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Seconde session chez Bonne-Maman – Chapitre 1




Javais 20 ans et passais les grandes vacances chez mes grands-parents paternels, histoire de bloquer tranquillement pour la seconde session de septembre.

Et tranquille, je létais car mes grands-parents habitais une belle demeure, en province, avec un grand jardin et totalement à lécart du village et de la grand route. Là, jétais dorloté par les parents de mon géniteur, logé, blanchi et nourri. Une petite vie de moine qui réussissait relativement bien à mes études mais qui provoquait également une certaine frustration sexuelle que je comblais tant bien que mal par des multiples masturbations quotidiennes. Fantasmes nourris par les copines de fac de lannée écoulée que jespérais me faire lannée suivante, mais aussi par de petites lectures coquines de certains livres de mon grand-père, notamment Sappho de Pierre Louÿs. Pour ceux qui connaissent, ce sont les tribulations dune pucelle initiée aux amours saphiques par une femme plus âgée. Il va sans dire que ces historiettes, gentilles pourtant, nourrissaient outre mesure mon imagination fertile.

Mon grand-père, docteur à la retraite, aidait encore son successeur et avais pas mal dactivités liées à son métier, tels que séminaires, conférences,ce qui fait quil passait pas mal de temps à lextérieur.

Je me retrouvais alors seul avec ma grand-mère, que jadorais plus que tout. Elle avait 15 ans de moins que mon grand-père, navait jamais vraiment travaillé et portait ses 65 ans avec une élégance rare. Elle avait en outre un buste des plus affriolants, tellement engageant que mes potes men parlaient souvent. Et dailleurs, lorsque je faisais une pause et quon prenait une tasse de thé, je me plaisais toujours à me laisser aller dans ses bras, elle me racontant les histoires de famille, pendant que je jouissais, les yeux fermés, de la douceur de cette poitrine énorme et généreuse. On en restait là, mais il arrivait souvent, après la pause-thé, de rejoindre mes appartements et de me branler frénétiquement.

Un jour, je me lève un peu plus tôt que dhabitude et tombe sur la porte de salle de bain, entrouverte. Quy vois-jema grand-mère, faisant sa toilette, en tenue dEve. Et là, choc frontal, car jen rêvais mais je nimaginais pas quelle avait encore de tels atouts ! En réalité, je ne vis rien dautre que cette énorme poitrine, lourde mais encore ferme, se balancer, avec deux tétons qui auraient dû sappeler tétines. Je me décollai tant bien que mal de ce spectacle et remontai dans ma chambre de moine.

Laprès-midi, seul avec elle, je lui demandai de mappliquer un peu de crème solaire avant daller faire un peu bronzette avec un syllabus. Elle me mit de la crème, de manière tout à fait chaste mais je lui dis quelle avait des doigts de fée, bien plus doux que beaucoup de mes copines. Elle me traita de vil charmeur, rigola et referma le tube de crème.

Le lendemain, pas délément nouveau, mais je lui dis que je voulais faire une petite sieste et lui demandai de venir me réveiller vers 15h, histoire de ne pas rater toute mon après-midi détude. En réalité, je ne parvenais pas à dormir, tout tendu par les « événements » (sans doute des non-événements aux yeux de ma grand-mère, mais bon) de la veille. Je ne parviens pas à dormir. Un peu avant 15h, je décide de me mettre nu dans mon lit et dattendre ma grand-mère comme ça. A lheure dite, elle monte les escaliers, sapproche de ma chambre et commence à me dire gentiment de me réveiller. Habituellement, elle entrouvre la porte de la chambre et ne va pas plus loin mais là, je feins ne pas me réveiller et elle est obligée de sapprocher du lit. Lit sur lequel, je suis couché, à moitié couvert par un drap blanc. Jétais à lépoque pas mal bronzé et surtout bien bâti par des années de gymnastiques aux agrès. Je la sens sapprocher mais aussi sarrêter et me regarder. Je bouge un tout petit peu, histoire de dévoiler un petit peu mon sexe, bandé comme un arc. Elle ne bouge toujours pas et finit par sapprocher, me touche le front, tentant de me réveiller tout doucement. Je feins une sortie difficile de sommeil et agrippe sa main, doucement et le tiens contre mon visage. Elle nose pas trop bouger. Je remonte progressivement et la tire en même temps vers moi en lui disant, « merci bonne-maman, comme tu es douce, comme tu sens bon ». Elle se retire un peu mais pas tout à fait et je parviens à couvrir son cou de petits bisous, avant de mapprocher de ses lèvres. En même temps, une main se pose sur ses seins. Je commence à lembrasser, elle recule à peine, elle sent le thé au jasmin, elle a une petite langue, douce mais fouineuse. Je ne tiens plus, je déboutonne son chemisier, elle nen croit pas ses yeux, je le vois à son air mais est subjugué par ce corps de jeune homme qui semble la désirer, ce qui ne doit plus arriver tous les jours.Je tombe sur son soutien à lancienne, tète à travers lépaisse dentelle des tétons dardés par lenvie. Elle veut marquer une pause, je ne veux pas quelle reprenne ses esprits car je sens que cest une situation unique. Je lui montre alors ostensiblement mon dard, érigé, 19 cm et très épais. Là, elle nen peut plus, elle touche cet objet, le palpe, le décalotte, semble admirative, avant de le lécher de cette petite langue dont je vous ai déjà parlé. Et puis, elle lengloutit. Je naurais pas cru cela possible car bonne-maman na pas ce quon appelle une « bouche à pipe », comme quoi.Et là, cest le délice suprême, car cette fellation est tellement meilleure que celles que moffrent les copines de fac, elle prend son temps, parcourt toute la zone, de lanus au gland, avec délectation et amour. Pendant ce temps, ma main ne perd pas de temps et je tente une première visite sous la jupe plissée. A nouveau, une culotte assez épaisse mail il men fait bien plus pour marrêter et quelques secondes plus tard, je parviens à faufiler mes doigts, puis ma langue sur ce sexe trempé, velu et tout blanc (grande première pour moi, mais pas vilain). Son odeur nest pas très forte mais très enivrante, je comprends à présent ce que dit le kama-sutra sur leffet du thé sur les effluves vaginalesLe stade de non-retour est dépassé, ma grand-mère nen peut plus, elle veut sentir ce sexe, fût-il celui de son petit-fils, lui pénétrer dans la chair. Et cest ce qui se passa, avec une volupté incroyable, une tendresse folle, mon sexe se glissa comme par enchantement dans cette caverne plus que sexagénaire. Elle me serra contre elle, comme un petit-enfant (tiens donc), et cest dans un spasme quasi synchronisé que nous avons joui, crié et sommes retombés.

Les sessions dexamens ont alors eu lieu, jai réussi à un fifrelin, assez pour y retourner lannée suivante. Avant les vacances suivantes, nous retournons de temps en temps chez eux et je marrange pour laider à la cuisine, elle me masturbe, membrasse, ma laisse la caresser. Cest sensuel mais assez frustrant en même temps.

La suite si je sens un certain intérêt

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