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Un bel anniversaire – Chapitre 3




Nous sommes donc daccord

Allez vous assoir sur le divan, papa au bout à gauche, Henri, Michel, Paul et Pierre.

Ils sassoient en rang doignons. Je les ai assis par volume de gland, je veux aller des plus petits aux plus gros.

Restez là.

Je vais chercher le champagne, en débouche une bouteille et viens mallonger sur la table basse. Je fais couler un peu de champagne sur mon corps.

Il faudrait venir récupérer ce champagne, se serait du gaspillage de le laisser couler sur la table.

Tout le monde se précipite sur moi, un sur mon ventre, un sur un sein, un sur lautre, un sur mon cou et mon père sur mon pubis. Je fais couler de temps en temps un peu de champagne sur tout mon corps, les langues me lèchent la totalité de la surface de ma peau accessible. Une en particulier qui me titille les lèvres intimes et le clitoris. Toutes ces langues sur moi me rendent folle et je jouis dans un grand feu dartifice. Mon corps est secoué de spasmes. Quand je me calme, ils sont tous debout à me regarder, mais leurs bites sont toujours à la verticale. Je me lève et viens embrasser mon père. Je me plaque contre lui, sa bite touche mon mont de Vénus, mes seins sécrasent sur son torse, nos langues se chamaillent, saiment, ses mains parcourent mon corps et sattardent sur mes fesses. Je descends une main vers sa bite pour la présenter entre mes lèvres.

Chérie, quest-ce que tu fais.

Je veux que tu me fasses lamour, je veux sentir ton sexe au fond de mon sexe.

Il ne dit rien, jouvre un peu mes cuisses, me saisis de sa bite et la dirige vers mon puit damour. Il donne un léger coup de rein et senfonce dun seul coup de toute la longueur de sa bite. Je sens son énorme gland me parcourir le vagin dun bout à lautre. Il me pistonne lentement mais profondément. Dautres mains viennent me caresser le dos, les fesses, les seins, je ne sais pas qui cest, mais excitée comme je suis, je jouis en quelques minutes. Papa nas pas joui encore, il a une sacrée résistance. Je me libère pose furtivement mes lèvres sur les siennes.

Merci mon papa chéri.

Je vais prendre une grande couverture que jétale sur le tapis déjà bien épais. Je prends Paul par la main et lallonge sur le dos, sa bite est toujours raide. Je fais de même avec Pierre. Mes deux frères sont allongés côte à côte la bite bien droite. Je viens chevaucher Paul, je suis au-dessus de sa bite, les cuisses grandes ouvertes et luisante de cyprine. Je me saisis de sa bite, la dirige vers ma vulve et me laisse descendre dessus. Je mempale dun seul trait. Je monte et descend sur ce vit vigoureux. Au bout dun petit instant, je me libère de Paul, chevauche Pierre et recommence le manège. Quelques instant plus tard, je retourne à Paul. Jalterne jusquà ce que je jouisse sur Pierre. Ils nont pas joui, ni lun ni lautre, cest ce que jespérais. Maintenant que tous mont fait au moins une fois lamour, je décide de passer à la dernière phase. Je mallonge sur le dos sur la couverture les jambes grandes ouvertes, dégageant mon abricot rose brillant comme une étoile dans le ciel.

Venez mes chéris, je suis votre sex-toy, faites de moi ce que vous voulez. Vous pouvez me prendre comme vous voulez, la chatte, le cul, la bouche, je suis à votre entière disposition, et vous pouvez vous laisser aller, je prends la pilule, donc, je veux sentir de puissants jets de sperme me remplir le corps.

Ils me regardent tous un peu étonnés. Cest Michel qui réagit le premier, il vient sallonger sur moi et me planter son sexe dans la vulve. Il commence damples va et vient mais je le fais mettre sur le dos pour me retrouver sur lui.

Quelquun pour mon cul.

Cest quoi ce délire.

Quelquun pour me planter sa bite dans le cul, Pierre, tu dois être le seul à lavoir déjà pratiqué.

Oui, mais tu as un lubrifiant ?

Non

Alors, il ne reste plus que la méthode « Dernier tango à Paris », Paul, amène du beurre sil te plait.

Une minute plus tard, je sens une main qui me badigeonne la rondelle avec une matière grasse. Je suis toujours sur Michel, mais jai ralenti mon rythme pour ne pas le faire jouir trop vite. Pierre se couche sur mon dos en se maintenant avec les bras raides, je sens sa bite se glisser entre mes fesses, mais elle remonte et ne me pénètre pas. Une main sen empare et la guide vers mon fion. Son gland touche ma rondelle.

Doucement, cest la première fois.

Tu aurais pu le dire plus tôt.

Vas-y, ne te pose pas de question.

Il appui un peu et ma rondelle souvre légèrement. Son gland senfonce doucement. Je sens mon sphincter qui résiste, une légère douleur apparait, mais cest encore supportable.

Vas-y, défonce moi.

Pierre pousse un peu plus et le sphincter libère le passage, je sens sa bite glisser le long de celle de Michel. je recommence à bouger pendant que Pierre sactive de plus en plus violemment dans mon cul. Je ne laisse aller au plaisir davoir ces deux bites en moi, cest un de mes fantasmes qui se réalise. La boule se forme dans mon bas ventre, le plaisir monte.

Putain que cest bon, allez-y mes chéris, faites-moi jouir comme une bête.

Jembrasse Michel fougueusement, je sens quil nest pas loin de me remplir la chatte. Pierre commence à avoir des mouvements plus saccadés, il va jouir lui aussi. A la pensée davoir deux bites qui se vident en moi en même temps, je ne peux plus me contrôler et je jouis en mexprimant.

HHHHHHHAAAAAAA, oui, allez-y, remplissez-moi, je veux votre jus damour.

Je sens un jet dans le vagin immédiatement suivi dun autre dans le conduit anal. Jexplose dans un gigantesque feu dartifice.

Oui, oui, je joui, je joui, merci mes chéris, remplissez-moi encore, oui je joui, je joui.

Ils se vident en moi, Pierre me tombe sur le dos et membrasse dans le cou.

Cétait merveilleux petite sur.

Pour moi aussi cétait super, de sentir la bite de Pierre frotter contre la mienne, je navais jamais ressenti quelque chose de pareil.

Pierre se lève, je limite et vais dans la salle de bain prendre une douche. Je reviens trois minutes plus tard, Pierre et Michel sont assis, ils ne bandent plus, mais Paul, Henri et papa bandent encore comme des ânes. Je leurs fais signe de venir me rejoindre, jallonge Paul sur le dos, mempale sur sa bite, demande à Henri de me sodomiser et place papa à genou devant moi juste au-dessus de la tête de Paul. Henri me badigeonne de beurre et senfonce en moi dun seul coup, heureusement que Pierre a préparé le terrain. Il senfonce jusquaux couilles, je sens son gros gland me labourer le fondement et glisser sur la bite de Paul. Avec ces deux bites en moi, je réussi à redresser la tête et à magripper aux hanches de papa et lattirer à moi pour lui gober la bite. Je moccupe de trois hommes en même temps, un dans la chatte, un dans le fondement et un autre dans la bouche. Je nespère quune chose, cest quils jouissent tous en même temps. Moi-même, jai du mal à me contrôler, je sens le plaisir monter en moi et rien ne pourra lempêcher de memporter au septième ciel quand il le décidera. Cest ce qui arrive au bout de quelques minutes, mon corps est parcouru de spasmes, je tremble, jondule de tout mon être. Mes frères le sentent et se laissent aller. Dabord Henri qui se vide dans mon tuyau, immédiatement suivi par Paul dans mon vagin. Papa résiste.

Attention chérie, je ne vais plus pouvoir résister, je vais jouir.

Pour seule réponse, je le plaque encore plus contre moi, il se vide une petite minute plus tard dans ma bouche. Javale le tout sans aucune difficulté. Henri me libère, je me lève pour aller reprendre une douche, je veux encore me faire baiser par mes frères et mon père. Quand je reviens dans le salon, ils sont tous assis sur le sofa, la bite pendante.

Et bien, vous navez que ça à me proposer ?

Papa se lève, il me prend par la main et me fais allonger sur la couverture. Il mécarte les jambes, se penche sur mon mont de Vénus et pose ses lèvres sur mon clitoris. En moins de deux minutes, il me fait jouir, mais ne sarrête pas, il continu de me titiller le clitoris, trois minutes plus tard, je repars dans un nouvel orgasme, suivi quelques minutes plus tard dun troisième, puis un quatrième.

Là, je demande grâce.

Tu vois quil me reste quand même quelques ressources.

Tout en me disant ça, il remonte le long de mon corps et me plante sa bite de nouveau raide dans la chatte.

Oh oui mon papa, jaime ta grosse bite dans ma petite chatte.

Tu vas en avoir de la grosse bite.

Il se déchaine donnant de grands coups de rein sur toute la longueur de sa bite et même plus puisquelle sort à chaque coup pour mieux mempaler au coup suivant. Je suis complètement folle de plaisir. Mon papa chéri qui me besogne comme une pute, qui me défonce la chatte en grognant de plaisir. Tout à coup, un puissant jet me remplit la chatte et jexplose dans un orgasme comme je nen ai jamais eu. Je lembrasse fougueusement, il me rend mon baiser avec autant de fougue. Il faut plusieurs minutes pour que nous finissions par nous séparer. Il se lève, me prend la main pour me faire lever, me colle à lui et membrasse une nouvelle fois. Nous allons nous assoir un instant. Pierre sert du champagne.

Bon anniversaire petite sur chérie.

Tout le monde trinque et nous buvons avec plaisir. Au bout dune demi-heure, je me sens de nouveau en forme.

Ok mes chéris, maintenant, je vais me mettre sur la couverture et je veux que vous vous occupiez de moi tous les cinq ensembles.

Je vois Henri aller dans la salle de bain, il revient quelques minutes plus tard. Je me lève, prend papa par la main et le fais allonger sur la serviette. Sa bite est moitié raide, je me penche pour lui faire une petite pipe, juste pour quelle soit en bonne forme. Quand elle est raide, je magenouille en tournant le dos à papa et massoie sur sa bite. Elle a un peu plus de mal à rentrer, son gland est beaucoup plus gros que ceux de ses fils. Je force un peu jusquà ce que mon sphincter souvre et libère le passage. Je menfonce jusquau couilles. Je monte et descends sur cette bite bien raide et très épaisse, son gland me laboure le conduit anal. Au bout dun moment, je sors complètement pour mempaler immédiatement après sur ce vit conquérant. Je me calme et fais signe aux autres de venir. Henri me présente sa bite que jembouche. Pierre et Paul se mettent chacun dun côté. Je me saisis de leurs bites et les masturbe. Michel est derrière Henri, je suis un peu gênée, car je nai plus de disponibilité pour lui quand je sens un coup de buttoir dHenri dans ma bouche. Cest Michel qui vient dempaler son frère en lenculant dun seul coup. Je tombe des nues, jamais je naurais imaginé ça.

Et oui petite sur, nous aussi on sait samuser ensemble, cest une fois lun, une fois lautre.

Je comprends mieux maintenant la présence de cette poire à lavement dans un coin de la salle de bain. Je sens que tout le monde va jouir, je rapproche Pierre et Paul de moi pour quils me jouissent sur les seins. Le bite dHenri commence à avoir des spasmes, il ne va pas tarder. Quelques secondes plus tard, je sens son sperme me remplir la bouche. Jai à peine fini davaler ce quil ma donné que je vois que Pierre va jouir. Je change mes plans et lui prends la bite dans la bouche pour récupérer tout son sperme. Paul ne jouit que quand jen ai terminé avec Pierre, il se vide lui aussi dans ma bouche. Je tire Henri vers moi brusquement, ce qui le libère de la bite de Michel. Je lécarte et attrape Michel pour lemboucher. Sa bite a le goût du beurre quil a utilisé pour le lubrifier. Il ne tarde pas à se vider en moi en me plaquant la bouche contre son pubis. Mais papa na toujours pas joui. Je me redresse pour me coucher entre ses jambes et lui gober la bite. Elle aussi sent le beurre, je le pompe du mieux que je peux, je veux lui laisser un souvenir inoubliable. Il résiste le plus longtemps possible, mais fini par abdiquer et se vider dans ma bouche. Je lavale avec plaisir, je me rends compte que jadore boire du sperme, et jen profite quand que jai à ma disposition des donneurs jeunes et prolifiques et un autre expérimenté.

Et voilà, je connais le goût de chacun de vos sperme, je ne peux pas encore dire celui que je préfère, il va falloir que le les goûte encore.

La soirée a duré très longtemps, tout le monde ma sodomisé, ma baisé, sest fait pomper, et parfois même plusieurs fois. Jai bu une quantité impressionnante de sperme. Vers cinq heures du matin, nous sommes allés nous coucher, papa a partagé mon lit. Maintenant, je rêve de ma trouver seule avec maman et de faire lamour avec elle, comme ça, jaurais fait lamour avec toute ma famille.

Loccasion sest présenté quelques jours plus tard. Cet après-midi-là, je me croyais seule à la maison. Je vais prendre une douche et entre sans frapper, nue, dans la salle de bain. A ma grande surprise, maman était là, nue elle aussi, assise sur un tabouret à sépiler les lèvres du sexe à la pince à épiler. Elle avait les cuisses écartées au maximum. Javais une vue imprenable sur son abricot rose grand ouvert et qui me semblais briller un peu trop. Elle me regarde surprise, mais ne semble pas être trop gênée.

Excuse-moi maman, je croyais être seule à la maison.

Ce nest pas grave chérie.

Je reviendrais plus tard.

Non, je nen ai plus que pour une minute.

Elle continu pendant que je la détaille. Elle est encore très belle pour ses quarante-cinq ans, ça je le savais, mais je suis quand même étonnée de la fermeté apparente de ses seins, de son ventre toujours plat et surtout de son sexe épilé. Elle sénerve un peu sur deux ou trois poils quelle a du mal à atteindre.

Tu veux que je taide ?

Si ça ne te dérange pas, volontiers, jai du mal à les voir.

Je magenouille devant le sexe de maman, elle me donne sa pince. Jessaye denlever un poil juste avec la pince, mais quand je le tire, la lèvre suit et maman réagit.

Aille, plaque la peau avec ta main avant de tirer le poil.

Je trouve un autre poil à enlever, il est juste au bord dune lèvre. Je pose ma main sur sa lèvre, je sens une réaction de maman, mais je pince le poil et tire dessus en plaquant bien ma main qui vient recouvrir son sexe. Ma main est mouillée de sa cyprine. Je lève les yeux et la regarde, elle a fermé ses yeux, sa respiration est un peu plus rapide. Je bouge un peu la main, son bas ventre se crispe. Je vois un liquide blanchâtre sécouler entre ses lèvres, elle mouille un maximum. Je nhésite plus, je pose la pince, écarte les lèvres avec mes doigts pour bien dégager le clitoris, je me penche un peu plus jusquà poser mes lèvres lui. Ses mains se posent sur ma tête.

Oui ma chérie, oui.

Je mactive sur son clitoris, je suce, laspire, le mordille. Elle était surement déjà passablement excitée car elle jouit assez vite.

HHHHHAAAAA que cest bon, oui ma chérie, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Elle se cabre en appuyant encore plus sur ma tête. Quand elle revient à elle, elle me fait redresser. Nous nous levons et nous embrassons passionnément. Ses mains parcourent mon corps comme les miennes le sien. Elle a vraiment des seins encore assez fermes, et des fesses rondes, lisses et fermes elles aussi. Elle sécarte un peu et me regarde.

Ma chérie, tu vas peut-être être choquée, mais jattendais ce moment avec impatience depuis le jour de ton anniversaire.

Pourquoi depuis ce jour ?

Parce que je ne voulais pas être la seule à ne pas pouvoir te prouver mon amour.

Comment ça ?

Tu sais, ce jour-là, je suis revenu vers minuit et jai eu la surprise de ma vie. Je suis arrivé au moment où tu te faisais enculer par ton père, que tu pompais Henri que se faisait enculer par Michel et que tu branlais Pierre et Paul. Ça ma mise en colère, jai failli entrer et foutre le bordel, mais je me suis avisé en réalisant que moi aussi jaurais bien aimé être des vôtres, me faire baiser et enculer par mes enfants, seulement, je nétais pas censé être là, personne ne mattendait. Je me suis donc éclipsée discrètement, personne ne mavait vu. Mais je métais bien dit quun jour moi aussi je pourrais profiter de ton magnifique corps. Cest pour ça que, sachant que nous étions toutes les deux seules ici, je me préparais, je voulais profiter de cet après-midi ou nous ne sommes que toutes les deux.

Et bien, profitons-en au maximum.

Après avoir réglé leau, nous entrons toutes les deux sous la douche. Je la savonne, elle me savonne. Bien sûr les mains sattardent sur les points sensibles, seins, fesses, sexes, mais cela ne va pas plus loin, nous voulons être à laise pour se découvrir. Nous nous séchons et allons dans sa chambre. Quand nous sommes au bord du lit, elle menlace et membrasse. Sa langue virevolte dans ma bouche et samuse avec ma langue. Ses mains parcourent mon corps de haut en bas et de bas en haut. Je suis dans un état second, ma propre mère qui me caresse, je suis folle de joie et dexcitation. Elle me pousse sur le lit, je tombe sur le dos. Elle mécarte les jambes et pose sa bouche sur mon sexe. Sa langue me titille le clitoris, senfonce dans ma chatte, ses mains me pétrissent les seins. Je la laisse prendre possession de mon corps qui ne demande que ça. Mon bas ventre ondule, mon ventre se crispe, mon cur semballe, la vague monte et menvahi me submergeant de plaisir dans un orgasme hors norme. Je hurle mon plaisir.

HHHHHHHHHAAAAAAAAAA, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Jai peu dexpérience saphique, mais jamais une femme ne ma fait jouir comme ça. La bouche de maman remonte le long de mon corps en lembrassant tous les centimètres. Elle finit sur mes seins quelle titille, mordille, aspire. Elle continu sa remontée pour finir sur ma bouche. Nous échangeons un baiser torride. Maman se couche à côté de moi, elle me fait remonter dans le lit et me met en travers. Elle se positionne tête bêche sur moi, sempare de nouveau de ma vulve en me présentant son sexe à hauteur de ma bouche. Je lui agrippe les fesses et lattire contre moi pour lui brouter le minou. Nos langues sactivent sur nos sexes, nos corps sont collés lun à lautre, la sueur rend nos peaux moites et collante, ce qui accentue latmosphère sensuel. Nous jouissons presque en même temps, je bois son jus damour pour la seconde fois. Quand nous sommes calmées, nous nous allongeons côte à côte. Je me retourne vers elle, passe mon bras sur sa poitrine, une jambe repliée sur sa cuisse. Je veux mimprégner du corps de ma mère, le sentir, le toucher, le respirer. Au bout dun quart dheure, maman se lève et va ouvrir un tiroir de sa commode. Elle en sort tout une sorte de sex-toys quelle vient étaler sur le lit. Il y a des sexes dhomme plus ou moins réalistes, mais surtout un gode dun bon diamètre avec un gland assez gros à chaque extrémité.

Lequel tu veux essayer ?

Je prends le gode double.

Celui-là.

Très bien, cest aussi celui que jaurais choisi, allonge toi chérie.

Je mallonge sur le dos en écartant les jambes. Maman se penche sur moi, présente un gland à lentrée de ma chatte et pousse jusquà ce quil se soit enfoncé dun tiers. Elle se positionne devant moi en écartant les jambes. Elle présente lautre gland devant sa chatte et se plante dessus. Elle me prend les mains et tire de toutes ses forces, jen fait autant. Cela a pour effet de nous enfoncer le gode dans les chattes jusquà ce quelle se touchent. Je suis parcouru dun violent frisson. De sentir la vulve de maman contre la mienne mélectrise. Je bouge frénétiquement, le gode bouge dans nos sexes, maman tire sur mes bras pour senfoncer au maximum et garder nos sexes au contact. Je jouis la première, suivi très vite par maman. Nous nous remettons lentement quand nous entendons la porte dentrée souvrir. Nous restons toutes les deux sur le lit dans la chambre de maman.

Il y a quelquun ?

Oui chéri, dans ma chambre.

Nous entendons des pas approcher, Paul et Michel apparaissent dans lencadrement de la porte. Leurs têtes traduit très bien leur étonnement.

Il ny a pas que vous qui puissiez profiter de votre sur tout de même. Dailleurs, jaimerais bien aussi profiter de mes fils.

Comment ça maman, tu étais au courant ?

Depuis le premier jour.

Elle leur raconte comment elle nous a vu. Quand elle a fini son récit, elle se lève, se dirige vers Paul, lui déboutonne la chemise et lui enlève, elle fait de même à Michel, puis elle soccupe du bas pour les deux. Deux minutes plus tard, ils sont tous les deux nus comme des vers, la bite dressée vers le ciel. Elle les attire vers son lit et nous avons fait lamour à quatre, mais ceci sort de la célébration de mon super anniversaire, ce sera peut-être le sujet dune autre histoire.

Depuis, quand je vais passer le week-end chez mon père, que je sois seule ou avec un de mes frères, je ne dors plus dans ma chambre, et nous faisons lamour toute la nuit, tous ensemble. A la maison, je ne passe pratiquement plus une nuit seule, maman ou mes frères se succèdent dans ma chambre, chacun leur tour. Il arrive même quils viennent à deux, deux de mes frères, ou maman et lun deux, jamais plus, pour me prendre ensemble ou, comme Henri et Michel, me baiser ou menculer pendant que lautre le sodomise.

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