La soirée chez Alfred:
A 20h, totalement liquéfiée par lappréhension ou plutôt par la certitude de ce que jallais devoir subir sur le plan physique, car je connaissais déjà le potentiel de violence de cet homme, jétais devant la porte de son petit pavillon de la proche banlieue. Je sais que 90 coups de martinet et peut-être plus, cela fait mal, très mal ! Jétais certaine en outre, quAlfred allait sen donner à cur joie et me frapper de toutes ses forces et que la correction quil allait minfliger naurait rien à voir avec celles des petits films BDSM que lon trouve sur le net.
Javais horriblement peur de la douleur annoncée, de mes réactions, alors que javais promis à Arnault de tout faire pour plaire à ce sadique et satisfaire ses exigences !
Une boule serrait mon estomac et javais peur que mes jambes ne finissent par me lâcher mais jétais déterminée à faire plaisir à mon homme et à tout faire, comme promis, pour satisfaire les exigences sexuelles dAlfred.
De plus, je devais obéir au vieux, à celui qui, en labsence dArnault, était mon maître. Jai appuyé sur la sonnette et dès que le coup de sonnette a retenti, il a ouvert. Habillé dun jean et dune chemise neige cintrée parfaitement démodée, il mattendait, un long martinet à lancienne en main. Rien à voir avec ceux que lon trouve dans les sex-shops. Jai pâli ! Je navais jamais vu un tel modèle. Il était effrayant et Alfred, malgré un petit sourire narquois, avait un regard de dément !
« Entre ma poule ! Tu vas adorer ! Tu connais le programme ? Trente coups pour Léon, trente pour moi, pareil pour ton bonhomme, et plus si tu en redemandes mais tu vas en redemander. Retire ton manteau, pose-le là et viens par là ! Ah oui, toute la petite séance va être filmée !»
Il parlait sèchement, avec un débit rapide et il bougeait sans cesse et semblait sauter dune jambe sur lautre. Jai déposé mon manteau sur un meuble, dans lentrée, et ai suivi mon bourreau dans un escalier qui menait à une espèce de cave voûtée et spécialement aménagée. Il Y avait installé une barre de gymnastique et des attaches en cuir et en corde pendaient de la barre transversale. Jai tout de suite compris ce qui mattendait. Deux caméras allaient tout enregistrer. Elles fonctionnaient déjà.
« Tu piges ! La barre et les sangles, cest pour que tu te tiennes tranquille, ma poule ! Je nai pas envie de te courir après partout dans cte cave» Il a rigolé. Jen ai frémi. Il sest installé dans un vieux fauteuil en cuir situé dans langle de cette pièce et ma demandé de me mettre face à lui. Debout, en position, jattendais ses ordres et surtout jessayais de retrouver un peu de maîtrise. Il a pris tout son temps pour mexaminer, me déshabiller, me fouiller du regard. Les caméras ronronnaient. Mon cur cognait dans ma poitrine.
« Bon, maintenant, tu vas gentiment retirer ta jolie petite robe et tu fais ça bien ! Daccord ? Tu mgardes juste tes bas, ton porte jarretelle et tes godasses de pouffiasse, tes bijoux aussi, pour le film. Il faut qutu sois jolie, tu piges. Le reste, tu le vires, mais en beauté, tu dois faire bander Alfred! Pigé ? »
Jétais liquéfiée. « Oui, monsieur ! »
Demblée, il me traitait comme une chienne mais ce langage allait ajouter à mon excitation, cest évident, je le sentais déjà. Arnault mavait demandé de tout faire pour plaire à cet homme, à ce rustre violent et de mon côté, je métais jurée de tout supporter, de tout faire pour plaire à Alfred.
Je me suis donc appliquée à me déshabiller de la manière la plus érotique possible et il apparemment bien aimé ce que je lui ai proposé car ses yeux brillaient dexcitation. Il se massait le sexe par-dessus le jean. Jen avais fini. Devant lui, quasi nue, jai pris la position et jai croisé mes mains dans le dos.
« Viens ici, à genoux devant moi ! »
Il a attrapé un bâillon en forme de boule de caoutchouc que lon introduit dans la bouche et ma demandé de le mette en place avant de serrer fortement la lanière de cuir qui le maintient. Cette boule écrasait ma bouche, les commissures de mes lèvres et javais du mal à placer ma langue et à avaler ma salive.
Il a ensuite attrapé les bouts de mes seins et les a pincé méchamment en les tordant lun après lautre. Jai retenu mes larmes, je ne pouvais même pas crier.
« Si cest bon ? Fais oui de la tête ! »
Jai secoué la tête pour répondre comme il le voulait. Il a recommencé.
« Alors, comme ça, ça te plaît ? »
De nouveau, jai acquiescé de la tête. Il a attrapé deux objets cachés sous son fauteuil : des pinces à sein avec une boule de métal assez lourde qui pend au bout dune petite chaîne dorée! Javais vu ce même modèle dans un catalogue un peu spécial. Il les a mise en place. Mes tétons étaient écrasés et distendus et javais mal à hurler mais ne pouvait le faire. Il avait du les serrer à mort.
Je navais pas imaginé un seul instant, en consultant le catalogue, que cela pouvait être si douloureux. Javais en mémoire le sourire radieux de la jolie fille blonde qui les portait. Elle ne souffrait pas, elle ! Elle portait cela comme on porte un joli bijou.
« Et ça ma poule, tu aimes ? »
Un nouveau hochement de tête. Surtout, ne pas lénerver ! Tout faire pour le satisfaire ! Il ma demandé de me relever et de le suivre jusquen dessous de la barre de gym, il est monté sur un tabouret puis il a attaché mes poignets aux liens de cuir et de corde disposés à cet effet. Il a bien serré ces liens.
Il a également attaché mes chevilles à des sangles reliées à une barre de métal qui reposait sur le sol et était fixée aux montants de la barre, ce qui allait minterdire tout mouvement du bas du corps. Il allait pouvoir sen donner à cur joie, me corriger autant quil le voulait.
Mes seins étaient en feu. Jamais je navais connu une telle douleur, une telle impuissance. Jétais effrayée ! Des larmes coulaient sur mes joues tant javais mal. Il sest rapproché de moi et ses doigts ont pris le temps de parcourir ma raie, mes fesses, et ma fente largement offertes. Il a joué avec les pinces à sein, les faisant osciller du bout du doigt, ce qui déclenchait à chaque fois une violente douleur dans toute ma poitrine. Il samusait bien et rigolait !
Il a amené deux autres pinces aussi lourdes et les a posées sur mes petites lèvres. Cétait une horreur. Les pinces étaient épouvantablement serrées. « Alors, tu aimes ça, salope ? »
Un nouveau hochement de tête. Surtout, ne pas lénerver !
« Tu vas voir, tu vas bien couiner connasse, mais après Alfred va soccuper de ton petit cul pour bien le défoncer! Cest ça que tu veux ? »
Il avait enfoncé ses doigts profondément en moi et tentait de dilater mon anus. Jai hoché la tête en signe dassentiment. Quil se dépêche, quil fasse ce quil veut, jai trop mal ! Il sest écarté et jai fermé les yeux. Le premier coup de martinet a claqué quelques instants après et la douleur ma envahi. Un coup violent suivi dune sensation immédiate de brûlure.
-« Un ! »
-« Deux ! » Un autre, sur lautre fesse ! Jessayais de bouger les hanches pour amortir le coup à venir et en atténuer la violence, mais rien ny faisait.
-« Trois.quatre cinq ! »
Il prenait son temps, faisait durer son plaisir. Il tournait autour de moi, semblait hésiter puis frappait au moment où je my attendais le moins ou me relâchais. La douleur était atroce. Si je bougeais, mes seins et mon sexe se déchiraient sous la pression des pinces. Ne pas bouger ! Ne pas bouger !
-« Hein, ça texcite, ma poule ! »
Un bref hochement de tête et les coups ont continué. Ne pas bouger, ne pas réagir, partir loin, penser à Arnault, le rejoindre. Ce fût long, très long ! Je pleurais de douleur. Je gémissais mais ne pouvais crier.
-« et 90 ! La commande est remplie ! »
Il a soufflé. Tout mon dos, mes fesses, mes cuisses étaient en feu.
« Alors, dis-moi, ten veux combien en plus, ma poule ? »
« Faire plaisir à mon homme ! Montrer mon désir et mon courage ! » ai-je pensé.
« Allez, on va faire comme ça :je compte et tu me dis : un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit. ? » A dix, jai hoché la tête.
Je nimaginais pas pouvoir en supporter un de plus. Jétais épuisée et mon corps nétait plus que douleur, mais je voulais faire bonne figure pour que le film plaise à mon homme, lexcite et agrémente nos futures soirées amoureuses et érotiques. « OK, va pour dix, mais des bons, ma poule! Cinq derrière pour finir de te repeindre le cul et les autres devant pour la caméra ! »
Ce disant, il sest approché de moi et a tordu lune des pinces à sein en ricanant ! Il transpirait !
« Ca texcite ! Tu aimes ça, je le vois bien ! Jen suis sûr ! Tu reviendras me voir bientôt, je le sais ! Toi, tas le vice dans la peau ! »
La douleur atroce a irradié dans tout mon thorax mais jai hoché la tête en signe dapprobation.
« Je suis sûr que tu mouilles, ma salope ! Fais-moi voir ! »
Sa main posée sur mon sexe a ouvert et fouillé ma fente. Oui, je ressentais une violente envie sexuelle ! Oui, je mouillais, comme il dit si élégamment.
Il a de nouveau tiré et tordu une pince et sous le bâillon, jai hurlé. « Mais dis donc, cest une vraie salope, la poule à Léon! Alfred va bien samuser et popaul aussi ! »
Il désignait son sexe de la main. Il ricanait en permanence et tournait autour de moi pour me fouiller du regard et jouir du spectacle. Il est venu, enfin, se positionner derrière moi pour masséner les cinq derniers coups sur les fesses et le dos. Ils ont été plus forts que les autres, bien plus forts. Je nen pouvais plus. Je tremblais de douleur et des spasmes incontrôlables agitaient mes jambes.
Ensuite, il a détaché les lanières des poignets et des chevilles, ma retournée et désormais, je lui faisais face. Jai eu quelques secondes de répit et jai repris mon souffle. Jai tenté davaler ma salive, difficilement. Il ma attachée à nouveau, soigneusement, puis il ma regardée.
Pour samuser, il ma giflée à deux reprises. Un aller et retour violent. « Oh, réveille toi un peu, cest pas fini ! »
Je le voyais, le martinet en main, prendre tout son temps, tel un prédateur qui va se jeter sur sa proie. Il faisait durer son plaisir.
Il a levé le martinet et le premier coup a claqué sur ma poitrine. Une douleur violente, atroce, car il avait visé les aréoles et les pinces à seins : une brûlure de tout le torse ! Jai cru mévanouir.
Un autre au même endroit! Les derniers coups ont frappé sur mon bas-ventre, juste à la lisière du pubis ! Une autre brûlure intense ! Il avait visé la naissance de ma fente.
« Je suis sûr que tu en veux un autre, pas vrai ? » Je gémissais tant je souffrais !
Il a insisté : « Alors ? Tu réponds ou bien ?»
Jai hoché la tête et dans la foulée, jai senti le feu inonder ma poitrine. Il avait de nouveau parfaitement visé et atteint mes seins.
« Un dernier ? » Un nouveau hochement de tête et le martinet a frappé mon bas ventre. Jallais mévanouir !
« Attend, tas bougé, celui-là ne compte pas ! »
Un nouveau hochement de tête et le martinet a encore frappé mon bas ventre. « Un autre pour faire plaisir à Alfred ! Bouge pas, putain ! »
Il a frappé de toutes ses forces.
« Ah, il était bien celui-là ! Je suis sûr que tu en veux un autre ? »
Un nouveau hochement de tête et le martinet a encore frappé mon bas ventre. Il a frappé de toutes ses forces, en ahanant.
Il a repris sa respiration puis ma finalement détachée et je me suis écroulée à genoux devant lui. Il ma empoigné les cheveux pour me relever: « Viens par ici, ma poule ! »
Il ma traînée jusquau fauteuil et a enlevé le bâillon et un long filet de bave a coulé sur mon menton.
« Essuie ta gueule et puis bois un coup, on en a pas fini nous deux! »
Il ma tendu une canette de bière. A genoux devant lui, jai bu deux longues gorgées pour étancher ma soif et jai essuyé ma bouche et mon visage avec le torchon dune propreté douteuse quil me présentait puis il a retiré les deux pinces à seins, sans aucun ménagement. La douleur sest alors accentuée car le sang est revenu dun coup dans les mamelons tuméfiés. Je nai pu retenir un cri puis un gémissement de douleur.
« Tu couines mais tas aimé ça, pas vrai ? » Il ricanait avec son air de dément!
« Tu rviendras, pas vrai ? »
-« Oui, monsieur ! » mentais-je, alors ? Bien sûr je souffrais, mon dos, mes cuisses, mon ventre, mes seins nétaient plus que douleur, mais je dois ladmettre, la situation, la violence de cet homme mavaient excitée et mexcitait encore vraiment car jétais entièrement livrée aux pires exigences de cet individu sadique. Je vivais là, intensément, un autre fantasme, lun de ceux dont je ne suis pas fière.
« Alors maintenant, tu vas bien toccuper de moi avec ta bouche de salope! Dis le à Alfred que tes une pompeuse de nuds ! Avoue le dvant la caméra !»
Jai fixé lobjectif de la caméra. « Je suis une pompeuse de nuds, Monsieur !»
« Alors, profites du mien, viens sucer popaul ! Il attend depuis tout à lheure! »
Il agitait sa bite de la main et en rigolait. Jétais à genoux entre ses jambes écartées. Il était nu désormais, son sexe tordu au gland violet, à quelques centimètres de ma bouche, bandait et bougeait au rythme des battements du sang.
Il a empoigné mes cheveux et a appuyé sur ma tête pour que ma bouche vienne à son contact. Jai ouvert mes lèvres et ma langue sest posée sur le bout du gland ainsi offert. Sous la pression de sa main, jai englouti son sexe et lai sucé comme je pouvais.
Il lenfonçait à fond dans ma gorge puis me forçait à maintenir cette position en tirant mes cheveux et en collant ma tête vers son bas ventre. Javais du mal à respirer, à déglutir. Je ressentais une sensation détouffement, mes hauts de cur lamusaient beaucoup. Il me fallait tenir et résister à ce traitement. Javais vu cela sur un film vidéo très spécial, et la fille avait fini par vomir.
Tenir, tenir bon ! Jai tenu comme je le pouvais, cela ma paru interminable, puis il a fini par se lasser de ce petit jeu et jai dû le satisfaire autrement, en léchant longuement ses couilles, comme il dit, son périnée, en jouant du bout de la langue et des doigts avec son « trou du cul », selon son expression imagée, avant de reprendre sa queue tendue en bouche et de bien lhumecter à sa demande. Il ma retournée, mise à quatre pattes sur le tapis comme on manipule un objet.
« Tu vas te faire enculer, ma poule, et te faire défoncer le cul ! Alfred et popaul vont soccuper de toi et de ton petit cul. Je sais que taimes cela ! Tu vas couiner !»
-« Oui, monsieur! »
Je voulais lui faire plaisir, il pouvait tout me demander et sa vulgarité constituait un puissant facteur dexcitation. Quand on me parle ainsi, maintenant je le sais, je perds toute retenue. Je deviens une vraie chienne.
Il a claqué ma fesse droite et jai hurlé de douleur. Il a raclé sa gorge et craché sur mon anneau, il a positionné son sexe tandis que de mes deux mains, jai écarté mes fesses pour éviter de souffrir trop.
Jessayais, en même temps, de dilater mon orifice, de ne pas résister. Il y a introduit deux puis trois doigts, les a fait tourner sans douceur pour dilater et lubrifier mon anus, puis satisfait de son uvre, il sest enfoncé en moi dun coup de rein, sans ménagement.
De temps en temps, il me claquait les fesses. Jai crié de douleur à chaque coup tant cela me faisait mal, ce qui la bien fait ricaner.
Il a fini par jouir après plusieurs violents, douloureux et derniers coups de reins, pour me finir, selon son expression, et jai senti sa semence couler en moi comme une délivrance chaude et humide. Cétait bon !
Jétais épuisée, cétait fini, enfin ! Je me suis écroulée sur les avant-bras, le front contre le tapis, épuisée, la bouche ouverte pour reprendre ma respiration. Des spasmes nerveux secouaient mon corps. Alfred ma laissée quelques instants dans cette position, puis il a relevé ma tête et ma fourré sa queue dans la bouche. Je lai sucée.
Il ma remis à quatre pattes comme un pantin et a méticuleusement filmé mon anus qui devait être encore bien dilaté et ma fente, en un long gros plan. Il a ensuite filmé mon corps meurtri, exigé que je me mette sur le ventre puis sur le dos, que jécarte ma vulve de deux doigts en fourche afin de bien mettre les pinces en valeur et ne rien omettre, puis il a filmé mon visage en gros plan. Je devais être décomposée, mais jai tenté de faire bonne figure. Javais hâte de voir ce film ! Il a exigé que je marche à quatre pattes dans la pièce. Il me filmait.
Les deux pinces pendaient entre mes cuisses zébrées de traces rouges et bleues. Je faisais selon son désir pour le satisfaire.
« Taimes ça, pas vrai ? Va falloir que jachète une laisse et un collier pour la prochaine fois! On va encore bien samuser, tu verras !»
Il a ri de cette idée, puis, à son habitude, son film terminé, et alors que jétais toujours à quatre pattes, il ma demandé de dégager, dun mot, sans même dire sil était satisfait ou pas de ma prestation. Cest incroyable, mais jétais déçue de son silence! Jattendais donc quil me remercie ou bien ?
A cet instant, jai mesuré à quel point jétais complètement hors du coup.
Javais été livrée à une brute, à un dingue, cest tout ! Et il avait bien profité de moi et de mon tempérament de soumise pour satisfaire son sadisme. Je me suis habillée devant lui comme jai pu. Il ma regardée faire dun air goguenard. Cela lamusait de me voir me contorsionner et grimacer.
Il a voulu que je replace les pinces sur le bout de mes seins. Devant lui, je lai fait en gémissant, puis jai rangé mon soutien gorge et mon string dans mon sac à main, jai difficilement remis ma robe et mon manteau tant javais mal, avant de sortir et de remonter dans le taxi pour rentrer chez moi.
Masseoir a été douloureux. Jétais déchirée, écorchée, mais, finalement, fière davoir surmonté cette épreuve. Jai remarqué que le vieux Schuller organisait tout de manière très précise. Lui, au moins, me suis-je dit, il ne me fait pas mal ! Enfin, pas vraiment. Ses coups de tapette ou de cravache mexcitent et me chauffent le cul, tout au plus. Ses pinces me font mal, bien sûr, mais pas autant que celles-ci que je portais encore.
Une vingtaine de minutes après, jétais chez moi et je me suis immédiatement déshabillée pour retirer les pinces, prendre une douche, me laver la bouche et les dents et, finalement, tenter deffacer toutes les traces de cette soirée particulière. La douche fût très douloureuse et je me suis tamponnée le corps avec une serviette de toilette très douce pour le sécher sans trop souffrir. Je venais de revêtir mon peignoir en soie, le plus léger, quant la sonnette a retenti.
Je nattendais personne ! Le fol espoir quArnault soit là mest venu à lesprit!
Je me suis dépêchée douvrir la porte. Bien évidemment, ce nétait pas lui, mais Lydie, une masseuse chez laquelle je suis allée de temps à autre et qui, je le sais, a le béguin pour moi.
Elle doit avoir environ 35 ans et pourrait être vraiment très attirante si elle faisait un peu defforts pour shabiller autrement quen petit mec négligé.
-« Bonsoir, Lisa ! On ma demandé de venir chez toi pour te soigner le dos après, ma-t-on dit, quune activité un peu spéciale y ait laissé des traces ! »
Je lai laissée entrer puis elle a sorti une bouteille de jus de fruit de son sac.
« Voilà un jus hyper vitaminé qui va te faire du bien ! En le buvant, tu vas prendre ces cachets : un myorelaxant, un décontractant et un antalgique puissant pour aider ton corps à combattre la douleur ! »
Je lai remercié, jétais quasi absente et jai pris ces médicaments en buvant le jus quelle moffrait. Ensuite, elle a sorti deux baumes différents pour soigner ma peau.
« Bon, voyons un peu ce quils tont fait ! »
Elle a ouvert mon peignoir et regardé ma poitrine et mon ventre, avant de palper délicatement et attentivement mes seins, les mamelons tuméfiés, la peau zébrée par les coups de martinet.
« Bon, je mattendais à pire, cest spectaculaire mais ce nest pas trop grave et ces deux baumes vont traiter cela en atténuant la tuméfaction et en régénérant la peau. »
Elle a pris la première pommade et, très doucement, en a enduit chaque trace de lanière sur mon ventre et ma poitrine. Elle a ensuite appliqué cette pommade sur mes tétons et le galbe de mes seins, le plus doucement possible car cela me faisait très mal.
« On va attendre un peu que ce baume pénètre bien, puis on appliquera le deuxième et après, on soccupera de ton dos ! »
Jétais épuisée et je me laissais faire. Elle ma servi un nouveau verre de jus de fruit, puis a appliqué la deuxième crème sur ma poitrine et mon ventre. La sensation de brûlure sest atténuée un peu.
« Viens on va aller dans ta chambre, tu retires le peignoir, tu te mets sur le ventre et tu ne bouges pas parce que là, il y a plus de travail ! Avec ce que je tai donné, tu vas te relaxer et peut-être même tendormir ! Je vais faire mon boulot et je refermerai la porte derrière moi en partant ! »
Je ne disais plus rien, jétais comme dans du coton ! Sa main enduite de baume a parcouru mes épaules et mon dos, le creux de mes reins.
Parfois et malgré la douceur de ses gestes, elle déclenchait en moi une sensation de douleur. Lydie en tenait compte et sappliquait à être encore plus douce.Elle a parcouru mes fesses et mes cuisses zébrées de coups de lanières et sa main douce ma fait enfin relâcher toute la tension musculaire et nerveuse accumulée. Sa main a très délicatement traité mes fesses meurtries et les a légèrement écartées pour enduire également la zone anale et le périnée meurtris car je lui avais dit tout ce que javais subi, sans rien lui cacher. La sensation de froid de cette pommade et la douceur de son toucher mont fait instinctivement réagir et jai bougé mes fesses tant cela était agréable.
« Ca fait mal ? »
-« Non, au contraire, ça me fait du bien ! »
« -Tu veux que je continue un peu ? »
«- Oui, sil te plaît ! »
Son doigt, à nouveau enduit de cette douce pommade, est venu traiter cette zone sensible et mon bassin bougeait de plaisir sous cette caresse. Elle a continué quelques instants et jai senti son doigt effleurer mes lèvres et ma fente meurtries, pour les soigner, elles aussi.
Je me laissais faire, cétait si bon, si doux. Elle a dégagé sa main, ma recouvert le dos, ma souhaité bonne nuit, puis elle est partie et mindiquant quelle serait de retour chez moi le lendemain à 14h pour voir lévolution de mon état. Je me suis endormie rapidement et mon sommeil a été profond. Je ne me suis réveillée que le lendemain vers midi. Je navais pas du tout envie de me lever. Ma main sétait nichée contre ma vulve. Mon doigt sy est introduit et je me suis fait plaisir en me repassant le film de tout ce que javais vécu ces derniers temps.
Je me suis finalement levée vers 13 h pour boire un thé et me laver le visage, me maquiller un peu aussi pour effacer les dernières traces de mes activités de la veille.
Un message dArnault ! Il était super fier de moi et avait hâte de me retrouver et de me serrer dans ses bras. Les larmes me sont montées aux yeux. Il me manque tant ! (à suivre)
