Johanna était très excitée à l’idée de tourner avec Stacy. Le scripte qu’elle avait lu lui donna quelques idées mais elle devait se retenir de tout rapport sexuelle pour mieux entrer dans son rôle. Après avoir prit le soupé en compagnie de sa mère, la jeune fille décida de tâter le terrain pour savoir si son attrait pour le sexe canin était héréditaire.
— Maman?
— Oui ma chérie?
— Pourquoi ton amie t’avait confié Médoc?
— Oh ! Parce qu’elle avait eut un problème avec lui.
— Quelle problème?
— Il était trop agressif avec elle.
— Et tu as accepter de ramener un chien agressif à la maison alors que j’étais toute petite?!
— Je savais qu’il ne serait pas agressif avec nous ma chérie.
— Je comprend pas.
— Et bien, comment t’expliquer ça… En fait, il a essayé de jouer avec elle et elle l’a laissé faire. Par la suite, elle ne voulait pas ou n’avait pas le temps pour lui alors il s’est mit à lui grogner après pour qu’ils jouent ensemble. Un jour, elle en a eut assez de se laisser dominer par son animal de compagnie alors elle a cherché un endroit où il serait mieux. Comme j’avais assez de temps pour jouer avec lui et que je savais que dans ces conditions il ne serait pas agressif, j’ai accepter de le recueillir.
— Ah… Et qu’est-ce que tu veux dire par jouer?
— Qu’il voulait qu’on lui lance la balle, qu’on le caresse, qu’on s’occupe de lui. C’était un chien infatigable et incroyablement doué.
— Doué ? Comment ça doué?
— Écoute, il commence à être tard et je ne me rappelle que vaguement de cette époque alors arrête de me poser des questions!
Johanna débarrassa son assiette et lançât une phrase à sa mère pleine de sous-entendus.
— Le chien de Karine est très doué pour renter!
— Pardon? Pour rentrer par où?
— Partout! Il passe aussi bien par devant que par le petit passage de derrière, ce chien est vraiment doué parce qu’il sait exactement à quel moment il doit rentrer.
— Qu’est ce que tu raconte ?
— Filou, le chien de Karine.
— Oui…
— Il sait comment rentrer. Si un jour elle veut qu’il rentre tout seul, il connaît le chemin à prendre.
— Tu veux dire que Karine et Filou ont des rapports?
— Oui, le même genre de rapports que tu avais avec Médor!
— Quoi?! Mais comment tu es au courant?!
— Au courant de quoi? Karine joue avec son chien comme tu jouais avec Médor.
— Mais comment tu sais que Médor me montait?
— Médor te montait? Ça veux dire quoi?
Johanna avait maintenant la réponse à sa question. Pour ne pas éveiller les soupçons de sa mère, elle donna un autre sens à la conversation et enchaîna directement.
— Karine lance la balle à Filou et lui fais des caresses, si un jour elle le promène et qu’elle ne peux pas le ramener chez elle, il connaît la route et sais comment rentrer chez lui. Que ce soit en passant par la grande route où par le petit portillon de derrière si le portail est fermé.
— Ah… Il est doué pour retrouver sa route.
— C’est bien ça que ça veux dire doué pour un chien !
— C’est exactement ça! Il sait comment rentrer sans avoir à l’accompagner.
— D’accord! Bon, je vais dans ma chambre, j’ai des trucs à faire. Bonne nuit maman!
— Bonne nuit ma chérie.
Johanna se mit dans son lit et sendormit rapidement en pensant à sa mère entre les pattes d’un chien. Leila se rendit compte qu’elle venait d’avouer son plus gros secret à sa fille. La maghrébine était en effet une adepte de l’amour canin et son histoire était pour le moins atypique. Tout à commencé pour elle quand elle est venue vivre dans ce petit village. Son amie Karine l’avait incité à s’installer dans la région pour garder un minimum de contact et l’argent de l’héritage lui permit d’acquérir une belle villa proche de celle de son amie. Depuis son expérience avec le père de Johanna, Leila ne faisait plus confiance aux hommes mais son coté paranoïaque la poussa à prendre un chien de garde, malgré le calme du quartier. Elle prit un rottweiler qu’elle nomma Tyson pour assurer sa sécurité et celle de sa fille. Au fil du temps, l’absence d’un homme dans sa vie pesa de plus en plus sur la jeune femme qui se mit en quête de sites internet devant lesquels elle pouvait trouver un peu de réconfort sexuel solitaire. À peine un an après s’être installée dans la région, Leila ne sortait plus que pour prendre le café chez son amie Karine et passait le reste du temps à se masturber devant des sites pornographiques de plus en plus hard quand sa fille n’était pas là. La jeune maman profitait des longues journées d’école de sa fille pour se satisfaire sur le web. Lors d’une session libidineuse, la maghrébine dénicha un site relatant des histoires érotiques réelles ou fictives pour le moins excitantes. Sa curiosité la poussa à découvrir un récits relatant l’histoire d’une femme qui découvre le plaisir sexuel avec un chien. Complètement absorbée par cette histoire, Leila s’attacha de plus en plus à l’héroïne au point de s’identifier à elle. Après avoir longuement hésité, la jeune femme prit la décision de franchir le pas à son tour et de tenter l’expérience canine au moins une fois, pour voir. C’est au cours d’une rude journée d’hiver qu’elle s’enferma chez elle complètement nue avec son rottweiler pour passer à l’action. L’animal n’étant absolument pas dressé à la pratique, Leila savait que c’était à elle de faire tout le travail. Comme elle l’avait lu, la maghrébine fit s’allonger l’animal sur le dos et commença à essayer de le masturber sans grand succès. Sans se laisser décourager par cet échec, elle repris de plus belle en gratifiant Tyson de caresse sur tout le corps ce qui provoqua l’effet escompté et c’est avec un morceau de chair rouge vif dans la main que Leila connu son premier contact sexuel animal. Ne sachant pas trop quoi faire, la jeune femme commença par se masturber en rythme avec son chien, puis elle fit volte face pour présenter ses cuisses à son animal de compagnie et profiter de plus près de lattribut viril du rottweiler. Lorsque la langue râpeuse du chien entra en contact avec le sexe de sa maîtresse, cette dernière reçu comme un électrochoc. Le plaisir fut aussi bref quintense et la vulgarité de la situation l’excitait encore plus au point qu’elle posa immédiatement sa bouche sur le membre canin pour lui prodiguer une fellation endiablée. Lorsqu’elle sentit la semence animale couler dans sa gorge, Leila compris qu’elle avait réussit à atteindre la première partie de son objectif. Les jambes tremblantes, la jeune femme se releva pour prendre position face à son partenaire puis elle s’allongea sur lui pour frotter son sexe contre celui de son amant. Tout en prenant l’animal dans ses bras, la maghrébine se mit à onduler sensuellement du bassin en gémissant de plaisir sous l’effet de la masturbation qu’elle créait. Écartant les cuisses au maximum, elle fit glisser le sexe du rottweiler de plus en plus vers l’entrée du sien jusqu’à ce qu’elle se sente prête à laccueillir convenablement et qu’elle envoie un violent coup de rein pour se faire pénétrer. Leila et Tyson était à présent aussi reliés qu’une femme et un chien puissent l’être et c’est dans un état second que la jeune femme laissa la semence canine couler dans son corps. Dans cette position, elle était en capacité de contrôler parfaitement la profondeur du rapport et savait que le nud de son chien n’entrerait que si elle le décidait. Collant son corps contre celui de l’animal, Leila resta ainsi une bonne demi heure à profiter enfin d’un partenaire sexuel et du plaisir de sentir un sexe éjaculer en elle quand bien même celui-ci appartient à un chien. Quand elle se releva, la jeune femme laissa échapper la semence dont elle avait été honorée et c’est sans aucune retenue qu’elle se servit de sa langue pour nettoyer le sexe de son animal de compagnie avant de se rhabiller pour retourner vaquer à ses occupations. Après cette première expérience concluante, la maghrébine fit en sorte de saccoupler avec son chien au moins trois fois par semaines, jusqu’à ce que ce dernier se fasse renverser par une voiture lors d’une promenade. La mère de Johanna fut tellement attristée par la perte de son amant qu’elle refusa d’en adopter un autre jusqu’à ce qu’une annonce sur son site d’histoires préféré la fasse changer d’avis. Une autre femme avait été violée par son doberman et déboussolée par la situation, elle désirait trouver un nouveau foyer à son chien malgré le plaisir qu’elle y avait découvert. Leila avait pris beaucoup de plaisir avec Tyson, mais elle n’avait jamais été chevauchée à cause du manque d’expérience de son chien. En apprenant qu’une femme habitant non loin de chez elle avait été prise de force par un animal, la maghrébine y vit une excellente opportunité de prendre du plaisir en se laissant totalement dominer par son partenaire. La mère de Johanna prit contact avec la femme de l’annonce et l’invita chez elle pendant que sa fille était à l’école. La rencontre entre les deux femme se déroula comme dans un mauvais film pornographique.
— Bonjour, c’est bien vous qui m’avez contactée pour l’annonce?
— Oui, où est votre animal?
— Dans la voiture. Je devais m’assurer que vous étiez la bonne personne parce qu’il est très excité.
— Parfait! Depuis combien de temps n’a-t-il pas eut de rapport?
— Une semaine. Il m’a sauté dessus dans mon jardin mardi dernier et je n’ai pas réussi à le repousser.
— Pourquoi ne vous laissez-vous pas faire plus souvent?
— J’ai très honte de prendre du plaisir avec un chien… D’ailleurs, si vous ne m’aviez pas envoyé ces images de vous avec le votre, je ne me serais même pas déplacée.
Leila avait poussé sa perversion au point de se filmer en plein ébat avec Tyson. Elle savait où cacher ses vidéos pour ne pas que sa fille tombe dessus et se les repassait quand son amant lui manquait trop. Pour prouver sa bonne foi, elle avait envoyé l’un des passages de sa vidéo amateur à la femme qui était à l’origine de l’annonce.
— Allez récupérer votre chien dans la voiture, je vais préparer du café.
— Très bien.
Leila eut à peine le temps de préparer sa cafetière qu’elle senti quelque chose d’humide se coller contre ses fesses. Ayant prévu de profiter au plus tôt de son nouveau partenaire, la maghrébine s’était habillée d’une très courte jupe et d’un débardeur. Pour facilité l’accès à son intimité, elle avait décidé de ne pas mettre de sous-vêtements. Le chien était déjà en train de passer sa langue entre les jambes de sa nouvelle maîtresse lorsque celle-ci se retourna pour faire face à l’autre femme de la pièce.
— Et bien! Il m’a l’air vraiment habitué! Où l’avez-vous eut?
— Dans un chenil qui allait fermer ses portes de l’autre coté du pays. Ils ont passés une annonce en disant que tous les pensionnaires allaient être euthanasiés. Je vivais seule alors j’ai voulu prendre un animal de compagnie mais au final c’est lui qui m’a pris. Écoutez, je vois que vous allez bientôt être très occupée, alors je vous laisse.
— Hummmm… Oui, laissez-moi votre numéro de téléphone avant de partir!
L’ancienne propriétaire du doberman écrivit ses coordonnées sur un bout de papier qu’elle posa sur la table du salon puis elle retourna à sa voiture pour laisser le chien et sa nouvelle maîtresse s’accoupler tranquillement.
Les cuisses largement écartée, Leila gémissait sous les coups de langue se son amant. Cela faisait maintenant quatre ans qu’elle n’avait pas connu le plaisir de se faire lécher par un chien et comptait bien en profiter le plus possible. Malheureusement pour elle, l’animal dont elle venait de faire l’acquisition était une véritable bête de sexe et avait prévu un autre traitement pour sa femelle. Complètement satisfaite par le savoir-faire du doberman, la maghrébine se laissa doucement glisser vers le bas pour se retrouver les coudes appuyés sur le meuble de la cuisine. Le chien profita de ce changement de position et sauta d’un seul coup sur sa partenaire pour la pénétrer presque instantanément. Leila ne put retenir un cris de surprise et de plaisir alors que son amant commença à lui donner de violents coups de rein. C’était la première fois qu’elle ne contrôlait pas le rapport canin mais elle savait qu’il lui suffisait de se redresser pour stopper laccouplement. La jeune femme se laissa pénétrer pendant plus d’une demi-heure en jouissant bruyamment avant que son mâle ne décide enfin de la libérer. Droite sur ses jambes, Leila laissa la semence canine couler sur ses cuisses et se retourna pour arrêter la cafetière. Le doberman était loin d’en avoir fini avec sa femelle et prit position cette fois-ci sur son dos pour placer son sexe entre les fesses de sa maîtresse. La mère de Johanna n’avait jamais été sodomisée et ne voulait pas l’être mais le chien posa ses pattes sur les épaules de la jeune femme pour la forcer à se cambrer. Sentant que l’animal était en train de passer entre ses fesses elle tenta de se libérer mais le sexe de son amant avait déjà prit place en elle. Le doberman était maintenant en train de sodomiser sauvagement la mère de Johanna qui ne put que se cambrer d’avantage pour atténuer la douleur. À peine quelques minutes plus tard, la maghrébine fut libérée en poussant un long gémissement de soulagement pendant que le sexe animal quittait son orifice. Ce jour-là, Leila fut pénétrée une bonne dizaine de fois par son nouvel animal de compagnie qui la prenait sans ménagement à chaque fois qu’elle se penchait un peu trop. Le corps de la maghrébine servant de défouloir sexuel au doberman, cette dernière chercha une solution pour ne pas qu’il devienne agressif sans avoir à céder aussi facilement à ses avances. Elle alla jusqu’à dépenser de l’argent pour qu’il pénètre une autre femme, espérant ainsi trouver une solution mais à peine avait-il fini avec cette jeune femme rousse qu’il chevaucha sa maîtresse en plein milieu du parc où elle l’avait emmener pour l’occasion. Une semaine plus tard, lassé de devoir se faire prendre de force par son chien, Leila se rendit de l’autre coté du pays et abandonna dans une forêt celui qui lui avait fait découvrir la sodomie, non sans prendre le temps de s’offrir à lui une dernière fois.
À suivre…
