Pour me présenter, je m’appelle Charles, j’ai 26 ans, je suis marié une femme de 28 ans. Je mesure 1m70 brun, j’habite le sud ouest de la France. Un samedi d’été bien chaud je décide d’aller chez le coiffeur ou plutôt chez la coiffeuse une dame très gentille, dans la quarantaine.
Pendant la discussion je remarque que les deux coiffeuses du salon ne s’entendaient pas bien. Cependant je discute de tout et de rien sans jamais quitter cette femme des yeux. Elle me parait très bien conservée, elle a une robe noire moulante qui arrive juste au-dessus des genoux et qui tient avec deux bretelles. Je vois ses épaules nues mais pas l’amorce de ses seins. Je devine qu’elle n’a pas de soutient mais sans en être vraiment sûre, je devine aussi qu’elle n’a pas de culotte car ne vois pas de trace sur sa robe. Ses seins sont petits peut-être 85 mais ils tiennent bien haut. Je fais toutes ces observations alors que nous continuons à discuter très agréablement et j’oriente petit à petit la discussion sur elle-même. J’apprends ainsi qu’elle Claire, mariée, mère de deux enfants, qu’elle a commencer à travailler à 16 ans. Puis plut tard j’apprends qu’elle à 22 ans de métier. Je lui fais remarquer que jamais j’aurais cru possible de lui donner 38 ans tellement elle est mignonne (je la prends dans le sens du poil car je m’en doutais bien). Elle me répond que son age est un secret que peu de gens le connaissent et qu’elle ne se laissera plus démasquer si facilement.
Un peu plus tard alors qu’elle branche le sèche cheveux sa collègue lui dit que la matinée est finie et elle part. Je demande à Claire pourquoi il règne une ambiance tendue entre elles. Elle me répond que Carole est jalouse de sa cote au près des hommes, alors Carole essai provoquer son départ en lui faisant porter le chapeau pour toutes les bêtises. Puis Claire m’annonce fièrement que de toute façon le patron est de son côté. Après un moment sans parler à cause du sèche cheveux elle me remercie d’être fidèle client. Juste à ce moment alors qu’elle me met du gel, le pot lui échappe des mains, je suis crépit en haut du dos et elle du ventre jusqu’aux genoux. – Je m’excuse dit-elle, je vais nettoyer rapidement, je suis désolée etc? – Ce n’est pas grave, ci vous pouviez juste essuyer un peu – Il n’en est pas question si Carole apprend ça elle en fera une histoire je ne vous laisse pas partir. Je n’insiste pas car c’est une bonne occasion pour devenir plus intime. Elle m’entraîne dans la pièce d’entretien en ayant pris soin de fermer le salon avant. Aussitôt elle déboutonne ma chemise, pour reprendre en main la situation, je défais la fermeture éclaire de sa robe. Elle semble surprise, se recule puis me dit : – J’ai fait exprès de renverser le gel, il faut que vous sachiez que c’est la première fois que je fais une chose pareil, je ne sais pas vraiment bien pourquoi j’ai fait ça. Je n’ai couché de toute ma vie qu’avec mon mari et mon patron. – Es-tu vraiment sure de ne pas savoir pourquoi ? – C’est mon patron qui me l’a demandé. – Tu es bien foutu et soumise, c’est bien, enlève ta robe. – Pourquoi me parlez-vous comme ça ? – Parce que tu aime ça n’est-ce pas ? – C’est vrai. Elle a enlever ça robe et j’ai découvert ses petits seins nus, durs, très rapproché l’un de l’autre. Puis son ventre et sa chatte toute rasée. – C’est bien Claire maintenant tu peux me déshabiller. Une fois nu moi aussi c’est elle qui d’elle même s’agenouille devant moi pour engloutir mon engin bandé depuis longtemps. Une minute plus tard elle reprend la parole : – Il avait raisons mon patron de dire que je n’avais vu une vraie bite. – Je te rassure, elle est parfaitement normale la mienne, mais lui est ton mari qu’ont-il de faux ? – Ils les ont petites tous les deux. Environ 10 cm au mieux de leur forme. Mais vous ça m’impressionne. – Tu pourras lui dire que tu t’es fait sauter par un jeune qui a une bite de 16 cm. Maintenant tourne toi et appuie-toi au mur en sortant bien les fesses. Elle a écarté les jambes toute seule, je lui ai mis une main sur la chatte pour m’assuré sur son état d’excitation. Elle est vraiment trempée les babines toutes molles. En une poussée je suis rentré jusqu’à la garde. Ce qui lui à fait poussé un cri de surprise d’abord puis s’en est suivi un long râle : – mmmmmmm, comme c’est gros, c’est bon Je commence un lent va et viens en lui tirant les seins, puis j’accélère progressivement. En quelque minute elle a atteint l’orgasme très bruyamment. – Et ton cul, aussi il a besoins d’être élargie. – Non, non pas par la, ça me fait quand mon patron le fait alors vous, je n’ose pas y penser. – T’as bien un produit dans ce salon pour te lubrifier ? – Le patron prend ça dit-elle en me tendant un pot qui est à porter de sa main. Je lui ordonne de pas bouger puis commence un massage de sa rondelle avec cette crème puis, je rentre 1 doigt et un deuxième. Quand j’estime que c’est bon, je commence une lente pénétration. J’en suis seulement au trois quarts quand joui une nouvelle fois. J’en reste sidérer, une baiseuse pareille dans mes bras, c’est mon rêve le plus fou. Après cinq minutes de ramonage dans le cul, et plusieurs orgasme pour elle je me suis retirer et lui est dit : – Maintenant je te laisse deux choix : 1-tu me suce pour mon plaisir et tu me reverras ou 2- je continu a t’enculer pour ton plaisir et tu me verras plus. Elle c’est retourner, elle a pris un mouchoir en papier a essuyer les restes sur ma verge puis c’est mis à me sucer jusqu’à l’explosion finale. Pour faire redescendre l’atmosphère je lui ai dit : – C’est très bien maintenant tu peux me tutoyer, et viens vite dans mes bras.
Nous avons discuter un peu de l’avenir, notre projet c’est de se voir régulièrement. Pour moi il n’est pas question de trompé ma femme, c’est donc avec elle qu’il faut compter. Pour Claire c’est plus compliquer car son amant et patron ne sera pas d’accord donc elle devra chercher un autre emploie. Son mari ne doit pas le savoir. Voilà !
Charles