Il reprit sa respiration en reculant. Il sassit sur le lit, passa les mains dans ses cheveux, désorienté, le regard dans le vide… Je reprenais mon souffle, incapable de prendre une décision. Je savais que je ne voulais pas partir mais comment rester aprés ce que je venais de découvrir ?
Il se redressa, il navait plus rien du garçon indécis, il me lança un long regard. J’étais hypnotisée, nosant bouger, immobile.
— Déshabille-toi.
— Je devrais y aller.
— Je vais te baiser dabord, déshabille toi.
Il se leva subitement, sapprocha de moi et me retourna face contre la porte sans ménagement. Il dezippa ma robe et il retourna sasseoir.
— Continue maintenant !
Je fis glisser la robe lentement jusquà ce quelle tombe, mencerclant, à mes pieds.
— Regarde-moi, merde.
Je me retournais, face à lui, en sous-vêtements roses. Jétais vraiment gênée par la situation. Il me lorgnait sans vergogne, son regard glissait sur mon corps comme une douce caresse. Une delicieuse torture. Je dégrafais mon soutien-gorge en prenant mon temps, espérant quil change davis et quil le fasse lui-même. Je voulais quil vienne lui-même me mettre à nue et me faire lamour sauvagement sans aucune pitié. Je voulais quil me fasse découvrir une autre facette du sexe. Je savais que cette relation avec lui me changera à jamais, jen avais le pressentiment.
— Depêche-toi, je nai pas que ça à faire.
Il sourit. Je continuais, maintenant la culotte. Je la glissais précipitamment à mes pieds et la retirais. Je tentais tant bien que mal de cacher mes parties intimes : mon sexe mais aussi mes seins. ça me gênait vraiment mais inconsciemment, ça mémoustillait. La situation dans laquelle nous nous trouvions, son regard pervers sur moi, le fait que je lui plaisais et surtout, jétais impatiente de connaitre la suite des festivités ! Je souris intérieurieurement, javais vraiment un grain.
— Touche-toi. Je veux que tu te touches lentement, comme tu le fais quand tu es seule. Fais-toi du bien, caresse-toi.
Je frôlais du bout des doigts mon ventre que je caressais lentement, ça me donnait des frissons agréables. Je fermais les yeux, je ne voulais pas le voir, ça me mettait mal à laise. Je remontais mes mains sur mes seins, agaçant la pointe de mes tetons, toujours en frôlant.
Alors, je sentis une main se poser sur la mienne, douce et ferme. Il serra mon sein par-dessus ma main en faisant des gestes circulaires, ça me troublait. Il me faisait déjà de leffet, cétait la magie de son contact. Son corps irradiait dune douce chaleur. Il était pratiquement collé à moi, encore habillé. Je mabandonnais mollement à ses mains expertes en accompagnant la progression de ses mains, malgré moi.
— Comme ça…continue. Est-ce que tu aimes ce que tu te fais Lola, tu aimes ?
— Mmh…
Les yeux mi-clos, je nosais plus bougeais. Lune de ses mains saventura à la lisière de mon sexe, en bas de mon ventre quil titilla du bout des doigts. Il descendit franchement la paume de sa main contre mon vagin, son pouce agaçait mon clito. Il savait y faire le salaudIl passait de mouvements circulaires et légers à des frottements plus agressifs.
Penché contre moi, il magrippa les cheveux et membrassa le cou sensuellement, la pointe de sa langue venue titiller ma nuque, le long de mon cou par de petits bisous, ou en me mordillant la peau. Ses doigts sintroduirent en moi, je poussais de petits gémissements, la bouche grande ouverte. Il entrait et sortait de moi dabord lentement puis de plus en plus rapidement, jétais vraiment mouillée, trempée. La preuve, il entrait dans ma chatte comme dans du beurre. Il ne cessait de me baiser avec ses doigts, sans retenue, il allait et venait, infatigable. Cétait tellement bon, je ne voulais pas quil sarrête. Jamais. Jétais au bord de lorgasme, je sentais la jouissance proche. Jallais à la rencontre de ses doigts pour quil me baise plus vite ! Il sarrêta brusquement, ses deux doigts en moi, sans bouger.
— Lola Il faut que tu me dises que tu aimes ça, je veux tentendre me supplier de continuer petite pute, petite perverse avide de sexe, dis-le !
— Continue Daniel, continue sil te plait, je ten supplieLe suppliais-je à moitié; consciente
Cest alors quil accéléra le mouvement, ses doigts entraient et sortaient dans de ma chatte, de plus en plus vite, brutalement, sans aucun répit
— Encore ! Plus vite, plus vite, plus vite…Putain cest trop bon, ahhh..Je ten supplie, ne tarrête paaas ! lançais-je, dans un long cri, les yeux révulsés.
Je jouis si fort, je ne pouvais plus tenir sur mes pieds. Chancelante, il me prit dans ses bras jusquau grand lit qui trônait dans une chambre un peu plus loin dans le couloir. Il était exagérément grand. Je ne voulais même pas savoir ce quil y faisait. Il me déposa délicatement sur lédredon. Reprenant mes esprits, alanguie, il vint me murmurer un « je nen ai pas fini avec toi » plein de promesses.
Il retira rapidement sa chemise, son pantalon, et enfin son boxer. Je voulais le sucer, pour la première fois de ma vie, jen avais vraiment envie et ce nétait pas juste pour lui faire plaisir. Il saisit ma main en me repoussant sur le lit. Il bandait déjà, sa bite dure comme de la pierre heurtait ma cuisse. Il mécarta les jambes dune main, je sentais son souffle chaud contre mon cou. Son regard saisit le mien, il me fixait tout en me pénétrant, très lentement. La bouche ouverte, son gros morceau me remplissait entièrement, cétait une sensation merveilleuse. Complètement en moi, il attendit quelques secondes, shabituant à létroitesse de mon sexe, le regard toujours rivé; au mien. Sa bouche finit par trouver la mienne, il membrassait intensément, comme si ça allait être la dernière fois, ses lèvres plaquaient contre les miennes, il me mordilla la lèvre inferieure, chose que jadorais. Sa langue rencontra la mienne dans un long baiser. Ses vas et viens me transportaient littéralement. Il y allait de plus en plus fort, le souffle court. Les cuisses écartaient, je le laissais prendre le control de mon corps et putain, ce que cétait bon ! Jen voulais toujours plus, je magitais sous son corps, allant à lencontre de son sexe, pubis contre pubis. Le bruit obscène de ma mouille emplissait la chambre, lodeur de sexe me montait aux narines et ne faisait que mexciter davantage. Au moment même où jallais atteindre un second orgasme, il me mit à quatre pattes sur le lit, face à lui.
— Suce, il mordonna.
Il était fou, je nallais pas le sucer alors quil était en moi il y a une seconde ! Jugeant de mon hésitation, il mattrapa par les cheveux et avant même que je puisse résister, javais sa bite dans la bouche.
— Je te dis de sucer, tu suces, tu ne discutes pas.
Il me baisait littéralement la bouche, les vas et viens se faisaient violents, bestiaux, sans aucune retenue. Il ne pensait plus quà son propre plaisir. A linstant où je pensais étouffer, il se retira de ma bouche, me tourna. Il empoigna par les hanches et senfonça en moi, dun coup. Une légère douleur sempara de moi mais supportable. Il devenait fou, minsultant de petite chienne mal baisée. Cétait humiliant et en même temps, je découvrais que jadorais ça. Je voulais quil continue, quil aille plus loin, je voulais quil soit vicieux. Il prit mes seins dans ses mains, roulant mes tétons entre ses doigts, les tirant, les malmenant. ça me faisait mal mais ça me plaisait aussi, ça me rendait encore plus en chaleur. Une petite salope qui se faisait prendre par un inconnu. Inconnu, mais plus pour longtemps. Je ne pourrais plus me passer de lui.
Ses mains chaudes, lune me caressant le dos, lautre sur ma hanche, gardant le control. Je baissais la tête, je regardais entre mes jambes pour voir son sexe faire des allers retours, cette vision de ses couilles tapant sur ma chatte déclencha en moi un orgasme ravageur. Je hurlais tellement fort quil plaqua sa main contre ma bouche en me répétant de me taire.
Affalée contre le lit, la tête tout contre la couverture, je reprenais ma respiration pendant quil continuait, en me donnant des fessées, je devais avoir le cul rouge mais ce nétait pas très douloureux. Cest alors quil se lâcha dans mon ventre, son sperme chaud me remplissait totalement. Il se laissa aller sur le lit, le corps en sueur, encore dans les brumes de sa propre jouissance. Malgré la chaleur, je me collais contre lui, je voulais quil me prenne dans ses bras. Sa main sur mon épaule glissa sur mon bras, son pouce me caressa distraitement. Je déposais de petits baisers sur son torse, je me sentais bien. Je voulais profiter de linstant, sans penser à la suite des événements qui ne tarderont pas me retomber sur la tête Sur cette dernière pensée, je sombrais dans un profond sommeil.