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Piégé dans ma boïte – Chapitre 3




J’entre dans le bureau de Jasmine. Comme tout responsable Marketing d’un grand groupe qui se respecte, celui-ci est spacieux, harmonieusement agencé, avec des authentiques uvres d’art, tableaux de maîtres sur les murs, et même une magnifique sculpture assez suggestive sur une table basse. En plus d’être une femme sportive, Jasmine a la réputation d’être très cultivée

« Entrez Félix, asseyez-vous je vous prie, j’ai quelque chose à vous montrer »

Je remarque dans son sourire magnifique et dans son regard un je ne sais quoi d’un peu bizarre, d’un peu carnassier qui me met mal à l’aise, mais bon je m’assois.

« Voilà, j’ai bien remarquée que souvent vous quittiez tard le bureau, je croyais que vous étiez quelqu’un de travailleur, mais là, j’avoue que je suis assez surprise par le genre de besogne que vous pratiquez »

A ma grande surprise, Jasmine tourne son écran vers moi et me montre une image de vidéo surveillance. Je me vois les fesses à l’air en train de donner de grands coups de reins entre les cuisses de la femme de ménage

Je suis pétrifié de terreur, aussitôt une sueur froide envahit toute mon échine, je dois être livide

Jasmine me regarde d’un regard froid, sinistre, je vois une lueur cruelle dans ses yeux.

« Vous vous rendez compte de ce que vous faites Félix ? Des relations sexuelles pendant vos heures de travail ? C’EST UNE HONTE ! UNE HONTE !!!!

— Mais, mais, ma’.. madame, vous n’avez pas le droit. C’est interdit de filmer les gens quand.. quand ils sont au travail

J’essaie de m’en sortir comme je peux, mais je suis pétrifié de peur et de honte et je bafouille, Jasmine de se lève et furieuse, elle tape son poing sur le bureau.

— ET VOUS M’ACCUSEZ EN PLUS ?! NON MAIS JE REVE !!!! ALLEZ DONC RELIRE VOTRE CONTRAT DE TRAVAIL ! Vous y verrez que dans nos statuts, les employés peuvent être surveillés pendant leur temps de travail. Relisez aussi le règlement intérieur que vous avez signé, jeune homme. Vous y verrez que les employés doivent avoir un comportement en tous points irréprochables. Tout signe de discrimination, de harcèlement ou tout comportement indécent doit être sanctionné immédiatement

Un long silence, je commence à m’effondrer les larmes me montent aux yeux

— Je, je en fait c’est arrivé après les heures de travail, et elle était d’accord, donc, c’est pas du harcèlement, madame, je suis désolé désolé, vraiment désolé.

— FOUTAISES  FELIX ! Quand le directeur apprendra cela, vous serez licencié sur le champ pour faute lourde, sans indemnités, et vous serez poursuivi au pénal pour agression sexuelle

Là je fonds en larmes. Mais Jasmine reste impassible

— Vous me faites honte ! et arrêtez de pleurnicher comme cela ! Allez-vous assoir à côté, je dois réfléchir un peu Allez ! Allez !

Je me lève péniblement, je me traîne tel un condamné à mort vers la table basse et me pose sur le petit sofa. Je renifle, je me mouche, j’essuie mes larmes, je reprends mes esprits. L’air hébété, je contemple la sculpture un peu bizarre. Ce bronze abstrait suggère deux corps s’enlaçant dans une intense étreinte, ni féminin, ni masculins,

« -Tenez prenez ! Jasmine que je n’avais pas vu revenir me tend un verre contenant un liquide oranger. A l’odeur je devine assez rapidement du whisky, je fixe Jasmine d’un air interdit

— Vous êtes en état de choc Félix ! Buvez, ça va vous faire du bien

Elle s’assoit juste à côté de moi. Le ton de sa voix n’est plus du tout la même. Autant elle rugissait d’autorité il y a quelques minutes, la voilà maintenant toute maternelle, me murmurant doucement à l’oreille.

— Ca m’embête bien Félix cette histoire, si vous saviez Vous êtes un bon élément, je le vois bien ! Toujours dévoué, toujours aussi disponible, toujours aussi serviable

J’avale le whisky cul sec. Mais je ne suis pas du tout détendu pour autant, car voilà maintenant qu’elle passe sa main autour de mon épaule

— On a besoin de vous ici Félix. Je sais bien que vous pouvez encore tellement nous apporter si vous faites bien ce que l’on vous demande. Ce serait dommage de nous séparer de quelqu’un comme vous.

Ses lèvres sont presque collées à mon oreille, je sens le souffle délicat de son haleine, sa main qui me caresse maintenant mon bras et mon épaule. Elle me mordille doucement le lobe de mon oreille. Je me retourne, et elle me fait un large sourire. Je penche ma tête pour tenter de l’embrasser, elle s’esquive et se relève avec un grand sourire énigmatique.

Elle se rassoit lentement sur le fauteuil juste en face de moi. Elle me fixe droit dans les yeux, tout en gardant son sourire éclatant. Je suis figé, paralysé, totalement sous son emprise, je la regarde fasciné. Avec des gestes amples d’une lenteur calculée, elle croise et décroise ses immenses jambes, faisant crisser ses bas résilles.

Elle pointe son pied droit vers mon torse. Avec la pointe aigüe du talon de son escarpin, elle décroche un bouton de ma chemise.

« Allez Félix, il faut que vous détendiez un peu maintenant, mettez-vous à votre aise, enlevez moi ça. »

Avec des gestes précipités et brouillons, j’enlève prestement ma chemise et la jette par terre. Jasmine en profite pour me piquer mon torse et mon ventre. J’ôte alors sa chaussure et lui masse son pied. J’approche ma bouche et j’entreprends de lui lécher les orteils tout en lui caressant sa jambe et son genou. Jasmine ferme les yeux et gémit de plaisir.

« Ouiiiii c’est bien Félix, continuez comme ça, c’est bien ce que vous faites »

Tout en continuant à explorer son pied avec ma langue, je glisse une de mes mains sur ses cuisses et tente de descendre vers son entrejambe. Jasmine me donne une vive claque sur ma main trop baladeuse, et tout en gardant les yeux fermés et gémissant, elle me dit :

« Non ! Félix ! Pas si bas ! Vous ferez ce qu’on vous dit ! Allez plutôt vers le réfrigérateur, prenez la bouteille de champagne et ramenez deux flûtes. »

Evidemment je m’exécute et à mon retour, je pose les deux flûtes sur la petite table et je commence à ouvrir la bouteille.

« Non Félix, avant d’ouvrir la bouteille, je veux vous voir tout nu. Enlevez votre pantalon. »

Je me mets à poil, Jasmine ne perd pas une miette de mon effeuillage, j’enlève mon slip, montrant mon sexe en érection, elle se pince ses lèvres et introduits sa main dans sa culotte. Elle commence à se caresser la chatte tandis que je fais sauter le bouchon et rempli les deux flûtes.

Elle attrape une flûte bois une gorgée et me regarde. J’ai vraiment l’air d’un nigaud, debout, complètement à poil avec ma bite dure comme une poutre.

Jasmine attrape ma flûte en renverse un peu de son contenu sur le sol.

«  petit cochon maladroit ! mettez-vous à quatre pattes et nettoyez ce que vous avez laissé par terre. »

Je lèche la petite flaque, Jasmine me caresse la tête et les épaules avec ses pieds tout en continuant à se masturber. Elle retire sa culotte, enlève ses bas résilles et les jette sur moi pendant que je continue de laper le sol. Une fois mon travail de nettoyage accompli, Jasmine coince ma tête entre ses deux pieds et me jusqu’à mettre mon nez au niveau de sa chatte. Elle reverse alors un peu de champagne au niveau de son petit duvet jaune poussin.

« Hé là ? petit cochon ? c’est sale aussi, il faut tout nettoyer ! Allez »

Je vois les petites bulles éclater joyeusement entre ses poils pubiens et à l’intérieur de ses lèves ouvertes. Au comble de l’excitation, j’engouffre mon visage entre ses jambes et je me régale du cocktail salé préparée par ma maîtresse. Elle enfonce ses ongles pointus dans mes cheveux et griffe mon cuir chevelu.

Elle me coince ainsi pendant très longtemps, régulièrement elle reverse un peu de champagne entre ses cuisses, lubrifiant sa chatte, éclaboussant un peu mon visage, m’invitant à continuer mon lappage frénétique. Jasmine se contorsionne, à ses coups de griffes sur mon, crânes, à ses mouvement de jambes qui me serre le cou, à ses gémissements, ses halètements, je comprends qu’elle monte petit à petit vers la jouissance

« Oooooh ! C’est bien ce que vous me faites Félix ! Allez lèche moi encore petit ! Ooooooh c’est bon, c’est bon, c’est bon, Ooooooh continuez continuez ! Encore !

Elle monte, elle monte, et elle finit par hurler sa jouissance

« OUUUUUIIIIII ! OUUUUUIIIII !!!! . Oui ! c’est bien petit Félix a bien léché le minou »

Elle repousse doucement ma tête. Elle me regarde dans les yeux, cette fois avec un sourire doux et tendre, elle a l’air comblée, reposée, sereine. Moi avec mon visage tout barbouillé du mélange de ma salive, de son liquide vaginal et du champagne, je ne dois pas ressembler à grand-chose.

Je me relève et j’avance mon bassin vers le sien. Mon sexe est plus raide que jamais et j’ai bien l’intention de la pénétrer

Encore une fois elle me repousse, elle se redresse sur sa chaise et attrape mon sexe de sa main et me fixe du regard.

« C’est moi qui décide Félix ! Où, quand et comment ! Compris ? »

Avec ses ongles et me pince le bout de mon gland et me tire doucement les testicules. Je gémis, de douleur mais aussi de plaisir.

« Vous avez bien travaillé aujourd’hui toutefois Félix. Oubliez cette histoire de femme de ménage. Cette petite conne a profité de vous dans un moment de faiblesse. Je vais m’en occuper pour que cela ne puisse vous nuire

mais pour cela, vous devez m’obéir en tout. C’est moi votre maîtresse, pas cette petite souillon. Compris Félix ?

— Oui  Maîtresse (elle tire de plus en plus fort sur mes testicules, et malgré cela j’ai une folle envie d’éjaculer)

— Bien Félix, bon petit chat, il a bien mérité sa petite récompense »

Elle pose ses lèvres sur le bout de mon sexe, et tout en me regardant dans les yeux, elle caresse mon gland avec la pointe de sa langue. Elle continue à me toucher les couilles, avec cette fois un peu plus de douceur ; avec son autre main elle caresse mes fesses et introduits un ongle autour de mon orifice arrière.

Sans me lâcher du regard, d’un côté elle me suce de plus en plus vite et de l’autre elle explore mon anus.

Je suis au comble de l’excitation je me mets à beugler comme une vache, Cela fait rire Jasmine qui accélère encore. Au moment le plus fort, elle retire vivement sa bouche, caresse énergiquement ma bite. Trois grosses giclées de sperme bien chaudes se répandent sur la moquette.

«  c’est bien Félix, c’est bien tu as de la force, bon allez maintenant, tu dois me nettoyer tout cela »

Elle me met à quatre pattes et me force à lécher le foutre que j’ai répandu sur le sol. Je m’exécute comme le petit esclave que je suis devenu, je n’ai plus de volonté propre. C’est une drôle de sensation d’avaler son propre sperme. Mais ce n’est pas tout ; pendant que je suce la moquette, voilà qu’elle introduit un objet dans mon trou de balle.

« Allez Félix, continuez à nettoyer le sol, moi je nettoie votre petit cul » 

Elle appuie sur un bouton et le petit vibro qu’elle m’a enfoncé commence à vibrer. Ca alors, je suis en train de me faire sodomiser ! Et le pire c’est que j’adore ça et je me remets encore à beugler comme une vache

Du coup, je me remets à bander. Jasmine me souris, elle me branle le dard, histoire de bien le rigidifier à nouveau. Quand celui-ci est bien dur, elle retire le vibro de mon derrière et m’allonge sur le sol. Elle m’enjambe et s’accroupi sur moi. Avec ses doigts habiles elle attrape ma bite et la fait glisser dans son vagin tout humide. Une fois bien empalée, Jasmine ondule doucement son bassin. Mon plaisir est total, je suis si bien entre les jambes de Jasmine, et cela dure longtemps très longtemps.

Jasmine accélère ses ondulations, Elle prend mes mains et les pose sur ses seins afin que je puisse les caresser, elle finit par crier un nouvel orgasme. A mon tour, je lâche deux petites giclées dans son ventre

Elle se relève et commence à se rhabiller en me souriant. Complétement épuisé, je me relève et me rhabille de même.

Elle me claque les fesses et avec son grand sourire, elle me dit :

« Bon laissez-moi maintenant Félix ! Je vous remercie pour votre assistance. Vous avez bien travaillé sur ce dossier. Et j’ai bien vu que vous aimiez cela. Maintenant, que ce soit clair, vous êtes ma chose, vous êtes mon petit chien. Quand je vous appelle, vous venez, quand je claque des doigts, vous vous mettez à genou. Vous ferez toujours ce que je vous dis, ce sera toujours moi qui dira où, quand et comment Compris Félix ?

— Oui madame.

— vous êtes mon petit chien ?

— oui madame.

— Ta bite et ton cul n’appartienne qu’à moi c’est clair ?

— oui, madame à vous seule ?

— Bien, vous êtes un bon petit chien. Quant à la petite salope de femme de ménage, vous l’oubliez. Je vais m’arranger pour qu’on la licencie et qu’elle ne traine plus sur le secteur. Allez dégagez maintenant Félix, allez reprendre des forces. »

Epuisé, humilié, vidé, mais heureux, je quitte son bureau

C’était là le début d’une longue série

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