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Marie, soumise et rebelle – Chapitre 2




Je nai rien regretté, et pourtant…

Trois heures plus tard, Antoine a dû me porter pour me plonger dans la baignoire remplie deau chaude ; à moitié inconsciente, le corps brisé, tous les muscles douloureux, et surtout lanus et le vagin complètement démolis. Effectivement, il navait pas témoigné de tendresse particulière à mon égard, mavait-il semblé. Il avait juste enlevé rapidement ma culotte pour plonger en moi sa verge que javais à peine aperçue, énormité de la nature qui semblait dépasser en taille celles des quelques hardeurs que javais pu apercevoir sur la toile.

Ou alors au contraire il avait été attentionné par rapport à dhabitude

Il mavait prise sans aucun préliminaire, relevant et écartant mes cuisses pour se positionner et senfoncer dans mon vagin trempé. Oui, heureusement que jétais trempée des caresses prodiguées un peu plus tôt et de mon orgasme car il était tellement épais que jaurais souffert le martyre autrement. Dilatée à lextrême, jai crié autant de surprise que de douleur et Antoine ma bâillonnée de sa main tout en explosant mon pucelage. Les larmes ont ruisselé sur mes joues, je passai du plaisir à la souffrance en un instant, puis il a commencé à me pénétrer plus profondément. Javais limpression dêtre embrochée de part en part tellement lenvahissement me semblait profond. Je me suis cabrée quand il a buté tout au fond de mon vagin, effarée par lépaisseur et la longueur de ce qui dépassait encore, plusieurs centimètres de barreau débène.

Il ma pilonnée sur un tempo de plus en plus rapide, heurtant à chaque fois le fond du vagin qui sadaptait tant bien que mal au calibre hors du commun. La douleur a diminué rapidement au profit dune sensation inconnue de plénitude ; jai alors senti que jattendais ce moment depuis longtemps, dêtre la femelle soumise couverte par le mâle en rut qui la rudoyait, dêtre le réceptacle de la semence du maître. Jai remonté les cuisses encore plus en ramenant les genoux vers mes épaules, moffrant ainsi complètement, et Antoine sest vidé en moi, jai senti son liquide séminal entrer à gros bouillons dans ma matrice et la remplir alors quun orgasme puissant me dévastait. Puis il sest redressé, la verge toujours aussi raide ; jai poussé un cri de frustration quand son mandrin luisant de cyprine est sorti de moi. Il ma regardée férocement.

Maintenant, je vais te prendre ton autre pucelage, ma puce ! Tournetoi sur le ventre Lève le cul, plus haut Ecarte les jambes, encore Tes mains sur tes fesses, tu les tires pour les écarter, que je voie bien ton trou du cul tout rose. Je vais te le défoncer.

Et il la fait, mais seulement après avoir déversé une bonne dose de lubrifiant dans la raie de mes fesses et sur sa verge toujours aussi raide. Le pire, cest que je lai aidé, gardant la position alors quil démolissait mes sphincters, son gland monstrueux défonçant tout sur son passage. Même si jétais bien lubrifiée, je mordais le drap pour ne pas hurler, le visage baigné de larmes, la morve coulant de mes narines. Quand il a commencé à se mouvoir, jai cru quil arrachait mes intestins avec son membre tellement cétait éprouvant. Quand il senfonçait, jétais remplie à exploser, quand il sortait je me sentais vidée, lanus béant, en attente. Car malgré la douleur qui, je le savais, allait me ravager à nouveau le fondement, je lattendais, impudique, totalement offerte.

Tu es bien une petite chienne, comme ta mère. Tu aimes te faire défoncer, ma petite pute. Demande-moi de tenculer, allez !

Viens, oui, encule ta petite chérie, naie pas peur, je suis à toi. Oh ! Ooh ! Cest trop gros, mon Dieu !

Il avait plongé dans mon anus sans aucune douceur, tout à son plaisir de me voir si offerte, son braquemart géant explosant ma rondelle. Moi je serrais les dents sur le dessus de lit pour retenir mes cris, les yeux exorbités et le visage sillonné de larmes. Et en même temps, je naurais voulu être ailleurs pour rien au monde. Il gardait une cadence régulière et soutenue, son membre me semblant encore plus dur, entrant plus profondément, les grosses couilles tapant mollement contre ma vulve. La douleur satténua assez vite et je commençais à soupirer de plaisir, jai tourné la tête vers Antoine pour lui faire un pauvre sourire et lui envoyer un baiser.

Ma petite chérie, ton cul est délicieux. Etroit, souple, chaud. Je vais te le remplir de sperme, et tu nettoieras ma queue, daccord ?

Oh ! Oui, ça te fera plaisir ? minaudai-je, décidée à lui montrer que jétais sienne.

Ta mère le faisait bien, alors

Sur ces mots, il sest planté bien à fond et a rugi, jai senti les contractions de sa verge qui se vidait dans mes intestins. Et, comme il me lavait demandé, oscillant entre répugnance et curiosité, je me suis agenouillée entre ses cuisses écartées. Antoine sétant assis au bord du lit jai soulevé sa verge ramollie et gluante et, les yeux plantés dans les yeux sombres dAntoine, jai commencé à lécher le gland.

Tu sais, ça sent pas la rose, ton gros machin !

Je sais, mais cest en toi qui je lai sali, cest normal que tu nettoies, non ?

Il y a la douche aussi, ça marcherait sûrement, objectai-je, secrètement ravie de le voir se défendre.

Ce serait moins fun, allez, avale, tu mas pas encore sucé. Tu las déjà fait ?

Non, avec qui tu veux que je laie fait ? Bien sûr que jai jamais fait ça

Il ma donc appris à sucer sa queue qui grossissait à vue dil, à pomper le gros gland. Evidemment, je ne pouvais lavaler toute, alors quil me disait que maman y arrivait bien, elle. Je ne sais pas comment elle pouvait bien faire tellement son engin était gros mais surtout long. Quand il butait contre ma luette javais des haut-le-cur, envie de vomir, je salivais trop. Bref, mauvaise technique, comme ma dit Antoine.

Cest pas grave, tu apprendras, dans pas longtemps tu avaleras ma queue jusquaux couilles, je te fais confiance. En attendant, je vais télargir un peu. Quel tu préfères ?

Je ne sais pas, que préfères-tu ? demandai-je, méfiante mais réellement curieuse de connaître ses envies.

Ton cul, jai adoré.

Daccord. Je nose même pas te demander de faire doucement, nest-ce pas ?

Allez, sur le lit, comme tout à lheure. Ecarte bien tes fesses. Bon sang ! Tu verrais ton cul, il a chargé, ça se voit. Boursouflé, un vrai cratère qui attend ma bite. Prends ça au chaud

Ooh ! Oooh ! Mon Dieu ! Non, pas si fort

Jétais peut-être souple, mais là cétait trop, il sétait enfoncé avec un han de bûcheron, en un seul coup. Puis il est resté planté à fond, me laissant récupérer un peu. Jétais oppressée, le cur au bord des lèvres et les yeux brouillés de larmes ; je serais tombée à plat ventre si Antoine ne tenait pas mes hanches fermement. Jai passé une main sur mon ventre que jai trouvé gonflé, mattendant à sentir le volumineux épieu de chair au travers.

Puis, quand je me suis un peu habituée, Antoine a commencé à se mouvoir. Lentement, prenant la mesure de mes reins, sortant complètement, attendant deux ou trois secondes pour replonger de plus en plus aisément bien à fond. Il ma gratifiée de toute son expérience pour se retenir et me prendre aussi longtemps quil voulait. Je défaillais, me redressant pour lui montrer mon visage aux yeux noyés, lexhortant à me défoncer encore et encore, toujours plus fort. Pas à dire, jaimais ça !

Au contraire, il est ressorti pour me retourner et membrasser, sa langue envahissant ma bouche.

Puis il a mordu et sucé mes tétons roses tout gonflés, est descendu encore pour aspirer mes lèvres intimes, mon bouton, boire ma cyprine ; un orgasme ma balayée et jai crié, les doigts crispés sur sa tête. Il est alors remonté, posant mes mollets sur ses épaules larges, et sest guidé à nouveau dans mes reins quil a envahis dune seule poussée. Jai ouvert grand la bouche, effarée de pouvoir recevoir quelque chose daussi volumineux en moi sans en mourir, jai caressé les flancs dAntoine, le tirant à moi pour quil me prenne plus fort, plus vite.

Il la fait. Emportée par lavalanche de sensations, douleur, plaisir, plénitude, jai pris mes mamelons et les ai pincés, étirés, en bégayant des mots sans suite. Jai à nouveau joui quand Antoine a explosé pour la troisième fois, dans mes reins à nouveau. Il est tombé sur moi, mécrasant sous sa masse, jétais pliée en deux dans une posture inconfortable, mais jétais bien, lanus toujours distendu par sa verge qui dégonflait à peine. Antoine ma embrassée en pétrissant mes fesses, me forçant à rester bien plantée sur sa virilité, elle durcissait à nouveau et gonflait, mettant mes sphincters à rude épreuve.

Tu es insatiable, ma parole ! Tu as encore envie ? Tu as joui trois fois déjà.

Oui, ce nest rien pour moi, je vais pouvoir te prendre longtemps sans crainte de cracher trop rapidement, ton petit cul va déguster.

Effectivement, je ne sais pas combien de temps il ma sodomisée, mais ça a duré longtemps. Non que jaie souffert, mais il pilonnait mes reins sans répit, me changeant de position au gré de ses envies. La sueur ruisselait sur sa peau noire, la rendant luisante et poisseuse, ses coups de boutoir résonnaient dans le silence de la chambre ponctué de nos respirations et de mes gémissements. A un moment je me suis retrouvée sur lui, les cuisses largement ouvertes, et je montais et descendais à mon rythme pour mempaler sur sa verge dressée. Génial !

Lui malaxait mes seins rudement, empoignant les globes pour faire saillir les mamelons gonflés, il les pinçait et les étirait, cétait un peu douloureux mais agréable. Dans cette position, la verge nallait pas aussi profond, mais cétait largement suffisant pour moi ; malgré son calibre conséquent, elle coulissait maintenant parfaitement dans mon conduit anal, javais plaisir à mouvoir mon bassin souplement, attentif aux réactions dAntoine, qui a rigolé.

Si tu penses me faire craquer comme ça, tu te fourres le doigt dans lil. Dans cinq minutes, je vais te retourner sur le ventre, te coincer, et finir de te démolir le cul. Là, tu vas vraiment charger.

Tu es gentil, Antoine, mais tu as que de la gueule, lui rétorquai-je avec un sourire mutin.

Puis je lui ai tiré la langue en faisant une grimace, il a souri avant de me soulever et de me jeter à côté de lui. Et il fut aussitôt sur moi, tordant mes poignets pour les écraser dans le creux de mes reins, ses genoux écartant mes cuisses. Je me laissais disposer sans opposer de résistance, me cambrant un peu pour laider, son pieu sest enfoncé un peu dans mon vagin dégoulinant pour remonter rapidement et flécher mon anus. Et sensuivit une chevauchée brutale, où Antoine ma prise le plus fort quil pouvait, à coups de boutoir toujours plus violents. Il y allait à fond, son ventre frappant contre mes fesses dans un claquement humide de nos sueurs mélangées.

Je nen pouvais plus, à chaque fois quil se retirait pour plonger à fond dans mon anus distendu, je poussais un hoquet bien involontaire, il a empoigné mes cheveux de sa main libre lautre écrasait toujours mes poignets pour tirer ma tête en arrière, bien sûr en continuant sur un rythme insensé. Quand il a joui, je nétais plus quune loque, une marionnette dont on a coupé les fils, je suis restée allongée comme il ma laissée en se retirant de moi. Gémissant juste en me sentant vide, lanus béant débordant de sperme.

Jai repris mes esprits peu à peu, plongée dans le bain bien chaud, revigorée par lodeur du savon moussant. Je me suis laissée glisser en avant, plongeant la tête entièrement dans leau, deux doigts pinçant mon nez, les yeux clos.

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