De retour chez elle, la soumise en manque vraiment de baise, demanda à son maître quand ils pourraient se voir.
[SMS]
<Tu es vraiment une salope, tu veux baiser dès que tu mouilles !! Répondit-il
>Oui maître, ta salope qui veut toujours baiser
<Je vois mon planning et te redis cela. En attendant pour demain, je veux une photo seins nus en magasin.
>Bien maître.
La soumise se demanda bien comment elle allait réaliser ce gage, la peur et la mouille, mélangées, commençaient à monter, rien quà penser au moment où elle ferait le gage.
Le lendemain pendant son travail, elle reçut un message de son maître, comme à chaque fois cela la fit sursauter, ne sachant jamais ce quil allait lui demander.
Le message disait ceci : va dans les toilettes pisses, masturbe-toi sans jouir. Tu me fais une vidéo qui dure au moins 1mn30.
La soumise finie ce quelle avait à faire alla aux toilettes, senferma avec soin, mit son téléphone portable en mode vidéo. Elle essaya de pisser mais comme à chaque fois quelle devait le faire devant son maître cela la bloquait un peu, elle finit par pisser puis se masturba en filmant, elle fit bien attention que le film dura au moins 1mn30. Après avoir vérifié que la vidéo était bien enregistrée la soumise lenvoya à son maître, une réponse rapide arriva :
[SMS]
<Gage validé, bonne soumise. Noublie pas la photo de tes seins nus pendant tes courses !!
La soumise ne risquait pas doublier cela lui faisait peur et en même temps une certaine excitation la chatouillait intérieurement, elle sentait que sa cyprine commençait à venir dès quelle pensait à comment faire cette fichue photo. Cela la perturbait dans son travail, elle nétait pas concentrée et sa chef commençait à sen rendre compte. Il faudrait quelle fasse attention à lavenir, ce serait dommage de perdre son travail pour une histoire de sexe.
Une fois son travail fini, la soumise se rendit dans sa voiture, regarda à droite à gauche, personne. Rapidement elle dégrafa son soutien-gorge et le retira, toujours en quêtant que personne ne puisse la voir. Puis elle se rendit dans son magasin préféré avec sa liste de courses. Elle déambula dans le magasin à la recherche de lallée la moins fréquentée pour prendre la photo. Enfin, lallée de la vaisselle étant déserte, elle ouvrit son corsage, se mit de façon que lon voit sur la photo des éléments du rayon, et déclencha lappareil photo de son téléphone portable, tout en surveillant que personne ne la voyait. La photo à peine prise elle lenvoya au maître. Elle fit ses courses comme si de rien était. Ce nest quune fois chez elle quelle regarda son téléphone et vit la réponse à sa photo :
[SMS]
<Bonne soumise, gage validé. Ce soir je tenvoie ladresse et la date, où nous retrouverons pour ta première séance de soumission. Je suis fier de toi ma salope.
>Merci Maître
La soumise rentra chez elle, heureuse de savoir quelle allait revoir son maître, cette fois-ci pour certainement être baisée par lui.
Elle ne croyait pas si bien penser, le Maître lui réservait une surprise à sa façon.
Le message tant attendu arriva enfin, le Maître lui donné rendez-vous à une adresse pas trop loin de chez elle, le week-end qui arrivait, il lui avait spécifié quelle devait être habillée en jupe courte, chemisier, sans aucun dessous, cul et seins offerts.
La soumise avait hâte de revoir son maître, un peu peur aussi ne sachant pas trop ce qui lattendait vraiment. Tous les jours avant le week-end, le maître rajoutait une exigence, apportait de quoi bander ses yeux, boire beaucoup et ne pas pisser………
Enfin le jour tant espéré arriva, la soumise prit le temps de choisir sa tenue, ne voulant pas décevoir le Maître. Elle mit une jupe courte bordeaux, un chemisier blanc, quelle ouvrit jusquà la naissance de ses seins, comme il le lui avait demandé. Avant de prendre sa voiture, elle avait pris soin de bien boire, la route nétait pas longue, heureusement sinon elle ne sait pas si elle aurait tenu. Au fur et à mesure que la route se faisait, la soumise sentait ladrénaline, la peur, lexcitation monter, la cyprine commençait à mouiller sa chatte lisse, la soumise ayant pris soin de bien la raser.
Elle arriva enfin à ladresse indiquée, elle se redressa, remit en place sa coiffure, prit son courage à deux mains et sonna au portail. Celui-ci souvrit, elle entra dans un jardin, traversa lallée et se retrouva devant un petit pavillon de chasse.
Le maître lattendait sur le perron, il lembrassa langue à langue, tout en ouvrant son chemisier, et soulevant sa jupe, comme pour vérifier quelle avait bien suivi ses recommandations. Il la fit rentrer, lui mit un bandeau, il la dirigea vers une pièce.
Il lui retira ses vêtements, la fit sagenouiller, « ouvre la bouche lui dit-il », un jet chaud vint lui gicler le visage et la bouche, elle reconnut le jus doré, comme elle aimait lappeler, elle avala avec délice la pisse de son maître. Une fois soulagé, il la fit se lever, lui écarta les jambes « A toi maintenant pisse !! » La soumise essaya de pisser, cela ne venait pas, deux claques vinrent cingler ses fesses, « Allez pisse salope », surprise, la soumise bougea un peu, poussa et fini par pisser dans la bouche du maître, à la fin de son jet, elle sentit la langue de son maître récolter les dernières gouttes de son jus doré.
— Ne bouge pas ma salope
Elle sentit son maître se relever, lentendit ouvrir un tiroir. Le maître la fit se pencher en avant, lui badigeonna lanus dun gel puis lui enfonça un objet dans son cul.
— Je tai mis un plug, pour préparer ton cul à recevoir ma queue. Tu mas dit être pratiquement vierge de ce côté. Je veux le prendre, que tu y prennes plaisir, tu seras toujours prise dans ton cul, alors autant ty faire.
Cette tirade, le maître la dite tout en lui titillant le clito.
— Interdit de jouir sans mon autorisation tu le sais, lui chuchota-t-il à loreille, toujours en caressant son clito et mettant deux doigts dans sa chatte.
La deuxième main du maître nétait pas inactive, elle triturait, étirait ses tétons, une douleur vive la transperça lorsque le maître lui mit une pince sur ses tétons.
— Ça aussi tu vas apprendre à laimer !!
Il la pris par le bras et la guida vers une autre pièce, le maître la mis à genoux, lui mit les mains dans le dos.
— Cest ta position quand je ne moccupe pas de toi, reste bien droite.
Des flashs crépitèrent, le maître la prenait en photo sur plusieurs plans.
Il la releva et retira les pinces de ses seins, une vive douleur la traversa de part en part, elle poussa un cri.
— Je ne veux pas tentendre sers les dents !!
Il la bascula et elle se retrouva sur ses genoux, la croupe en lair.
— Je ne veux pas que tu bouges ni que tu cries, chaque mouvement, chaque cri, donnera lieu à deux claques supplémentaires, as-tu bien compris ?
— Oui maître, si je bouge ou je cris, tu me donnes des claques supplémentaires.
A peine avait-elle fini sa phrase, quune première claque tomba sur sa fesse droite, puis une seconde, les claques tombaient sans interruption, en alternance dune fesse puis sur lautre. La soumise, serra les dents, ne bougea pas, la douleur était vive, en même temps cela lexcitait, elle sentait sa cyprine sur sa chatte, et sur ses cuisses.
Le maître sen aperçut également.
— Mais tu mouilles ma salope !!!
Il la releva, la mit à genoux, lui enfourna sa queue dans sa bouche.
— Suce, ma salope, fait cela bien sinon je serai obligé de te punir !!
La soumise prit la queue de son maître dans la main
— Non tu laisses tes mains dans le dos, cela serait trop facile.
La soumise remit ses mains dans le dos, prit la queue de son maître en bouche, puis fit des va-et-vient de haut en bas, faisant attention que ses dents nentrent pas en contact avec la peau de la queue.
Le maître prit la tête de la soumise dans ses mains, cest lui qui imprima le va-et-vient, il enfonça plus loin sa queue dans sa bouche, la soumise étouffa, cracha.
— Voilà encore une chose dont il va falloir que tu thabitues, je ne te ferai que des gorges profondes !! Suce-moi les couilles et lanus !!
La soumise prit les couilles une à une en bouche, puis le maître mit son cul sur la bouche de la soumise, elle commença à lui lécher lanus
— Rentre bien ta langue dedans, essuie-moi bien le cul jai chié et ne me suis pas nettoyé, dit-il dans un rire sadique
La soumise sexécuta dans un rictus, le maître commença à reprendre possession de ses seins, il caressait et tirait sur les tétons lun après lautre. Très sensible des seins, la soumise sentit un orgasme monter, elle demanda au maître de jouir.
— Très belle surprise pour moi que tu sois sensible de ses petits mamelons, mais non je ne veux pas que tu jouisses maintenant. Retiens-toi !!
La soumise se tortilla dans tous les sens sous leffet des caresses sur ses seins. Le maître abandonna les seins de la soumise.
— Relève-toi, penche-toi !!
Dun coup sec il retira le plug du cul de la soumise, il passa son doigt comme pour un massage, puis y rentra son doigt, faisant des va-et-vient, tournant à lintérieur de son anus. Une fois que le maître trouva que la dilatation était suffisante, il entraîna la soumise sur un lit, lagenouilla, la croupe bien en lair. Il mit du gel sur sa queue et sur lanus de la soumise.
— Ne bouge pas je vais y aller doucement, mon but nest pas que tu souffres, je veux que tu y prennes plaisir.
Doucement, délicatement, le maître fit entrer sa queue dans le cul de la soumise, petit à petit la queue rentra, toute la queue, une fois en place, il ne bougea pas. Le maitre caressa les seins, puis le clito de la soumise.
— Je vais bouger dans ton cul, je tautorise à jouir, pousse ton cri de jouissance sous mes coups de butoir.
Le maître commença ses va-et-vient, doucement, puis de plus en plus fort, de plus en plus profondément. La soumise apprécia de plus en plus, elle sentait la cyprine couler de sa chatte, lorgasme monta et elle poussa un cri déchirant sous la jouissance. Le maître sortit de son cul, la retourna et éjacula sur son visage. Il lui retira son bandeau, la soumise cligna des yeux pour retrouver son sens de la vue.
— Essuie avec tes doigts mon sperme, et lèche-les !!
Une fois cela fait, le maître entraina la soumise dans une salle de bain, et tous deux prirent une douche.