Comme Melinda me la assuré, Luc, Heidi et Jurgen nous attendent à lentrée de lhôtel. Ils sont accompagnés du super-éjaculateur. Son copain a abandonné, les deux performances quil a assurées à quelques heures dintervalle layant visiblement fatigué.
Jurgen et Heidi prennent leur voiture et nous montons dans celle de Luc. Je ne sais toujours pas où nous allons : mes nouveaux amis semblent prendre un malin plaisir à faire durer le suspense. Assise à larrière à côté du beau black, je peux faire plus ample connaissance avec lui. Japprends quil sappelle Laurent et quil travaille comme videur dans une boîte de nuit dAgde. Il a eu beaucoup de chance de pouvoir répondre à linvitation de Melinda car cest son jour de congé, comme son pote au sexe démesuré. Le troisième, par contre, na pas eu cette chance.
— Ton boulot doit être bien sympatu dois voir défiler un sacré lot de jolies jeunes filles prêtes se faire sauter!
— Ca, cest le côté agréable. Mais nous sommes là pour assurer la sécurité des clients, et quand ça chauffe, cest moins drôle. On risque toujours ramasser un mauvais coup.
Je regrette davoir réduit son job à un rôle dagent daccueil pour nanas en chaleur. Il sen rend compte et éclate de rire.
— Tu sais, en général, je reçois plus de baisers enjoués que de coups de poing ! Cest vrai que cest le poste idéal pour dragueraprès le service, bien entendu.
— Je suis convaincue que tu sais en profiter. Pas de petite amie, alors ?
— Pas pour le moment. Intéressée ?
— Je ne cherche pas de relation stable. Mais javoue que tu as beaucoup de charme et des capacités sexuelles qui ne me laissent pas de marbre.
Il membrasse tendrement et sa main gauche se pose sur ma cuisse. Il la fait remonter lentement vers mon sexe quil caresse doucement. Cest très agréable, mais je me vois mal me consacrer exclusivement à ce garçon, si plaisant et si bon amant soit-il. Mon cerveau et mon corps sont sans cesse à la recherche de nouvelles découvertes
Quelques minutes plus tard, les deux voitures entrent dans un parking. Je jette un il par la vitre : on dirait une petite boite de nuit. Un parking pouvant accueillir une bonne centaine de voitures entoure un bâtiment en forme de bloc éclairé par des spots de couleurs différentes. Je regarde Mélissa et nos regards se croisent, car elle sest retournée pour voir ma réaction.
— Alors, ma belle, tu vois où on est ?
— Trop petit pour être une boîte de nuit
Je réfléchis un peu. Une seule idée me vient à lesprit :
— Un club échangiste ?
— Yes ! Je tavais dit quon allait séclater ! Cest le club où on est allées, Heidi et moi. Si tu veux de la bite, tu vas être servie !
Je suis en même temps surprise et en même temps satisfaite. Jai déjà fréquenté pas mal de clubs, mais celui-ci na rien à voir avec ce que je connais. Je suis plutôt habituée aux grosses villas transformées, relativement discrètes et de taille nettement inférieure à ce que je vois ici.
Laurent me demande si je suis daccord pour que nous fassions mine dêtre en couple à lentrée : il me dit que ça lui permettra de payer moins cher.
— Daccord, lui-dis, mais à une condition. Après cette nuit, je voudrais que tu néjacules pas pendant 48 heures et quensuite tu viennes me voir. Je suis curieuse de voir à quel point du peux me couvrir de ta semence.
— Ca va être difficile mais je marche. Plus pour le plaisir de tarroser que pour le prix de lentrée au club, pour être honnête.
A lentrée, le patron nous propose de passer au vestiaire pour respecter le code vestimentaire de la boite : vêtements interdits, tous et toutes en lingerie. Comme je suis totalement nue sous ma robe, je nai dautre possibilité que de me foutre complètement à poil. Melinda garde son joli string blanc et Heidi a prévu un ensemble composé dun string en dentelle bordeaux fendu au niveau du sexe et un soutien-gorge en tulle transparent de la même couleur. Finalement, avec ce genre de sous-vêtements ou complètement nue, ça ne change pas grand-chose
Nous pénétrons dans la salle principale, où se trouvent la piste de danse, le bar et des salons confortables. Un balcon surmonte la salle sur tout son périmètre et donne accès à un grand nombre dalcôves de taille et de styles divers. Je suis la seule complètement nue au rez-de-chaussée mais, comme Heidi, pas mal de femmes portent des sous-vêtements qui ne cachent rien. Les hommes me regardent, surpris et attirés : ils admirent mes gros seins et ma chatte bien lisse. Les belles femmes ne manquent pas mais ma nudité ajoute certainement quelque chose dassez érotique. Avant que je ne me jette au milieu dun groupe de quatre beaux mâles accoudés au bar, Heidi sapproche de moi.
— Je suis déjà venue ici et je my suis bien amusée. Je sens que tu veux téclater, mais jaimerais tout dabord quon aide Melinda à réaliser son fantasme. Ca ne tembête pas ?
Jai déjà baisé deux fois aujourdhui et je me dis que finalement, ça pourrait aussi me plaire de voir cette jeune salope soccuper dun groupe dhommes.
— Pas du tout. Je sens même que ça va bien mexciter : tu peux compter sur moi.
Heidi me fait un clin dil coquin. Nous sommes sur la même longueur dondes. Ce qui me plaît par-dessus tout, cest de participer à linitiation dune jeune perverse. Cest la première fois pour moi, et le fait de jouer à ce jeu en collaboration avec Heidi me convient parfaitement : on sent quelle nen est pas à son coup dessai. Combien de jeunes femmes folles de cul na-t-elle pas conduites aux pratiques sexuelles les plus extrêmes ?
Elle demande aux quatre hommes de monter avec Melinda et de trouver une alcôve spacieuse. Eux aussi ont compris. Heidi et moi nous séparons pour constituer le casting : il nous faut une douzaine de types, pas trop âgés et encore en forme physiquement. Rapidement, les hommes que nous avons branchés montent vers lalcôve devant laquelle se tient Laurent, afin de les orienter. Le nombre atteint, Heidi et moi montons à létage pour voir comment les choses se passent. Tous les hommes choisis nont pu entrer dans lalcôve. Nous nous frayons un passage et nous voyons la belle Melinda, le triangle du string plié sur le côté de son pubis, enfourchée par un homme trouvé par Heidi. Elle tient une bite dans chaque main et suce un quatrième. Autour, quatre autres hommes se branlent, attendant leur tour pour pénétrer la métisse. Jurgen et Luc sont dans lalcôve voisine, en compagnie de trois transsexuels.
— Si on ne veut pas que les autres types sen aillent, il va falloir soccuper deux, me dit Heidi en montrant les hommes qui attendent sur le balcon.
Nous les approchons et, accroupies, commençons des fellations expertes. Deux bites chacune, cest clairement à notre portée. Je me suis quand même positionnée de manière à avoir un il sur Melinda. Lhomme qui la saute sort delle, sapproche rapidement de son visage et lui balance une belle giclée de sperme sur les joues et le front. Un autre prend le relais dans son vagin. Cette première éjaculation surexcite dautres participants qui ont maintenant du mal à se retenir. Deux dentre eux éjaculent en même temps dans la bouche grande ouverte de Melinda. Les trois hommes satisfaits sortent et ceux dont Heidi et moi nous occupons peuvent entrer : Il nous est maintenant possible de profiter du spectacle. Melinda a du sperme sur les lèvres, les joues, le front et les cheveux, et ça ne fait que commencer…
Quelques petites secondes sécoulent avant quun des hommes qui attendent leur tour se colle à moi et membrasse dans la nuque. Je me retourne : cest un bel homme dune quarantaine dannées, assez élancé, que javais sélectionné en me disant que je pourrais peut-être aussi moccuper de lui. Il pousse légèrement mes épaules pour que je me penche et lui offre ma croupe. Jobtempère et il me pénètre avec une intensité rare. Il accélère le mouvement et je gémis doucement, jusquà ce quil me quitte pour aller asperger le joli minois de notre élève. Sans que jaie le temps de lui reprocher sa rapidité, un autre prend le relais. Son sexe est moins long mais plus large, ce que japprécie aussi. Melinda continue à recevoir les jets de sperme sur le visage. Sa belle peau café au lait devient invisible sous la quantité de liquide séminal. Mon deuxième amant me quitte et ajoute quelques jets puissants de sperme au cocktail déjà constitué par ses prédécesseurs. Melinda est aux anges. Sa langue lèche sans cesse ses lèvres pour récolter le foutre qui sy est déposé. Heidi a décidé de branler les mecs qui sapprochent de Melinda, afin de bien orienter leurs giclées vers sa bouche. La belle métisse hurle brusquement de plaisir, car lhomme qui la baise maintenant la pilonne tellement consciencieusement quelle a fini par atteindre lorgasme. Son cri attire dautres hommes qui passent. Du nombre fixé à 12 au départ, on va certainement passer à 15, voire 20Toujours penchée, je reçois un troisième beau chibre sans savoir à qui il appartient. Assez fin mais très long, je le sens au plus profond de moi-même, mais ce qui mexcite surtout et retient mon attention, cest notre petite Melinda, radieuse de réaliser son fantasme le plus cher. 15, 16, 17, 18. Même Heidi, qui est restée attentive à la réussite de cette première douche sur son élève, semble débordée. A force de branler les mecs, ses mains sont luisantes de foutre et elle est obligée de les lécher de temps à autre pour continuer la tâche quelle sest assignée. Après la vingt-quatrième éjaculation, le dernier homme sort et Heidi peut sasseoir un peu. Melinda se relève, souriante, passe sur son visage avec ses doigts et les lèche avec délectation. Le sperme dégouline sur ses seins, son ventre, jusquà son string. Elle me montre sa langue gluante et ferme la bouche : le mouvement de son gosier me montre quelle avale tout. Je mapproche delle et lembrasse fougueusement, tout en frottant doucement ses seins, son ventre, son dos et ses fesses pour que le sperme la couvre complètement. Heidi nous rejoint dans ce baiser langoureux.
Jurgen et Luc entrent dans lalcôve, en sueur et le visage exténué. Tous deux ont du foutre plein le visage.
— Waow ! dit Jurgen. On pensait avoir fait aussi bien que Melinda à nous deux, mais je crois quelle nous a vachement surpassés !
— Vingt-quatre belles éjaculations, réponds-je. Vous voulez savoir ? Cest ce que jai reçu il y a quelques mois pour souffler mes vingt-quatre bougies.
— Quel cadeau ! sécria Melinda. Ça me donne des idées
— Cest une amie qui morganise ça depuis mes 19 ans. En échange, je fais la même chose pour elle. A chaque fois, lâge détermine le nombre dhommes invités.
— Tu crois que tu continueras jusquà quel âge ? me demande Heidi, lubrique. Ca va commencer à faire beaucoup, non ?
— Mon record est de 41, donc jai encore le temps. Ne me dis pas que ce chiffre timpressionne !
— Pas vraiment, dit Heidi.
Je la sens pourtant songeuse. Y voit-elle une performance à dépasser ? En sortant de lalcôve, je vois que Laurent a disparu. Sans doute a-t-il considéré sa présence comme non nécessaire et il est parti assouvir quelques désirs. Nous allons prendre une douche et nous donnons rendez-vous au bar pour nous rafraîchir. Un quart dheure plus tard, nous nous retrouvons tous. Laurent nous attend. Je ne saurai jamais ce quil a fait entre-temps
Je me réveille le lendemain vers midi. Les souvenirs de la soirée dhier occupent ma douche et mamènent au restaurant de lhôtel, où je rencontre Heidi et Jurgen assis à une table. Ils mangent une pizza. Je leur dis bonjour et massieds à côté deux après mêtre servi une salade.
— Jai vu Mélissa et Luc il y a quelques minutes, me dit Heidi. Ils travaillent mais je crois quils seront contents quand leur service sera terminé. Cette nuit de folie les a exténués. A mon avis, il ny aura pas dinvitation à la chambre 03 ce soir.
Elle ne parait pas déçue en faisant cette observation. Peut-être en profitera-t-elle pour une petite séance de jambes en lair avec son mari. De mon côté, Je ne suis pas déçue non plus. La soirée au club échangiste ma laissée sur ma faim et la soirée « putes » qui y est programmée ce soir mintéresse au plus au point. Le principe est simple : chaque homme achète des billets de Monopoly et « paie » ses relations avec les femmes présentes au club. A la fin de la soirée, celle qui a empoché le plus dargent reçoit un beau cadeau. Je préfère aller seule à cette soirée de toute façon réservée aux célibataires.
— Si tu nas rien de prévu cet après-midi, on te propose de venir avec nous sur une plage nudiste.
— Ca marche, réponds-je.
Jurgen se lève et va au buffet se resservir.
— Avant daller à la plage, jaurais un petit service à te demander, me chuchote Heidi. Tu as certainement remarqué que mon sexe avait besoin dun petit coup de rasoir. Jaimerais que ce soit toi qui le fasses pendant que Jurgen fera une sieste. Ca lui fera une belle surprise. Tu as un peu de temps pour me faire ça dans ma chambre ?
— Sans problème. Je travaille dans un salon de beauté, cest ma spécialité. Tu nas jamais pensé à lépilation définitive ?
— Non. Jaime le changement. La dernière fois, cétait une épilation intégrale, mais cette fois, jaimerais que tu me laisses un petit triangle au-dessus de la vulve.
La perspective de ce moment dintimité avec Heidi mexcite. Au retour de Jurgen, nous changeons de conversation et échangeons quelques mots au sujet de lhôtel. Japprends ainsi quils le fréquentent depuis de nombreuses années, quils ne connaissent Mélinda que depuis cette année mais quil y a toujours eu des serveuses très libertines. Selon eux, le patron de lhôtel semble être particulièrement sensible à ce critère lorsquil engage du personnel. Ce que ma raconté Mélinda hier dans la chambre confirme cette impression. Après quelques minutes de discussion autour de notre cadre de vacances, Jurgen nous informe quil souhaite faire une petite sieste avant daller à la plage. Il se lève, embrasse tendrement Heidi et nous quitte. La belle femme me fait un clin dil et caresse doucement ma cuisse.
— Jai hâte dy être, murmure-t-elle.
Nous quittons le restaurant et montons dans ma chambre. Sans plus attendre, Heidi enlève son combi-short jaune. Elle porte un soutien-gorge blanc en résille mais pas de culotte.
— Cest déjà ça en moins à enlever, réagit-elle à mon léger regard admiratif. Jai pris mon matériel avec moi.
Elle me montre un rasoir à lames et une bombe de gel à raser.
— Tu ne préfères pas faire ça à la cire ? Jai tout ce quil faut dans la salle de bain.
— Ce serait super Cest toujours la cire quils utilisent à linstitut de beauté où je vais. La veille de notre départ en vacances, je me suis fait épiler les jambes et les aisselles, mais pas les zones intimes.
Je vais dans la salle de bain pour préparer ce dont jai besoin. A mon retour, Heidi est à quatre pattes sur le lit, les fesses bien ouvertes.
— Tu peux toccuper en priorité de mon cul et de mes lèvres ?
— Ok, mais il faudra quand même que je te fasse une épilation du maillot, surtout avec les bikinis que tu portes.
Lépilation quelle souhaite correspond à quelque chose quelle na plus eu depuis longtemps : un mont de Vénus légèrement velu sur toute sa surface, ne laissant glabres que la vulve et lanus.
Je me mets au travail consciencieusement, en tâchant de limiter la douleur provoquée par la cire. Heidi semble apprécier mon tact. Elle est maintenant sur le dos, les jambes écartées, et je mapplique pour répondre à ses exigences : laisser des poils, mais pas au-delà de la limite des bikinis quelle porte à la piscine de lhôtel.
Le travail terminé, Heidi se relève et se regarde dans la glace. Un beau petit triangle de poils clairs orne son pubis. Elle essaie son string le plus échancré : aucun poil ne dépasse.
— Cest parfait, me dit-elle. En guise de remerciement et comme il nous reste un peu de temps, je vais te proposer un petit câlin dont jai le secret. Déshabille-toi et couche-toi sur ton lit ! ajoute-t-elle avec son accent allemand.
Le moment que jattends le plus arrive enfin. Jusque là, jai considéré Heidi comme nimporte quelle cliente au salon et je me suis limitée à une tâche professionnelle. Maintenant, place au plaisir
Je relève ma légère robe et je me couche dans le lit, les jambes écartées et le regard vers le plafond. Les mots me manquent pour raconter avec précision ce qui ce passe alors : dune langue on ne peut plus experte, Heidi explore ma vulve déjà humide. Immédiatement, Je ressens un plaisir qui me donne des frissons des pieds à la tête : je mords loreiller, ferme les yeux, lève le ventre, et mes bras frappent le matelas ; cest tout mon corps qui se tord dans tous les sens. La perte de contrôle est totale. Jai limpression que plusieurs bouches saniment sur mon sexe, tant le plaisir est partout : sur le clitoris, sur les lèvres externes et internes, et à lentrée de mon vagin. Je sens un doigt caresser mon anus pour finalement le pénétrer en appuyant sur la paroi supérieure, faisant ainsi pression sur mon vagin. Après quelques secondes de ce jeu terrible, jentre dans une phase de spasmes inconnue jusqualors et je ne peux mempêcher dhurler. Les sensations ne sarrêtent pas mais je peux ouvrir les yeux et regarder Heidi. A mon grand étonnement, je remarque que le visage de Heidi est mouillé et quil y a une auréole sur le drap, entre mon sexe et son visage.
— A voir ton air surpris, je parie que ça ne tétait jamais arrivé !
Je reste sans réponse. Je suis encore sous le choc de cet orgasme splendide qui, visiblement, ma fait éjaculer. Javais déjà vu cela plusieurs fois chez dautres femmes, mais je men croyais tout simplement incapable.
— Ma théorie est que chaque femme peut y arriver, dans des proportions différentes, enchaine-t-elle. Le tout est dy parvenir une première fois. Maintenant que tu las fait, il y a de fortes chances que ça se reproduise à lavenir.
Je suis à fois ravie et embêtée. Dans certaines situations, léjaculation féminine est plus une contrainte quautre chose : ça laisse des traces quil est difficile deffacer immédiatement et ça perturbe certains hommes. Il faut toujours prévenir que ça peut se produire.
— Je comprends ce que tu ressens. Mais crois-moi, il existe des moyens pour éviter déjaculer tout en ayant un orgasme. Tout comme il existe des moyens pour concurrencer un bon tuyau darrosage si tu sais que ça sera apprécié. Je texpliquerai ça un de ces quatre.
Cette femme a décidément une maîtrise du cul qui métonne de plus en plus.
— Ce que tu dis me réconforte. Je suis contente davoir pu réaliser ce fantasme, mais il me fait un peu peur.
— Ne tinquiète pas. Jéjacule depuis plus de dix ans et ça ne ma jamais posé problème. Seulement quelques lessives supplémentaires
Je me recouche et lève les yeux vers le plafond. Quoi quil en soit, je nai jamais ressenti un tel orgasme auparavant. Mon corps se sent apaisé, rassasié, et sil ny avait pas ce farniente prévu à la plage naturiste, je mendormirais immédiatement comme un bébé. Heidi est décidément une femme formidable.