Je gare ma voiture sur le parking, salue nos voisins, et monte chez nous. À peine suis-je rentré que je te vois, tout sourire et resplendissante. Tu attendais mon retour et m’embrassas passionnément. Je répondis à ton langoureux baiser et t’invitai à aller dans le salon. Nous nous sommes retrouvés dans le canapé et je te demandais comment s’était passée ta journée.
Tu me répondis que comme je te l’avais ordonné tu avais mis ton rosebud dans ton cul dès ton réveil et l’avais gardé pendant toute la journée. Je vérifiai, constatant au passage que tu mouillais beaucoup. Tu me répondis qu’un homme t’avait effleuré le cul dans le tramway et que comme je te l’ai demandé tu l’as laissé faire. Il a joué avec ton rosebud et tu as joui malgré toi. Tu las remercié et es sortie du tramway plus excitée que jamais.
Ensuite, tu es allée faire quelques "courses", celles que je t’avais demandées. Je te dis d’aller me montrer et tu reviens avec un sac rose. Tu me dévoiles son contenu : un godemiché, plutôt de bonne taille, de beaux escarpins de 12 cm de haut, une minijupe en cuir, un joli bustier en cuir également, et enfin, un objet que tu affectionnes tant, un fouet magnifique, adapté pour les petites chiennes dans ton genre qui méritent une punition.
Je te dis d’aller t’habiller avec ta nouvelle tenue pendant que je vais prendre une douche.
Lorsque je sors, tu es là. Magnifique. Une vraie bombe, je t’en fais le compliment, te dis que si tu sortais ainsi tout le monde te regarderait, les mâles seraient en ébullition et les femmes te jalouseraient. Mon compliment te fait rougir et tu baisses les yeux, confuse. Je m’approche de toi, relève ton menton et t’embrasse passionnément. Je te dis que tu n’as pas à avoir honte, tu me plais beaucoup ainsi. C’est alors que je décide de t’utiliser. Je m’assis dans le canapé et te demande de venir recevoir ta fessée. Tu t’exécutes immédiatement, venant à quatre pattes, le fouet entre tes dents. Une vraie chienne. Tu montes sur moi et me présentes tes fesses prêtes à être martyrisées. Alors je relève ta jupe qui ne couvre rien et commence à caresser tes fesses, l’une après l’autre, puis soudain je m’exécute, et la première fessée t’arrache un cri de surprise. Mais je continue, imperturbable mais excité. Je le sens que tu prends ton pied à être humiliée ainsi.
Après une dizaine de fessées, je juge que ton petit cul est prêt à recevoir le fouet, et tu gémis de plus belle. Au dernier coup, tu jouis comme une folle. Tu as joui oui, mais tu en veux encore et moi aussi…
Je te fais donc mettre à quatre pattes au milieu du salon, je prends le gode que tu as acheté et te l’enfonce sans pitié dans ta chatte. Ensuite je t’ordonne de venir me sucer. À chacun de tes déplacements, tu sens la double pénétration du gode et du rosebud et manques d’avoir un orgasme. Tu arrives enfin à mon pantalon. Tu ne perds pas de temps à sortir mon sexe déjà bien dur et à t’en emparer goulûment. Je sens ta science diabolique, tu suces à merveille, me menant au bord de l’orgasme à plusieurs reprises. Lorsque je te fais signe d’arrêter tu sembles déçue. Je te rassure tout de suite, je te dis de retirer le gode et de venir t’asseoir sur moi. Tu t’exécutes en bonne petite chienne et viens t’empaler sur mon membre viril. Je commence à te faire aller et venir mais j’ai envie de prendre tes seins, ces protubérances mammaires qui font mon bonheur. Tu sembles ravie que je m’en occupe car c’est toi qui gères maintenant la pénétration de mon sexe en toi.
J’ai donc tout le loisir de jouer avec tes deux grosses mamelles de salope. Je ne m’en prive pas et tu jouis rapidement. Tu deviens si sensible que lorsque je retire le rosebud d’un coup tu re-jouis immédiatement.
Je te fais de nouveau mettre en levrette pour te rappeler ta condition de chienne, et applique ta mouille sur ton anus. Mon doigt rentre doucement, vite rejoins par un second, tu sembles apprécier alors je présente ma bite à l’entrée de ton cul. Tu m’invites à y entrer. Je force donc l’entrée et commence une lente et douce pénétration. Tu sembles apprécier et me dis de commencer à aller et venir. Je commence alors un long et profond ramonage. Tu me dis d’y aller plus fort. Alors je commence à devenir plus bestial, t’empalant sans retenue, te faisant jouir comme jamais. C’est alors que je sens la libération, je te remplis de ma semence, te marquant comme étant ma propriété.
C’est alors que nous nous couchons, nous embrassant, fou d’amour l’un pour l’autre. Ton cul béant laissant échapper un peu de mon foutre. Alors je te regarde et te dis "je t’aime mon amour, pour toujours. Maintenant, tu es mienne à jamais"