Quatre longues semaines à attendre avant de revoir Marie, et j’approche du jour tant espéré. J’appelle au salon la veille pour m’assurer que mon rendez-vous est bien confirmé, et je tombe sur la patronne, toute gentille. J’ai une question à poser à Marie et elle me la passe.
Enfin le samedi début d’après midi et je me retrouve dans la petite salle d’attente en compagnie de ma chère petite coquine. On s’est quitté en s’embrassant et on se retrouve en s’embrassant.
Nos lèvres s’écrasent, nos langues s’enroulent. Je glisse ma main sous sa robe, elle n’a toujours pas de culotte, et je bande déjà. Je la repousse gentiment:
— Tu m’excites ma puce, déshabille toi.
Elle se défringue, j’en fais autant, et on se recolle entièrement nu. Je fouille sa chatte et elle me pelote les bourses:
— Ces couilles! ces couilles que vous avez! Elles sont énormes, elles sont lourdes, et je suppose bien remplies.
— Pour ça oui, pleines à craquer. Je n’ai pas joui depuis la dernière fois, je me réservais pour toi. Et puis hier j’ai repensé à mon éjaculation précoce et c’est pour cela que je t’ai appelé, savoir si je venais avec mon fusil chargé, ou si je vidais les cartouches.
— Vous avez bien fait de me demander, ça aurait été dommage de vous branler avant de venir. Elles sont trop belles vos boules, je n’en peux plus, il faut que je vous suce, j’ai soif de votre sperme.
— Alors sers toi, je ne demande que ça. Mais je t’ai prévenue, je risque décharger de suite.
— Pas de problème, je suis prête à tout prendre, et ensuite je vous referais bander comme l’autre jour.
Elle s’agenouille et se jette sur ma queue. Elle me pompe rapidement, je sens la sauce qui monte, je la préviens avec des mots bien cochons, pour qu’elle se prépare à tout recevoir sans perdre une goutte, tout boire. J’éjacule à répétition, de nombreuses giclées que je devine bien épaisses. Elle n’a gardé que mon gland en bouche, pour faire de la place à mon don généreux et le savourer sans l’avaler direct. Je lui ai tout donné et elle continue à me sucer dans mon jus.
Elle se recule, exhibe sa cavité ouverte et bien garnie, me regarde dans les yeux, et lève le pouce comme pour me dire que c’est top, trop bien. Je la regarde et je me branle pour essayer de ne pas débander:
— Salope, tu es une belle cochonne, une vicieuse. Avale putain de chienne, fais toi plaisir, montre moi combien tu l’aimes mon foutre.
Elle se gargarise, me remontre sa petite gueule, gargarise à nouveau et déglutit deux ou trois fois pour tout engloutir. Elle s’exhibe une dernière fois, langue tirée pour me prouver qu’elle a tout avaler, et je me penche sur elle pour lui rouler une pelle vorace parfumée à ma semence. On se relève, nos bouches toujours scotchées, et je masse sa vulve tandis qu’elle me branle le manche. Nos lèvres se détachent:
— Oh Marie, tu es géniale petite salope. Tu sens comme je bande encore, c’est la première fois que je n’ai pas un coup de mou après avoir joui. Tu m’excites trop ma belle putain.
— Et vous c’est votre queue et vos couilles qui m’excitent. J’ai encore envie de sucer.
— Et moi de te bouffer la chatte, viens on va s’offrir un 69.
On ouvre le clic-clac et on s’installe dessus, dans la position annoncée, sur le côté..
On se gloutonne comme des goinfres, aussi affamé l’un de l’autre. Elle n’a eu ma queue que quelques instants et tient à se rattraper; de mon côté il y a quatre semaines que je rêve de cet instant. Elle me suce le manche, me gobe les couilles, tandis que je m’empiffre de son huître bien ouverte, de sa perle épanouie, et que je m’abreuve de ses orgasmes successifs et de plus en plus violents. On change de position, toujours en 69, et on s’éclate dans toutes nos postures.
J’aime être sur elle, ma gueule enfouie entre ses cuisses écartelées et mes valseuses au dessus de son visage. J’ai une main sur son bas ventre, l’autre qui passe sous une de ses cuisses, et mes doigts se rejoignent sur sa chatte pour mieux la masturber, dans sa chatte pour mieux l’ouvrir et me permettre de plonger ma langue dans son huître détrempée. De son côté elle s’empiffre de mes grosses couilles pendantes qu’elle gobe toutes entières pour les brouter avec délicatesse.
J’aime aussi être sous elle et avoir ma queue à sa merci. Elle la branle énergiquement pour avoir le plaisir de la mâter en même temps. Elle la suce goulûment, en gorge profonde, et la garde jusqu’à suffoquer, se retire, déverse des flots de salives dessus. De mon côté j’ai sa fente succulente à portée de bouche, mais j’ai surtout son cul, son cul magnifique et vierge. Je le caresse, j’écarte ses miches, parcours sa raie avec ma langue, m’attarde sur son illet pour le taquiner, le titiller, le transpercer.
On est chaud tous les deux, elle a le ventre en feu et je trique comme un âne.
On se lève et je vais la baiser en levrette comme il y a quatre semaines. Je coulisse avec délice entre ses cuisses, je fourre sa chatte avec un immense plaisir, et à l’entendre gémir et pousser des petits cris je sais qu’elle prend son pied elle aussi. J’ai une belle vue sur sa chute de reins, et je me ferais bien son petit trou:
— Ca t’a plu tout à l’heure quand je t’ai bouffé le cul?
— Oui, c’était bon.
— Et que je t’encule, ça te plairait?
— C’est comme vous voulez.
— Ah non, tu ne vas pas recommencer. Je veux te prendre par derrière, mais je ne veux pas te forcer, je veux que tu en aies envie. Alors tu me dis oui ou non, et au moins je serais fixé.
— Ok puisque vous insistez, alors je suis désolée, mais c’est non.
— Et bien voilà, maintenant je sais, et je m’en passerais, tant pis.
— Vous êtes fâché?
— Ne dis pas de bêtises, j’ai ta chatte et ta bouche, c’est déjà inespéré.
On met fin au sujet et on se concentre sur notre baise. Je la lime avec ardeur et tendresse, alterne les mouvements doux et les coups de boutoir, varie la cadence pour souffler mais aussi la surprendre. Elle jouit sans retenue, je sens ma queue qui baigne dans son plaisir, et mes narines reniflent les effluves enivrants de ses orgasmes. Je la baise longuement, lui balance des obscénités, ne cesse de lui répéter combien elle est bonne et salope.
On est à fonds dans notre copulation, lorsque la patronne nous rejoint. Elle s’approche de nous et m’apostrophe:
— Tout se passe comme vous voulez?
— Oui, votre petite Marie est un don du ciel.
— Tant mieux, j’en suis ravie. Vous n’avez toujours pas dépuceler son petit trou?
— Non, j’aimerais bien, mais comme je vous l’ai déjà dit j’ai l’impression qu’elle ne veut pas. Il faudrait qu’elle me le demande ouvertement.
— Elle ne sait pas ce qu’elle perd cette petite sotte. Si vous êtes en manque d’un cul à sodomiser, j’ai quelques minutes de libre.
Je refuse sa proposition en lui demandant de ne pas le prendre mal, et je m’en explique. Il y a deux raisons à mon refus:
Première raison: j’ai abandonné Marie pour elle la dernière fois, et je ne tiens pas à recommencer. La petite m’a dit qu’elle prenait la pilule et que je pouvais jouir en elle, et j’ai dans l’idée qu’elle a envie de recevoir mon sperme, autant que moi de le lui offrir.
Deuxième raison: j’ai bien envie d’enculer la patronne, mais pas à la va vite, et lui suggère que l’on se fixe un rendez vous pour un bon plan cul.
Elle comprend parfaitement ma décision, et me dit qu’elle va réfléchir à mon souhait. Elle sort.
On reprend notre activité que l’on avait mis au ralenti, sans la stopper vraiment. Marie se remet à gémir et m’adresse quelques mots:
— Merci, c’est gentil ce que vous avez fait.
— Ne me remercie pas, un vieux de mon âge avec une minette de moins de vingt ans, je n’ai aucun mérite. Tu as tout pour me rendre heureux, jeune, belle, salope, une putain de rêve.
— Merci, mais vous me rendez heureuse moi aussi. J’aime les hommes murs, mais en plus vous êtes bel homme, et surtout vous avez une queue et des couilles qui me rendent folle.
— Salope, tu es une chaude toi, une belle petite vicieuse et gourmande. Je vais te farcir ta chounette ma petite pute, te l’inonder de mon plaisir.
— Oui, j’ai envie de votre sperme dans ma chatte, que vous déversiez votre semence dans mon ventre.
— Avec plaisir ma cochonne, je vais te remplir à t’en faire déborder. Il me reste encore plein de jus dans mes couilles que tu aimes tant, et je vais tout te mettre jusqu’à la dernière goutte.
— Oui, allez y, faites votre vidange, je suis votre vide couilles.
— Pute, trainée, salope, chienne, je vais éjaculer dans ta putain de fente, je vais décharger toute ma sauce, je vais remplir ton garage à bites….
Je jouis en abondance, giclée après giclée, n’en reviens pas d’avoir rechargé mes testicules aussi vite. Il faut dire qu’elle me chauffe trop cette petite salope en chaleur.
J’ai tout donné, ma queue se calme, cesse ses soubresauts, et je reste en elle:
— Hum, ma chérie, excuse moi pour mes mots, mais tu es vraiment trop bonne.
— Ne vous excusez pas, j’aime comme vous me parlez., je suis une salope qui aime être traitée comme telle.
– Oui, une sacrée putain de salope, mais tu n’es pas la seule, elle a l’air bien cochonne ta patronne, et j’ai dans l’idée qu’elle va m’offrir son cul.
— Et moi, ça vous plairez que je vous l’offre?
— Oui, tu le sais, mais encore une fois je ne veux pas te forcer, il faut que tu en aies envie.
— J’y pense sérieusement, et ça me tente de plus en plus, sauf que votre bite est bien épaisse. Laissez moi le temps de m’y préparer, j’aimerais bien que vous soyez le premier.
— Et moi donc ma chérie, prends ton temps et je serais là quand tu voudras.
Je me retire et elle se retourne pour me nettoyer la queue. Elle est accroupie, me suce, et fouille sa chatte pour récupérer mon offrande, la porter à sa bouche et s’en régaler:
— Salope, j’en ai connu des vicieuses, mais jeune et belle comme toi, c’est la première. Tu es aussi pute que moi, aussi chienne que je suis chien. Allonge toi que je nettoie ta putain d’huître.
Elle s’installe sur le clic-clac, je soude mes lèvres buccales à ses lèvres vaginales, et je l’aspire, la vide du mélange de mon foutre et de sa mouille. J’ai la bouche pleine et je viens sur elle pour lui rouler une chaude pelle bien crémeuse. Elle passe ses bras autour de mon cou et s’abandonne à mon baiser gourmand, y participe activement, et finit par tout avaler.
On se félicite de notre séance et je dois insister pour qu’elle accepte mon petit cadeau.
Je repasse au salon, me fait couper les cheveux, puis passe à la caisse avec la patronne. Elle me reparle de ma proposition, me dit que ça pourrait l’intéresser, et me demande mon numéro de téléphone pour éventuellement m’appeler et fixer une date.
A suivre…