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Le boss de mon mari et sa femme.. – Chapitre 1




Je m’appelle Jane et je suis mère au foyer.

Encore un soir où mon mari rentre tard de son travail. Son patron abuse, lui donne en ce moment une charge de travail ingérable. Mon mari rentre ce soir épuisé. Encore une fois, le repas a eu le temps de refroidir avant son arrivée. Une fois de trop…

Bien sûr, je l’avais soupçonné de me mentir et d’avoir une liaison, mais chaque soir où j’appelais à son bureau, il me répondait.

Alors ce soir, excédée de voir ma vie de couple réduite à quelques heures par semaine, je décide d’aller à la rencontre du boss de mon mari. Je prétexte une soirée films entre copines et file alors que mon mari se met au lit.

Arrivée devant la porte de la résidence de son boss, je retiens mon souffle et sonne. Je sais qu’il ne faut pas que je m’emporte pour ne pas porter préjudice à mon mari. Quelques minutes s’écoulent et rien ne se passe. J’hésite à sonner à nouveau, ou bien tourner les talons. Après tout si personne n’ouvre, c’est que le destin ne souhaite pas que je m’en mêle me dis-je…

A ce moment, la grande porte s’ouvrit. Une jeune et jolie femme blonde se tenait derrière, avec pour seul vêtement une serviette de bain bleue, enroulée autour de sa poitrine. Mon cur rata un battement.

"Vous êtes ?" demanda la belle inconnue.

"Pardon de vous déranger à cette heure tardive, j’aurai souhaité voir votre mari s’il est disponible"

"Et moi donc…" devant mon air interloqué elle ajouta "Il rentre si tard du travail que cela fait plusieurs jours que je ne l’ai pas vu. Entrez, nous allons l’attendre ensemble".

L’intérieur de la maison était grand et classe. Un grand escalier de marbre se trouvait face à l’entrée.

Je la suivis jusqu’à la cuisine où elle devait préparer à manger avant ma visite. Elle m’indiqua la table et dit

"Installez-vous."

Je m’exécutai.

"Que puis-je vous servir ?"

"Oh non, je ne veux pas abuser" lui dis-je.

"Ne soyez pas timide ! Vous allez m’accompagner au vin blanc".

Elle prit une bouteille dans le frigo américain à deux portes. Elle mit la bouteille entre ses genoux pour retirer le bouchon avec plus de facilité. Pendant cette manuvre, elle se pencha et la serviette de bain qui entourait sa taille remonta. Rien qu’un peu, mais suffisamment pour me laisser deviner la forme de ses fesses. Elles avaient l’air rondes et fermes.

Elle se tourna un verre à la main et surprit mon regard bloqué sur son fessier. Gênée, je rougis instantanément.

Elle sourit et me tendit un verre rempli à ras bord. Lorsque je le pris, quelques gouttes débordèrent et tombèrent sur mes cuisses. Je sursautai au contact des gouttes froides. Je portais une jupe en cuir noir et le regrettais déjà.

"Je m’en occupe, me dit-elle, ne bougez pas".

Elle alla chercher une feuille d’essuie-tout et s’agenouilla à mes pieds. Elle essuya les gouttes en partant de ma cheville, remonta doucement le long de mes mollets. La position me mettait mal à l’aise. La feuille de papier était trop imbibée, alors elle la posa au sol. Elle se rapprocha, sembla hésiter une seconde puis se pencha vers moi. Elle sortit sa langue et lécha les gouttes qui ruisselaient sur mes cuisses. Un frisson me parcourut. J’eus à peine le temps de comprendre ce qu’il se passait que je l’entendis me dire "il n’y a pas que là que vous êtes mouillée on dirait…". Et je sentis aussitôt son doigt caresser l’intérieur de ma cuisse, se dirigeant vers mon entrejambe. Elle remonta ma jupe sur mes hanches, laissant apparaître le string entre mes lèvres. Elle dégagea la ficelle et caressa mon pubis de sa langue. Elle joua avec, avant d’aspirer l’une, puis l’autre de mes lèvres. Elle pénétra sa langue dans ma chatte.

Soudain elle se releva et me dit "levez-vous, vous allez mouiller la chaise !". Je m’exécutais.

Elle me prit alors par les épaules et me plaqua au mur de la cuisine.

Que de revirements, j’étais aussi intimidée qu’excitée. J’entrepris de l’embrasser. Elle me rendit mon baiser avec passion, jouant avec ma langue. Je glissai mes mains dans son dos et retirai sa serviette, dénudant la jolie blonde à la peau dorée. Mes mains glissèrent jusquà ses fesses, à la fois douces et musclées.

Pendant ce temps, ses doigts découvraient mes formes, mes seins. Ma peau se durcissait à ce contact. Avec son pied, elle écarta mes jambes, lui laissant un libre accès à mes parties les plus intimes.

Elle plaça son pouce sur mon clito et me pénétra de deux, puis trois doigts. Elle me doigta d’abord doucement, puis avec énergie. Ma respiration s’accélérait et je dus avaler ma salive. Cette femme me faisait du bien, j’avais envie d’elle tout entière, de lui rendre ce plaisir qu’elle me donnait.

Je me dégageai de son emprise et lui pris la main, la conduisant jusqu’à la table de sa cuisine. Elle s’y assit sans opposition. Je l’embrassai de nouveau puis ma langue glissa dans son cou. Je sentis son corps se contracter. Elle enroula ses jambes autour de moi, m’incitant à continuer.

Elle sentait encore le gel douche, son odeur m’excita de plus belle.

Je poursuivis ma quête jusqu’à son téton, déjà rose et durci. Je n’avais jamais eu l’occasion de donner du plaisir à une femme, mais cela ne me déplaisait pas, et à la voir, il fallait croire que je m’y prenais assez bien. Une main sur son sein, je descendis l’autre de manière à la masturber. Trois de mes doigts entrèrent sans aucune difficulté. Je voulais lui en donner plus. Je voulais la surprendre. Alors je balayai la pièce du regard, à la recherche d’un objet de plaisir. Mon attention se porta sur un panier de légumes, et plus précisément sur un concombre long et fin. Je le pris et vis son regard étonné. Elle me dit "Ho, non je…" mais je n’avais plus de temps à perdre. Je la fourrai avant qu’elle ne finisse sa phrase. Je vis le plaisir dans ses yeux, l’entendit dans son soupir. Je voulais jouer avec elle, faire durer le moment, la voir se languir. Alors je réalisais des va-et-vient lents en elle. Ma bouche reprit sa place sur son sein, ma main gauche s’amusa avec son clito pendant que ma main droite agitait le concombre dans sa chatte trempée. J’accélère le mouvement et la vois se cambrer. Elle recule ses coudes sur la table, m’offrant sa chatte. Elle était merveilleusement bien rasée. Elle poussa un faible cri, puis un autre. Je la sentis proche de l’orgasme quand j’entendis une porte s’ouvrir, et me retournai. Son mari se tenait à l’entrée de la cuisine, regardant la scène d’un regard inqualifiable…

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