Eglantine.
Ce récit fait partie dun ensemble et est intégré à un autre je le place à sa suite, pour que vous compreniez le premier. Bonne lecture.
Je jouais au tennis dans un club en dehors de la ville jy allais en principe le samedi matin ou quelques fois le mercredi soir lété.
Souvent le samedi il y avait un couple qui jouait sur le cours à côté, la femme pas plus de 30 ans et un homme dun certain âge dans les 50 ans, à lépoque javais 23 ans et trouvais tout le temps un partenaire, parmi mais amis ou au club, ce jour là jétais venu seul et allais directement au club house.
Jétais là depuis dix minutes quand une voix féminine me sortit de mes pensées.
— Bonjour ! Je ne vous dérange pas, vous êtes seul aujourdhui ?
— Oui, mon partenaire a une cheville foulée et je me retrouve seul et comme cest les vacances il ny a pas beaucoup de monde.
— Oui, cest pareil pour moi, papa est parti en vacances et je suis seule. On fait une partie ensemble ?
— Volontiers ! Et que joue ton ?
— Celui qui gagne décide !
— Daccord !
La partie fut très agréable, elle jouait bien et je ne réussis à la gagner que dun petit set.
Elle était souriante et vint me serrer la main.
— Bien joué, jaurais pu vous battre mais à la fin jétais épuisée, vous courez plus vite que moi.
— Je nai pas de mérite je cours tous les matins au moins cinq kilomètres.
— A vous de dire ce que je vous dois.
— Un dîner ?
— Oui, mais cest moi qui vous invite alors.
— Il nen est pas question, votre présence est ma récompense.
— Quand, ce soir ? 20 h vous passez me prendre !
— Oui, donnez-moi votre adresse sinon jaurais du mal à vous trouver.
— Bien sûr venez, je vous offre à boire au club house et vous donne ma carte.
Je me rendis compte quen fait, je ne connaissais même pas son prénom, vu quelle ne sétait pas présentée mais elle connaissait le mien bizarre !
Elle me donna sa carte Eglantine Laurent, conseil en entreprise.
Pas commun comme nom Eglantine, cest une jolie fleur mais comme les roses ça pique.
— Bien donc ce soir vingt heures Eglantine. Vous permettez que je vous appelle Eglantine mademoiselle Laurent?
— Oui, bien sûr, je vous appellerai R monsieur de St V, Je vous attendrai !
— Comment connaissez-vous mon nom, je suis curieux !
— Cest un secret, je vous le dirai ce soir.
— Je languis déjà, à ce soir Eglantine et bonne journée.
20 h je sonne à sa porte, jattends 30 secondes et une femme de chambre vient mouvrir.
— Mademoiselle vous rejoint au salon veuillez me suivre monsieur, elle nen a que pour deux minutes.
En fait de 2 minutes jattendis bien 20 et je commençais à bouillir dans mon jus mais je fus récompensé.
Dans une robe de satin moulante rose fuchsia qui lui arrivait aux genoux, un décolletée qui ne cachait presque rien de ses deux magnifiques seins, dos nu chaussé sur des bas, couleurs chair de mules pieds nus attachées à la cheville à talon haut de la couleur de la robe, ses cheveux bruns remontés en chignon tressé, une pure beauté ses jambes parfaites se devinaient sous la robe qui les collait à merveille.
Je navais que 23 ans et elle au moins trente et au départ navais eu aucune intention sexuelle, vu mon âge, je navais que peu despoir de la retrouver dans mon lit, ce nétait pas et de loin une femme pour moi trop belle trop sophistiquée, mais jétais bien heureux de sortir avec elle au restaurent et pourquoi pas tenter de sortir dans une boîte huppée.
— Vous êtes très belle Eglantine, je suis heureux de passer la soirée en votre compagnie.
— Et moi en la votre monsieur de St V, pardon R.
Jétais fier davoir cette femme à mon bras, tout le monde se retournait sur notre passage et je me sentais un vrai mec. Vous pensez à 23 ans avoir une beauté comme ça à son bras et aller dans un des restaurants les plus chics de la ville.
Javais réservé une table et il est vrai que jallais souvent dans ce restaurant à lépoque, tu penses, tu as 23 ans tu veux impressionner une fille de 20 ans, tu lemmènes dans un des plus grands restaurants, ça permet une entrée en matière.
Elle nétait pas impressionnée du tout et je dirais même était fort à laise. Nous étions à table depuis un petit moment le serveur nous avait apporté le champagne et servi une coupe et nous discutions tranquillement.
— Dites-moi ! Comment connaissez-vous mon nom ? Cela mintrigue !
— Qui, ne connait pas R de St V, vous oubliez avoir fait la une de certains journaux financiers et avoir à 22 une des plus grosses entreprise de marketing en Europe et aux U S A.
— Je ne lai pas, jen ai pris la direction, ce qui nest pas du tout pareil et je ne lis pas les journaux qui racontent nimporte quoi…
— Vous en êtes quand même le principal actionnaire et mon métier veut que je fasse en sorte davoir un contrat avec vous.
— Cest donc cela, vous avez donc depuis ce matin au club, tout manigancé et avez joué avec moi uniquement dans lespoir de me soutirer un contrat.
— Manigancé non, disons que jai profité de la situation et jai sauté sur loccasion de pouvoir vous aborder, avouez que cétait tentant. Depuis un an que je suis au club je nai pas réussi une seule fois à vous parler et quand on veut vous avoir au téléphone ou avoir un rendez-vous il y a une meute de secrétaires qui barrent la route. Javais juste espoir davoir un rendez-vous, voilà.
— Ma fierté en prend un coup, moi qui pensais que vous me trouviez irrésistible ! Vous auriez pu me demander cela ce matin et je vous aurai donné ce rendez-vous, cela vous aurait évité la peine dun dîner en ma compagnie.
— Jaurai pu en effet mais si jai accepté de dîner avec vous et sûrement après de vous accompagner dans une boîte, cest que jen avais envie, le rendez-vous je men fiche bien depuis ce matin et javais bien espoir de vous battre pour vous inviter moi. Je vous ai dit la vérité pour ne pas vous mentir mais jai plaisir à être en votre compagnie.
Le dîner se finit dans une franche rigolade et en plaisanteries, elle était très agréable et avait une conversation amusante.
Elle me conduisit dans une boîte inconnue en dehors de la ville dans un genre de château, il ny avait là que des gens dun certain âge ou minimum 30 ans, comme elle et la musique était très douce et pratiquement que des slows, on y servait le champagne et le whisky, où le prix de la bouteille correspondait au salaire mensuel dun ouvrier.
Les serveuses étaient seins nus et en petite jupette noire et string. Que de très belles filles, très jeunes pas plus de 25 ans.
Je ne savais même pas que ce genre de boîte existait et fus surpris dy voir des femmes sembrasser sur la bouche et se peloter sur les canapés. Des hommes avec deux femmes ou des femmes avec deux hommes.
— Vous voulez visiter ? Il y a des salles en bas, plus, comment dire sexe.
— Non-merci, vous venez souvent ici, cest quoi cette boîte ? Je vais vous paraître sot mais cest la première fois que jen vois une.
— Ce nest pas une boîte, cest un club privé et oui je viens souvent mais pas comme vous le pensez, mon père en est le propriétaire. La dame que vous voyez venir à notre rencontre est ma mère. Je viens souvent les aider les soirs de réceptions. Je suis venue ici ce soir parce que cest le seul endroit où je sais que nous serons tranquilles.
— Monsieur de St V je vous présente ma Mère Adeline, maman je te présente R de St V un ami, je vais en bas lui faire visiter les salles. Venez R suivez moi.
Elle prit un escalier qui conduisait à un sous-sol, un bar des serveuses seins nus et en string celles-là, même pas de jupette et pieds nus, il y avait plusieurs salles, des gens dansaient, des femmes nues dansaient entre elles, des hommes étaient assis sur les canapés, le pantalon aux chevilles et des femmes les suçaient, là un homme en suçait un autre, ici un couple dhomme faisait lamour à une femme la prenant les deux ensembles.
Dans une autre pièce, il ny avait que des femmes, toutes nues ou presque et sembrassant ou se léchant les seins ou la moule, quelques unes armées de godes ceintures pilonnaient le cul ou la moule dautres.
Je commençais à avoir sérieusement la trique. Dans une autre salle des gens vêtus de cuir ou de tenue en latex, femmes ou hommes, martyrisaient des femmes ou des hommes, attachés aux murs ou sur des tables ou chaises, qui avec un fouet, qui avec une badine, qui brûlait lun avec de la cire chaude, ou lui fixait des pinces aux tétons ou aux lèvres de la chatte, un homme se faisait taper sur les couilles avec une badine, un autre était empalé sur un plug énorme ses jambes pendaient de part et dautre du pal avec des poids à ses chevilles et on lui en rajoutait dautres, ses mains enchaînées à un treuil lempêchaient de descendre trop violemment, ici une femme la tête recouverte dun masque en cuir était attachée sur un genre de tonneau le cul en lair et une dizaine dhommes la prenait à tours de rôle dans tel ou tel de ses trous. La une femme était fistée par une autre, ses deux bras dans ses trous, une femme fistait un homme qui avait la verge attachée avec une corde et on lui tirait dessus avec un jeu de poulies.
Cétait Sodome et Gomorrhe, le lupanar du sado maso, une fille le cul presque en sang était fouettée avec une cravache, un gode dans la chatte et un plug dans le cul, bâillonnée par une boule en bois tenue par un élastique qui faisait le tour de sa tête.
Nous passâmes dans une autre pièce où là, deux personnes faisaient des piercings dans des langues, des tétons, des nombrils ou des clitoris, dans les lèvres des sexes de femmes qui devaient sûrement payer pour cela. Un homme se faisait percer le sexe, il avait déjà des piercings un peu de partout sur le corps.
Enfin nous arrivions dans une salle où trônait un bar, de la musique douce y était diffusée, des gens habillés normalement dansaient en couple, je compris quon était revenu dans le monde des hétéros.
Eglantine me demanda de la faire danser. Elle se colla contre moi, sa tête sur mon épaule, ses bras autour de mon cou. Mes mains parcouraient son dos nu.
— Embrasse-moi, embrasse-moi ou je deviens folle.
Nous dansions lèvres contre lèvres, langue contre langue, je caressais son corps souple et magnifique.
Elle me prit la main et sans rien dire mentraîna jusqu’à la voiture, me demanda les clés et nous conduisit à son appartement, me tenant par la main et sans un mot depuis que nous étions partis du club privé, elle me conduisit à sa chambre.
Nous étions nus dans la salle de bain, sous la douche elle me lavait, je la lavais et cest tout mouillés que nous allions sur son lit.
Les seuls mots quelle me dit, furent !
— Fais-moi lamour, jai trop envie de toi prends moi tout de suite.
Je mallongeais sur cette femme, qui ce matin encore nétait quun rêve et la pénétrais. Elle jouit presque immédiatement.
— Tu me fais jouir mon chéri, jai trop envie de toi, je jouis cest bon, oui, oui, encore plus vite, plus vite.
Sa tête allait dans tous les sens et son corps se cabrait son sexe venait à la rencontre du mien, elle ahanait sous les coups de mon pieu fiché en elle.
Cétait merveilleux de voir jouir cette femme sous mes coups de reins, si belle si douce et si inaccessible il y a encore de cela une heure.
Lamour oui cest lamour que nous avons fait toute la nuit, nous avons dormi une grande partie de la journée, entrecoupée de caresses et de jouissances, quelle merveilleuse amante.
Nous sommes restés amants deux ans, deux ans de pur bonheur et damour, la vie nous a petit à petit éloignés mais de temps en temps nous nous revoyons avec toujours autant de bonheur.
A bientôt.
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