J’ouvre les yeux.
Le soleil perce à travers les volets. Quelques rayons téméraires ont traversé le barrage et imprime en ombre chinoise des formes sur le mur taupe. Je jette un rapide coup d’il au réveil. Il est 6h58. Dans deux minutes le réveil sonnera et annoncera le début de ma journée.
A ma droite la couette est ouverte laissant un vide de son coté du lit, les draps plissés et défaits.
Je jette un il autours de moi et parcours la pièce du regard.
Notre chambre est grande, belle, meublée avec beaucoup de gouts. J’y ai veillé personnellement. La porte de la salle de bain est fermée et aucun son ne me parvient
(..6h59..)
..aux oreilles.
Je fais le planning de ma journée dans ma tête. Déposer les enfants au lycée, faire les courses pour le repas, préparer le repas, passer à la mairie pour le permis de construire de notre nouvelle maison, emmener ma voiture au garage puis la réunion des parents d’élèves en fin de journée.
Une montée de stress accompagne ma réflexion, j’ai beaucoup à faire aujourd’hui et il va y avoir du sport.
Et si je restais au lit, procrastiner, repousser à demain ou à jamais. La maison attendra, la voiture également et je n’aurai qu’à prendre à emporter. Les enfants sont grands ils n’auront qu’à se débrouiller.
Comme un couperet qui tombe, la sonnerie du réveil retentit. Claire, sans écho, j’entends ce bip bip frénétique annonciateur du début de journée, tel le pistolet annonçant le début de la course et libérant les coureurs. Ma main s’abat sur le bouton stoppant ce bruit assourdissant. Je me relève et me frotte les yeux. Mes jambes passent sur le côté du lit et mes pieds vont à la rencontre du marbre froid. Marbre que j’ai choisi il y’ a 7 ans lorsque nous avons fait construire cette maison cossue de la banlieue parisienne. J’avais porté une attention particulière à cette chambre, comme une forteresse inviolable nous protégeant de toute agression extérieure.
Comme cette époque me semble loin. C’était le temps de l’insouciance, de la naïveté. La réalité vous rattrape de plein fouet et vous met une belle claque dans le visage. Je laisse pendre mes cheveux devant moi alors que mes yeux recherchent mes chaussons molletonnés et me laisse aller à un songe.
Je vis avec mon mari depuis 18 ans. Nous avons deux beaux enfants, une belle maison.
Lui est entrepreneur, il a monté sa boite très jeune et très jeune il a cartonné. Réussite fulgurante, croissance exponentielle et bénéfices importants.
Nous nous sommes rencontrés alors que nous étions encore au lycée. Ce fut l’amour au premier regard. Je l’ai un peu fait poireauter je dois l’admettre mais je sortais à peine de ma première relation avec un garçon.
J’avais détesté être avec lui. Je l’avais fait car encouragé par mes copines. Il était égoïste, égocentrique et grossier. Notre histoire n’a pas duré longtemps mais a suffi à me vacciner des hommes.
Lors de notre première rencontre, J’ai surtout aimé sa gentillesse. Il était doux, prévenant. On l’aurait dit sorti d’une autre époque. Alors que tous les garçons jouaient au badass, lui en venait encore à me tenir la porte et à s’intéresser à moi. Il pouvait m’écouter parler des heures de choses et d’autres.
Il était beau. Brun, des yeux d’un bleu glaçant mais chauds à la fois. Un corps svelte, bien dessiné. J’apprendrais par la suite qu’une belle bite trône en bas de ses abdos. Intelligent, très intelligent. Parfois on pouvait presque entendre les rouages tourner dans son esprit alors qu’il discutait au sein d’un groupe. Il calculait en permanence, analysant chaque mot, chaque syllabe. Il savait se montrer réfléchit par moment et impulsif par d’autres. Il avait le don de vous retourner le cerveau en quelques secondes vous faisant perdre complètement pied.
J’ai attendu 6 mois avant de le laisser m’embrasser, 6 mois de tortures pour moi. Je craignais de le voir filer, craignais qu’il se lasse. Mais chatte échaudée craint l’eau froide et j’avais décidé de tenir bon.
Notre premier baiser fut quelconque, maladroit, hésitant pas au point. Mais nous étions ensemble. Je pouvais voir dans les yeux de mes rivales la jalousie et le mépris à mon égard. Elles lui tournaient autours telles des rapaces depuis bien trop longtemps, mais dorénavant il était à moi. J’adorais l’embrasser, il m’a appris à le faire. M’a montré de sa langue les caresses à prodiguer. Je l’embrassais partout, sur un banc, dans le métro, au cinéma, dans sa voiture. Des heures à se peloter, ses mains qui ébouriffent mes cheveux, sa langue qui fouille ma bouche, la chaleur moite de la voiture teintant les vitres de buée. Sa main qui s’insère dans ma culotte à la recherche de mon clitoris gonflée.
J’étais vierge à l’époque.
Notre première baise par contre fut magique. Il prenait les choses en main. Je n’ai eu qu’à profiter du voyage. Il m’a léché pendant longtemps faisant monter en moi une excitation sans pareille. Et alors que j’étais au bord du précipice, prête à me laisser tomber dans l’immensité d’un orgasme, il m’a pénétrée pour la première fois. Sa bite était belle, grosse et forte. J’en voyais une pour la première fois mais je su qu’elle était spéciale, faite pour moi, comme moulée sur ma chatte. Alors qu’il s’enfonçait délicatement en moi, perforant mon hymen pour la première et dernière fois, une vague de douleur me parcourait. J’avais chaud, j’avais froid, j’étais remplie. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil.
Sa bite allant et venant dans ma chatte, la douleur fit place à une vague de chaleur dans mon ventre. Petit à petit la sensation désagréable s’estompait remplacée par la déferlante chaude. Mes mains pinçaient et raclaient son dos musclé. Il était beau, il était puissant, et il me pilonnait avec tendresse. Mon premier orgasme fut un choc, un choc sourd et puissant. Un direct du droit en pleine figure suivant d’un puissant coup de poing dans le ventre. J’étais emporté par le plaisir. Mon esprit divagua, mon cerveau cessa de fonctionner. J’avais du mal à retrouver mon souffle, les muscles de mon bas ventre contractés au maximum, un cri de douleur s’éjectant hors de mes lèvres.
Il m’a fait aimer la baise. J’avoues ne jamais avoir été portée sur la chose, mais avec lui c’était différent. Il a été pédagogue. Il connaissait tous sur tous. C’était sa première expérience sérieuse à lui aussi mais il avait cet instinct animal lorsqu’il baisait. Il trouvait toujours de nouvelles choses à expérimenter, certaines bonnes d’autres moins. Il m’a montré comment le sucer, m’a montré comment me caresser, comment le caresser. J’adorais lécher sa pine comme une glace un jour de canicule, lécher son gland, absorber ses boules.
Nous sommes devenus inséparables, et s’ensuivit le classique mariage, bébé, maison.
La vie n’a pas été clémente avec moi depuis ces 18 ans. J’aime mon mari et il m’aime j’en suis sure mais malheureusement nous n’avons pas échappé au premier adultère de monsieur, à la routine quotidienne et à sa seconde incartade avec sa collègue de travail qu’il croit avoir réussi à me cacher.
Je suis devenue la parfaite desperate housewife. Docile mais avec du chien, belle, qui sent bon et qui tient sa maison d’une main de fer.
Je garde un il sur mon mari même si depuis quelque temps j’ai le sentiment que sa famille a pris une place importante dans sa vie. Il me regarde avec amour, parfois même avec envie lorsque j’enfile mes dessous.
Notre vie en apparence parfaite, cache un profond malaise. Nous avons tous ce que nous désirions, une belle carrière, une réussite manifeste. Mais je lui en veut.. J’ai tout accepté pour lui, tout enduré, mais j’ai tout de même été trompée.
J’avoue avoir eu beaucoup de mal à m’en remettre mais j’ai finalement réussi à ranger cet épisode douloureux de ma vie dans un coin de ma tête, loin avec mon père et mes cauchemars de petite fille.
J’enfile mes chaussons et me lève dans un mouvement félin. Je laisse glisser les bretelles de ma nuisette en satin bleue alors que je me dirige vers le grand miroir adossé au mur de la chambre. Elle tombe au sol et je l’enjambe sans même m’en rendre compte.
Je suis grande, brune, la peau légèrement mate. Ma taille est fine et mon ventre plat. J’ai deux beaux seins bien ronds et fermes ni trop gros ni trop petits comme je l’avais demandé au chirurgien. La cicatrice ne se voit même pas. Je fais un petit tour sur moi-même jetant un il à mon petit cul, bien ferme et rebondit. Mes jambes sont longues et fuselées, lisse et bien épilées. Je contracte les muscles de mes fesses que je passe des heures à modeler avec mon coach. Je me tiens sur la pointe des pieds. Je suis superbe et je le sais maintenant. En dessous de mon nombril, une fine bande de poil noirs surmonte deux petites lèvres symétriques. J’ai une belle chatte d’après mon mari, il semble adorer passer sa langue dessus et aspirer mon clitoris alors que j’emprisonne sa tête entre mes jambes.
Je me dirige vers les douches et je saisis une serviette que je pose devant moi. Je laisse l’eau couler, chaude et moite, et m’introduis entre les parois de verre. Elle ruisselle sur mes cheveux, se frayant un passage sur mon visage, coulant le long de mes seins, faisant perler des goutes sur mes tétons. Je reste immobile un instant sous le déluge brulant.
Depuis quelques mois, nos ébats se font plus rares. Aucune femme n’est en cause je le sais, mais notre quotidien est devenu morne. Mis à part quelques diners entre amis, et quelques sorties entre nous, chaque jour se ressemble. On parle du grand méchant Quotidien.
Chaque matin mon époux se lève à 6h pour son entrainement de tennis. De retour à 8h nous nous voyons à peine alors que je quitte la maison pour accompagner les enfants. Un rapide bisous et voilà ce qu’il reste de notre passion. Un SMS par ci par là dans la journée, souvent pour demander quelque chose, puis nous nous voyons le soir. Nous dinons, nous racontons notre journée, puis au lit. Parfois il me caresse et nous faisons l’amour, parfois non et nous nous endormons.
J’ai vécu de la sorte plus de 18 années.
(les deux premières étaient passionnées et intenses)..
et j’ai accepté tous ces caprices, toute ses lubies. Il a su obtenir de moi ce qu’il voulait, et j’ai eu plaisir à lui donner. J’aime mon mari, j’aime mes enfants et j’aime ma vie. Ma famille est tout pour moi.
(cependant).
mais je commence à penser à moi.
Merde il m’a fallu 18 années pour penser à moi, prendre soin de moi. J’ai repris le sport, étoffé ma garde-robe. Moi d’habitude si peu confiante, je commencé à soutenir le regard des hommes et des femmes qui m’observent. Il m’arrive même de fantasmer.
(et je me masturbe frénétiquement à l’aide de mon vibromasseur les jambes écartées sur le lit, augmentant l’intensité au maximum jusqu’à atteindre un violent orgasme).
sur certains parfois.
J’ai toujours eu le contact facile, et maintenant que je m’ouvre aux autres, un nouvel horizon se présente à moi. Je ne compte pas tromper mon mari, mais aie décidé de plaire. Dorénavant j’aime plaire. J’ai décidé que j’avais le droit de rêver, de fantasmer, d’être désirable.
Alors que cette pensée traverse mon esprit, ma main savonne mon ventre et descend doucement vers ma petite fente. Oui j’ai décidé de plaire, de me montrer femme, peut-être même chienne. De montrer à un homme que je le tiens par la queue, qu’il est à ma merci.
Ma main se fait plus pressante sur ma chatte. Elle caresse délicatement le clitoris qui semble lui aussi un peu endormis. Les gouttes d’eau glissent sur ma peau et semblent toute converger vers mon sexe déjà bien humide. Je repense à cet homme que j’ai aperçu à la terrasse d’un café en début de semaine. Il n’a cessé de me dévorer du regard. Il faut dire que j’étais particulièrement sexy ce jour ci. Une jupe moulante, une chemise cintrée blanche laissant entrevoir la raie de mes seins. Je jouais avec la paille de mes doigts mimant une branlette qui avait dû le rendre fou. Je n’avais aucune envie d’aller plus loin raison pour laquelle je ne lui ai pas donné mon numéro quand il me l’a demandé.
La frustration que cet homme a dû ressentir m’avait tout excitée. En rentrant chez moi par la suite je m’étais jetée sur mon gode comme une affamée l’enfonçant au plus profond de ma chatte pendant que mes doigts caressaient mon clito.
Ma branlette se faisait plus intense et je sentais le plaisir monter en moi. Mes jambes tremblent à m’en faire perdre l’équilibre. La vague de chaleur monte de plus en plus arrivant au niveau de mes joues. Plus que quelque seconde et je vais jouir. Je ferme les yeux avec force et imagine l’homme qui me prend à même la table de la terrasse devant tous les autres clients ébahis. Il me baise comme un fou et je hurle mon plaisir. Alors que cette image est imprimée dans mon esprit, la porte de la salle de bain s’ouvre à la volée. Mon mari vient de rentrer.
« Putain je l’ai mauvaise, Antonio a annulé au dernier moment mon cours, j’ai perdu une heure pour rien »
J’interromps ma masturbation, son irruption dans la pièce me calme immédiatement. Mon orgasme ne sera pas pour maintenant, je l’ai sur le bout des lèvres. Il n’a pas dû se rendre compte de ce que je faisais car mon corps était caché par la paroi pleine de buée.
« Laisse l’eau couler » me dit-il alors qu’il se déshabille et me remplace pendant que j’enfile une serviette que je coince au niveau de mes seins.
Il rentre dans la douche et je sors de la salle de bain pour m’habiller. Je pénètre dans notre dressing pour y trouver une tenue. Je laisse mes doigts glisser sur la soie, le cachemire et la dentelle de mes habits. Une grosse journée certes mais aucune raison de ne ressembler à rien. J’attrape à la volée un pantalon taille haute gris que j’associe à une chemise blanche rentrée que je coincerai dans la ceinture. Celui-ci montant très haut sur ma taille il met en valeur mon cul de manière incroyable. Je prends un ensemble de lingerie en dentelle verte. Un tanga pour le bas et un soutif pour le haut. J’enfile la parure et fais un tour sur moi-même. Le vêtement épouse ma silhouette à la perfection, mon cul est mis en valeur et mes seins semblent être deux bonbons dans leur papier.
Je regarde le réveil et me rend compte qu’il est presque l’heure d’y aller. J’enfile à la hâte le reste de ma tenue et descend préparer le petit déjeuner. Je m’active rapidement pour coordonner le tout. Je réveille les enfants et leurs préparent leur déjeuner.
Trente minutes plus tard nous sommes prêts à partir. J’enfile mes escarpins noirs ainsi que mon trench. J’attrape les clefs de ma voiture dans le bol réservé à cet effet prêt de la porte. Mes talons claquent sur le sol emplissant la pièce d’un son net et resonnant. Mon mari apparait à cet instant et me fait l’honneur de son premier baiser de la journée.
(le dernier aussi, il doit inspecter un de ses entrepôt à Lille)..
. alors que j’ouvre la porte aux enfants. J’embarque tous le monde dans le nouveau 4X4 que mon mari..
(qui devait se sentir coupable d’avoir sauté sa collègue pendant que j’attendais à faire bobonne à la maison)..
.m’a offert.
La journée démarre sur les chapeaux de roue. Je gare ma voiture à proximité de l’école, dépose les enfants en les couvrant de baisers.
(vous êtes tout pour moi mes chéris).
en profite pour dire bonjour à quelques mamans et papas habitués
(qui matte, mon superbe cul moulé, sans vergogne)..
.des lieux, remonte dans ma voiture, file vers le marché ou je passe environ 1h à faire mes emplettes. J’emporte mon butin vers la maison. Assise dans la voiture, premier moment de calme de la journée, je me trémousse sur mon siège. Je repense à ma branlette de ce matin et à la frustration que je ressens depuis lors. Si seulement il était rentré 15 secondes plus tard il m’aurait surpris en pleine extase, mais j’aurai au moins eu le loisir de jouir. A cette pensée je sens ma fente s’humidifier légèrement sans que je ne puisse rien y faire. Je monte le volume de la radio et accélère un bon coup. Le monstre que je conduis bondit d’un coup me rapprochant de notre chez nous à grande vitesse. Je me gare et entre chez moi, un coup d’il à l’horloge du salon m’indique qu’il est déjà 10h30. Je range les courses et lance mes préparations.
Une heure plus tard tout est emballé dans le frigo et je peux m’octroyer 10 minutes pour souffler.
J’ai RDV avec mon coach à 12h15 pour ma séance quotidienne. Je me fais un café et me saisit de mon paquet de cigarette. Le fait rouler la roue du briquet qui enflamme le gaz. J’approche la flamme du tabac qui s’embrase alors que je tire sur la cigarette. La première taffe me donne le tournis. J’en exalte l’arôme épicé et souffle la fumée hors de ma bouche. Je ferme les yeux et revois ma main caresser ma fente trempée, agacer le clitoris, pincer mon téton. Je termine ma clope et je me change.
Un leggin, une paire de basket et une brassière complète ma tenue. Je me presse pour arriver à l’heure.
La journée défile, séance terminée, je rentre me doucher, me rhabille, prends une collation et déjà il est 14h. Je suis en retard pour la mairie.
Je me dépêche comme une folle, courant jusqu’à ma voiture, démarrant en trombe, grillant un stop.
Lorsque j’arrive on m’informe que mon RDV a été pris et que je dois attendre jusqu’à 16h. Le RDV au garage est foutu et je les appelle pour les en informer. Je passe récupérer les enfants au lycée et les ramène à la maison.
Une douce fraicheur règne dans le salon. La maison est propre et fraiche, cette femme de ménage est vraiment une perle je dois veiller à ne pas la laisser filer.
Mon mari n’étant pas là ce soir, je laisse les monter dans leurs chambres pendant que je retire mes chaussures. Il me reste 30 minutes avant que je me rende à la réunion. Je suis très attentive à l’éducation de mes enfants, et leurs comportements à l’école est primordial pour moi.
Je monte dans ma chambre pour me changer. La journée a été longue et la fatigue se sent sur mes vêtements.
Je jette négligemment ma chemise ainsi que mon pantalon au loin.
Je me regarde dans le miroir. Je suis toujours aussi belle, les cheveux tombant sur mes épaules, lisses et noirs profonds. Mes yeux sont noisettes mais mon regard est intense, comme ceux d’une chatte.
Je dégrafe mon soutiens gorge et change également de dessous. J’opte pour un ensemble rose pâle en dentelle. Cette fois ci le bas est un string, et la ficelle épouse mon cul avec délicatesse. Je me trouve sexy, extrêmes désirable. La sensation du tissu sur ma fente titille mes sens, mon excitation revient à la charge mais pas de temps à perdre, je ne peux me mettre en retard une seconde fois. J’enfile un jean bleu délavé et une chemise rouge en satin que je laisse entrouverte sur le dessus, pas trop mais bien assez pour apercevoir le sillon de mes seins. Je choisis une paire de botte noire avec des talons de 10 cm. Le jean compresse mon petit cul et les botes le galbe me faisant des fesses de rêve.
J’attrape à la volée une veste en cuir et me précipite vers l’extérieur. Il est déjà 19h et je devrais déjà y être. 15 minutes plus tard je gare ma voiture en me précipite le plus rapidement possible vers le lycée. Alors que j’accélère le pas, je sens mon talon se tordre légèrement et ma cheville le suivre dans un mouvement similaire. Je m’étale de tout mon long, mon sac volant devant moi et vidant son contenu sur deux mètres. Je lève la tête et aperçois un mocassin en cuir marron dans ma direction. Les pas se rapprochent et une main se tend vers moi, une belle main, de beaux ongles et des doigts longs et fins. Je la saisis alors qu’elle m’aide à me relever, elle est douce.
Je remonte lentement de la main vers le haut, la manche d’un manteau en cachemire noir, remonte bien au-dessus de moi. Je dois lever la tête pour apercevoir le visage de mon sauveteur. Pendant une seconde je suis surprise, mis à part la mâchoire et les cheveux, cet homme ressemble étrangement au mien. Yeux bleu acier, cheveux bruns, même taille et même carrure.
Un sourire se dessine sur sa bouche
« Tout va bien » me demande t’il.
« oui, oui parfait ,j’ai juste trébuché merci », je lâche sa main
(si douce, qu’elle est douce).
ramasse mon sac et son contenant et lui dis à nouveau merci alors que je m’éloigne en trottinant. Bien évidemment je suis en retard et bonne dernière, ce qui veut dire pas sortie avant 21h. A l’intérieur de moi je bouillonne mais rien n’y parait. Tous cela me semble interminable mais touche finalement à sa fin.
Enfin, ma dernière prof vue, je peux rentrer chez moi dans l’espoir de me relaxer. Il fait nuit noire dehors et ma voiture est la dernière sur le parking. Je la déverrouille à distance et m’engouffre à l’intérieur. La clé enfoncée je la tourne pour démarrer. Rien ne se passe, je tente ma chance à nouveau, toujours rien.
C’en est trop, mes mains s’abattent violement sur le volant. Les portes closes je hurle à moi-même ma frustration. Mes mains me brulent, elles sont rouges.
Soudain on toque à la vitre, c’est l’homme qui m’a relevé. Je l’observe et le découvre pour la seconde fois. Il est beau, ses yeux semblent capables de parler. J’ouvre la fenêtre alors que je vois ses lèvres s’activer de l’autre côté.
«.vous aider, je pense être capable d’identifier le problème »
Je lui laisse la place, il déverrouille le capot et entreprend d’y jeter un coup d’il. Il retire son manteau qu’il pose sur le siège conducteur. Sa carrure est comme je l’avais imaginée, ses épaules sont larges et ses bras épais. Il respire la puissance sans que cela soit trop excessif. Je le vois remonter sa manche et la coincer à la hauteur du coude. Alors qu’il plonge ses mains dans le moteur à la recherche du dysfonctionnement je vois ses avants bras se contracter et je les imagine serrer une belle queue en la faisant coulisser de haut en bas.
Penché en avant, son pantalon moule ses fesses.
Elles sont rondes et fortes, je mate ce cul sans ménagement.
« Il semblerait que ce soit le joint de culasse » me dit-il en me sortant de ma torpeur. Me reviens en mémoire la voix du garagiste m’ordonnant de venir dans les plus brefs délais avant-hier. Bien fait pour moi, je suis bonne pour rentrer en taxi. J’explique alors à l’homme que je le sais et que la dépanneuse remorquera la voiture dès demain. Il ferme le capot, remonte ses manches et jette son manteau sur ses épaules. Il est gracieux, comme un félin, le bas de son manteau vole dans un ballet maitrisé. Son regard se dirige vers le mien et surprend mes yeux dans leur contemplation.
Il est beau, c’est indéniable, quelque chose de plus même, une beauté arrogante, il aime posséder, rien ne lui résiste j’en suis sûre.
Je sors mon téléphone pour appeler un taxi, sa main se pose sur l’écran et saisit la mienne.
« je peux bien vous raccompagner, c’est la moindre des choses pour une belle femme comme vous» me dit-il.
(et pourquoi pas ?)
« avec plaisir » je m’entends lui répondre.
Sa voiture se trouve un peu plus loin et nous marchons silencieusement. Le claquement de mes talons emplit l’atmosphère et résonne dans le parking. Il déverrouille à distance une grosse berline noire et allemande.
(beau et riche)..
et me précède pour m’ouvrir la porte. J’aime les hommes galants, j’ai toujours eu un faible pour eux.
Alors que je passe devant lui, je sens qu’il hume mon parfum qui s’échappe de mon cou. Il ferme la porte et fait le tour du véhicule. Je sens le moteur vrombir et nous nous regardons tous les deux en souriant.
« voila ce qui est censé se passer » me dit-il en rigolant. J’aime cet humour, le même que mon mari.
Nous roulons. Je suis confortablement installé sur le siège en cuir. J’ai gardé ma veste entrouverte sur ma chemise. Mon souffle gonfle ma poitrine, laissant entrevoir très nettement la lisière de mon soutif rose pâle. En m’asseyant, j’ai légèrement remonté ma jupe jusqu’au milieu de mes cuisses. Je sens la brise du chauffage s’immiscer en dessous et aérer ma culotte. La tournure des évènements commence à me faire cogiter et la frustration de ma branlette avortée se fait soudainement sentir.
Petit à petit je sens mon string s’humidifier.
Je l’imagine devenir transparent de mouille et gluant de désir. Ma chatte commence à me démanger mais je ne peux pas bouger le petit doigt. Je surprends quelques coups d’il de mon chauffeur en direction de mes jambes. A chaque changement de vitesse sa main frôle ma jambe, me faisant frissonner. J’en viens à l’imaginer s’aventurer sur ma cuisse, remonter le long de mes jambes, passer la barrière du string et m’enfoncer sans ménagement 3 doigts dans la chatte m’arrachant un orgasme fulgurant.
Ma culotte est définitivement trempée et je prie pour que l’homme ne s’aperçoive de rien. Mes tétons, retenus par le soutif, pointent dur et fiers. Heureusement nous arrivons, je vais enfin pouvoir me soulager.
L’homme coupe le contact et sort pour m’ouvrir la porte.il me tend sa main pour la seconde fois de la journée et m’aide à me relever. Comme un comique de répétition mon talon casse cette fois ci, me faisant tomber lamentablement en avant. L’homme me réceptionne de ses bras puissants et empêche ma chute. Je suis collée à son torse, ses bras puissants m’entourent. Je devine ses pectoraux musclés et taillés, ainsi que ses abdos durs. Il ne porte aucun parfum mais respire le mâle, l’homme dans toute sa splendeur, fort, conquérant fier de son odeur, diffusant ses phéromones tout autour de lui. Nous restons à nous fixer quelques secondes.
Ses yeux plongent au fond des miens, ils m’hypnotisent. Je sais qu’il me désire, je le vois aller de ma bouche à mon regard, de ma bouche à mon regard. Il est beau, il m’excite. Je sens ses bras resserrer leur étreinte autours des miens. Nos respirations s’intensifient et se synchronisent. Son souffle est chaud mais le mien est brulant. Nos bouches se rapprochent l’une de l’autre comme aimantées. Mes lèvres se font sèches, elles sont gonflées, luisante, mais sèche, fendillées comme gercées. La bouche de cet homme n’est plus qu’à quelque millimètre de la mienne. Son haleine est fraiche, sa bouche sensuelle. En une poussée les voici soudées. Une explosion survient dans mon cerveau, le désir m’emporte. Nos langues se découvrent, elle est douce mais impose sa volonté. Elle happe la mienne avec autorité. Nos salives se mêlent et nos lèvres s’aspirent l’une et l’autre. Ses mains descendent le long de mon dos et se saisissent de mes fesses et.
(prends les, pétris les , plus fort, ouiiiii)
je ne résiste pas.
Je caresse son torse et sent la forme de ses pectoraux.
(musclés comme je l’imaginais).
puis de ses abdos. Il a un corps de dieu grec. Ma main continue à s’aventurer plus bas et passe sur la zone de son sexe. Il bande, sa bite a l’air grosse comme je les aime. Dans ma fente c’est le déluge, ma chatte est à présent inondée, mes joues me brulent, ma bouche est scotchée à la sienne. Un bruit de succion accompagne nos baiser.
Ses mains sont passées sous l’arrière de mon jean. Il les a saisis à travers traversant la dentelle. Le contact de ces mains douces sur mon cul est incomparable. Je ne connais pas cet homme et le voici qui me masse le cul en pleine rue. Ma main suit son exemple, je la passe entre la ceinture et la chemise et la plonge dans son boxer.
(pas de boxer..)
.. pour saisir sa queue. Elle est douce, elle est grosse, elle est lisse. Ma main caresse sa queue bandée comme un arc. Il laisse échapper un soupir. Ses mains se retirent de mon cul et l’une vient saisir un de mes seins, il le malaxe, le presse, j’ai même l’impression qu’il va délaisser ma bouche pour le mordre à pleine dents. Sa main gauche s’aventure sur le devant de mon jean et entreprend de défaire le bouton.
Je stoppe sa main et me libère de son étreinte. Nos bouches se décollent telles deux ventouses. Mon nez est rouge et sa bouche trahit un baiser volé, mon rouge à lèvre bien imprimé sur ses lèvres.
Je marche à reculons, tout en le regardant dans le fond des yeux. D’un geste habile, je me baisse et me saisit de mon sac en continuant de soutenir son regard.
Ses yeux trahissent l’étonnement. Ses cheveux sont légèrement en batailles et il me regarde m’éloigner sans un mot alors que je continue de le fixer. Son étonnement fait place à un amusement manifeste. Ma bouche se fend d’un vilain sourire victorieux et mon sourcil s’arque dans une posture démoniaque. Je remets de l’ordre dans mes cheveux, remets en place ma chemise, ma main remonte sur la naissance de mes seins et je ferme un bouton supplémentaire.
L’homme se recoiffe, et nous nous faisons face à présent tels deux cowboys prêts à dégainer.
Je lui susurre un merci pour le voyage puis referme la porte de mon portail en le laissant en plan.
Je m’adosse contre le muret alors que j’entends la berline démarrer et s’éloigner rapidement.
Le salon est vide et les enfants probablement dans leurs chambres sur leurs ordis.
Je prends soudain conscience que pour la première fois de ma vie, j’ai laissé un autre homme que mon mari m’embrasser et me peloter
(ce n’est pas si grave finalement)
et je crois avoir aimé ça.
Je monte dans ma chambre et me débarrasse de mes habits. Mon sac s’étale sur le sol pour la deuxième fois de la journée, vomissant les objets qu’il contient et faisant glisse mon portable à proximité du lit.
Ma culotte est définitivement foutue, elle est collée à ma chatte et laisse entrevoir mes lèvres poisseuses et mes poils noirs. Je la retire et un filet de mouille tente de m’en empêcher. Je la jette au loin de même que mon soutif. Mes tétons sont tendus à l’extrême, mon clito extrêmes sensible.
J’ouvre un premier tiroir. J’en sors un joint que je place entre mes lèvres. J’allume une bougie à la senteur boisée et m’en empare pour allumer le pétard. La première taffe est épaisse, m’étouffe presque. Je tire une deuxième puis une troisième latte. L’effet commence à se faire sentir. Je me regarde à nouveau dans le miroir, debout, me tenant fièrement, un joint au coin de la bouche, l’excitation m’entourant comme un froid glacé. Tous mon corps y est sensible de la pointe de mes seins à la profondeur de ma chatte.
Je me dirige vers le second tiroir alors que le joint est à moitié consommé. L’excitation a augmenté, elle me martèle le minou, tambourine dans mon crâne. J’ouvre le second tiroir et prend mon temps pour faire mon choix. J’ai sous les yeux une rangée de 4 godes, deux vibrants et deux en silicone. A coté, tels des diamants, trônent 4 bijoux pour mon cul.
Je saisis un gode rose, courbé en silicone doux ainsi qu’un autre gros d’environ 19 cm en silicone transparent. Je m’assois sur le bord du lit et tire encore une taffe. Je sens que mon excitation est à son comble mais j’ai toujours aimé faire durer le plaisir. L’étirer au maximum pour en tirer une jouissance optimale. J’en ai presque mal au ventre et ma chatte coule littéralement. Je pose le joint dans le cendrier et m’installe sur le petit fauteuil dans l’angle de notre chambre. Le tissu me refroidit pendant une seconde mais mon corps est brulant et la sensation s’estompe aussitôt. Mes jambes remontent sur les accoudoirs et j’y pose l’intérieur de mes genoux.
Doucement, lentement j’allume le vibro sur mon mode de fonctionnement préféré, en continu à pleine puissance. J’ai fait durer jusque-là mais maintenant mon désir de jouir est plus fort. J’ai envie de me baiser la chatte. Le vibro tremble entre mes mains, lui aussi semble vouloir la même chose que moi. J’approche le gode de 19cm près de ma bouche et l’avale. Je bave abondamment dessus dans l’espoir de le lubrifier. J’en gobe une bonne moitié, et il ressort de ma bouche trempé, des gouttes de salives pendantes sur la base de cette magnifique queue factice.
Je rejette ma tête en arrière et ferme les yeux. J’ai dans mon esprit le visage du bellâtre à qui j’ai laissé faire ce qu’aucune autre personne n’a fait depuis mon époux. J’enfonce le gode en une poussée. Je ressens instantanément une décharge électrique. Putain je pousse un gémissement de satisfaction. Je ressens les choses 5 fois plus forte à cause du joint. Cette queue me remplit, elle est énorme, sa queue, ta queue. Il me prend avec force alors que mon poignet fait entrer et sortir la bite en silicone.
De ma main droite je pose le vibro sur mon clitoris. Il est extrêmement sensible et m’arrache un tremblement. Je me torts de plaisir. Les yeux toujours clos je vois l’homme allongé sur moi. Son visage près du mien en équilibre sur ses puissant avants bras. Sa bite fouille à l’intérieur de ma chatte avec avidité. Putain qu’elle est grosse, elle me remplit à chaque poussée.
Je suis pleine de sa belle bite, de sa bite puissante. Il s’est saisit d’un de mes seins, et je sens encore le contact de sa main qui me la pétrit. Sa bouche goutait le sexe, j’en suis sure. J’accentue la pression au niveau du vibro. L’orgasme gronde à ma porte je le sens déferler.
Alors que dans mon esprit le bellâtre me pilonne sauvagement sa main droite frotte violement mon clitoris. Je ne suis plus qu’à quelque pas de ma jouissance.
Je retire le gode de ma chatte et y jette un il, il est brillant de mouille. Sans réfléchir je le présente à la porte de mon trou du cul. Le gland est énorme mais lubrifié à l’extrême.
Je ferme à nouveau les yeux.
Je vois le bellâtre sur ses genoux qui me fait face. Il a relevé mes jambes sur ses épaules carrées. Sa bite
(Elle est belle, elle est grosse, elle est forte)
est dressée fièrement entre ses jambes puissantes. Le vibro masse encore mon clitoris avec délicatesse. L’orgasme s’impatiente, je le sens qui arrive à grand pas. Il crache dans sa main et l’étale sur son gland. Je sens la présence du gland devant mon trou alors que je me prépare à m’enfoncer le gode. La poussée est rageuse, et la queue disparait en une fois. Le bellâtre a les abdos tendus alors que sa queue explore mon fion. La/sa queue me ramone sauvagement. Je suis possédée, mon poignet s’active à une vitesse folle. Mon clito va exploser de jouissance. Mon cul se contracte dans un dernier mouvement et enserre-le gode/sa queue de toute ses forces.
Je jouis en silence. Les yeux toujours fermés je vois le bellâtre jouir avec moi, sa bite encore plantée dans mon cul rependant sa semence au fond de mes entrailles. L’orgasme est surpuissant, il me contracte tellement que mes mains ne répondent plus.
Le rythme se fait plus lent, mes mains deviennent immobiles.
Je retire le gode de mon cul et éteints le vibro. Je laisse mes mains pendre vers le sol et relâche mes jouets. Ma poitrine se soulève rapidement, ma respiration est haletante. J’ai couru un sprint.
J’attrape le joint et le rallume. Le plaisir que cette petite herbe m’a procuré est sensationnel. Je tire une première taffe et me perd dans mes réflexions. Alors que mon esprit divague, et que mon téléphone portable vibre au sol, j’aperçois le numéro de mon mari s’afficher. Je ne l’ai pas eu de la journée. Je laisse l’écran clignoter et repense au bellâtre.
Je l’imagine dans cette chambre, sur ce lit, nu et bandé, sa main astiquant sa queue, et me demande ce que je le laisserai me faire s’il était en ma compagnie en ce moment même.
Alors que le téléphone cesse de vibrer, Je me dis que j’ai envie de le découvrir.