Fernand allait pouvoir profiter de sa jolie voisine durant plus dune semaine non-stop. Léa quant à elle comptait bien sur ces jours passés avec lui pour enfin satisfaire ses envies de maternité. Il faut dire que toutes ses copines avaient au moins un ou deux gamins et sa famille commençait à se demander si un jour ça allait lui arriver. Grâce à Fernand elle allait pouvoir calmer les interrogations de tout ce petit monde. Tout ce quelle aurait à faire cest de satisfaire les envies de monsieur.
A son arrivée, Fernand fut surpris de la voir avec une valise.
— Bah, cest quoi cette valise ?
— Des tenues sexy rien que pour toi.
— Mouais . Perso je comptais plutôt tavoir complètement à poil pour moi tout seul toute la semaine.
— On peut faire ça aussi mais si on doit sortir ?
— Pas besoin. Jai tout ce qui faut pour au moins quinze jours. A partir de maintenant tu es mon jouet. Tu es à moi et tu feras tout ce que je te demanderai.
— Comme tu veux. A condition que tu noublies pas ta promesse.
— Chui un homme de parole. Ten fais pas pour ça.
A partir du moment où elle a fermé la porte, la maison de Fernand sest transformé en orgie romaine, pour deux mais une orgie quand même. Ils nont pas arrêté à raison de plusieurs rapports par jours agrémentés de caresses incessantes. Ils ont essayé toutes les pièces de la grande maison de Fernand : les cinq chambres, le salon, la piscine et le jacuzzi. Ils ont même essayé la buanderie, sur la machine à laver en fonction essorage. Il paraiît que ça a son petit effet. Tout y est passé. A la fin du séjour, Léa est rentrée chez elle en espérant que ça prenne. En entrant chez elle, elle eut la surprise de croiser Mathilda qui, après avoir passé quelques jours avec son mari au soleil était revenu pour voir comment sa patronne sen sortait. Même si elles étaient en froid avant larrivée de Fernand, depuis quelques mois elles sentendaient de mieux en mieux. La domestique avait eu des soupçons sur une relation adultérine de sa patronne avec le voisin. Elle en eut la preuve quand elle la aperçue chez lui collée à la fenêtre en train de se faire besogner contre la baie vitrée du salon. Même avec les rideaux semi transparents fermés, il était facile de deviner ce quil sy passait.
— Bonjour madame,
— B Bonjour Mathilda. Je ne vous attendais pas si tôt.
— Je voulais voir comment vous alliez. Je passais en coup de vent. Je constate que Monsieur Fernand a pris le plus grand soin de vous.
— Comment ça ?
— Ecoutez, je sais tout. Je sais quil est votre amant. Mais ne vous inquiétez pas. Je ne dirai rien à Monsieur Fred. On a appris à se connaître et je vous apprécie de plus en plus. Si vous êtes heureuse comme ça, tant mieux. Et puis, entre nous, ce petit pied-de-nez à votre mari nest pas pour me déplaire.
— . Ok, ça a le mérite dêtre clair.
Voyant quelle pouvait lui faire confiance, elle lui a tout raconté et une complicité toute nouvelle sest installée entre les deux femmes ; chose impensable il y a encore quelques mois. Léa avait une complice qui allait pouvoir la couvrir en cas de problème. Fred est revenu de son voyage et, toujours aussi lourdingue, égocentrique et nombriliste, il na pas arrêté de raconter ce quil avait appris durant son voyage daffaires. Ça nintéressait que lui mais il était visiblement le seul à ne pas sen apercevoir.
Ce nest que quelques semaines plus tard que Léa a commencé à ressentir les premières nausées ; De plus, ses règles ne sont jamais revenues. Fernand avait réussi à faire en deux mois ce que son mari nétait pas parvenu à accomplir en cinq ans. Elle était ravie et sempressa de lui annoncer la bonne nouvelle. Ils ont fêté ça dans la chambre de Fernand par une bonne sodomie bien profonde. Ça faisait depuis sa promesse que Fernand ne pratiquait plus ce quil préférait, il allait enfin pouvoir reprendre ses bonnes habitudes.
Le soir à son retour du boulot, Fred a accueilli la nouvelle de la grossesse de sa femme avec une étonnante indifférence. Ça avait plus lair de le faire chier quautre chose. Léa ne le reconnaissait plus. Suite à ce comportement, une violente dispute éclata. Fred estimait quil ne pourrait en profiter pleinement avec le boulot quil avait et quelle avait été « égoïste de lavoir fait toute seule ». Choquée par ces paroles, elle alla se coucher dans la chambre damis. Le couple volait en éclat.
Le lendemain, Léa retourna se blottir dans les bras de son amant. Comme à son habitude, Fernand était ravi de pouvoir se lenvoyer dautant quil nétait plus obligé de ly forcer. Elle était demandeuse et visiblement, la grossesse avait décuplé ses envies ….. Pas que de fraises. Toutefois il voyait bien quelle était mal. Après sêtre envoyés en lair, il décida de partir à limproviste voir Fred à son bureau. Fernand savait que de trop fortes émotions et en particulier négatives pouvaient compromettre la grossesse. Si ça venait à se produire il était possible que Léa se referme sur elle-même et donc refuse de le revoir. Ce quil ne voulait pas. Il sétait trouvé un beau brin de fille et il avait encore envie de samuser avec elle.
Et non ! Il nest pas un bon samaritain ! Il fait toujours les choses dans son intérêt. Il débarqua alors à la banque avec une bouteille de champagne pour, soit disant, fêter la « future paternité » de Fred et se donner un prétexte pour sa venue. Cest ainsi quil débarqua dans le hall daccueil.
— Bonjour mademoiselle je viens voir Fred, mon conseiller.
— Ah Euh oui attendez que je voie s’il est là. Baragouina lhôtesse dun air gêné.
— Il est là. Sa voiture est garée devant. Je sais que je nai pas rendez-vous mais je sais où est son bureau. Ne vous dérangez pas, jy vais.
Fernand savança dun pas pressé vers le bureau de Fred. Il constata, de loin que lhôtesse parlait dun air paniqué au téléphone. Comme pour annoncer sa venue imminente. Etant son plus gros client, il acceptait souvent une entrevue à limproviste. Pourquoi cette impression de gêne ? Il frappa à la porte et au bout de quelques secondes Fred lui commanda dentrer. Il était assis dans son bureau à coté de Sarah, sa deuxième collaboratrice. Celle quil avait proposé à Fernand au côté de la belle Jennifer pour se faire sucer durant leur rendez-vous. La belle avait les bras serrés devant elle en tenant un dossier, comme pour cacher quelque chose, mais semblait prostrée dans un coin.
— Ah Fernand ! Quest ce qui vous amène ? dit-il dun air faussement réjoui.
— Jai amené une bouteille. Léa ma annoncé la bonne nouvelle.
— Oui ça y est lhéritier est en route. Voulez vous que jappelle Jennifer ?
— Euh Dordinaire je naurais pas dit non mais pas aujourdhui.
Dordinaire il ne serait jamais venu juste après avoir enculé Léa mais cest ce quil a fait ce jour là. Ils se sont alors mis à boire la bouteille de champagne. Fred invita lassistante à participer. Visiblement, elle ne voulait pas boire mais Fred insista lourdement en haussant le ton. Alors elle sest enfilé plusieurs verres. Fernand avait de plus en plus limpression de les avoir vraiment dérangés. Lempressement de lhôtesse à les avertir, lattitude de la jolie Sarah, linsistance de Fred pour la faire boire, ça sonnait faux. Après quelques minutes de beuverie et de parlotte Fernand quitta le bureau. Mais rendu au bout du couloir il saperçut quil avait laissé son téléphone dans le bureau et se précipita pour le récupérer. Cest en poussant la porte quil constata que Fred, pantalon aux chevilles, sétait affalé sur sa collaboratrice qui visiblement navait rien sous sa veste. Après un rapide coup dil, il emporta son téléphone et referma la porte aussi rapidement quil était venu et sous le regard médusé de son voisin.
Fernand était ravi. Il avait compris pourquoi Fred ne touchait plus sa femme. Monsieur senvoyait ses collaboratrices et les offrait aussi à ses clients. Visiblement, lhôtesse était au courant et tout à lheure, Fred avait fait boire sa partenaire pour la désinhiber un peu. Ce qui impliquerait quelle ne serait pas forcement consentante. Tout ça expliquerait la gêne au comptoir de laccueil. Il tenait ce quil fallait pour ruiner sa vie professionnelle et personnelle. Cétait aussi un argument de choix pour convaincre Léa de venir vivre chez lui et ainsi de lavoir pour lui tout seul.
Le soir même, Fernand eut la surprise de voir arriver Fred à sa porte. Une surprise ? Pas vraiment en fait. Il avait bien imaginé quaprès ce quil avait vu quelques heures auparavant, Fred chercherait à noyer le poisson ou à le convaincre doublier ce quil avait vu.
— Ah tiens Fred ! Mon banquier préféré. Quest-ce qui vous amène chez moi ?
— Ne jouez pas à ça avec moi. Vous le savez.
— Tout dépend de quoi vous parlez.
— Je parle du fait que vous mayez surpris en plein ébat avec mon assistante.
— Oui et alors ?
— Je sais que vous vous entendez bien avec ma femme et je veux savoir si vous allez lui dire.
— Ça jen sais encore rien. Se mêler des affaires des autres na jamais apporté rien de bon.
— Donc vous allez vous taire. Parfait ! Je voulais men assurer. Je suis désolé si je vous ai fait peur mais je voulais savoir. Il faut dire que la petite Sarah avec son petit cul . Mmmmh je ne résiste pas.
— Hé hé ! Jai vu ça. Cest vrai quelle est mignonne la petite.
— Si vous voulez je peux vous organiser un plan à trois avec les deux.
— Pour acheter mon silence ? Je vais y réfléchir.
— Parfait Merci Fernand. Je dois y aller. Léa mattend.
Après le départ de son voisin, Fernand ressortit son Smartphone de la poche de son polo. Sachant pertinemment quil allait venir le voir, il avait déjà prévu denregistrer leur conversation. Il appuya sur Stop, plaça le curseur vers le début de lenregistrement puis appuya sur Lecture. Au bout de quelque seconde on entendait : « vous mayez surpris en plein ébat avec mon assistante.. ». Il referma son téléphone en se disant : « Si après ça elle reste avec lui, je comprends plus rien ». Contrairement à ce quil avait dit à Fred, il avait bien lintention de tout balancer. Cette fois, se mêler des affaires des autres allait lui rapporter sa jolie voisine.
Cest le lendemain, lors de la venue de Léa chez lui quil avait prévu de le faire. Comme à chaque fois, cétait une partie de jambes en lair des plus torrides et la libido de Léa semblait vraiment beaucoup plus forte à moins quelle veuille simplement le remercier. Ce nest quaprès avoir fini et après une bonne douche quil lui a lâché le morceau.
— Avant que tu ne partes, je voudrais te dire un truc. Tu sais que je suis allé voir Fred à limproviste et jai vu quelque chose que je naurais pas dû voir.
— Tu me fais peur là. Cest quoi ?
— La raison pour laquelle ton mec te délaisse.
— Plus précisément ?
— Autant que tu le découvres par toi-même. Jai enregistré notre conversation du soir quand il a voulu savoir si jallais le balancer. .. attend que je la retrouve La voilà. Tiens écoute ça, moi je te laisse seule.
Elle empoigna le téléphone et écouta lenregistrement. Alors quil se servait un verre il entendit soudainement un bruit de choc. Il se retourna et constata que Léa, prise dun accès de colère, avait balancé le téléphone dans lécran plasma du salon.
— Ah merde ! ma télé. Tétais obligé de la flinguer ?
— Désolé. Jai pas réfléchi. Tu sais, apprendre ça de cette manière .
— Bah te casse pas va. jen rachèterai une autre.
— Mais jai pas lintention de me casser. Si ta proposition tiens toujours, jarrive avec mes affaires. Mieux, jemmène Mathilda avec moi. Je ne veux plus le voir. Cest fini.
— Tes certaine de ce que tu fais ?
— Oui, jai bien lintention de demander le divorce et le faire souffrir un peu.
— Ah pour ça, tu peux compter sur moi. Jai un petit compte à régler avec lui et crois-moi jai de quoi le démolir cent fois. Laisse-moi faire. Tu ne le regretteras pas.
— Par contre si je viens, jexigerai une chose.
— Accordé ! Peu importe ce que cest.
— Tu va peut-être le regretter.
— Si je peux tavoir dans mon lit tous les soirs, jen doute.
— On verra. Tu compte faire quoi ?
— Déjà commence par demander le divorce. Ensuite, non je te laisse la surprise.
Leur pacte était scellé. A terme, Fernand allait se retrouver avec une régulière quil allait pouvoir senvoyer autant de fois quil le voudrait. Quand on pense quau départ il voulait juste humilier sa voisine en la baisant régulièrement. Les choses avaient bien évolué. Elle avait pris goût à ce rapport de force et il lui avait même fait un môme. Il était temps de lancer lopération « démolition du petit con ». Et pour ça, Fernand disposait de deux alliées de choix : Léa et Mathilda mais comptait aussi sur dautres personnes.
