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Mes petits pieds baladeur – Chapitre 1




Un jour d’hiver il faisait très froid. Je rentrais vite dans l’appartement dont la douce chaleur m’attendait. En fait, il faisait trop chaud, j’avais couru pour ne pas être en retard. J’étais juste à l’heure. Heureusement, mes deux invités n’étaient pas encore arrivés. Il faisait vraiment beaucoup trop chaud. Je décidais de retirer mes collants, oups, ma culotte venait de partir avec quand la sonnette retentit. Tant pis, je serai nue sous ma jupe qui descendait sous les genoux de toute façon. C’est donc pied nus que j’accueillis mes invités, Mathilde et son copain Enzo . En fait, je ne les connaissais pas trop. Je les avais vu chez une amie et ce matin en les croisant par hasard en ville, je leur avais proposé de venir prendre le thé.

« Il fait chaud chez toi me dit Mathilde.

C’est agréable, surtout par ce temps. »

Je leur proposais du thé et des biscuits en les laissant s’installer au salon autour de ma petite table. Mathilde me fit rire en s’exclamant : « Enzo, regarde ça, par ce froid elle reste pieds nus ». Je répondis que j’aimais beaucoup ça ne voulant pas leur révéler que ma nudité s’étendait jusqu’à mon sexe. Me voyant revenir le rouge aux joues, Mathilde me dit qu’elle ne voulait pas me mettre mal à l’aise et que d’ailleurs j’avais de très jolis pieds. Je m’esclaffais, ce fut à son tour de rougir. Voulant prendre ma revanche, je lui demandais pourquoi elle se sentait gênée. Elle m’avoua tout timidement qu’en fait elle fantasmait sur mes pieds. Ceci me flatta et je les mis en évidence sur la table. Je demandais à Enzo ce qu’il en pensait. Il n’avait pas encore parlé mais dit qu’il les trouvait très jolis aussi. Mathilde ne put se retenir de dire la vérité. Elle me révéla qu’il fantasmait aussi sur les pieds. Bon, j’avais avec moi deux fétichistes. Le froid qui m’obligeait à mettre le chauffage à fond leur avait porté chance.

Cette fois ce fut donc au tour de Enzo de rougir. Je lui demandais comment il trouvait les pieds de Mathilde qui se déchaussa et retira son collant à son tour, sans faire glisser sa culotte rouge qui avait l’air d’être humide. Ses pieds étaient petits, un peu plus gros que les miens. Je ne sais pas pourquoi mais je remis correctement les plis de sa jupe avec mon pied.

« Mais, tu es un vrai singe ! S’exclama-t-elle.

Oh, je suis plutôt agile, c’est vrai…

Arrête, tu es vraiment la fille idéale.

Pourquoi ?

Moi, je ne peux rien faire avec les miens, et souvent avec Enzo on s’imagine faire… »

Elle s’arrêta là, le feu aux joues cette fois. Naïve, je continuais à la questionner ne voyant pas où elle voulait en venir. Très timidement, elle me dit qu’ils fantasmaient souvent de se faire masturber par des pieds. Cette fois, ce fut moi qui rougis, comprenant enfin un peu tard. Je ne sais pas ce qui m’a pris alors, mais je leur ai proposé de rester prendre l’apéritif. En fait, je voulais un prétexte pour qu’ils restent commençant moi-même à fantasmer sur la chose mais n’osant pas prendre les devants. Au deuxième verre, n’y tenant plus j’avançais mon pied vers Mathilde qui le prit sur elle et commença à me masser. J’étais aux anges. Je voyais que Enzo ne nous quittait pas des yeux. Je continuais à appuyer de mon pied sur la cuisse de Sabine :

« On dirait que tu as le pied baladeur !

Si tu savais… »

Je passais sous sa jupe et agrippais sa culotte qui était effectivement bien humide entre mes orteils et la fit descendre. Je lui dis de se mettre à l’aise. C’est alors que je remarquais que le pantalon de Enzo avait légérement gonflé. Je fis la remarque et avançais mon autre pied. Il interrogea Mathilde du regard qui lui dit d’enlever son pantalon. La situation avait atteint un paroxysme. Je me trouvais les deux pieds sur les deux sexes de mes invités. Celui de Enzo était gonflé de désir. Sa queue était fine, longue et veineuse, j’attrapais son prépuce avec mon gros orteil et le décalottais sans effort, je continuais en enserrant son sexe entre le gros orteil et mes autres doigts de pieds. Mathilde me dit qu’elle n’avait jamais été aussi excitée. Son clitoris turgescent était d’une taille impressionnante. Je leur dis qu’ils étaient fait l’un et l’autre pour mes pieds que je commençais à remuer. De haut en bas pour Enzo et en appuyant à intervalle régulier avec mes coussinets pour Mathilde.

Très vite, elle commença à haleter. L’entendre fit gémir Enzo. Leurs souffles saccadés s’harmonisaient parfaitement, ils réagissaient à mes va et vient à l’unisson. Le sexe de Enzo était vraiment fait pour mon pied, je pouvais le masturber sur toute sa longueur et de temps à autre mon talon venait buter sur ses testicules toutes douces. J’accélérais la cadence pour Mathilde qui commença bientôt à précéder mes petites touches avec son bassin. Je la sentais onduler. Soudain tout senchaîna vite, le sperme de Enzo fusa à longs jets chauds et saccadés sur mon pied, je poussais un petit cri de surprise et me contractais ce qui fit venir Mathilde à son tour qui avait mouillé tous mon pied de cyprine. Elle vint me nettoyer les pieds, en léchant orteil par orteil remontant petit à petit entre mes cuisses elle découvrit que je ne  portait pas de culotte et que mon minou était bien humide. Elle commença à me faire un cunnilingus et très vite je jouis dans sa bouche. Enzo se rhabilla tout en continuant à bander.

Ils partirent très vite, et je ne les ai jamais revus et je n’ai jamais oublié ce thé non plus d’ailleurs

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