Bonne nouvelle: j’ai enfin trouvé une histoire zoo digne d’être publiée (bien que je la trouve assez soft). Je l’ai trouvée sur un site d’histoires érotiques. Attention, accrochez-vous bien: on entre tout de suite dans le vif du sujet et on n’en sort pas avant la fin.
Assez discuté et commençons l’histoire.
Maryse se frottait doucement le clitoris en pensant à Philippe. Cétait lété, et dans lappartement il régnait une chaleur moite et étouffante. Elle essayait dimaginer Philippe entre ses cuisses, la tête penchée vers sa vulve, en train de la lécher. Et elle fermait les yeux pour mieux rêvasser, pour ressentir sa langue le long de sa chatte, ses lèvres contre son bouton damour.
Philippe était un fringant étudiant duniversité promis à un bel avenir. Ils se connaissaient depuis tout jeunes. Pour tout dire, ils avaient été à lécole primaire ensemble. Ensuite, leurs chemins avaient divergé et, tandis que lui poursuivait de brillantes études, elle sétait retrouvée, de son côté, à remplir les rayons dans un supermarché. Mais depuis toujours, elle flashait sur ce beau mec et, depuis toujours, elle espérait quun jour ils seraient vraiment ensemble pour de bon.
Un jour quils étaient, lui, elle et deux anciens copains du collège, en train de discuter au troquet, il avait bu un peu trop de bière et était légèrement éméché. Du coup, sa langue sétait déliée et il sétait mis à dire des insanités. Du style quil aimait bien les salopes, et que lautre jour, justement, il en avait rencontré une belle, dans une boîte, et quelle avait voulu à tout prix quil la prenne sur le capot de sa voiture. Et il en avait profité, paraît-il, pour la prendre par derrière et par le cul.
Ce disant, il regardait Maryse, en riant et en reluquant vicieusement sa poitrine, semblant signifier par là : « Toi aussi, tu dois être une sacrée salope ». Mais elle ne lui en tint pas rigueur. Elle lui pardonnait toujours toutes ses incartades. Et elle voulait bien être SA salope à lui, elle voulait bien être sa chienne, si cest ce quil désirait.
Le seul réel problème, cest que lui ne se décidait jamais
Humm ouiii, gémit-elle entre deux caresses.
De son côté, elle avait toujours la chatte en feu et ne pensait quà leurs hypothétiques étreintes !
Elle en était là dans ses réflexions quand Démon, le jeune berger allemand de la maison, fit irruption dans la chambre. Situation délicate puisquelle était en train de se masturber, allongée nue sur le lit et sans petite culotte. Lanimal fit le tour du canapé et vint sasseoir tout près delle en la regardant. Elle sarrêta un instant, pour lui caresser doucement la tête, espérant quaprès ce geste affectueux il allait repartir sagement et la laisser tranquille. Malheureusement, ce ne fut pas le cas. Il resta là, à larrêt, juste devant elle, à la reluquer en tirant une langue avide.
Mais ce nétait après tout quun chien et quimporte sil la voyait la main dans la culotte. De toute façon il ne dirait rien à personne. Aussi reprit-elle ses caresses, insistant un peu plus sur ses seins aux durs tétons dressés. Sa poitrine était assez forte, bien galbée, bien pleine et très gracieuse, cétait probablement la partie qui avait été le mieux réussie dans son anatomie. Une main sur ses seins et lautre sur son pubis, elle recommença à se caresser, en pensant à Philippe, en simaginant même à la place de cette jeune fille facile quil avait outrageusement sodomisée sur un parking.
Humm, ouiii, Philippe, vas-y, encule-moi aussi.
Elle était vraiment prête à tout lui donner.
Soudain, Démon se redressa en aboyant. Surprise, elle le caressa à nouveau en lui intimant lordre de se recoucher. Mais il se dégagea et entreprit de lui lécher les doigts, ses doigts qui devaient, à coup sûr, sentir la mouille. Une sensation étrange
Déjà le jeune chien avait posé ses pattes sur le lit et était en train de renifler son corps, ses aisselles et ses seins. Et bientôt elle sentit la langue râpeuse de lanimal sur ses nichons De nouveau, sensation étrange Mais agréable ! Serait-ce ainsi lorsque Philippe lui lècherait les seins ? Non, certainement pas, ce serait encore bien mieux, car là, ce nétait quun animal. Elle voulut alors repousser Démon, mais lanimal revenait sans cesse à la charge et ne répondait plus à ses injonctions. Il lui montra même les dents lorsquelle se montra un peu trop agressive.
Désormais, il lapait ses seins et bavait sur son ventre, elle ne contrôlait plus très bien la situation. Mais, malgré la peur provoquée par cette situation cocasse, elle était malgré tout excitée, très excitée dailleurs. Et la langue rugueuse de lanimal sur ses tétons lui procurait un plaisir quelle narrivait plus à nier. Une dernière fois elle essaya de larrêter, mais il ny avait rien à faire
Il aurait fallu se lever et sen aller. Elle aurait pu le faire, mais elle ne sen sentait pas le courage en avait-elle dailleurs envie ? Et puis, après tout, ce nétait pas bien grave. Même lorsque lanimal vint avec sa langue jusquà son vagin, pour le laper Ce nétait pas en soi une catastrophe.
Oui, cétait là que ça sentait bon, cétait là que ça se passait : il le savait et en était, visiblement, particulièrement excité. Et à Maryse, ces coups de langue faisaient un bien fou, un bien insensé, cétait beaucoup mieux quavec ses propres doigts, cette grande langue humide qui la léchait partout avec vivacité, cétait divinement bon. Toute cette bave aussi, mélangée à sa mouille. Le chien lapait partout, indistinctement, ses cuisses, sa chatte, son clito, son anus Elle écarta encore plus les jambes, pour mieux le laisser faire Dêtre ainsi dévorée lui donnait des sensations partout et pas uniquement dans son entrecuisse. Des frissons zébraient tout son corps de jeune femme avide.
Cétait tellement bon quelle en voulait encore plus. Elle avait complètement oublié quil sagissait dun animal et pensait être aux mains dun redoutable amant. Elle ne pensait même plus à Philippe, juste à cette langue qui lui provoquait un tel plaisir ! Elle était déjà presque au bord de lorgasme. Ça arrivait, très fort entre ses cuisses, très fort et très profond, du plus profond de ses entrailles, une série de spasmes incontrôlables qui la firent couiner comme une truie. Un flot de mouille sécoula alors de sa chatte en se mêlant à la bave de lanimal, un torrent tellement tumultueux quelle eut limpression, un instant, dêtre en train duriner sur le lit.
Démon profita de sa jouissance pour carrément sauter sur la couche. À quatre pattes au-dessus delle, il continuait à laper de plus belle, semblant apprécier au plus haut point lodeur forte de son liquide intime. Et cest là quelle saperçut quil était, lui aussi, excité, son vit était en partie sorti de sa gaine. Elle regarda, médusée, cétait la première fois quelle voyait daussi près le pénis dun chien en érection.
Et, alors que cela ne se fait pas, que cest inconvenant et incorrect, éventuellement sacrilège, elle eut tout de suite envie de toucher ce sexe bestial. «Humm», et lui qui continuait à lécher sa mouille Elle cambra même ses reins pour aller au-devant de cette langue. Puis, se tournant lentement sur le lit pour être légèrement en 69 vis-à-vis de la bête, elle tendit sa main vers le braquemart de lanimal. Après tout, navait-il pas droit, lui aussi, à sa part de plaisir ?
Elle caressait doucement le pénis du jeune chien, sattardant sur ses couilles, revenant sur sa trique. Il avait lair dapprécier cette attention et son engin gonflait encore un peu plus. Un pénis bien rouge, bien long, quelle essayait de caresser au mieux dans lespoir de lui donner du plaisir. Elle le branlait désormais, fascinée par ce beau vit, approchant peu à peu son visage de la trique. «Non, il ne fallait pas, cétait dégueulasse» Mais peu importe, elle en avait vraiment envie, envie de lécher tout ça, envie de lécher partout, de lui rendre la pareille Et la voici qui était en train de sucer cette bite de chien. Loin de la dégoûter, ce goût fort dans sa bouche ne faisait que lexciter encore plus. Elle avait envie quil la baise, elle désirait être sa chienne, elle voulait quil la baise comme une chienne.
Elle prit donc linitiative de se mettre à quatre pattes pour se faire saillir par lanimal. Celui-ci comprit tout de suite les intentions de sa maîtresse et monta naturellement sur elle, en cherchant maladroitement son chaton. Elle sentait le dard de lanimal frotter contre ses cuisses, elle nattendait quune chose, cest quil senfonce en elle, mais il était à côté et avait besoin daide. Aussi elle le saisit entre ses doigts et le guida vers son trou béant.
Cétait plus gros et plus long quelle ne laurait imaginé de prime abord et elle eut un peu de mal à lenfoncer en elle. Mais une fois bien calé dans son fourreau, les pattes sur son dos, elle sentit quil la grimpait. Et elle aimait ça, se faire prendre par cette bête. Elle adorait ça, cette sensation dêtre aussi dépravée, son excitation était à son comble, elle se tortillait de plaisir.
Chaque poussée du chien la faisait partir un peu plus, le pénis de lanimal était en train déclater sa vulve, de lexploser. Ça lui donnait envie de frotter le clito avec son autre main. Elle se lastiqua à sen faire mal, tellement elle se sentait lubrique. Elle nen pouvait plus, cétait trop bon, trop fort, trop puissant Soudain, elle sentit le liquide sécouler en elle, lui remplir le vagin, des jets saccadés qui lui éclaboussèrent les entrailles La semence étrangère, ultime signe de sa perversité
Et là, ainsi collée à lanimal, nimporte qui aurait bien pu arriver, elle sen moquait, elle sen foutait, cétait vraiment trop bon davoir ainsi été saillie comme une jeune chienne
Puisse Philippe être admiratif devant sa perversité. Mais au pire, en cas de rejet de sa part, il lui resterait toujours son amant canin, et elle pourrait sen satisfaire.
