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Véronique au bureau – Chapitre 4




Un nouveau passage à la salle de bain s’impose, pour se culotter d’un lycra blanc, seins nus, jean moulant, blanc, un chemisier blanc, qui voile à peine ma petite poitrine nue, dont mes mamelons pointent déjà, fortement. Un coup de brosse, un élastique pour assembler mes cheveux et faire une queue de cheval. Ah !! Jallais oublier !! Mon lycra blanc, que j’ai abandonné dans la salle de bain et qui est imprégnée de ma glaire, ce n’est plus qu’un morceau de tissus souillé d’auréoles de glaire, encore bien gluante.

Je le glisse au fond de mon sac de cuir noir, avec une idée bien précise.

Ça va, je ne suis pas trop en retard !! C’est parti, pour une journée de travail, mais surtout, d’émotions, car, je suis bien décidée à franchir le pas. J’arrive dans le hall de l’immeuble, et quelle surprise, lorsque ma voisine de ce matin sort de son côté, par l’ascenseur.

Toutes les deux en même temps, dans un même regard, nous nous exclamâmes d’un Ho !!! Bonjour !! Pour finir dans un fou rire. Elle posa sa main droite sur mon épaule, pour m’attirer jusqu’à elle. Me faisant une bise aux commissures des lèvres. Sans même regarder si nous sommes seules, je lui réponds par un baiser du bout des lèvres.

Excuse-moi… Je… Je me suis un peu emportée…

Ne t’excuse pas, c’est certainement l’émotion de cette fin de nuit… Moi, c’est Virginie… et mon mari, David… d’ailleurs, il veut absolument que l’on fasse quelque chose ensemble…

Je suis en vacances à partir de vendredi… moi, c’est Véronique… Depuis le temps que j’attends çà… Tiens… Je te laisse mon téléphone…

Je sors de mon sac, mon lycra, ainsi qu’un stylo, où j’y inscris mon numéro de portable. Prenant bien soin d’ouvrir le tissu, pour l’inscrire sur le côté face.

Du coin de l’il, je l’observe, son regard envieux, ne lâche pas le petit vêtement, qu’elle paraît croquer… Avant de lui tendre…

— Tiens… j’attends avec impatience ton appel… Je te promets pas ce soir… J’ai peut-être quelque chose en vue… Je te confirme çà, tout à l’heure… ça te va ??

Quel cadeau tu me fais !!! Jaimerais que l’on se fasse une soirée, ou une après-midi, toutes les deux !! Je te cache pas, je suis bi !!!

Tout en humant à pleines narines, ma petite culotte, qu’elle froisse dans le creux de sa main. Sans, bien sûr, me lâcher de ses beaux yeux bleus.

Ah !! Vous allez me dire, comment elle est habillée ??

Eh bien, Virginie porte un tee-shirt blanc, qui voile sa petite poitrine, je confirme, un 85 B. Un jean taille basse lui moulant un ferme petit cul, dont mes mains n’ont qu’une envie, le peloter, mon regard descend jusqu’à l’entrejambe, où se dessine une dilatation de sa vulve, qu’elle ne cache pas. Je l’embrasse, comme tout à l’heure, lui caressant la joue, de ma main gauche, avant de la poser sur sa petite fesse, et la laisser sur un dernier regard.

Je dois y aller… Je compte sur toi, ma chérie…

Merci, Véro !!! Je te rappelle très rapidement… Jen ai trop envie !!!

Durant le trajet en bus, je me sens trempée, avec cette impression, d’avoir le pantalon, tout autant mouillé que le reste, comme si j’avais fait pipi. Vous rajoutez à ça, un clitoris ardent, qui cherchait à se faire astiquer. Bref, je n’aurais jamais dû aller travailler. Mais bon, je ne vais pas dire à Sabine, qui est la responsable de l’agence, « Je ne peux pas venir, je suis en érection clitoridienne »

Alors que je suis dans mes profondes pensées, mon portable sonne.

Allô ??? Oui… Super… Non, je suis dans le bus… Moi aussi, ma chérie… Dans la matinée, je te confirme çà… Je… Je suis toute trempée… hum !! Arrête… Quelle cochonne… Mais, tu travailles pas ??? Je te laisse, Virginie… Profite bien de mon cadeau… Je t’adore…

Je descends du bus, mon regard reste au sol, j’ai cette impression que tous les regards se fixent sur mon pantalon blanc.

J’arrive à l’agence, Fauve est là, assise derrière la banque d’accueil, toujours en noir. Chemisier, au profond décolleté, au passage, je peux voir la bretelle de son soutien-gorge, blanc.

Je viens lui faire la bise, sur les commissures des lèvres, debout, elle offre un jean taille basse, moulant, noir, sandales en cuirs, noirs.

Bonjour, Fauve !!! Tu es ravissante !!

Elle me sourit, avant de s’asseoir, pour partager un regard, qui en dit beaucoup. Elle, c’est sûr, elle n’a pas les yeux dans sa poche, et qui les plonge où? Deviner ?

Dans mon entrejambe, remarquant, sans aucune difficulté, l’état de mon pantalon.

Bonjour, Véro !!! Je te retourne le compliment… Hum !! Ça ouvre l’appétit… j’espère pouvoir en parler plus tard, tranquillement…

Dans un même temps, un client se présente, interrompant notre conversation. Je la laisse à son travail, pour faire un arrêt chez la petite Ana.

Assise derrière son bureau, elle est seule.

Et déjà, sur son portable, en SMS. Elle porte un chemisier à col collégien, sa longue chevelure ondulante, ses grands yeux noirs, sur ce petit visage, qui lui donne un mélange de sainte ni touche et de petite garce.

Bonjour, Na !!! Tu es à croquer, ce matin !! Hum !!!

Merci, Véro !!! Vous êtes superbe, aussi !!!

Elle est face à moi, je pose ma main gauche sur sa joue, et lui fais un long baiser sur l’autre joue, qu’elle ne refuse pas, restant un moment collée à mes lèvres.

Me retirant, pour partager un de mes regards envoûtants, elle me sourit.

J’en profite pour glisser mes yeux vers le bas, c’est une jupette, courte, plissée, à carreaux rouge/noire, socquettes blanches, mocassins bleu marine. Je ne peux m’empêcher de lui glisser à l’oreille gauche.

Tu sais que tu me fais de l’effet… Je… Je mouille… J’ai très envie de toi !!! Tu m’as hanté toute ma nuit… Je te raconterai çà, en détail… Tu passes dans mon bureau, dès que tu peux ???

Je… Je… Oui, Véro… Je viens dès que possible…

Parfait… Heu !!! Dis-moi, ce soir, tu es libre ???

Heu… Oui… Mon mari est en voyage d’affaires !!!

Oh !! Eh bien, le mien aussi !!! On se fait une soirée filles, tu veux ??? Dis-moi, juste une chose, t’as une culotte dessous ???

Oui… Je reste sans culotte, chez moi, seulement… A tout de suite…

Le regard d’Ana en avait envie, elle ne le cache pas, elle me répond par un sourire prometteur. Puis, je file à mon bureau.

Durant toute la matinée, j’ai beaucoup de mal à supporter ma petite culotte, qui est totalement avalée par les lèvres de ma vulve béante, alors que je suis restée derrière mon bureau.

Fin de matinée, je n’en peux plus, je dois absolument me rendre aux toilettes.

Je passe devant chez Ana, qui me regarde, avec un sourire qui en dit beaucoup, penchant sa tête, se mordant la lèvre, la totale. Puis, traversant le hall d’accueil, car les toilettes sont à l’opposée, Fauve a déjà fermé l’agence.

Je pousse la porte des toilettes, et je prends du temps pour me regarder à la glace. En fait, je ne lâche pas mon entrejambe de pantalon, qui sans nul doute, est dans une béanteur maximale, mais surtout, je cherche à voir si je l’ai taché. A première vue, non. Puis je rentre dans une des trois cabines, et commence à me dégrafer, j’en profite pour faire un arrêt pipi.

Assise, je me déchausse, puis me relève et retire mon pantalon, sans trop perdre de temps, pour ensuite me débarrasser de celle qui m’importune depuis ce matin, ma petite culotte, qui n’est plus qu’un tissu, tout autant trempé qu’une éponge.

Me retrouvant à demi-nue, la porte d’entrée venait de grincer.

Fauve discute, j’entends la serrure de la cabine voisine.

Allez… Rentre là… Hum… Quel petit cul… Enlève cette petite culotte… Donne…

Je n’arrive pas à savoir avec qui elle est !! Mais très vite, Fauve la fait haleter, gémir.

T’aimes çà, hein, ma salope !!! Ne crie pas trop fort… Tu vas ameuter le quartier… Allez, ma petite chatte, jouis… Mets-toi à genoux, que je me soulage dans ta bouche… C’est bien, Ana… Je te vois dans les archives, avant la fermeture ??

Fauve, debout, jambes écartées, le pantalon, comme seul vêtement, entravant ses chevilles, alors que le visage d’Ana est au niveau de son entrecuisse, la bouche ouverte, pour accueillir au plus près, le liquide tiède et salé que Fauve laisse déverser, ne pouvant tout garder dans la bouche, elle l’arrose délibérément, sur son visage, lui mouillant son chemisier blanc.

Je ne peux rester plus longtemps là, me rhabillant, je sors des toilettes, en évitant de me faire remarquer.

Je retourne à mon bureau, ferme la porte pour ne pas être dérangée, seule, il me fallait me soulager. Pour cela, je reste debout, me calant dans un recoin de la pièce, derrière le placard métallique, où se trouvent les dossiers, évitant le risque de me faire surprendre.

Je me dégrafe, sans attendre plus, laissant mon pantalon entraver mes tibias, et ma main gauche, dont les doigts sont très actifs et surtout, experts à la masturbation, pour me traiter comme il se doit, dans l’urgence de la situation.

Yeux mi-clos, tête appuyée contre le mur, je me laisse aller dans le mouvement, jouissant, étouffée, me mordant les lèvres, pour ça.

Reprenant lentement mes esprits, juste soulagée par un clitoris encore bien assoiffé de plaisirs, je me rajuste, après m’être épongée avec ma culotte de ce matin, la souillant un peu plus, essuyant la glaire qui ruisselle à l’intérieur de mes cuisses et sur mes lèvres vulvaires, sans oublier l’objet de mon désir, mon pénis clitoridien, le bijou de ma vie, sans qui, mes plaisirs n’existeraient pas, dont j’en ai découvert l’existence très jeune, l’Amour de ma vie.

Juste le temps de me remettre de tout cela, que la porte toqua.

« Oui, entrez » par réflexe, oubliant la petite culotte sur le rebord de la table ronde, qui me sert lors de réunion avec ma collaboratrice, Sabine.

La porte s’ouvre, sur la petite Ana, un dossier appuyé contre ce chemisier, qui avait été parfumé d’urine.

Dans son regard, Ana, écarlate, a beaucoup de mal à cacher sa honte, celle d’être souillée, celle de ne pouvoir parler de ce que Fauve lui fait subir, par son emprise qu’elle a sur elle.

Entre… Ferme la porte et approche… Nous allons nous mettre là…

Je m’approche d’elle, face à face, debout, nous échangeons un long regard, aussi désirable que cette main, avec un brin d’interrogation. Je lui caresse sa joue gauche, tendrement, avant de lui poser l’autre main, pour garder longuement, son visage, laissant mes deux pouces faire un va et vient sur ses lèvres, l’embrassant à pleine bouche, Ana répond à mon baiser, en laissant le passage de ma langue, qu’elle lui aspire, s’enlaçant, ses bras accrochés à mon cou, laissant tomber son dossier à nos pieds yeux clos.

Mes mains abandonnent son doux visage d’ange, pour commencer une visite plus…

Prenant mon temps, je caresse, la moindre parcelle de son corps, se laissant dégrafer son chemisier encore humide à certains endroits, l’ouvrir et la caresser du bout des doigts, ses petits mamelons, qui pointent de désir, sont réactifs, hyper sensibles, et déjà, gémissante, offerte à ma douce caresse.

Continuant ma visite, ma main gauche, vous savez pourquoi !!

C’est cela !!

La plus experte, s’est glissée furtivement sous son court pan de jupette et venir se poser sur son ferme fessier nu. Aussitôt, je me dégage d’elle, la regarde.

Eh, qu’as-tu fait de ta petite culotte ??? Ce matin, tu m’as dit que tu en portes une tout le temps… Tu m’as même précisé que seule, à la maison, tu n’en mets pas… Et là…

Ana, baisse la tête, écarlate, la gorge nouée.

Je dois t’avouer quelque chose… Je… Je sais pas comment te dire…

Gênée, je lui pris la tête, à nouveau, dans mes mains, lui relevant, pour la regarder, une larme glisse sur sa joue.

Parles, Ana… Je veux tout savoir…

Je… Je suis harcelée par une des employées de l’agence…

Dis-moi tout… Ce ne serait pas Fauve, par hasard ???

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