Maxime Chap 1
(Je fais connaissance dAlixe)
Depuis que javais quitté mes parents et pris mon indépendance, jétais heureux davoir un appartement pour moi seul, et y faire ce que je voulais. La première habitude que je pris, cest dy vivre nu ; Une grande baie vitrée, par laquelle le soleil inondait et réchauffait la pièce, mavait donné envie de profiter pleinement de cette chaleur apaisante. Je nétais pas exhibitionniste, et dans la naïveté de ma jeunesse je ne pensais pas que quelqu’un pourrait me voir dans cette tenue. Les immeubles den face nétaient pas tout près, et jamais je naurais imaginé que lon puisse spécialement mobserver comme le faisais Alixe, et je lappris rapidement.
Alixe était une de mes voisines du bâtiment face aux mien, et dont les fenêtres donnaient directement sur mon séjour. Je la croisais quelle que fois dans lentrée, qui était commune à notre ensemble dimmeuble. Belle femme denviron 35 4O ans, elle en avait au moins quinze de plus que moi, et était toujours habillée avec un certain chic, et une certaine sensualité. Malgré mes 23 ans, Je nétais pas spécialement branché sexe, et pour moi il y avait des choses plus importante que les filles. A chacune de nos rencontres, elle me faisait de grands sourires et se faisait des plus charmantes.
Un jour, elle me sollicita pour laider à déplacer un meuble assez lourd dans son appartement. Il fut convenu que jy passe le soir même. Après avoir déménagé son armoire, elle moffrit un verre. Il ne se passa rien de particulier, sauf quavant que je ne la quitte, elle demanda mon numéro de téléphone : « pour le cas ou jai encore besoin de vos services. » Je lui donnai bien volontiers.
Quelques jours plus tard, elle mappela pour me demander mon adresse mail : « Je vais vous envoyer quelque chose. » Une nouvelle fois elle obtint son renseignement sans problème de ma part.
— Je vous lenvoie immédiatement. Minforma-telle. Si vous pouviez regarder tout de suite, cela me ferait plaisir.
Jallumai mon ordi et attendis son message. Quelques minutes plus tard, il arriva.
Lorsque je leus ouvert, il ny avait qu’un bref message : « Je vous appelle bientôt. » Ainsi que plusieurs pièces jointes.
Je fus stupéfait par les images que je découvris, toutes étaient des photos de moi dans le plus simple appareil. Je sentis alors une chaleur menvahir, et mon visage sempourprer. Je ne pensais pas une seule seconde que ce serait ce genre de message qu’elle menverrait.
Linstant daprès mon téléphone sonna, je venais de recevoir un message.
— Cest Alixe, ouvre tes rideaux, et sois naturel comme dhabitude.
Je ne savais plus où me mettre, et surtout plus question de continuer à me promener nu chez moi. Cest vrai que le soleil tapait fort, et quil faisait vraiment très chaud chez moi. Javais donc tiré les stores pour ne pas être incommodé par la chaleur. Pas question donc de les ouvrir.
Un second message parvint moins dune minute après.
— Dépêches-toi, je naime pas attendre. De toute façon, je tai déjà vu sous toutes les coutures.
Intimidé par le ton dictatorial, tranchant avec la douceur de nos échanges verbaux précédents, je me dirigeai anxieusement vers mes fenêtres. Et après avoir réfléchi quelques instants, je pris sur moi, et jouvris les voilages comme elle me le demandait. Je nosais pas regarder vers chez elle, mais je savais qu’elle devait mobserver.
Le 3ème message fut tout assez succinct.
— Cest mieux comme cela, ne tavise plus de les refermer.
Une nouvelle fois je ne savais plus où me mettre, ni quoi faire. Après avoir fait travailler mes méninges, je décidai de ne rien changer à mes habitudes, et de faire comme si jétais habillé.
Jespérais ne plus la croiser, mais la chance nétait pas avec moi, le lendemain elle discutait avec la gardienne, semblant attendre mon retour. Dés quelle me vit, cest avec un grand sourire mais assez fermement quelle mannonça le plus simplement du monde :
— Je tattends ce soir.
Je bafouillai une réponse incompréhensible, et me dépêchai de renter chez moi tout honteux. Une foule de questions se pressaient dans ma tête : devais-je y aller, quelle serait sa réaction si je ny allais pas, que voulait-elle ? etc, etc
Malgré une certaine angoisse, et intimidé par le ton quelle avait employé dans ses textos, je me résolus à répondre à son invitation.
A peine entré, elle me demanda assez autoritairement de me mettre dans la tenue que jarborais chez moi.
— Tu es certainement mieux de près que de loin. Précisa-t-elle assez gentiment.
Au fur et à mesure que jenlevais mes vêtements, jétais de plus en plus mal à laise.
Lorsque je fus entièrement nu, mes mains cachant mon intimité, elle me dit dun ton assez cassant :
— Arrête ces gamineries.
Je savais ce quelle voulait, et cest en baissant la tête que je lui exposai mes attributs.
Elle prit bien son temps pour madmirer, mobligeant également à me tourner pour : « Bien te voir de partout. »
Lorsquelle fut satisfaite, elle me prit par la main, et mentraîna vers sa salle de bain.
Elle me tendit un rasoir mécanique, en me disant simplement :
— Jai horreur des poils. Dépêche-toi de les raser partout, je tattends dans le salon.
Tout bête, je pris laccessoire, fis ce quelle me demandait. Cétait la première fois que je me rasais à cet endroit, et je me demandais sil fallait que je rase aussi ceux entre mes fesses. Elle avait dit : «Partout », et ne voulant pas la fâcher, je rasai tout, du mieux que je pouvais.
De retour vers elle, elle mexamina minutieusement, en particulier la partie arrière de mon anatomie, en me faisant bien pencher en avant. Satisfaite de son examen, elle minforma simplement :
— Cest bien pour aujourdhui. Je tattends demain après-midi, nous aurons plus de temps pour faire ton éducation.
Jamais je naurais du venir, et surtout je naurais jamais du accéder à la première requête de son mail. Maintenant il était trop tard pour y réfléchir.
Le lendemain, samedi, je réfléchissais à ce que je devais faire, lorsquun message arriva sur mon téléphone.
— Viens. Disait-il simplement. Je savais que cétait elle.
Arrivé chez elle, je fus encore plus mal à laise de voir quelle nétait pas seule.
— Cest Victor, mon chéri. Dit-elle simplement.
Je fus abasourdi, voire presque jaloux. Je ne pensais pas quelle ait quelquun dans sa vie.
— Dépêches toi de te mettre en tenue, Victor va te prendre en photo. Et je te ferai découvrir un nouveau plaisir.
Devant Alixe, je nétais plus gêné, elle connaissait mon corps par cur à présent. Mais je nétais pas très chaud pour me mettre nu devant un inconnu.
— Il faut que je me fâche pour que tu mobéisses ? Lança-t-elle durement.
Je neus pas dautres alternatives que de mexécuter.
Lun et lautre me donnaient leurs directives pour les poses. Les premières, bien que très gênantes pour moi furent assez softs. Hormis quelques gros plans de mon service trois pièces, la majorité fut prise de tout mon corps.
Jentendis alors la voix de Victor pour la première fois :
— Il serait peut-être temps de passer à autre chose. Dit-il, semblant demander lassentiment dAlixe.
— Tu as raison. Répondit-elle simplement.
Et alors que je ne mattendais pas à cela, Victor se pencha vers moi, et prit mon sexe entre ses lèvres.
Abasourdi par sa rapidité, je neus pas le réflexe de le repousser.
Cétait la première fois que mon sexe était sollicité dune telle manière, et bien loin dêtre choqué par le fait dêtre sucé par un garçon, je maperçus que cétait très agréable.
Lorsque je fus en érection, Victor cessa, et reprit son appareil photo.
Alixe se moqua gentiment de moi :
— Jai limpression que tu aimes bien cela.
Laissant planer une certaine équivoque : être sucé, ou, par un garçon ?
Les prises suivantes furent à présent uniquement axées sur ma virilité.
— Prends-en aussi pour que lon voie aussi son visage. Précisa Alixe. Comme cela il naura pas de complexe dêtre nu devant nos amis.
Ces photos nétaient donc pas destinées à lusage exclusif dAlixe. Cela me dérangeait beaucoup, mais je naurais pas osé lui en faire la remarque.
— On va passer au côté pile. Annonça-t-elle ensuite. Mets-toi à quatre pattes en nous montrant ton petit derrière.
Honteux mais vaincu, je pris la pose demandée.
Alixe sapprocha de moi, et me fis bien écarter les genoux en disant.
— Cest surtout ton petit trou qui nous intéresse.
Je ne savais plus où me mettre, mais une nouvelle fois je navais plus dautres choix que de céder.
Les déclics de lappareil photo furent encore plus nombreux, je sentis ensuite une main dAlixe se poser sur mes fesses. Elle les caressait sans aucune gêne. Mon sexe lui aussi fut sollicité, mais dune manière moins classique, lorsque je sentis le chatouillement mécanique dun vibro-masseur. Les vibrations étaient assez agréables, dautant quelle le faisait monter et descendre le long de ma hampe, puis titiller mon méat urinaire, ainsi que mon frein. Cétait lendroit le plus sensible de mon anatomie, et quelques instants après ce traitement, je ne pus me retenir et me lâchai sur le sol.
Alixe éclata de rire en me disant :
— Je tavais bien annoncé que tu découvrirais dautres plaisirs.
Ne me laissant pas le temps de réfléchir, elle fit remonter le gadget, et me caressa entre les fesses, plus particulièrement ma petite rondelle.
— Attends, je vais te mettre un peu de vaseline, ce sera plus agréable pour toi.
Jétais devenu son jouet, et il ne lui était pas venu à lidée que je ne serais pas daccord.
Une fois lengin bien enduit, elle samusait à le faire vibrer uniquement à cet endroit précis. Je sentais quà chaque instant elle le faisait pénétrer un peu plus profondément. Malgré cette situation particulièrement humiliante, mon sexe reprenait peu à peu de la vigueur. Bien malgré moi, jaimais cela.
Une fois quil fut assez profondément entré, elle lui fit faire de vas et viens, débutant avec lenteur puis rapidement avec plus de vitesse dans ses mouvements. Ma rigidité était à présent à son summum.
Alors que je commençais à y prendre goût, Alixe sadressa à Victor :
— Fais lui goûter à quelque chose de plus naturel, je suis sûre que cela va lui plaire encore davantage.
Je navais pas vu quil avait posé son appareil photo, et quil sétait mis nu lui aussi. Je le découvris lorsquil présenta sa virilité à demi tendue, seulement à quelques centimètres de mon visage. Je voyais bien ce quil voulait, mais il nétait pas question que je le prenne en bouche.
Une claque sur les fesses, et une parole ferme dAlixe me fit sortir de mon rêve :
— Dis donc, tu nas pas fait le difficile tout à lheure lorsquil sest occupé de toi. Alors ne me fais plus attendre, tu sais que jai horreur de cela. Dépêche-toi de bien le lubrifier, si tu ne veux pas avoir trop mal.
Ce nétait plus un rêve mais un cauchemar. Elle exigeait vraiment trop de moi, mais dun autre côté, mon subconscient, et peut être plus encore lenvie qui tiraillait mon bas-ventre, me disaient de lui céder. Et cest bien malgré moi, que mes lèvres sapprochèrent de lobjet présenté par Victor.
Lorsque ma bouche entra en contact, jhésitai quelques secondes avant daller plus loin. Victor attendit que son extrémité soit bien enveloppée, pour me guider doucement de sa main. Ses gestes qui étaient doux au départ, furent de plus en plus accentués. Ma tête suivait le mouvement.
Cela ne dura guère que quelques petites minutes. Je pensais quil allait se retirer et prendre la place du vibro, au lieu de cela il se libéra sans complexe, inondant ma bouche de sa liqueur. Il me maintenait fermement cette fois, ne me laissant guère dautres solutions que de tout ingérer.
Alixe mapplaudit à deux mains, en ayant cette parole toute simple, mais très réconfortante :
— Je suis très fier de toi Maxime.
Bien que ce quAlixe venait de me faire faire aurait pu mhorripiler quelques jours auparavant, jétais très fier moi aussi, de lui avoir fait plaisir. Je crois quà présent je ne saurais plus rien lui refuser.
Je neus pas le temps de trop réfléchir à la situation, que Victor avait déjà pris place entre mes reins. Cétait incroyable, il navait pas débandé.
Alixe avait raison, cétait très différent du gadget plastique, et surtout plus agréable. Assez pour lui, après quatre ou cinq minutes, puisqu’il se libéra à nouveau, mais dans mon fondement cette fois. Mais pas suffisant pour moi, car lorsquil se retira, jétais toujours aussi tendu, prêt à exploser.
Voyant dans quel état jétais, Alixe eu pitié de moi :
— Est-ce-que tu veux toi aussi te faire plaisir, en prenant Victor comme il vient de le faire ?
Un oui timide sortit de ma bouche.
Victor reçu le message, et se positionna comme je venais de lêtre : à quatre pattes juste devant moi.
Avant que je naie eu le temps de me relever, Alixe mindiqua :
— Toi tu étais préparé, pas Victor. Il faut que tu lapprêtes comme il le préfère : avec ta langue. Ne tinquiètes pas, il sort de la douche.
Elle mannonça cela pour me réconforter, et elle guida mon visage vers les fesses de Victor.
Je crois que je navais jamais subi autant dhumiliation, mais dans ma tête à présent, jétais prêt à accepter tout ce quelle me demanderait.
Cest tout de même avec une certaine réticence donc que jouvris la bouche, et sortis la langue.
Alixe poussa doucement ma langue vers sa cible en me donnant ses conseils :
— Va de bas en haut en commençant par ses bourses, et surtout penses à bien mouiller ta langue.
Comme un enfant lors sa première leçon de vélo, je mappliquai à bien suivre les conseils donnés.
Mon appendice lingual prit contact sur les bourses toutes lisses, remonta lentement, et évita tout naturellement lorifice central.
Alixe me reprit immédiatement :
— Ne cherches pas à éviter son petit trou, cest là que tu termineras de toute façon.
Je repris mon exploration, en collant bien ma langue cette fois, sur toutes les parties caressées.
Alixe sembla satisfaite. Après plusieurs mouvements, elle me donna une nouvelle instruction :
— Maintenant occupes-toi exclusivement du centre, en faisant bien tourner ta langue.
Maintenant que je lavais effleuré plusieurs fois, et nayant pas été trop dégoûté, mon aversion avait disparue. Cest de bon cur, que je macquittai de ma tâche.
Alixe changea de place, et posa ses mains sur les fesses de son compagnon en mexpliquant :
— Je vais te les écarter pour que tu puisses bien faire pénétrer ta langue. Et puis, comme cela je pourrai mieux contrôler ta technique.
Je continuai à caresser cet endroit si stratégique de Victor, sans vouloir le pénétrer davantage.
Une nouvelle recommandation tomba :
— Sers-toi de ta langue comme dun sexe pour le pénétrer.
Ma tête allait davant en arrière comme conseillé. Victor commençait à y prendre goût. Javais du mal à bien faire, tant son corps commençait à sagiter.
— Pour finir, colle tes lèvres contre lui comme si tu voulais lui donner un baiser, et fais bien tourner ta langue à lintérieur, il va adorer.
Ce nétait plus son petit trou que je découvrais, mais un véritable patin que je lui roulais. Il fallut que je me tienne bien à ses hanches, pour ne pas être décroché.
Victor semblait aux anges, tout comme Alixe dailleurs, qui me donna cet ultime commentaire :
— Prends-le maintenant.
Comme un sportif lors du sprint final, je le pénétrai rapidement. Et toujours rivé à son bassin, je mactivai rapidement pour essayé de lachever.
Pris dans le jeu, je fus un peu déçu de ne pas lui donner de plaisir, alors que je me libérai rapidement. Je vis quAlixe était elle aussi un peu contrariée.
Elle me laissa reprendre conscience pendant quelques minutes. Puis mannonça tranquillement :
— Tu vas le reprendre en bouche, je nai pas eu le temps de faire des photos tout à lheure.
Et cest un sexe toujours bien dressé qui se présenta devant moi. Cette fois pas question de décevoir Alixe.
Je mappliquai alors de mon mieux, pour macquitter de la mission qui métait confiée, sans penser du tout quil était encore dans mon derrière quelques minutes auparavant. De toute façon, au point où jen étais, cela ne pouvait plus me heurter ma sensibilité.
Victor fut assez rapide à prendre son pied, et Alixe put prendre de beaux clichés en affichant un beau sourire.
Pour être sûr de bien faire plaisir à ma maîtresse, je terminai en passant ma langue à lextrémité flasque à présent de Victor, pour en récolter les dernières gouttes.
Avant de me renvoyer chez moi, elle me claqua un baiser furtif sur les lèvres en me disant :
— Nous avons des invités demain, je compte sur toi.
Rentré chez moi, je me mis à penser à ces derniers événements. Jeus beaucoup de peine à trouver le sommeil, en réfléchissant avec recul, à ce quAlixe mavait fait subir.
Au réveil, ma décision était prise, je nirais plus chez elle, elle mavait trop humilié.
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