Si vous avez manqué le début.
Je m’appelle Patrick, je travaille en Allemagne à Hambourg. J’entretiens depuis plus d’un an une relation intime avec ma tante Véronique, très bcbg, sur de ma mère Anne.
Elle a 43 ans, divorcée avec 2 enfants de 9 et 11 ans, elle mesure 1m72 pour 55 kg et moi, 25 ans 1m80 pour 75 kg.
Je l’ai mise enceinte et elle a accouché d’un petit garçon prénommé Hugo en décembre. Nous venons de voir mes parents fin juillet. Je leurs ai annoncé la double nouvelle. Je couche avec ma tante et Hugo est notre fils. Mes parents abasourdis en sont restés muets, puis ma mère a fait de multiples reproches à sa sur, la traitant d’égoïste, qu’elle gâchait ma vie et qu’elle était la honte de la famille. Elle a terminé en lui disant qu’elle lui inspirait le dégoût.
Nous sommes partis fâchés et nous devons déménager pour Marseille début septembre.
Dès notre retour, Jacques, l’ex de ma tante ramena comme prévu Oscar et Jules pour tout le mois d’août. Les garçons nous racontèrent leurs vacances avec leur père et sa compagne Christine, notamment leur escapade dans un grand parc d’attraction. Ayant terminés leur dîner, ils demandèrent à leur mère de monter pour jouer à leur jeu vidéo dans la chambre du plus grand, Oscar. Elle en profita pour coucher le petit, fatigué du voyage en avion depuis Paris.
En l’attendant, j’ouvrai une bouteille de rosé pour y remplir nos deux verres et la remis au frais. C’était devenu une vieille habitude, pour nous rappeler l’époque bordelaise. Durant cette période, nous prenions un verre sur la terrasse et nous fumions notre cigarette tout en bavardant.
Elle redescendit en ayant pris le temps de se changer, se sentant plus à son aise dans sa robe de chambre à la ceinture mal serrée. Son visage s’illumina à la vue de ma délicate attention.
— Tu y as pensé ! Ca me rappelle de bons souvenirs, surtout quand tu me draguaiset tu étais si subtile dans ta manière. Dit-elle en prenant place face à moi et en desserrant sa ceinture, arborant sa chemise de nuit boutonnée.
— Allez, on trinque, mais à qui ? L’interrogeai-je en levant mon verre.
— Sûrement pas à ta mère ! Avec toutes les vacheries qu’elle m’a balancées, j’ai eu ma dose et tu sais, où elle a été le plus durec’est quand elle a dit que je te gâchais la vieça je ne lui pardonnerai pas. Répondit-elle en modelant sans cesse son verre de ses doigts fins.
— Véro, comment veux-tu qu’elle accepte une telle situation ? Il faut leurs laisser du temps pour digérer tout ça, mais ça risque d’être long. Lui expliquai-je en passant ma main sur sa joue.
— Han Patrick ! Ta mère ne changera jamais et ce que nous faisons, ils ne l’accepteront pas. Tu as vu quand elle m’a dit que j’étais à sa fois sa sur et sa belle fille ? Là elle a fait fortnon le plus dur, c’est avec mon âge, on croirait que tu te tapes une vieille ! S’emporta-t-elle en employant des mots durs à son encontre.
— Tu vas avoir 44 ans et on t’en donne 30t’es une nana géniale et ne me dis pas le contraire.
— T’es un sacré dragueur toi ! En tous cas, tu as été vraiment très bienje tenais à te le dire, tu as été carré avec elle et je suis très admirative de mon neveu. C’est dommage pour ton père, j’aurais aimé lui dire au revoiron est partis un peu comme des voleurs, quand j’y penseeuh bon moi je suis crevée. Conclut-elle en vidant son verre et en se levant.
— Allez ma belle Tatie, on y va ! Lui dis-je en l’enlaçant.
— Demain, tu viens avec moi faire le supermarché, il n’y a plus rien dans le frigo et tu me donneras des idées de menus. Enchaina-t-elle avec un smack.
— Oui je viendrai et on emmènera les garçons.
— Heureusement qu’on s’entend super bien tous les deuxça reste vraiment super avec toi. Murmura-t-elle en souriant.
— Mais je suis un type super ! M’exclamai-je.
Ma tante partit dans un énorme fou rire et se sécha les yeux avec un mouchoir.
Une fois au lit, elle ne s’attarda pas et s’endormit dans la foulée.
Le lendemain, je décidai de consulter des sites de locations sur Marseille, mais Véro s’impatientant, nous partîmes faire des courses.
En moins d’une heure, nous avions terminé en passant par le rayon boucherie, les fruits et légumes, les conserves et autres. En arrivant en caisse, Véro avait oublié des serviettes intimes. Deux minutes plus tard, elle les avait en main, ainsi qu’un tube de lubrifiant. En voyant ce qu’elle avait, je lui jetai un regard complice et en réponse, elle haussa les épaules, puis secoua la tête. Puis en repartant vers la voiture, elle me murmura.
— Tu iras en chercher une Tatie comme moi, il faut que je pense à toutje suis sûre que tu n’avais pas vu qu’il n’en restait plus !
— Bah non, je n’avais pas fait attentionon aurait une idée derrière la tête pour ce soir ? Lui demandai-je en rangeant les sacs dans le coffre.
— Si tu es sage, il y a de grandes chances. Répondit-elle en me faisant ses yeux de biche.
— Par moment t’es surprenantebon faut faire vite, il commence à pleuvoir.
C’était le temps du Nord de l’Allemagne. Même au début du mois d’août, nous avions droit à une après-midi pluvieuse.
Oscar et Jules, avec l’aval de leur mère passèrent la fin de la journée devant leur jeu vidéo. Nous en profitâmes pour à nouveau pour nous mettre sur un site de locations d’appartements et de maisons.
Nous cliquions au fur et à mesure, sans trouver notre bonheur. Il fallait éviter les quartiers chauds et Véro avait un petit penchant pour les maisons avec piscine, dans les patelins aux alentours de Marseille. L’heure tournait et nous ne trouvions rien.
Vêtue d’un jeans et d’un chemisier, elle se leva pour aller chercher un cendrier. Évidemment, je détournai mon regard de l’écran pour contempler son cul féerique, lequel me provoqua une petite agitation dans le bas du ventre. En revenant, elle alluma une cigarette en commentant nos recherches et brièvement, j’aperçus la naissance d’un de ses seins, ma tante s’étant abstenue de mettre un soutien-gorge.
— Mrrr.ça me fait chier Patrick, on ne trouve rien sur ce site ! S’emporta-t-elle avec son verbe favori et peu stylé quand elle s’énervait.
— Du calme, on va changer les critères et élargir les recherches, le site dans lequel je vais bosser n’est pas au centre de Marseille. Au fait, t’es vachement chouette en jeans.
— Mercieuh je ne t’ai pas choqué pour le supermarché avec le lubrifiantje suis tombée dessus et je me suis dit, comme ça fait longtemps qu’on a pasenfin tu vois ce que je veux dire Dit-elle en me frottant l’avant-bras.
— Tu rigoles ! Au contraire, tu es restée jeune d’esprit malgré ce qu’a pu dire ma mère et ce n’est pas elle qui l’aurait fait pour mon père ! M’exclamai-je en déboutonnant le haut de son chemisier.
— Enfin Patricktu parles de tes parents et tu ne sais même pas s’ils ont fait un truc pareil, tu ne peux pas affirmer une telle chose. En tapotant sur sa cigarette, alors qu’il ne me restait plus qu’un seul bouton à lui enlever.
— Tu dois le savoir, tu en as déjà parlé avec ma mère, non ? Lui dis-je, alors que je venais d’ouvrir son chemisier pour y voir ses seins en liberté.
— Parler de ça avec ta mère ? Ah non, on ne parle jamais de sexe. Il nous arrive de parler de la beauté d’un gars, mais sans plus et si elle savait ce que tu me fais, elle ferait une syncope ! Distu prends de l’avance et si les garçons arrivaient ? Chuchota-t-elle en se faisant palper mon sein préféré, le droit.
— Mais quelle avance ? Viens sur mes genoux. En lui frottant le ventre pour remonter à la base de sa poitrine.
— Hannnil vaut mieux que je monte en haut mettre en pyjama Hugoen plus tu vas m’exciter et puis on a pas le temps maintenanteuh tu seras content (elle boutonna son chemisier tout en causant) je vais redescendre en robe de chambre, c’est bien ta tenue préférée ? Dit-elle avec un clin d’il avant de monter.
Mon opération n’avait aucun sens, aucune finalité et je ne savais même ce qu’il m’avait pris. Mais j’étais heureux de la réaction de Véro depuis notre retour. Et moi qui m’attendait à la voir culpabiliser avec les reproches formulés par ma mère, j’étais bien loin du compte et l’achat du lubrifiant par ses soins m’avait bluffé.
Certes je lui avais fait découvrir ce plaisir réservé aux couples avertis, mais de là à imaginer que ma tante y prendrait goût à ce point, je n’allais pas me plaindre. Sans me prendre pour un psychothérapeute et en analysant son comportement, ma mère l’avait blessée en lui reprochant son âge et le fait de me proposer une pratique osée tout court et inimaginable dans un rapport incestueux démontrait qu’elle voulait contredire indirectement ma mère.
A vrai dire, son attitude était belle et bien une forme de provocation, voire d’opposition à sa sur et quand elle apparut en robe de chambre sans ceinture, elle m’annonçait déjà la couleur en gardant néanmoins sa chemise de nuit boutonnée.
J’eus une discussion animée avec Jules sur une stratégie de course. Pour battre son grand frère dans leur jeu de course, je lui suggérai de démarrer avec des gommes tendres et de faire un arrêt pour des médiums, sous l’il médusé de leur maman ne comprenant rien à notre jargon technique. Véro admira au passage Oscar, donnant à manger à son demi-frère Hugo.
Les desserts terminés, les petits guerriers de la route prirent la direction des stands en regagnant la chambre du grand, dans laquelle nous avions installé la télé. Hugo brailla un petit peu et pour le calmer, je le pris dans mes bras en le berçant doucement. Véro me suggéra de monter le coucher et de surveiller mes neveux en leurs intimant l’ordre de ne pas faire trop de bruit. A mon tour j’abandonnai le jeans pour un jogging sans rien en dessous, avec une envie pas possible de baiser ma quadragénaire resplendissante.
Elle avait rangé la cuisine et m’attendait calmement avec nos deux verres de rosé, en souriant à la vue de ma dégaine. Elle était apaisée et avait croisé ses jambes, laissant largement apparaitre ses cuisses, du fait de sa robe de chambre ouverte. Cela ne la dérangeait pas le moindre du monde et tranquillement, elle balançait son pied nu, toujours aussi délicieux à contempler.
Sachant fort bien mon appétence pour cette extrémité de son anatomie, elle en usa en frottant sur le bas de mon jogging. Avec un tel comportement et en l’absence de caleçon, il lui fut aisé de voir le degré d’excitation qu’elle m’avait provoqué. J’enchainai sur une banalité en scrutant la peau blanche de ses cuisses et de son visage presque démaquillé, avec un zest de fard à paupières lui conférant un regard envoutant.
— C’est pas facile de trouver, il y en a à tous les prix et qu’est ce qui te plairait, un appart ou une maison Véro ? En le lui demandant, j’avais l’impression que mon pauvre sexe allait exploser.
— Moi je veux une piscine pour les enfants, mais une maisonc’est plus cher, dis tu m’écoutes Patrick ? En tirant une bouffée, pour l’expirer d’une manière sensuelle en levant la tête.
— Hein ? Dis-je hors du coup, en pensant à ses lèvres.
— Roooon parle de location, c’est important. Je ne sais pas à quoi tu penses, mais tu n’es pas avec moi ! S’exaspéra-t-elle.
En effet, j’étais loin, loin des locations et près de sa bouche dans mon esprit enflammé.
Durant mon petit séjour à Bordeaux, j’avais initié ma tante à l’art de la fellation. Ce fut sans scrupules qu’elle m’avait avoué aimer le faire, mais rien qu’avec moi. Après une, voire deux tentatives avec d’autres partenaires d’après ses dires, cela n’avait jamais été sa tasse de thé. Je n’étais pas non plus magicien, mais je savais qu’au fond d’elle-même et au-delà du geste, cela engendrait des émotions spéciales pour elle. En la regardant, je n’avais plus qu’une envie, mais je me devais d’être habile et doux.
— Si je t’écoutemais comme tu es si séduisante ce soirah oui la piscine ! Tu parlais de piscine et c’est plus cher, bah oui.
— C’est tout ce que tu trouves à dire ? Dit-elle, boudeuse en éteignant sa cigarette et en terminant son verre.
— Je n’entends plus rien ? Attends je vais voir. En me levant pour écouter près des escaliers, puis en revenant près d’elle.
— Alors ? Demanda-t-elle en inclinant sa frimousse.
— Rien, ils sont calmes, on est tranquille. En restant debout face à elle et en passant ma main dans ses cheveux.
— Euhtu veux queenfinoh je n’y arriverai jamais ! ça me gêne tellement quand je pense que je suis ta tante. Dit-elle en saisissant l’élastique de mon jogging pour le baisser.
— Pour moi c’est pareil, ça me fait drôle, bizarremais c’est si exceptionnel ce que l’on vit Véronique. En glissant ma main sous son menton, pour le diriger au bon endroit.
— Hannn c’est vraiment gênant ce momentdis, tu n’as même pas mis de caleçon ! Bonparle un peu Patrick, ça me détend pour commencer Murmura-t-elle en ouvrant la bouche en direction de mon sexe.
— Vas-y doucement, comme tu sais le fairedoucement(elle s’approcha pour introduire ma longue verge entre ses lèvres)c’est bienapproche ta bouche ma belle et suce-moi très lentement(elle commença à balancer sa tête d’avant en arrière)amuse-toi avec la langue sur le bout (Véro s’agita autour de mon gland)laisse-la ressortir et colle tes lèvres(elle leva les yeux et accola sa bouche contre l’extrémité de mon sexe)oh ouic’est bonallez aspire la à nouveau en douceur et sucesuce ma Véro (elle pinça ses lèvres et l’avala profondément)oh tu me suces comme une reine, t’es la meilleure
Ravie du compliment, elle m’adressa un sourire et creusa ses joues pour pomper ma verge sans relâche, les mains posées sur mes hanches.
En regardant mon sexe disparaitre entre ses lèvres, mon cur s’accéléra autant du plaisir réel de la voir me sucer, que celui plus émotif de voir la frangine de ma mère me faire ce truc impensable.
Oui c’était impensable, mais n’était-ce pas encore plus impensable de voir à quel point elle aimait aspirer, téter, puis extraire de sa bouche le sexe luisant de son neveu ?
Il n’y avait qu’un mot pour définir cette sensation, cette émotion et c’était bien le mot géant qui me vint à l’esprit.
— Tu aimes Patricktu aimes quand c’est moi qui te suce ? En léchouillant amoureusement mon gland, puis en le tapotant sur la langue.
— C’est fabuleux Véroniquefabuleux de te voiril va falloir arrêter En la regardant batifoler avec ma grande verge.
— Je veux aller jusqu’au boutj’aime trop te sucer (mon sexe glissa à nouveau entre ses lèvres pour goûter à la chaleur de sa cavité buccale) c’est inouï le plaisir que je ressens M’avoua-telle en relevant brièvement la tête, puis en la reprenant en bouche, pour l’engloutir une nouvelle fois dans la fièvre de son palais.
— C’est bondoucement ma belle (Véro diminua son rythme, laissant ressortir ma longue verge en suçotant sa pointe) viens, on monte, j’ai trop envie de te baiser par derrière. En me reculant pour attraper sa main, l’incitant à se lever.
— Oui mais demain matin, tu me laisseras aller jusqu’au boutboneuh on monte et avant il faut être sûr que les gosses dorment. Dit-elle en s’essuyant d’un revers de main.
— Resserre ta ceinture quand même !
Elle pouffa de rire et m’emboita le pas.
La lumière de leur chambre était visible du couloir. Dès notre arrivée, Jules supplia sa mère de faire une dernière course et je répondis à sa place qu’il était bien tard. Il fila dans sa chambre en râlant, tandis qu’Oscar se mit au lit sans moufter. Jules réclama sa maman pour lui faire un bisou et voulut savoir si nous allions nous coucher. Elle répondit par l’affirmatif, ce qui le rassura en nous sachant à l’étage.
Hugo dormait profondément. Nous avions acheté une sorte de paravent qui nous isolait visuellement du petit, bien pratique dans le cas présent.
Véro arriva et je lui fis signe de ne pas faire de bruit, ainsi elle ferma avec précaution notre porte. Elle se dirigea vers la salle de bains en se débarrassant de sa robe de chambre, pour au bout de quelques minutes, réapparaitre avec la chemise de nuit déjà ouverte et le tube de lubrifiant dans une main. Elle n’avait pas perdu le Nord et c’était tant mieux. J’étais assis au bord du lit, nu, mon sexe ayant perdu de sa superbe.
Avec ses longues jambes et sa poitrine au vent, elle s’installa à mes côtés et me chuchota.
— On va attendre cinq minutes, je voudrais être sûre qu’ils dorment. Dit-elle avec le tube en main.
— Tu as pris quoi comme marque ?
— L’habitueltu as tiré le paravent, tu as bien faittu aurais pu me laisser aller jusqu’à la fin tout à l’heure. Insista-t-elle encore une fois en prenant un ton navré, la main posée sur ma cuisse.
— Tu le feras demainet puis ça fait si longtemps, t’as un cul à tomber ma Tatie
— Hann quelle conversation ! C’est moi qui en achète en plusoh là là ! qu’est-ce que tu vas penser de moi ? Je me le demande. Se désola-t-elle en me caressant la cuisse.
— Tu te répètes ! Tu sais très bien ce que je pense de toi, t’es dynamique, belle et tu es ma tante qui attend avec impatience de se faire sauter ! En me penchant pour l’embrasser dans le cou.
— Hummmc’est pas fauxdis Patricktu trouves ça normal qu’on éprouve une telle attirance l’un pour l’autre ? S’interrogea-t-elle avec ses doigts fins effleurant ma verge reposée.
— J’en sais foutrement rien (elle se tourne vers moi) mais depuis ado, tu m’as toujours attiré et maintenant, ça atteint son paroxysme (elle me sourit tandis que mon sexe se durcit entre ses doigts) c’est si fantastiquej’adore te sauter Véroniquec’est si génial de baiser ma tante (elle ouvrit la bouche pour m’embrasser) tu m’excites. Terminai-je en lui roulant une pelle savoureuse.
— Moi aussije ne pensais pas que ça existait (elle abandonna ses caresses et me branla lentement) enfin je veux dire des sentiments pareils eteuh c’est un peu la même chose pour moi, j’aime tellement me faire baiser par toi, c’est peut-être parce que tu es mon neveu (elle reprit son air embarrassé) avec les autres hommes, c’était différentsi différentbon je vais aller voir s’ils dorment pour de bon. Conclut-elle en se levant.
Elle referma sa chemise de nuit et toujours aussi féline, elle s’absenta quelques secondes pour revenir, le sourire aux lèvres.
— Bon ils dormentje te propose une chose, j’ai lu un article et ne te fous pas de moi (en se déshabillant) pour les couples qui veulent casser les tabous entre euxet c’est notre cas, ils se mettent nus et accroupis sur le lit, l’un en face de l’autre et ils bavardent en se caressanttu veux qu’on essaie ? Me suggéra-t-elle.
— Et après ? En la prenant par la taille, puis en nous installant dans la position requise.
— Après ? après ? en principe ils font l’amourqu’est-ce que tu veux que je te diseje ne suis pas psy ! bonqui commence ? Demanda-t-elle accroupie avec ses mains posées sur ses cuisses, le buste bien droit.
— Euh je dois te dire ce que je ressens à poil devant toi ?
— Oui ! Dis-moi comment tu me trouves, ce que tu ressens quand tu me regardes ? En gardant sa pose studieuse.
— Oui mais je peux te caresser ? (elle répondit par un hochement de tête) en ce moment je te trouve merveilleusement belle (en effleurant les pointes de ses seins, puis en lui frottant ses épaules graciles) tu incarnes la femme, la vraie femmeet c’est dingue mais hyper excitant d’être nu face à toi, ma tante (elle baissa les yeux un court instant) tu es nue, toi aussi et je prends mon pied à te baiser Véronique, je voulais que tu le saches. Lui dis-je pendant qu’elle baladait sa main sur mon torse.
— Alorshum-hum, d’abord je te trouve très beautrès très beautu as beaucoup de charme et moi aussieuh je pense à ce qu’on va faire maintenant et tu es le seul à me l’avoir faitet puis c’est dingue aussi ! (elle caresse ma verge pleine de vigueur) je suis à poil devant toi, je suis un peu gênée, je l’avoue et terriblement excitée en même temps (elle passe et repasse ses doigts fins sur mon sexe gonflé) tu es mon neveu et j’aime tout ce que tu me faisje te le redis, j’éprouve des émotions particulières avec toi, j’ai du mal à décrire ce que je ressensje crois que c’est parce que tu es mon neveu et (elle devint pensive aux mots qu’elle allait utiliser) han c’est pas facile ! jeje suis de plus en plus attirée par toi et ne me demande pas pourquoi ! Conclut-elle séduisante au possible dans cette position reflétant toute sa féminité.
— Véronique ? (elle ouvre grand les yeux) tu es ma tante et je t’aime éperdument
— Hannnc’est ce que je voulais entendre Patrick ! (elle a les larmes aux yeux) moi aussi je t’aimeembrasse-moi (en s’approchant avec les lèvres entre ouvertes) humm (en détachant ses lèvres des miennes après un court baiser) euh là je suis un peu ennuyéemais au départ j’aimerais faire l’amour normalementj’en ai envie. En prenant sa mine boudeuse.
— Tu te rends compte que tu es ma tante qui me demande de se faire sauter normalement (en balayant mes mains à l’intérieur de ses cuisses) si tu parles de cette manière, ça te décoincera. Insinuai-je sans m’opposer à sa délicieuse requête.
— Han ! Tu sais donc que je n’aime pas parler de cette façonen plus avec ce que tu viens de me dire, mais bon j’ai envie (en écartant ses cuisses légèrement) hum-humje parlerai pendant queet je te signale je l’ai déjà faiteuh là tu me caresses le sexe ? Dit-t-elle timidement avec cette fois les genoux écartés.
— Oui et je constate que tu es fin prête (en courtisant le haut de sa fente) ça te déplait ? (elle secoua la tête dans un non affirmatif) c’est beau d’être face à face (en effleurant ses grandes lèvres, Véro ouvrit inconsciemment la bouche) si je continue, je vais t’exciter. Lui dis-je en apposant mon doigt à l’entrée de son vagin.
J’avais changé d’avis concernant cette idée saugrenue. J’avais même été plus que surpris de voir Véro me la proposer, elle d’habitude si pudique. Je la soupçonnais de vouloir se prouver à elle-même qu’elle restait dans le coup, histoire de me démontrer que ma mère avait eu tort sur toute la ligne. En effet, en se mettant à poil, elle jetait aux orties l’image de la femme mûre, voire la mère de substitution imaginée par sa sur, du fait de son âge. Elle se mettait à mon niveau, comme une partenaire d’un jeu sexuel, faisant abstraction par la même occasion de nos dix-huit années nous séparant.
— Tu ne parles plus ma belle (en tournoyant à l’orée de sa fabuleuse rivière à diamants) écarte tes cuisses et bouge ton bassin (ma tante avait les yeux fixés dans les miens et posa sa main sur la mienne) humcomme c’est bon de se faire doigter par ton neveu. En entreprenant une incursion aisée dans sa muqueuse intime.
— Hannnn Patrickeuh ça n’était pas prévu (bredouilla-t-elle en basculant son bassin de l’avant) onon devait parler et (elle ferma les yeux un instant avec mon doigt entièrement introduit en elle) tu ne joues pas le jeutu m’excites Patrickil faut arrêtertu dois arrêter. Soupira-t-elle en haletant.
— Oui je dois, mais tu deviens si belle quand tu commences à jouir (en frottant délicieusement sa cavité) calme-toicalme (en ralentissant considérablement la cadence) on va passer à plus sérieux.
— Désormais, je suis toute excitéetu m’as bien eue (avoua-t-elle visiblement agacée de s’être laissée emporter avec tant de facilité) bon je pense que tu ne vois pas d’inconvénient à ce que me mette en place ? (Véro me dévisagea et se mît sur ses coudes pour m’opposer son somptueux derrière) et je suppose que le spectacle doit te plaire ! faut vraiment que je sois en confiance avec toi pour que tu puisses me voir avec les fesses à l’air ! S’exclama-t-elle, en parlant face au mur.
Avec la lumière tamisée, ses courbes frôlaient une telle perfection que je marquai un temps d’arrêt, conquis par le charme de ma quadragénaire docile. Ma tante devenait une belle poule de luxe, dans cette position osée.
Une lente caresse sur la croupe de ma femelle bien dressée se termina entre ses deux fesses à la peau si blanche. J’entrepris un savant léchage de ses lèvres intimes, agitant ma langue à l’entrée de sa fente. Sans insister, je recueillis avec facilité son délicieux nectar, en m’accordant une incursion vers la pureté de son anus. Elle me suggéra d’utiliser le tube, peu glamour mais indispensable pour cette pratique.
Véronique était bien préparée et tortillait son petit derrière, bouillant d’impatience. Mon sexe était lui aussi chaud bouillant au regard de ma grande blonde, cambrée avec sa paire de fesses à l’air.
Elle était folle à voir avec ses boucles d’or recouvrant son visage. Un mélange de grâce et d’érotisme se détachait dans cette position soumise pour certaines femmes, presque obscène pour d’autres.
En m’introduisant dans son orifice naturel, un long soupir de soulagement s’échappa de sa bouche et Véro, d’elle-même entama un dialogue surréaliste entre une tante et son neveu.
— Hummt’es dur Patrick (soupira-t-elle de m’avoir enfin en elle) c’est agréable de te sentir en moi Dit-elle posée sur ses coudes.
— Oui, je sais que tu aimes ma petite Tatie. En entamant de traditionnels va et vient dans sa source.
— Ma petite Tatie ? tu es bien affectueux et cela faisait longtemps que tu ne m’avais pas appelé comme çahumm continuec’est bonsi bon En me laissant la baiser à ma guise.
Je conservai un rythme paresseux tout du long de cette première pénétration, savourant ce ressenti de mon sexe léchant ses parois intimes.
J’avais une vue aérienne de sa silhouette en X, pure merveille, du fait de l’alignement de ses épaules avec celle de ses hanches.
En la maintenant par les flancs avec ses mèches éparses dans la nuque, je mesurai que la levrette n’était guère flatteuse pour une femme, voire dégradante. Cette position s’assimilait plus à un simple coït animal. En observant bien Véronique qui regardait droit devant elle, j’avais l’impression de copuler, voire d’engrosser une femelle en chaleur, se laissant se faire mettre parce que soumise aux règles de la nature.
Avec légèreté, je me retirai avec quelques regrets nourris pour Véro, qui contracta son vagin au passage.
Je crevais d’envie d’enfouir mon sexe entre sa paire de fesses à la peau de velours. Entrer dans cet endroit relevait d’un péché absolu, mais le faire se devait d’être une sorte d’apothéose dans notre relation incestueuse. Nous le savions pertinemment l’un et l’autre et ma grande blonde me l’avoua avec mon gros sexe aux portes de son paradis.
— Tu saisje ne pensais jamais le faire, mais en plus, si un jour on m’avait dit que ce serait toi (me confessa-t-elle avec sa croupe offerte, bien disposée à m’accueillir) tu fais doucement Patrick Me prévint-elle avec mon sexe gorgé de sang en attente de son feu vert.
— Détends-toi ma grande, tu sais donc que je suis douxlâche-toifais-moi confiance (en guidant l’intrus dans cet orifice peu amène à recevoir ce genre de visite) j’y vais tranquillement, décontracte-toi Véro (ma longue verge débuta une lente procession dans son canal étroit) oui c’est bien ma belle Tatie. L’encourageai-je avec mes deux mains plaquées sur chacune de ses fesses.
— Tu t’y prends bien (mon sexe faisant de menus allers-retours au départ) tu ne forces pas, tu es doux (tandis que je contemplai, fasciné, mon gros pénis disparaître dans le formidable cul de ma tante) oh là là ! quand je pense à ce que l’on fait Marmonna-t-elle, en restant néanmoins crispée de peur d’avoir mal.
Véro conserva son attitude avec la tête penchée et en restant sur ses coudes. Cette posture indiquait que dans l’instant, ma grande blonde ne faisait que subir avant de passer à la deuxième phase. Cette première étape s’avérant cruciale, je redoublai de précautions pour instaurer une confiance purement mécanique. Je me délectai bien entendu, du spectacle peu commun de m’offrir le derrière de la petite frangine de ma mère, laquelle émit un abondant soupir du fait de mes caresses sur le bas de son dos. Elle les assimila à l’achèvement du premier cycle que je qualifiai de mise en confiance.
Avec une certaine apathie, je manuvrai en elle et ma belle quadra se retourna avec des mèches en pleine figure, culpabilisant de s’adonner à cette pratique honteuse, voire inconcevable entre une tante et son neveu.
— Ce n’est pas la première foismais tu avoueras qu’on exagère quand même (me murmura-t-elle en reprenant sa posture initiale, le visage face au mur) je suis un peu gênée en ce moment Dit-elle en se parlant presque à elle-même et en évoquant des futilités pour tenter de se disculper dans cet acte, assimilé au péché par l’église toute puissante.
— Véronique, t’as un cul sublimec’est un régal de le faire, surtout avec toi (en la saisissant fermement par les hanches) c’est fabuleux de le faire avec toi, mais tu es encore étroite. Lui fis-je remarquer en me calant au fond d’elle, pour sentir ses fesses contre mon bas ventre.
— Mais tu sais donc que tu es le seul mec qui me fait caet puis en plus(elle soupira à nouveau un grand coup)j’aime que ce soit toi (en prenant son ton enfantin)jej’aime que tu me prennes comme çaj’aij’ai l’impression de t’appartenir Bredouilla-t-elle en me confessant ses pensées profondes.
— Alors tu serais ma chose, mon petit caprice(je me mis à l’arrêt et Véro tortilla son petit derrière pour manifester son contentement)montre-moi que tu m’appartiens en bougeant toi-même (sans répondre, elle balança son corps d’avant en arrière, puis se cambra et s’immobilisa)tu es joueuse, je vais te rendre joyeuse ma toute belle Lui dis-je en contemplant son cul d’enfer et en me retirant en créant un mécontentement.
— Mais qu’est-ce que tu fous ? viens (elle allongea ses bras sur les draps défaits, affichant sa croupe sans aucune retenue) tu veux me faire languir (la pointe de mon sexe effleura ses lèvres intimes pour remonter vers la pureté de son anus luisant) baise-moi encore M’implora-t-elle en usant de mon langage pour me provoquer.
Véro frisait l’obscénité, l’indécence dans une telle posture. Elle manifestait clairement son désir impérieux de se faire posséder. Elle avait créé une sorte de jeu entre nous, en devenant la femelle soumise face au mâle conquérant.
Dans son subconscient, notre relation incestueuse provoquait chez elle des émotions exacerbées, comme elle s’était plu à me le dire auparavant.
Elle était plus qu’une simple partenaire désireuse de relations sexuelles, du fait de notre consanguinité dans son statut affirmé de tante avec moi-même. En bref, elle éprouvait des remords, une honte passagère pour y substituer durant l’acte, un plaisir sans limite avec le fiston de sa frangine.
Ce fut tout le paradoxe de son état d’esprit.
En terrain conquis, j’entraînai mon sexe dans le tourbillon de son cul, par une entrée peu rapide, provoquant chez elle une marée de mots.
— Ohoh ouij’aime quand tu fais comme ça (en chaloupant mon bassin s’apparentant à un slow) hummmplus fort Me souffla-t-elle en expirant fortement.
— Oh la vache ! t’as un de ces culs ! (en entamant de longs coups pour ensuite m’en éloigner) t’aimes quand c’est ton neveu ! M’exclamai-je en plongeant à nouveau ma longue verge dans son orifice devenu accueillant.
— Hannhannn (haleta-t-elle sous mes assauts répétitifs) j’aime ! vas-y.baise-moi fort M’ordonna-t-elle, totalement cambrée pour me recevoir le plus profondément en elle.
— Tu aimes maintenanttoi qui ne connaissais pas (je la pénétrai sans retenue en pétrissant ses fesses à pleines mains) je suis le seul à baiser ton si beau cul Lui dis-je en oubliant le mode chaloupe pour m’étendre sur elle.
— T’es bien le seul (répondit-elle le visage affalé sur le lit) humhumm j’adore (ajouta-t-elle après lui avoir glissé mon bras sous son ventre doux) oh ouiiiiouiiii ! S’écria-t-elle en s’agrippant au drap.
Véronique se mît à jouir intensément en poussant de longs râles. J’avais en effet câliné son point sensible pour me contracter en elle par la suite. Une vive émotion s’était également emparée de moi et après l’orage, nous restâmes immobiles. Avec peine, je me redressai, presque rêveur face à son cul féerique.
Une euphorie toute égoïste m’envahit quand ma tante recouvra ses esprits.
— Hannlà t’as fait fortjeje n’arrive plus à parlerhan c’était supersuper Bafouilla-t-elle posée sur ses coudes, mon sexe immobile au fond d’elle.
— J’espère que tu n’as pas réveillé les garçonstu as poussé un de ces crisje t’ai déjà entendue jouir, mais cette fois, tu t’es complètement lâchée Véronique. Lui dis-je, mes mains posées sur sa croupe en la baisant à nouveau.
— Oh mon dieu ! Tu crois qu’ils ont entendu ? S’interrogea-t-elle en relevant sa frimousse, lui procurant une allure à nouveau féline.
— Nonje ne crois pas (lui dis-je en me considérant comme un privilégié, du fait de poursuivre mes mouvements entre sa paire de fesses diaboliques) bah je dois bien t’avouer que tu es une tante peu commune ! En lui infligeant un coup de rein final.
— Hann ! hum c’était bonet je dois reconnaître que tu t’y prends super bien (en trémoussant son petit derrière) han j’aime tellement baiser avec toi Patrickj’en ai presque honte de te dire çaet puis on l’a dit, on partage tout dorénavant et je n’ai pas peur de te dire que (elle tourna la tête pour m’apercevoir) bah c’est encore plus excitant pour moi de savoir que c’est toi ! han continue encore un peu à me baisert’es encore tout dur Soupira-t-elle en baissant la tête avec des mèches en plein visage.
En toute humilité, nous pouvions qualifier cet instant de magique.
Mais prise de remords à la fin de notre ébat, elle quitta la chambre pour s’assurer que ses enfants dormaient. Ce fut le cas et la question ne se posa pour Hugo, perdu dans un profond sommeil. De retour, elle fit une toilette rapide et me proposa de griller une cigarette au salon, prétextant qu’il n’était pas tard. J’acceptai volontiers et toute épanouie de s’être faite baiser, elle n’enfila que sa chemise de nuit.
Détendue sur le canapé et la chemise au vent, elle alluma sa cigarette, oubliant le cendrier. Bon prince, j’allai lui en chercher un et au retour, j’eus le choc.
Véro avait conservé des seins vigoureux et laissait apparaître ses longues jambes croisées aux chevilles élégantes. Sans le savoir, elle était irrésistible avec ses cheveux en bataille et terriblement sexy dans cette tenue, à moitié dénudée.
Sans rien y comprendre, je pus lire sur son visage son étonnement de me voir m’accroupir au bas du canapé. Dans un grand soupir, elle se décida à décroiser ses jambes, tout en manifestant un agacement certain.
— Patrick, j’aimerais fumer tranquillementet tu me l’avais déjà fait une fois à Bordeaux (elle écarta néanmoins les cuisses tout en causant) ne me dis pas que tu ne t’en rappelles pas ? En expirant une bouffée de cigarette.
— Si (en caressant ses mollets) je m’en rappelle (je poursuivis par un effleurage de ses hanches, tout en parsemant de baisers son bas ventre) avance un peu. Lui suggérai-je.
— Patrickce que tu peux être chiant quand tu t’y mets ! tu sais ce que signifie le mot non ? (rouspéta-t-elle en se mouvant au bord du canapé) en plus, je n’en ai pas envie (j’osai lui sourire en posant ma bouche sur le haut de son intimité) je trouve que tu pousses un peuet on en a bien profité ce soir (elle ne broncha pas quand ma langue lui lécha ses grandes lèvres, encore humides de sa toilette) je termine ma cigarette et on monte, je te préviens. Dit-elle en tapotant sa clope dans le cendrier.
— C’est plutôt flatteur de se sentir autant désirée (elle monta les yeux au ciel en secouant la tête) hum, tu sens bon et ce que tu peux être mignonne (je pourléchai son intimité, en passant accessoirement autour de son clito pour entamer de lents mouvements de bas en haut) Véronique ? t’es une nana adorable. Lui murmurai-je en caressant son avant-bras, alors qu’elle éteignait sa cigarette.
— Oh tu parles de moi en nana et tu dis que je suis adorable parce que je me soumets à tous tes caprices(elle soupira un court instant et me fixa du regard)tu sais y faire avec moi..(ma langue tournoya paisiblement à l’entrée de son vagin et sa main rejoignit la mienne)hannn Patrick(connaissant ma tante par cur, je m’immisçai dans sa muqueuse vaginale, lui procurant ses premiers frissons)hummm, t’es complètement foufranchement, tu.hann !tu exagères un peu En écartant désormais davantage ses jambes fuselées et en plaçant ses pieds délicieux sur la table.
— Oui tu as probablement raison (en continuant à agiter ma langue, j’aperçus un léger rictus sur son visage) tu as toujours raison Véronique (j’aspirai ses lèvres intimes et elle poussa un petit cri au moment où je me mis à butiner le haut de sa fente trempée) tu as vu, j’y vais délicatement En lui léchant entièrement son sexe, ma blonde exulta.
— Hannnsalaud ! (elle écrasa son mégot et souleva les jambes pour se faire entièrement lécher sa longue rivière à diamants) Patrickt’es fouhannnouiioui.
Le pauvre cendrier était resté sur le canapé, sans retrouver sa place initiale. Une petite heure s’était écoulée depuis notre dernière étreinte et je pus constater avec bonheur que mon sexe avait retrouvé de sa vaillance. Mais avant d’entreprendre une quelconque action, je commandai à mon membre d’attendre un accord de principe, de ma quadra resplendissante.
Peu à peu, mon rythme se ralentissait pour sonner le glas de mon cunnilinctus et Véro était à toute disposée pour un nouvel accouplement.
Je restai immobile entre ses cuisses, fasciné par son style débraillé. Elle cessa de me broyer la main et m’adressa un sourire pour enchaîner.
— T’es un sacré lascar ! (elle me regarda me lever, en jetant un coup d’il là où il fallait) hann mais tu es donc infatigable Patrickje te plais tant que ça ? (elle se leva à son tour en ne sachant que faire) euh que fait-on ? on monte ? S’interrogea-t-elle, hyper sexy avec sa chemise ouverte et ses seins en alerte.
En fait, ma tante se retrouvait dans une sorte de cul de sac. Elle qui m’avait reproché mon comportement plus que déplacé au départ, hésitait quant à sa conduite à tenir. A vrai dire, je ne lui facilitais pas la tâche en adoptant une attitude passive. Force fut d’avouer qu’elle était diablement excitée et face à mon attentisme, elle déposa les armes tout naturellement.
Avec un regard coquin, elle laissa choir sa chemise de nuit d’un geste de l’épaule et me fit signe de faire la même chose avec mon caleçon, puis elle m’enlaça avec tendresse.
— Tu as toujours ce que tu veuxeuh tu as encore envie de me baiser si j’ai bien compris ?(en me faisant un smack au passage) bon, les enfants dorment mais on ne fait pas de bruit, alors assieds-toi (je haussai les sourcils, en guise de réponse en m’installant sur le canapé)hum-hum, Patrick, on ne va pas faire ça tous les soirs ? (elle posa ses mains sur les hanches, explosive de sensualité) je n’arriverai pas à suivre ton rythme ! S’agaça-t-elle en me faisant face.
Véro était à poil, elle se tenait bien droite, le buste en avant avec ses seins aux aguets. Elle avait un physique incroyable, d’une harmonie parfaite. Avec son ventre plat et son sexe épilé, elle symbolisait la belle femelle et ses petits cernes renforçaient sa maturité. Bref, ma tante était gaulée comme une reine et je n’avais plus qu’une idée en tête en l’observant ainsi.
Je repris son pseudo effarement concernant notre cadence sexuelle.
— Disons que c’est exceptionnel (en lui prenant la main pour l’attirer sur moi) tu me plais trop, ça reste tellement génial avec toi ! M’exclamai-je.
— Tu parles ! Tu ne penses qu’à me sauter ! bon, tu veux que je vienne sur toi ? (rajouta-t-elle en me chevauchant, puis en saisissant mon sexe, sans attendre ma réponse) etenfin toi aussi, tu sais donc que tu me plais (elle posa ses mains sur mes épaules et se coula avec aisance en moi) hannnntu sais que tu vas finir par me rendre folle ? humm c’est bon (dit-elle dans un soupir en fermant brièvement les paupières durant la pénétration) et tu as intérêt à bien me baiser Me prévint-t-elle en penchant sa tête vers moi, bouche ouverte à la recherche d’un baiser.
— Je t’ai toujours très bien baisée (en passant mes mains tout le long de son dos) j’adore t’avoir dans cette position, t’es super excitante Véronique. En lui pelotant son formidable cul et en suçant une à une, chaque pointe de ses seins.
— Oui moi aussi (elle m’enlaça dans un besoin de tendresse pour me rouler à nouveau une pelle) tu n’oublies pas qu’il ne faut pas faire de bruithannnoh oui (fit-elle quand je pressai son bas ventre contre le mien pour la pénétrer davantage) humm, c’est bon d’avoir mon neveu en moilaisse-moi un peu faire. Me chuchota-t-elle en berçant son bassin, tout en restant agrippée à moi.
— Continuec’est dingue comme je me sens proche de toi en ce moment (en le lui disant, Véro mit ses bras sur mes cuisses en souriant) oh merde (!)qu’est-ce que t’es belle. M’émerveillai-je en la regardant toute à poil, toute à moi, de bas en haut.
— Patrickau début, je n’aurais jamais été capable de faire ce que je fais ! Là je te montre vraiment tout (elle se cambra en prenant une mine boudeuse, affichant son sexe engloutissant le mien) et je vois que tu ne loupes pas une miette du spectacle ! han ! quand je pense que je fais ça devant toi et que j’aime que tu me regardes (je caressai ses cuisses, puis ses flancs en l’écoutant) ça t’excite, ça t’excite de voir ta tante à poil sur toi ? En me fixant du regard, attentive à ma réponse.
— Oh oui tu m’excitesparce que t’es une vraie coquine ! En lui laissant toute liberté dans ses mouvements.
Force fut d’avouer que Véronique faisait preuve d’une habilité redoutable. Il y avait un aspect pornographique indéniable dans la posture qu’elle avait adoptée. Mais à force de la voir chalouper son bassin, les corps caverneux de mon sexe remplirent leur devoir et ma tante s’en aperçut, ou plutôt le ressentit graduellement.
Elle ne me quitta pas des yeux durant ma jouissance, en accentuant sa cadence et en respirant de plus en plus fort. Durant des secondes paraissant éternelles, elle se contint pour exploser par la suite, en se redressant en belle femelle docile, le buste en avant. Elle tressauta durant mes derniers spasmes, en s’accrochant à mon cou, mes épaules et même à mes cheveux. Je l’encourageai à parler durant sa jouissance, pour percer le fond de ses sentiments les plus intimes.
— Alors Véronique ? c’est bon avec ton neveu En pétrissant ses fesses comme un malade.
— HannnHannnouiiiiii (elle m’embrassa goulûment en prenant mon visage entre ses mains) je t’aime Patrick ! hummcaresse-moi, caresse-moi Dit-elle en se collant à moi, comme si elle avait peur de me perdre.
— Du calme ma grandedu calme, savoure ta jouissance (elle prit du recul avec sa poitrine en avant et me fixa intensément) reprends ton souffle, respire, respire Lui conseillai-je en lui dégageant le visage de quelques mèches.
— Jeje respire, ça va allerhan Patrick, avec toije ne sais plus quoi dire (en me tenant par les épaules, sublime de féminité) il fautil faut quand même qu’on se calme nous deux ! mais tu as raison, je prends un pied par possible en baisant avec toiet surtout pa
