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Ma soeur, ma chérie, et nos envies.. – Chapitre 2




Je suis troublé. Voir ma soeur agir de la sorte me déstabilise un peu. Et je sents que l’insouciance du moment commence à s’évaporer.

Je fixe toujours le visage de ma soeur qui maintenant fait jouer sa langue entre ses lèvres… Décidemment, elle est carrément doué pour la provoque… Marina se lève, je la regarde nue, et constate qu’en plus de son antre et de ses cuisses, elle à vraiment de la mouille un peu partout. A son expression, bouche moitié fermée, je devine qu’elle va allez se débarasser de ma semence, je l’a regarde donc partir tranquillement, naturelle, sans la moindre gène.

Je me retourne et constate que Julie à eut le temps de se mettre en tenue d’Eve elle aussi, mes yeux tombent directement sur ses seins nus, je reste quelques secondes à les admirer toujours à la lumière du couloir. J’ai à peine le temps d’articuler et de prononcer "Julie tu est sur…" que ma soeur s’est rapprochée pour m’embrasser à pleine bouche, ce qui sur le coup, ressemble à un affectueux "ta gueule". Ses lèvres son chaudes, ma langue commence à parcourir la sienne, je sents sa salive imbibée de mon sperme qu’elle à gouté il y a pas 2 minutes. Machinalement, ou presque, ma main gauche se pose et commence à taquiner son sein pendant qu’elle m’entoure la tête de ses bras afin de m’attirer en arrière.

Je me retrouve donc vite allongé au dessus de Julie, entièrement offerte à mes caresses, et m’embrassant avec fougue, comme si elle n’avait pas eut de mecs depuis 3 ans. Je poursuivis mes massages en alternant prises en main fermes et jeux avec ses tétons, durcissants à mon contact. Julie ne pouvait retenir ses frissons qui de mon point de vue étaits autant des frissons d’envie que des frissons d’interdit.

Car c’était peut-être défendu, intolérable ou pas très naturel, mais sur le moment, après nos premiers baisers, je me souviens que c’était juste bon, que la Julie en façe de moi était une femmelle en chaleur avant tout, son odeur intime m’excitais à nouveau, et l’envie de l’a gouter redevenais intense.

Ma main quitta sa poitrine pour lentement se diriger en dessous, s’attardant sur son bas ventre et autour du nombril pour finir sur son mont de Vénus. Avec le contact de cette peau sous mes doigts et le fait de réaliser que Julie m’offrais totalement son intimité, ma queue ne mit pas longtemps à se réveiller.

A l’insant ou j’entrepris d’explorer les lèvres intimes de ma soeur, Marina revint dans la pièce une petite bougie entre les doigts. Mais après avoir vu la localisation de ma main, je ne pus échapper à son coup vengeur dans le dos lorsque elle me sauta dessus. Le must, c’est que la bougie s’éteignit dans son saut et que l’on échappa aux éclaboussures de cire redoutées l’instant d’une seconde.

Sa vengeance acquise, ma tendre coquine se pencha, me demandant un bisous puis lança :

— "tu m’a pas attendu, donc moi d’abord"

Sur ces mots, elle se recula et très vite se retrouva entre les cuisses de Julie, à lécher son bas ventre puis à remplacer les pressions de mes doigts par celles de sa langue débordante d’envie. Les gloussements de plaisirs de Julie jusque là entendues devinrent des petits gémissements et je pris une bonne minute d’observation pour contempler le spectacle débutant sous mes yeux. Ma Marina, assouvissant enfin son fantasme de lécher une femme, car maintenant plus de doute sa langue dévorait l’intérieur de Julie; et ma propre soeur, fantasme si improbable, se courbait de plaisir telle une nymphomane assoifée d’orgasmes.

Je bandais fort à nouveau et l’envie de "levrette sauvage" était a son comble, mais repensant aux derniers mots de Julie, je maitrisa mes ardeurs pour rester sur sa poitrine et m’occuper tour à tour ses petits bouts rose.

J’était allongé sur son coté, laissant Marina opérer le plus facilement possible. En même temps, Julie essayais de me masturber, sa main gauche tenant fermement mon engin et le caressant selon les ondulations de son corps. Nous sommes restés comme cela une petite dizaine de minutes, même si le temps nous parrus bien plus court.

Je sentais une grande chaleur émaner de son corps, ses effluves remplissaient la pièce et ses gémissementsde, de plus en plus rapprochés, indiquaient l’arrivée imminente de sa jouissance. Jettant un coup d’oeil vers le bas, je voyais les deux doigts de Marina s’enfoncer dans les chairs offertes avant de réapparaitre couverts de mouille.

Ma puce leva la tête, me fixa tout en contiuant son manège et malgrè le contre jour je me souviens avoir perçu une immense satisfaction dans son regard. Elle aimait pénétrer elle aussi, et elle ne s’en privait pas. Marina continua ses va et viens peut-être 2 ou 3 minutes encore, faisant durer le plaisir et lorsqu’elle cummula son jeu de main et son jeu de langue sur le sexe ruissellant, Julie ne pu se contenir plus longtemps et laissa exploser son orgasme, sans modération.

Ma langue quitta ses seins a ce moment, et Marina fit de même en bas, nous regardions ma soeur redescendre doucement de son nuage et je reconnais que le spectacle était très plaisant..

L’instant d’après, ce fut à mon tour d’être allongé sur le dos. Julie, remise de son plaisir, me remercia d’un long baiser appuyé, se dirigea ensuite vers Marina au bas du lit pour l’embrasser à l’identique puis après ces quelques échanges de langues, elle se précipita sur ma queue pour l’engloutir d’un coup. Plus de retenue ni de patience, Julie avait visiblement très faim. Mon gland buttait maintenant contre son palais, elle salivait de plus en plus autour, et j’eu l’impression qu’elle allait bientot m’avaler au fond sa gorge, tellement elle se gavais …

Marina elle fit le chemin inverse, laissant Julie à sa gourmandise pour remonter le lit et me gratifier d’un coup de langue sur la bouche puis sous ma lèvre du bas. Ce petit geste entre nous signifiant généralement "dépèche toi de me faire du bien", je préfèrais, pour une fois, éviter de jouer avec ses nerfs en l’a saisissant par les hanches pour commençer à ramener son bassin vers ma tête. Arrivée à hauteur de ma bouche, j’étais enfin sur le point de retrouver mon fruit préférée quand la coquine décida de se tourner pour se positionner en 69. Elle se retrouva ainsi en tête à tête avec Julie, toujours très occupée..

Je m’investis un temps sur ses grandes lèvres puis, n’y tenant plus, je plongea ma langue directement au fond de la vulve présentée. C’était bon, doux et bouillant de chaleur en même temps. Et bien que l’ayant déjà savouré des dizaines et des dizaines de fois (car oui j’admet être un consommateur compulsif), j’ai toujours autant de plaisir à déguster le jus de ma chérie qui coule dorénavent en abondance. Julie se régale de moi, je me régale de Marina et cette dernière recommence à gémir en crescendo.

Personnelement je sentais que l’orgasme pourrait me surprendre à tout moment car ma soeur se révèla être une vrai vorace. J’était presque soulagé lorsqu’elle décida de partager ma queue avec Marina, car avec son plaisir, cette dernière était déjà moins véloce que Julie. Les filles se délèctaient de mon gland tandis que je savourais mon plaisir et celui de ma puce, qui se faisait de plus en plus présent. Au bout de 3 ou 4 échanges de manche, je compris qu’elles ne me laisseraient pas de répis et décida donc de bouger pour changer de position.

J’initia le mouvement mais les filles, devinant mes intentions, voulaient garder leur position "domiante" dans notre trio et elles me bloquèrent sur le lit. Ma seule action possible fut d’arréter de lécher Marina. Je savais son plaisir intense et donc que sa frustration serait forte. Leurs réactions (surtout celle de Marina) ne furent pas longue.

Ma chérie, qui m’avait en bouche, s’arreta également et chuchota à ma soeur :

" – Fais-toi plaisir" en lui faisant un signe de tête.

Alors Marina avança son corps pour prendre la place de Julie et cette dernière vint rapidement asseoir son sexe sur ma bouche, toujours en position 69. Sans pouvoir réagir, je passais du gout ma chérie a celui de ma soeur et je sentis ma queue durcir à l’extrème. Enfin, je goutais à son nectar, à sa belle fente qui pour l’occasion dégoulinait de mouille et là, peut-être plus encore qu’avec Marina, je pris le temps de fouiller chaque recoins de son intimité. Son gout était un peu moins prononcé que Marina mais tout aussi délicieux. Son clitoris, un peu plus gros, me permis de jouer avec plus facilement.

Comme je l’imaginais, sa vulve était un véritable délice, et sur le moment, je voulais juste rester entre ses lèvres charnues le plus de temps possible. En parallèle, Marina prenait le relais sur ma queue, me gobant avec la même faim que ma soeur même si cela ne dura pas aussi longtemps.

En effet, ma chérie décida rapidement de venir s’empaler pendant que Julie se courbait de plaisir sur ma bouche. Je sentis ma queue se tendre progressivement le temps que Marina s’enfile dessus la première fois. C’était moins compliqué qu’a l’acoutumé mais mon diametre lui restait difficile à accepter. Les va-et-viens suivant s’enchainèrent de mieux en mieux et ses râlement de douleurs laissèrent place aux cris de plaisir. Les deux coquines se faisaient maintenant face, l’une possédant ma queue et s’activant dessus de plus en plus vite, et l’autre subissant les explorations intensives de ma langue dans son intimité.

Nous étions unis par nos envies, unis par des décharges électriques fantastiques, innondants nos têtes en continu et réduisant le temps à un facteur des plus abstraits. A défaut d’être religieuse, notre communion à trois était juste sublime, magique même. Les cris de ma soeur devinrent ainsi plus prononcés, je savais Julie non loin de l’extase et entrepris alors de lui fourrer deux puis trois doigts au fond de son antre, pour la pénétrer aussi vite que Marina sautais sur ma queue.

Rapidement, je sentis les premières contractions de plaisirs autours de mes doigts. Julie cria sans ménagements son nouvel orgasme et m’abreuva encore plus de sa cyprine. Marina elle se contracta quelques secondes après, pressant ma queue tellement fort qu’il m’était impossible de résister, et je me relacha comme jamais entre ses parois intimes, prises de spasmes frénétiques.

Marina se pencha vers Julie, et elles s’embrassèrent à la sortie de son orgasme. Puis ma chérie s’écroula sur moi tandis que ma soeur se leva de ma bouche pour venir s’allonger avec nous. La fatigue et le bien-être avaient envahis nos corps et nous étions heureux, en tout cas rasasiés de sexe.

Nous sommes restés couhés là, à se caresser mutuellement pendant un petite demi-heure, à la fois satisfaits et peu fiers d’avoir craqués tous les trois. La seule chose de sur, c’est que moi comme les filles n’avions pas de regrets.

Finalement, après une rapide douche ensemble, Marina et moi sommes repartis essayer de dormir dans notre chambre. Etrangement, et malgrè toutes nos interrogations sur l’avenir, le sommeil fut enfin au rendez vous.

Et je me souviens m’être endormis en repensant à notre fabuleux trio, avec l’espoir que ce premier ne serait pas le dernier.

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