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Le complot – Chapitre 1




Je ne vais pas être original si je vous dis, comme beaucoup d’entres-nous, que je souhaiterez voir mon épouse dans les bras d’un autre homme. Pour cela fallait il encore trouver cet homme. Le scénario, je l’avais maintes fois imaginés, je l’avais retravaillé, il était au top.

Tout arrivant à qui sait attendre…ça y est, cela s’est réalisé.

Mon épouse, 55 ans en paraissant moins, blonde aux yeux bleus, n’avait pas attendu ce soir pour faire quelques entorses à notre contrat de fidélité, moi non plus du reste, encore que cela fasse parti d’un passé lointain.

Françoise puisque c’est ainsi qu’elle se prénomme, avait accepté l’idée que j’invite une connaissance de ma clientèle pour manger à la maison.

Marc, qui n’est pas un client du tout, que j’ai rencontré accidentellement chez un ami, fut vite intéressé par mon scénario, d’autant qu’il a un physique d’homme à femme, le genre qui ne laisse pas une femme digne de ce nom…ni indifférente, ni insensible !

Il est plus jeune que mon épouse, brun, les yeux noirs.

Ce samedi, comme convenu, il est arrivé très gentlemen avec des fleurs et du champagne.( c’est moi qui ai payé la bouteille )

Mon épouse qui m’avait demandé (sans se soucier de ce qui se préparer) ce qu’elle devait porter était très sexy, jupe noire plissée, des bas auto-fixant, pour les sous-vêtements noirs et blanc, je lui en avais offert spécialement dans le but de cette soirée, le tout avec un pull très échancré laissant voir le sillon de sa poitrine ( 90 B ) .

L’apéro permit de faire plus ample connaissance (du moins de ma femme) Marc se délectait à l’avance de que je lui offrais sur un plateau. Il scrutait Françoise, jetant un oeil, soit sous sa jupe soit dans le décolleté chaque fois que cela était possible, par ailleurs en bon dragueur il arrivait par moment au travers d’une phrase où d’une situation à la mettre dans un embarras qui se lisait sur son visage. Les verres d’alcool furent plus nombreux ceci afin de baisser la garde de la future soumise.

Les choses intéressantes commencèrent dès le premier plat, l’entrée comme ont dit. Afin de pouvoir le servir, il lui fallut se mettre debout à ses cotés. J’étais sur sa gauche, Françoise à sa droite, la table est ronde.( pour vous camper le décor) Je vis son bras droit passer derrière le dos de sa chaise. Quelques secondes après, il attaquait le scénario. Voilà ce qui s’y passait.

Debout près de lui, il posa sa main sur le creux de son genou, puis ne la voyant pas se soustraire, il fit remonter celle-ci sous sa jupe, le long de sa cuisse jusqu’à la lisière de ses bas puis sur la peau nue, il recommença cela à trois reprises, évitant d’en faire plus. Elle finit de le servir, puis en fit de même avec moi, se servit et la discussion reprit comme lors de l’apéro, plus axée sur le sexe toutefois.

Les assiettes vides, elle en proposa une seconde fois, mais il déclina son offre.

Pour le plat principal c’est moi qui en était chargé, de ce fait je devais les laisser seuls, bien évidemment tout cela était dans mon plan.

Je quittais donc le séjour pour la cuisine. Dans notre appartement l’accès se fait par deux cotés, en contournant je me trouvais dos à Françoise et face à Marc, ceci aussi était pensé. De plus un miroir me permets du couloir de voir la table où nous mangions. Cela me permit de voir l’acte deux.

Il s’est légèrement dégagé de la table, s’est levé, s’approcha de mon épouse. Puis de sa main droite il lui inclina la tête, baissa son visage sur le sien et l’embrassa sur la bouche, un vrai baiser, je vis ma femme essayé de se soustraire puis s’abandonner, il en profita pour glisser sa main gauche dans son corsage. Cela prit bien trente secondes avant qu’il ne l’autorise à reprendre son souffle, par un geste elle lui fit comprendre qu’il était fou que j’étais à coté. Dans l’obligation de servir le plat je dus abandonner mon poste de voyeur quelques minutes. Je les entendais parler et par moment c’était le silence, j’imaginais qu’ il devait continuer à s’embrasser. J’appelais Françoise pour me donner un coup de main, ce qui me permit de discerner la gène qu’était en elle du fait de ce qui lui arrivait, elle prit l’assiette prévue pour notre hôte et se retrouva à nouveau debout à ses cotés pour le servir. J’avais convenu qu’il lui demande ce qui était servis, elle faisait l’inventaire des victuailles et la main de Marc était à nouveau active sous la courte jupe plissée. De sa main gauche plaquait sur la table, il me relatait ce que sa main droite exécutée.

Plus son majeur se levait et plus sa main remontait sous la jupe, plus son auriculaire s’écartait du majeur et plus les cuisses de Françoise s’ouvraient. Mon cerveau recevait tous ses signes et mon subconscient me décryptait les images, dans mon pantalon, mon membre était de plus en plus à l’étroit. Je voyais son doigt montait et descendre et j’imaginais l’autre main sur les cuisses partiellement nues. Françoise ne se doutait de rien, sur son visage une rougeur me laisser deviner que le traitement de Marc faisait son effet. Il entretenait des propos sur la viande avec un double sens, elle doit être très tendre et bien mouillée avec son jus, tout en flattant l’entrejambe de ma femme. Je regardais à nouveau sa main gauche et son majeur m’indiquait par le fléchissement qu’il lui donnait que sous la jupe celui de la main droite avait écarté le tissu de sa culotte et qu’il fouillait l’intimité de mon amour. Je fixais brièvement mon épouse et je crus percevoir qu’une petite jouissance venait de la submerger. Elle se détacha de Marc, dans le court mouvement je pus voir le bras de notre invité s’en extraire, gêné, comme s’il était en faute de l’avoir peloté sous la jupe. Elle s’assit, notre repas et notre conversation repris de plus belle. La boisson aussi, ce qui rendait ma femme de plus en plus détendue et avec de moins en moins de retenue.

Arriva le moment de débarrasser, elle s’en chargea. Dans ce court instant, je fis comprendre à Marc que l’acte trois allait commencer maintenant un peu plus tôt que prévu. Il en profita pour me dire qu’il n’avait même pas été nécessaire pour lui de la forcer à ouvrir ses cuisses, qu’elle l’avait devancé dans ses intentions.

Elle s’est remise assise et je me levais pour chercher le fromage. Ils étaient à nouveau seuls pour quelques longues secondes. Je fis le tour de la cuisine et me postait dans le couloir. Il lui fit signe de se lever et elle s’approcha en titubant, il lui intima l’ordre de se retrousser ce qu’elle fit en regardant et écoutant si je ne revenais pas. Elle était magnifique, la jupe relevée, elle lui dévoilait son bas ventre. Il se saisit de l’élastique de sa culotte et baissa le frêle tissu jusqu’à mi-cuisse. Ensuite il la fit se rapprocher, l’obligeant par la même à s’ouvrir largement, sa main s’insinua entre les jambes et il caressa sa chatte blonde. Il fouillait le nid d’amour de ma femme et elle répondait en projetant son corps en avant. A ce moment, je pense que la tension sexuelle était trop grande car il en modifia le scénario. Il se leva et se positionna derrière Françoise. La table étant vide de couverts, il la plia, lui releva la jupe sur les reins, déboutonna son pantalon, son sexe qu’aucun slip n’entravait, jaillit et en moins d’une fraction de seconde, je vis cette bite se positionnait entre les cuisses de mon épouse, celle-ci n’eut pas le temps de dire où d’opposer quoique se soit, sa seule réaction fut un feulement de chatte satisfaite qu’elle poussa pendant que le membre de Marc s’enfonçait dans la moiteur de son nid d’amour. Il la cramponnait par les hanches et son bassin allait et venait dans l’antre juteux de cette femelle, ma FEMME… Je fis le tour et entrant dans le séjour je vis dans ses yeux tout le plaisir qu’elle prenait. Elle ne pouvait retenir ses gémissements et je l’entendais souffler de plaisir. Je lui demandais si elle aimait ce qu’elle subissait, elle me dit que oui, alors je lui ai demandé de le dire à Marc. Elle s’est retournée sur son bourreau sexuel et lui souffla : oh que c’est bon, bourre moi fort, je veux sentir ton plaisir au fond de mon ventre. Ma présence ne la gênait pas, elle n’était plus qu?une femme bien dans son corps, soumise à cet homme qui la besognait, la traitant de salope, elle avait l’air d’apprécier cette façon qu’il employait pour lui parler. Elle me fixait, cherchant à me dire combien elle était bien, le membre de ce presque inconnu deux heures plus tôt en elle. Ma réaction fut de baisser mon pantalon, de la saisir par la nuque et de l’obliger à me sucer. Très rapidement, je me déversais dans sa gorge, Marc quant à lui savourait sa possession, il continuait ses va et viens dans sa chatte, elle gémissait de plus belle, jouissant à chaque fois qu’il percutait le fond de son utérus, elle me regardait les yeux mi clos, l’esprit ailleurs. Quand enfin, devrais je dire, il s’immobilisa au plus profond de son être, ma femme me regarda et me dit : c’est bon mon chéri, son sperme gicle en moi, puis elle fut prise de soubresauts qui témoignaient du plaisir qu’elle prenait, je levais mes yeux et croisait le regard de Marc, celui ci exprimait aussi le plaisir qu’il avait de se vider dans le ventre de mon épouse. Il sont restés collés un long moment, puis sa verge quitta le sexe de ma femme. Il se mit assis et lui ordonna de nettoyer sa queue, entièrement soumise malgré ma présence, elle s’agenouilla et le prenant en bouche se fit un devoir de retirer les traces luisantes de leurs ébats. Le travail terminé elle se redressa et voulu relever sa culotte qui lui entravait les cuisses. Il l’empêcha de le faire et au contraire lui demanda de se dévêtir en ne gardant que ses bas et ses chaussures. Elle s’exécuta sans rechigner, il lui retira son soutien-gorge et la fit s’asseoir sur ses genoux, face à moi. Il lui pelotait les seins puis me dit : passons au dessert, je n’ai pas envie de fromage. Je me levais, ma femme avait passé son bras autour de son cou, en entrant dans la cuisine je me retournais et le voyais téter un des mamelons roses. Il me fallut quelques minutes pour préparer le dessert. Quand je suis revenu, ils avaient changé de position, elle lui faisait face, en baissant les yeux je pus constater qu’elle était empalée sur son membre, les seins collaient sur sa poitrine, il avait quitté sa chemise et leurs lèvres étaient soudés dans un baiser passionné. Je me suis accroupis regardant ce que je voulais voir au plus près : le sexe d’un autre dans la chatte de ma femme.

Le restant de la nuit fut un délice, nous l’avons honoré à tour de rôle, nous avons même pu lui imposer un sandwich après que chacun de nous l’ai sodomisé. Nous avons fini par nous endormir côte à côte. Elle, dans les bras de notre invité. Vers 5 heures, j’ai été réveillé par le balancement du matelas. Marc était dos à ma femme, son sexe avait repris possession du corps de Françoise qui dans un demi sommeil répondait à ses coups de rein en tendant sa croupe en arrière. Je me suis positionné devant sa bouche et j’ai glissé mon sexe entre ses lèvres, elle m’a sucé comme un bébé tire sur le sein de sa mère. J’encourageais Marc de la bourrer plus fort, plus violemment, j’ai résisté longuement avant de me déverser dans sa gorge, savourant l’instant magique de voir ma femme ainsi soumise. Nous nous sommes ré-endormis, à 11 heures nous avons déjeuné puis Marc et Françoise ont rejoint la salle de bains. Je les ai laissé seuls, ils en sont ressortis 1 heure plus tard, il m’était facile d’imaginer ce qui s’y était passé. Marc prit congé, à peine la porte fermé, j’ai retourné mon épouse, j’ai séparé ses fesses, son oeillet était dilaté et rouge vif, du sperme s’en écoulait, il l’avait sodomisé une énième fois avant de la quitter. Elle m’a traité de salaud…et dit merci !!!

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