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Double amour pour sa maman – Chapitre 2




Vers sept heures, Nicolas passa du sommeil à la somnolence. Il revoyait sa maman l’embrasser à pleine bouche et lui, lui rendre son baiser qui fut très long et très amoureux. Il avait mal à son bras droit, il avait chaud, sa tête ne fonctionnait pas encore correctement.

— Ma chère maman a été contradictoire hier soir, elle me fait la moral sur l’inceste et en même temps elle tenait fortement mon sexe, je suis certain maintenant qu’elle a envie de faire l’amour, oh mon Dieu si cela pouvait arriver! J’ai chaud ce n’est pas normal!

En effet Nicolas se réveilla pour de bon et comprit immédiatement pourquoi il avait si chaud et que son bras droit lui faisait mal. Sa mère était venue contre lui dans la nuit. Son corps épousait celui de son fils, sa tête reposait sur le bras de Nicolas, elle avait posé la main de son fils sur un sein. Son dos était plaqué contre la poitrine de Nicolas et ses fesses reposaient pratiquement sur le haut des cuisses. Nicolas avait le bras gauche qui ceinturait le corps de sa mère et sa main était plaquée sur le bas ventre de madame Laureen, le bout des doigts touchaient le petit triangle de poils se trouvant juste au-dessus, qu’elle n’avait pas rasé. Belle position! Se dit-il, mais j’ai mal à ma queue ce matin plus que les autres jours.

Il trouva rapidement le pourquoi du comment, sa mère en venant se blottir contre son fils, avait écarté les jambes et prit le sexe tout rigide et l’avait placé entre ses jambes en quelque sorte, elle était assise sur ce gros sexe, elle sentait la dureté et lui sentait la chaleur de la chatte de sa mère et enfin, étant donné la longueur de sa queue, Laureen avait entouré de sa main gauche le bout de queue qui dépassait, elle masturbait doucement ce qu’elle avait dans la main. Nicolas fit semblant de dormir, maitrisa sa respiration malgré la masturbation qui commençait à lui faire de l’effet.

Sa main gauche descendit encore un peu plus, jusqu’au moment où ses doigts touchèrent les grosses lèvres de la chatte de sa mère, elles étaient déjà très mouillées. Celle-ci arrêta la masturbation, sa main se positionna sur celle de Nicolas et la plaqua sur sa chatte. Doucement elle dit:

— Nicolas tu me fais du bien, c’est bon! Es-tu réveillé? Je me rends compte que je t’aime très fort mon chéri et pas comme un fils, fais-moi du bien, fais-moi jouir avec tes doigts!

Il y eu un silence, Nicolas ne répondit pas, comme on dit, il voulait la laisser mariner. Le temps paru être long, mais en vérité ce ne fut que quelques secondes.

— Madame Laureen, je vous aime moi aussi, et je vais te faire jouir, tu vas en crier de bonheur.

— Moi aussi je vais te faire jouir et de la manière que tu voudras, mais d’abord laisse-moi t’embrasser, je veux goûter à ta langue, à ta salive, je veux sentir ta grosse queue sur mon ventre, et dis-moi avant comment veux-tu que je te fasse jouir?

— Je meurs d’envie de jouir dans ta chatte!

— Mon chéri, pas maintenant, j’aurais dû te proposer soit te branler soit te sucer, moi si tu veux bien j’aimerai te sucer!

— Viens dans mes bras ma petite femme chérie que je t’embrasse le plus amoureusement possible.

Pendant que Nicolas embrassait fougueusement sa mère, une de ses mains vint se poser sa le sexe imberbe de sa maman; Une douce chaleur s’en dégageait ainsi qu’un chaud liquide, entre deux respiration il lui dit:

— tu mouilles ma chérie, mes doigts glisse bien dans tes lèvres. Allonges toi sur le dos mon amour je vais te lécher et avaler tout ce qui sortira de ton vagin pour goûter ce doux nectar, et rassures toi mes doigts ne seront pas inactifs.

— Non! Dabord moi, allonges toi et laisses toi faire.

Laureen regardait la queue de son fils en se disant Est-ce possible qu’à dix-sept ans un jeune puisse avoir un sexe pareil, elle le prit à deux mains, l’une au-dessus de l’autre et commença à le branler doucement puis un peu plus vite; N’y tenant plus, elle avança sa bouche ouverte au maximum, elle s’enfonça doucement la tête du membre puis la ressortit, passa sa langue pour lécher la petit perle de pré-sperme qui sortait du méat. Enfin elle fit glisser la belle bite de son fils dans sa bouche et commença à monter et descendre tout en la branlant avec ses deux mains; Nicolas caressait les cheveux ou bien le dos jusqu’aux fesses de Laureen, il sentait l’excitation monter de plus en plus vite.

— Oh! Mon amour chéri je vais jouir, tu fais cela tellement bien, c’est tellement bon, je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, je vais t’avertir avant.

— Non Nicolas, je veux te boire, je veux goûter à ton sperme, si je t’appartiens toute entière, il en va de même pour toi, tout est à moi alors je vais me délecter de ta semence, allez vas-y mon prince!

— Continue maman, ma queue est au maximum de sa grosseur, je jouis chérie, avales tout mon amour, branles moi encore et en même temps.

Laureen continuait à le branler, elle avait eu du mal à avaler la première gorgée de sperme et puis enfin, les jets ce succédaient et lui arivaient au fond de la gorge, puis elle ressortit légèrement le sexe de Nicolas afin de recevoir le dernier jet dans la bouche et le garder sur la langue afin de faire voir à son fils ce qu’elle avait dans la bouche.

— Comme c’était bon mon amour de maman, si tout est bon dans ce que tu me feras ou me donneras alors je vais devenir insatiable et je t’en redemanderai. A moi ma chérie je vais à mon tour te donner que du bonheur.

Nicolas se positionna entre les jambes de Laureen et commença à lui lécher le haut des cuisses, à déposer des bisous, pendant ce temps ses mains caressaient les seins de Laureen, jouaient avec les tétons qui avaient durci au fil des caresses. Puis, sa langue lécha doucement les lèvres, joua avec le clito, Laureen se tortillait sur le lit, ses mains se crispaient en serrant la tête de son fils, ce dernier enfonça sa langue dans le vagin faisant le maximum, une main jouait avec le clito et l’autre caressait l’anus puis enfonçait un doigt voir deux.

— Je n’en peux plus chéri, je vais jouir, j’ai du mal à me retenir ça fait tellement longtemps que je n’ai pas fait l’amour, ça fait cinq ans que je me suis refusée à ton père, oh oui mon amour accélères avec tes doigts et ta langue, je sens que ça vient, oh oui! Cest bon, laisses ta bouche sur mon petit trou je vais te jouir dans la bouche.

Laureen s’arque boutait sur le lit, chaque main serrait le drap du lit, sa tête balançait de gauche à droite à chaque jet de cette merveilleuse liqueur d’amour qui venait du fin fond de son corps. Nicolas ne perdait rien aucune goutte n’échappa à la langue ou aux lèvres de ce dernier. Enfin quelques minutes après, lorsque Nicolas eut fini de nettoyer la petite chatte de sa mère, s’allongea à côté de laureen, il vint se serrer contre elle, passa un bras sous la tête de la femme de sa vie.

— Tu es merveilleuse maman, madame Laureen.

— Toi aussi chéri tu es merveilleux et tu es vraiment très bon dans ce que tu m’as fait.

— On recommencera chérie?

— Oh oui! Mais maintenant on va aller s’occuper de ton père.

— Ce n’est pas mon père après ce qu’il t’a fait.

— Comme tu veux mon amant préféré!

A suivre

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