choses en main, en sortant de l’avion, elle avait réservé dans un restaurant qu’elle connaissait. Elle commanda un taxi à la réception, puis une fois toutes embarquées, le guida jusqu’à l’endroit. Une vingtaine de minutes plus tard, durant lesquelles Gaëlle refusa de répondre à toutes nos questions, nous arrivions dans un endroit où nous n’aurions jamais osé aller toutes seules. En effet, il s’agissait d’une entrée d’entrepôt qui semblait à l’abandon.

Dis Gaëlle, tu nous emmène où ? demanda Stephi un peu inquiète.

T’en fais pas, ma belle, répondit Gaëlle, ce n’est qu’une apparence. Tu vas voir, c’est le club lesbien le plus recherché de la ville. Il faut être agréée pour venir ici. Le restaurant vaut largement tous les trois étoiles que j’ai goûté. Et puis, à nous six, nous ne nous ferons pas remarquer, ajouta-elle en riant.

Devant la porte, elle frappa et attendit. Un judas s’ouvrit sur le battant avant que la porte ne s’ouvrit à son tour quelques secondes plus tard.

(Comme signalé plus haut, les discussions à venir se feront surtout en anglais, mais je les transcrirai en français)

Lady Stewardess, soyez la bienvenue, dit une femme à la carrure impressionnante en nous laissant entrer. Madame (prononcé en français) vous attend à votre table habituelle.

Bonsoir Hinano, merci, répondit Gaëlle.

Un chien impressionnant vint nous flairer chacune notre tour, pour Carine, Stephi et Tania, il eut un léger gémissement, mais arrivé à moi, il gronda légèrement. La colosse donna un ordre au molosse, puis regarda Gaëlle qui lui répondit d’un sourire et d’un clin d’il. Elle se dirigea ensuite vers le rideau cachant une superbe salle de restaurant dont la majorité des tables étaient occupées par des couples ou des groupes de femmes.

L’ambiance était feutrée, pas de musique à fond empêchant les conversations. Quelques unes des personnes présentes saluèrent Gaëlle de loin ou en venant lui faire la bise, voire même en l’embrassant franchement parfois. Elle avait une parole gentille pour chacune, une caresse pour celles l’embrassant, tout en continuant sa progression vers une alcôve en tenant Sui Wha par la main.

Carine ne me lâchait pas la main tandis que nous suivions les femmes devant nous. Tania et Stephi fermaient la marche, se tenant elles aussi par la main. Ce n’était pas tant la peur qui nous faisait nous tenir ainsi, que le plaisir de partager notre bonheur avec toutes les femmes présentes. D’ailleurs avant de nous asseoir, chacun des trois couples que nous formions s’embrassa fougueusement. La température commençait à monter.

À peine étions nous installées qu’arriva une superbe femme entre deux âge. Elle était visiblement originaire des îles environnante avec son teint cuivré et ses traits asiatiques. Elle portait un seau à rafraîchir dans lequel trônait une bouteille de champagne et quatre flûtes, derrière elle arrivait une serveuse avec trois verres contenant des jus de fruits. Elle posa le tout, servit une flûte à Sui Wha, une pour Gaëlle, et une pour moi avant de se servir et de trinquer avec nous. Les trois femmes enceintes eurent un cocktail sans alcool.

Lady Stewardess, quel plaisir de vous revoir parmi nous. Et quelle charmante compagnie vous nous avez amenée. Outre les trois futures maman, j’ai cru comprendre que l’une d’entre vous était spéciale, à ce que m’a dit Hinano.

Oui, lui répondit Gaëlle, Aline ici présente est bien membrée à ce que m’a raconté sa jeune épouse, Carine, ajouta-t-elle en nous présentant toutes les deux. Elle est d’ailleurs la génitrice des trois enfants qu’attendent sa femme et leurs deux compagnes. Quant-à Sui Wha, depuis le temps que j’attendais de pouvoir l’amener ici. C’est enfin chose faites, grâce à ces quatre dames qui nous ont bien excitées durant le vol.

Gaëlle raconta nos frasques dans l’avion et comment elle avait surpris sa collègues en train de se masturber. Le champagne était excellent et accompagné de petits gâteaux d’apéritif délicieux.

Madame retourna à ses occupations en nous souhaitant bon appétit dans un français impeccable, et, bien que nous n’avions rien commandé, le repas nous fut servi. Gaëlle sourit, puis nous expliqua qu’à la première visite, le repas était un menu dégustation. Avec chaque plat, nous avions un verre de vin, pour celles pouvant en boire. Pour les autres, c’était des eaux de différents endroits, gazeuses ou non, selon les goûts.

Alors, Gaëlle, pourquoi t’appellent-elles Lady Stewardess ? demanda Sui Wha.

La première fois que je suis venue ici, j’étais avec une amie de longue date qui venait de découvrir la domination, répondit l’interpellée. Sa jeune soumise l’avait initiée à ce club. Je venais d’arriver de notre vol et j’avais à peine posé le pied hors de l’aéroport qu’elle me cueillit et m’emmena ici. Comme j’étais en tenue de travail et que je me montrais autoritaire envers la soumise, Madame décréta que mon nom serait Lady Stewardess. Et depuis, je n’en ai plus changé.

Par contre, reprit-elle, ne demandez jamais à Madame pourquoi nous l’appelons comme cela. Si elle veut, c’est elle qui vous l’expliquera un jour.

Le repas fut absolument délicieux. Au moment du dessert, Madame joignit à nouveau à nous et discuta avec nous pendant un moment. Elle demanda mon histoire, car bien que non interdit, les hommes n’étaient pas facilement acceptés ici. Et selon ses critères, avoir un service trois pièces entre les jambes me classait dans les hommes. Une fois notre histoire, à Carine et moi, racontée, elle admit que je me sentais plus femme que homme, même si j’avais mis enceintes mon épouse et nos deux amours. Mes compagnes et moi fûmes donc acceptées au club. Mon nom ici serait Lady Monsieur (en français dans le texte).

Le repas fini, nous dansâmes un moment, échangeant des caresses et des baisers entre nous six. Puis nous rentrâmes à l’hôtel. La première nuit fut assez chaste, après quelques caresses de plus, léchouilles et embrassades, nous nous endormîmes toutes. Le voyage avait été éprouvant et la soirée longue.

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