(La suite) Une aire de repos

Le lendemain soir, je me suis préparée pour aller, comme le vieux lavait commandé, sur une aire dautoroute.

Il fallait que je sois très sexy dans un style pute alors je me suis habillée dune petite jupe noire très courte avec des bas autofixants et un string en résille noire. Javais choisi de mettre un haut en lamé sous un blouson de type perfecto en skaï et je portais des bottines à hauts talons.

Je métais maquillée de façon très appuyée et en me préparant jai senti que ladrénaline montait et que des tremblements incontrôlables me secouaient.

« Comment allais-je pouvoir franchir ce pas, faire ça? »

Je mesurais là, maintenant devant mon miroir, en me maquillant, où jen étais arrivée. Le vieux avait laissé un message sur mon portable : « 2ème aire de repos, autoroute de louest, direction Province : vous ferez ça avec 2 hommes, je dis bien 2, et lun après lautre. Restons simples !».

Il en rajoutait puisque maintenant je devais faire ça, faire la pute, en clair, avec deux hommes. Mon dos a été secoué par un frisson plus violent que les autres.

Jai pris ma voiture et je suis allée sur lautoroute de louest et jai facilement trouvé laire dautoroute que le vieux mavait indiquée.

Je me suis garée et jai longé une kyrielle de semi remorques. Des routiers allaient à la boutique ou bien fumaient tranquillement leur cigarette, dehors autour des tables.

Jai jeté un coup dil sur ces personnages et jai aperçu, près dun distributeur de café, un homme vêtu dun jean et dun polo, petit, édenté et dun certain âge. Je me suis approchée de lui et mes épaules ont été secouées de frissons. Il faisait un peu frais, cest vrai.

Je nai eu aucun mal à lui faire comprendre quil pouvait memmener dans la cabine de son camion pour obtenir, gratuitement, de moi ce quil voulait.

Il parlait à peine le français, en fait, mais dans la cabine où régnait une odeur de tabac et de transpiration, il ma parfaitement fait comprendre, après avoir tiré les rideaux, que je devais me déshabiller, garder mes bas, mexhiber un peu, le sucer, puis me laisser enculer.

Il a pu tout faire et obtenir de moi et jai ressenti le poids de son regard lorsque je me sui dénudée et exhibée devant lui. Javais tout de suite remarqué quil navait pas pris sa douche et le laisser me toucher intimement et me pénétrer de ses doigts, le sucer na pas été facile.

« Toi ! Bien ! » Cest tout ce quil ma dit avant de me libérer après avoir joui deux fois : une fois dans mon cul et une fois dans ma bouche.

Je suis allée dans les toilettes de la boutique pour me laver un peu avant de faire ce que javais à faire avec un 2ème homme.

Je me sentais bizarre, en fait, un peu comme si je vivais un film, comme si jétais totalement extérieure à moi-même, déconnectée du réel.

Dans la boutique, jai bu un gobelet de café et non loin du distributeur, un homme me regardait.

« Pourquoi pas lui, après tout ? », me suis-je dit.

Je lui ai souri et il est immédiatement venu vers moi. Il a vite compris que jétais disponible et a sauté sur loccasion : une pute à lil, cest rare.

Je lai suivi vers son camion, garé tout au fond du parking. Je suivais un homme bedonnant, mal habillé lui aussi, qui sentait fort à cause de son eau de toilette dont il venait se dasperger. « Au moins, celui-là sort de la douche. » ai-je soupiré.

Il portait une casquette comme celles que personne ne porte plus et une salopette bleue en coton par-dessus un tee-shirt blanc pas trop net. Il ma fait monter dans sa cabine. Il y avait des revues pornos sur le siège passager. Il a fermé les rideaux et a retiré ses chaussures et sa salopette, sans me regarder. « Rtire ton blouson et montre tes nichons ! »

Je devais faire ce pourquoi jétais là et jai fait comme il a demandé. Il est venu vers moi et a tripoté mes seins de ses grosses pattes calleuses puis il a pris ma main pour la poser sur sa bite à demi tendue. Lune de ses mains a appuyé sur ma tête et je me suis penchée vers lui pour le sucer de mon mieux.

Je me suis appliquée et je e me disais que si je faisais ça bien, je serais tranquille rapidement.

Il bandait bien et il ma demandé de mallonger sur la banquette et décarter les jambes ; Jai remonté ma jupe jusquà ma taille et écarté le fond de mon string quil ne voulait pas que jenlève. Il est venu sur moi et ma pénétrée, dun coup, en saidant de la main. Il était lourd et tout son poids reposait sur moi. Jétouffais. Mes mains se sont posées sur le bas de ses reins. Il me besognait en ahanant et après quelques coups de reins plus violents, il a joui en grognant. Il sest dégagé sur le côté et ma demandé de lui sucer la bite. Je me suis de nouveau penchée vers lui pour lécher sa queue et le sperme qui la recouvrait.

Il caressait mes cheveux. « Bien, suce bien, oui, comme ça ! Cest bien, encore! Continue.»

Jai du le sucer ainsi longtemps puis il a bandé à nouveau et est revenu sinstaller sur moi pour me prendre comme la première fois. Là, il na pas pu jouir car il a débandé peu à peu, et il ma finalement laissé partir.

Après un rapide passage aux toilettes, je suis remontée dans ma voiture avec, toujours, cette sensation étrange de vivre une espèce de rêve éveillé.

A peine rentrée chez moi, sur mon portable, un message du vieux : « Cest fait ? »

Je lui ai répondu par un court message: « Oui, monsieur ! » , puis je me suis douchée et couchée immédiatement tant jétais épuisée. La nuit, jai revécu ces épisodes et mon sommeil a été agité.

Arnault na finalement reçu mon message que le lendemain pour me dire, en un court message en réponse, de bien profiter de cette chance que javais de vivre pleinement mes fantasmes sans autre danger quune petite fessée, une sortie nocturne et des petites séances dhumiliation en privé ou en cabine.

Jétais déçue car jaurai voulu le voir, lui montrer mes bijoux, lui faire plaisir en mexhibant devant lui tout en lui racontant mon passage sur lare dautoroute et jespérais, surtout, recueillir ses instructions, ses exigences car je ne voulais pas être seulement la soumise du vieux mais surtout celle de mon mari.

Le jeudi soir, la connexion skype a finalement été possible mais brève et jai pu voir mon homme et tout lui raconter.

Il était en pleine forme ; je lui ai montré les présents du vieux et me suis mise à sa disposition la plus totale après avoir évoqué à nouveau le déroulement de la soirée au restaurant et la suite. Arnault a trouvé les bijoux très jolis et à sa demande, jai mis le plug et les pinces en place pour quil profite de la vision de ces objets sur moi et en moi.

Il était très content de moi. Il savait déjà que jirai à la soirée chez le vieux et il ma juste demandé de bien faire la chienne et den profiter. (A suivre)

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