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Marion et ses deux fils etc…… – Chapitre 3




Après cette soirée de folie, Marion descend à la cuisine avec le même déshabillé qu’hier et toujours à poil.

— Coucou mes deux beaux amants.

Les deux garçons se mettent debout et disent bonjour à leur mère, Marion les embrasse avec passion sur la bouche.

— Merci pour hier soir, c’est une des meilleures baises que je n’aie jamais eues.

Stéphane colle sa bite sur le cul de Marion.

— Non Stéphane ! C’est moi qui décide quand on baise.

— Arrête de jouer les farouches !

— Comme tu ne comprends pas, tu vas me regarder sucer ton frère

Marion se met à genoux, commence à sucer son fils aîné et avale les 25 centimètres entièrement pour lui faire une gorge profonde. Il éjacule au fond de sa gorge et Marion avale tout.

Marion se relève commence à branler Stéphane.

— Et puis non ! Je finirai ta branlette plus tard.

— Maman tu ne peux pas faire ça !!

— Et si ! Tu n’as qu’à aller te branler dans ta chambre.

Marion va prendre sa douche et s’habille en minijupe et un haut ultra-moulant qui met bien en valeur ses gros nichons.

— A tout à l’heure les garçons.

Arrivés à la fac, tous les étudiants matent. Le cours se finit et Marion interpelle trois garçons Michel, Philippe, Louis, tous les trois 18 ans.

— Je sais les garçons que vos hormones vous travaillent, mais arrêtez de mater mes seins en cours.

— Oui Madame, vous êtes trop bandante, dit Michel.

— Je croyais que vous vouliez me baiser en tournante.

— Oh Madame ! Ils l’entourent tous les trois.

— Vous croyez que vous allez me baiser ici ?

— Madame, montrez-nous vos nichons

Marion lève son haut et montre ses nichons

— Sortez vos bites, je branlerai la plus grosse.

— Vous plaisantez Madame ? Dit louis.

— Soit un de vous se fait branler, soit vous vous cassez de ma classe.

Les trois mecs se regardent, et sortent leur bite au même moment, ils bandaient tous les trois.

Marion éclate de rire

Marion prend un double décimètre.

Louis 20 centimètres, Philippe 20 centimètres et, incroyable, Michel également 20 centimètres.

— Bon, ben, j’ai que deux mains ! Je vais branler deux d’entre vous, et le troisième, je le sucerai. Tu as de la chance Louis, tu es au milieu, je vais te sucer.

Marion prend la bite de Louis en bouche et commence à branler les deux autres.

Marion était chaude et décida de sucer aussi les deux autres, elle suce deux par deux les bites.

Les trois jeunes hurlent de plaisir et éjaculent sur les seins de Marion.

Louis dit :

— Merci Madame, c’était très bon.

— J’espère que je peux compter sur vous pour que ça reste entre nous.

— Bien sûr Madame, dommage que ça soit les vacances, on ne vous verra pas pendant deux semaines et vous n’aurez pas nos bites.

Sur ça, ils quittent tous les quatre, le lycée.

Marion rentra chez elle, et avec surprise ses fils avaient fait les valises, ils partent ce soir chez les parents de Marion.

— Par contre, les garçons, chez les grands-parents, il faudra rester discret.

— Ça veut dire quoi maman ? On ne pourra pas baiser ? Demande Stéphane.

— Ne t’inquiète pas ! On baisera sur le chemin. Mais chez vos grands-parents, on baisera aussi, j’aime trop vos deux grosses bites.

Tu es une sacrée putain maman, dit Stephen.

— Je sais mon chéri ! Bon, allons-y …

Tous montent en voiture.

Marion et ses deux fils sont en voiture, les parents de Marion sont à plus de 500 kilomètres, ils vont faire un arrêt dans un hôtel à la tombée de la nuit.

Sur la route, Marion doit avouer à ses fils ce qui s’est passé avec les trois jeunes.

— Les enfants, aujourd’hui, j’ai sucé trois garçons.

— Qui ça ? Demande Stéphane

— Ben Louis, Philippe et Michel.

— Pourquoi tu as fait ça ?

— Parce que j’en avais envie, mais leurs bites sont petites par rapport à vous deux et je préfère le goût de vos sexes.

Stephen dit à sa maman :

— Tu es folle ! Ce sont tes élèves, et les trois je les connais, ils vont me harceler, et plus, si tu refuses. Ils vont te faire chanter. Je suis sûr qu’un de leurs potes a dû filmer, ou bien a fait des photos.

— Écoute, on verra bien au moment venu.

Au bout de 250 kilomètres, Marion s’arrête à l’hôtel qu’elle avait réservé.

Elle avait réservé une grande chambre avec un très grand lit, idéal pour faire des cochonneries avec ses deux fils.

Marion et ses fils se changent avant d’aller au restaurant, Marion s’habille assez sexy mais chic.

Au restaurant, Stephen et Stéphane demandent des explications. Comment était-elle devenue aussi salope ? Comment ça a débuté ?

Marion leur explique que ça a commencé, quand sa mère a quitté son père, le père de Marion était très pervers, qu’il avait fait d’elle sa maîtresse, et qu’il l’obligeait à coucher avec ses amis.

Stephen demande :

— Il t’a forcé ?

— Oui, au début, mais après j’ai pris goût au sexe, il m’en fallait tous les jours et de plus en plus ! Voilà comment je suis devenue une nymphomane et après, avec votre père, pour calmer mes ardeurs de sexe, on baisait souvent. Nous faisions l’amour six à sept fois par jour, et puis on a fait des partouzes. J’ai enfoui mon côté salope à la mort de votre père. Après… la suite vous la connaissez…

— Oh là, ces aveux me donnent une envie de sexe !

Marion paye la note et dit à ses fils

— Allez, vite les garçons, maman a envie de baiser. Vous allez me masser et après je veux une double pénétration.

Marion, nue se fait masser de la tête aux pieds, puis leur dit :

— Maman veut surtout un massage de la chatte et du cul, je veux que vous travailliez bien mes orifices.

Marion à quatre pattes, ses deux fils introduisent un doigt puis deux, puis trois. Marion se fait fister la chatte et le cul. Pas avec les doigts, mais avec les poings, Marion hurle de plaisir pendant presque 15 minutes.

— Arrêtez ! Je n’en peux plus, baisez-moi ! Je veux du sperme dans mon cul et dans ma chatte, Stéphane, baise ma chatte, et toi Stephen, encule-moi !

Les deux fils entrent dans les deux orifices, la liment pendant 20 minutes et jutent dans les trous de Marion.

— Allez les garçons ! Allons prendre une douche et allez au dodo.

Le lendemain Marion va payer à la réception.

La réceptionniste lui dit :

— Madame, vous avez fait du bruit hier soir.

— Oui, mes fils ont de grosses bites.

Marion et ses fils reprennent la voiture en direction des parents de Marion

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