Suite 3 et fin
Cette fois encore, plusieurs semaines se passèrent, mai arriva, avec ses beaux jours, les femmes retrouvant leurs tenues légères tellement excitantes, après avoir été pendant ces longs mois dhiver tout emmitouflées !!!… De mon côté ma théologienne me manquait, mais je me gardais bien de la relancer, par crainte desclandre voire de plainte officielle !!!… Je passais ma libido et mes fantasmes dans les bras et entre les cuisses bien écartées de camarades habituelles ou de passage, rêvant trop souvent que cétait la pieuse dame que je tronchais, tandis que – de fait – jhonorais Marie, Carine ou Emilie !!!… A tel point quun jour, je perdis tout à fait ma présence desprit et, alors que bien enconné au fond dAnne, délicieuse quinqua toujours animée de ses pulsions de 20 ans, je finissais une besogne bien menée de part et dautre en linondant de mon foutre abondant, je laissais passer dans un soupir daise un non contrôlé « oh Dominique !!!… » !!!… La pauvre Anne – bien quelle ne fût exclusive ni pour elle ni pour ses amants tenait pourtant à ce que ce soit à elle que lon pensât quand on la foutait !… Et lon ne saurait en toute objectivité – lui tenir rigueur dune telle exigence, dautant plus quelle-même au plus fort de son extase, ne sétait jamais permis de mappeler dun autre petit nom que le mien ! Donc mon amie vexée se dégagea dun volontaire et efficace coup de reins, me laissant la bite encore raide et pas apaisée, remit dun geste pull et jupe, attrapa son sac et sans un regard, sans un mot, sans même une paire de gifles (!!!…) sortit en trombe en claquant la porte !!!… Jen fus quitte cette nuit-là pour me finir en solitaire !!!…
Cet épisode narré pour dire que je pensais toujours à la fade Dominique et que si elle mavait fait juter directement et indirectement, jespérais toujours un jour ou lautre lui planter mon pieu et en faire gicler ma semence au plus profond delle-même !…
Arriva la communion de mon fils et ce dimanche en famille, réunion en général si ennuyeuse. La chapelle en amphithéâtre était pleine de tous les parents et amis des bambins. Mon fils avait pour lui ses 2 parents, et la famille de sa mère. Moi jétais venu seul et ne métais pas mêlé à la parentèle de mon ex. Pendant la messe, une des lectures fut lue par Dominique, habillée avec une certaine recherche, jupe gris perle plus courte que dordinaire (aux genoux, nexagérons rien toutefois !!!…), un corsage blanc dont les 2 boutons du haut étaient défaits (mais comme de toute façon, il ny avait quasiment rien à cacher !!!…), des chaussures avec des demi-talons (quelle extravagance !!!…), un soupçon de rouge à lèvres et de rimmel (incroyable !!!…), et cerise sur le gâteau : des bas ou des collants chair et brillants !!!… Jimaginais bien sûr des bas, tendus par un porte-jarretelle blanc à rubans, sous un string papillon qui permette à son amant de lenfiler sans obstacle à contourner !!!… Bref mes fantasmes me reprenaient, accompagnés évidemment dune érection mal contenue !!!…
Repas de communion le midi, bien dans la norme, convenu et ennuyeux, et puis laprès-midi les vêpres !!!… Quelle épreuve que cette journée, pour un mécréant tel que moi !!! Enfin, cétait mon gamin !!!… Je lembrassais au sortir de la chapelle, saluait mon ex et sa famille et prétextait un vague voyage professionnel à préparer pour tirer ma révérence
« Monsieur C, Monsieur C, attendez-moi !… » Je me retournai à cette interpellation, mais avant même javais déjà reconnu la voix de Dominique la dévote Elle accourait vers moi sans grâce dans la démarche, mais avec ce qui devait être son plus joli sourire « Comment allez-vous, Chère Madame ? »- « Bien, et vous-même, toujours aussi insaisissable à ce que je vois ou plutôt ne voit pas Vous navez pas lair de vous occuper beaucoup de R ». Jencaissais ce reproche, bien léger pourtant au ton dont il était formulé. « Cest vrai que je suis assez occupé ces temps-ci, et puis quand nous nous voyons, nous nous querellons ». « En tout cas vous me manquez.. » murmura-telle sans vraiment me regarder
Je restais coi, ne sachant trop ni quoi dire ni que penser de cet échange, commencé sur le ton de la badinerie et achevé comme en confidence
Quelques pas en silence, côte à côte Un peu de gêne ? Non, pas vraiment, pour moi au moins, plutôt comme une manière dapaisement, voire un retour sur soi
« Vous avez dû bien manger ce midi ? » me demanda-t-elle. « Certes, mais assez tristement, sans grand entrain de part ni dautre ». – «Cest dommage, pour R, la communion, ce doit rester un bon souvenir » – « Ce sera sûrement le cas pour lui Je voulais plutôt parler de sa mère et moi, être ensemble est toujours une contrainte. » – « Mais vous avez fait cet effort, lun et lautre, et cest bien Cest un peu ce que je vis avec mon mari, depuis que nous sommes séparés ».
Nouveau silence, quelques mètres de plus « Et vous, vous êtes avec votre fille aujourdhui ? » – « Non je suis seule, G est chez son père pour la semaine Et je nai même pas déjeuné » – « oh ? Vous devez être affamée ? » – « Pas vraiment, ».
Je me demandais si tout cela était du lard ou du cochon !… « Voulez-vous que lon aille boire un verre ? ou manger un morceau ?… » – « Vous sortez à peine de déjeuner, vous nallez pas vous remettre à manger !!!… Mais daccord pour boire un verre !… » – « Où voulez-vous que lon aille ? » – « Où vous voudrez ». Jhésitais seulement quelques fractions de seconde : « alors allons chez moi, si cela ne vous ennuie pas ». Je tendais mentalement le dos en attendant la réponse qui se fit désirer quelques instants – « allons-y, je vous suis ».
Arrivée chez moi « Cest plutôt gentil, chez vous, et bien rangé pour un appartement dhomme seul ». Je ne laissais pas passer cette occasion de petite pique : « Vous vous y connaissez donc en appartement dhomme seul ?… ». D. rougit et sembla interloquée Je la regardais avec un demi-sourire en coin, un tantinet narquois Elle se reprit vite : je my connais certainement moins que les femmes qui passent ici !… » – « oh, vous êtes impitoyable, entre les gifles et les remarques acides » – « Vous avez mérité les deux, lautre jour vous vous êtes conduit comme un cuistre, et aujourdhui que je vous dis un mot gentil, vous me répondez comme à une grue !… ». Elle me refit alors son sourire avec la bouche de travers, que je commençais à trouver plein de charme, tellement son air semblait rempli de franchise et de générosité. Je décidais de rompre les chiens, quasiment certain que – question réparties et présence desprit – elle me dominerait encore. « Bon, Dominique, que voulez-vous boire, une coupe de champagne avec quelques biscuits ?… » – « Vous mappelez par mon prénom maintenant ? Vous ne men voulez donc pas trop ? » – « De la paire de claques ? » – « Ce nai pas une paire, mais trois, que vous avez reçues ! Et mentalement, je vous en ai donné des dizaines depuis !!!… Mais daccord pour le champagne et les gâteaux.. » – « De surcroit, je vous autorise à me gifler autant que vous voudrez, en bon chrétien je tends même les 2 joues » – « Vous nêtes pas un bon chrétien, et puis moi, qui le suis, jessaye de pardonner les offenses ; par conséquent pas dhorions aujourdhui de ma part, mon cher !!!… » . Je versais le champagne, nous trinquâmes, elle but dun trait la moitié de sa coupe « Je veux être un peu grise, je vous supporterai mieux !… » Avec de nouveau le sourire qui me charmait de plus en plus. De nouveau je restais silencieux, je la regardais en remarquant une fois de plus que charme et désir nont rien à voir avec la beauté. Peut-être en communication avec mes pensées, elle dit soudain « vous me trouvez laide et fade, hein ? » – « Peu importe, Dominique, je suis sous votre charme et je vous désire » – « Méfiez-vous, je pourrais vous prendre au mot » – « chiche » – « remplissez mon verre, alors ».
Avec un coup dil par en-dessous, elle but sa deuxième coupe en quelques gorgées, je laccompagnais, persuadé tenir davantage lalcool que ma compagne de cette après-midi-là. Elle se dressa dun seul coup, voulant sans doute garder contenance, mais trébucha, je me précipitais pour la retenir, son contact me fit frissonner, je constatais alors quelle aussi avait la chair de poule Je la soutenais, elle se laissa aller, une de ses mains sur mon bras nu Nous restâmes quelques secondes en suspens, comme si lun et lautre nous demandions de quel côté basculer, soit revenir au quant-à-soi, et reprendre une attitude convenue, ou bien au contraire nous laisser aller et donner libre cours aux expressions de nos sens Cest Dominique qui provoqua la suite, en se laissant couler contre moi tout en renversant la tête en arrière en une invite muette au baiser. Je commençais alors un bouche à bouche, dabord tendre, puis les lèvres sécartèrent et nos langues se rencontrèrent et se chamaillèrent gentiment Je salivais et inondait sa bouche de liquide, je la sentais déglutir
Tout en poursuivant ces explorations buccales, mes mains avaient entrepris une sorte de tour du propriétaire, dans son dos, puis sur ses fesses par-dessus la jupe, ensuite côté face à peloter ses petits nichons Une main retourna dans le dos et au travers du chemisier dégrafa le soutif Au hasard dune reprise de souffle elle me glissa un « jaurais crû que vous me le déchiriez, comme lautre fois ». Je répondais dans un murmure « Votre mémoire vous trompe, ma Chère, cétait votre culotte, pas votre soutien-gorge ». Avec un sourire en coin, elle répliqua, mutine « en tout cas, aujourdhui vous ne me larracherez pas, je nen ai pas !!!… » et devant mon air incrédule elle ajouta « je nai quun collant ».
Dune main je fourrageais sous la jupe et remontais au pubis. Effectivement je constatais à la fois la présence dun collant, mais les frisettes qui transparaissaient en relief me confirmèrent quil ny avait rien dessous. Jai sans doute un ancêtre hussard car jai le goût du décarpillage express et en quelques secondes je perçais le collant et laissait mes doigts explorer une moule et sa toison mises à lair par louverture pratiquée
Quelle ne fut pas ma surprise en constatant que ma compagne saffairait sur ma braguette et quaprès en avoir baissé le zip elle passa la main dans louverture de mon caleçon pour y saisir mon chibre en état de demi-érection et le sortir à lair libre Le temps de masseoir sur une de mes chaises rustiques et, partant, suffisamment solide pour ce que je projetais dy faire et dinstaller à califourchon face à moi une Dominique que je sentais déjà bien disposée à un coït rapide, ma bite avait trouvé toute sa vigueur et elle neut aucun mal à se frayer un chemin dans la moule déjà bien humide.
Commença alors un rodéo effréné, La sérieuse dame catéchiste me collait, assise cuisses largement écartées autour de mes hanches, enconnée sur mon pieu vigoureux, elle agitait son cul pour mieux faire aller et venir mon chibre dans sa chatte inondée de mouille, en attendant de lêtre de foutre. Moi, les mains sous les fesses de ma partenaire, toujours gainées du collant, mais jupe troussée, je la soulevais en rythme pour mexciter encore davantage. Mon rêve de plusieurs semaines se réalisait, je tringlais Dominique, la calçait, la limait, la ramonait, jallais bientôt la foutre, me vider les couilles au fond de son con. Ajoutait encore à mon plaisir les halètements de la donzelle que je sentais monter petit à petit à lorgasme.
Mais de proche en proche, pour moi le désir se fit pressant, et ce qui ne doit pas se faire ni arriver lorgasme me prit quand ma partenaire était encore en plein effort. Mais le désir et le plaisir de posséder enfin cette inaccessible femme furent si intenses que je ne pus que me laisser aller, et dans de longs spasmes mes couilles se vidèrent, et mon chibre pénétré au tréfonds de la pauvre fille laissa sécouler des heures de fantasmes ; javoue que je jouissais comme un adolescent lors de son premier coït au fond du con déjà un peu fané dune amie de sa mère, tout à son égoïste plénitude, en rêvant damours éternelles et de saillies toujours recommencées
Mais tout en savourant mon orgasme, je craignais dencourir de bien justifiés reproches de ma compagne frustrée, voire même des accès de colères irréfragables. Pourtant, au bout de quelques dizaines de seconde passées à cuver mes frissons et à reprendre mes esprits, je sentais toujours les doigts de Dominique doucement agacer mon cou, apparemment sans impatience daucune sorte. Quand je relevais la tête en essayant de mexcuser platement, ses mains me prirent doucement les joues pour me faire la regarder « Alors, mon Cher, on prend son pied en me laissant en plan ?… » Je vis alors en face son regard, et je compris alors tout ce quil portait de générosité et de bonté, et jen fus ému quasiment aux larmes, et lui demandais pardon pour tout. Elle prit alors mes effusions en riant, et me déposant un léger baiser sur les lèvres « Ne vous inquiétez pas, mon ex-mari, cétait toujours comme cela, alors je suis habituée !!!… » . Jétais vraiment penaud, davantage dailleurs que vexé, car ce nétait pas que mon honneur de mâle bafoué, mais plus encore la conscience de nêtre quun malotru face à une sorte de « grande dame », de « grandeur dâme » « Ce nest pas grave, reprit-elle, je suis heureuse davoir pu vous procurer tant de plaisir !!!… Reversez-moi donc un peu de champagne ». Je mexécutais pendant que, contre toute attente, elle se déshabilla totalement. « Après tout, nous sommes intimes maintenant, au moins pour cette après-midi, puisque vous vous êtes soulagé avec tant dimpudeur, aussi à mon tour de prendre mes aises !!!… » Et elle sassit en tailleur sur le canapé, son abondante chevelure pubienne cachant à peine les plis de son sexe
Je restais assez interloqué, une fois de plus Elle se mit à parler comme si de rien était, peut-être consciente dune petite supériorité acquise par elle à cause de mon incompétence Mais elle ne fut pas arrogante, ni condescendante, ni consolante Me croirez-vous si je vous dis que cela me rendit encore plus amoureux, pas physiquement, mais affectivement ?…
La bouteille se vida, surtout de mon fait, car je me sentais penaud, coupable, et je buvais pour oublier et me donner une contenance Elle sapprocha de moi « Allez, ne faites pas cette tête, ce nest pas grave, je vous trouve délicieux, sûrement encore davantage depuis cette après-midi, vous êtes descendu de votre espèce de piédestal factice, et je vous préfère en homme quen surhomme Et puis dabord, déshabillez-vous aussi, que nous soyons à égalité ». Je mexécutais et nous nous approchâmes, nos mains se touchèrent, nos bras, nos visages, nos bustes, nos corps, avec une tendresse presquasexuée tout dabord, malgré nos nudités
De longs moments nous restâmes à parler, racontant mille et une choses de notre passé, de nos expériences, exaltantes et décevantes, nous comprenant parfois à demi-mot Le soir tombait, la pénombre nous enveloppa, la chaleur de la journée laissa la place à la fraîcheur du soir, Dominique frissonna, jattrapais un plaid pour la recouvrir, nos membres senlacèrent davantage, nous étions bien. Nos doigts effleuraient notre peau, suscitant de légers frissons daise Ma main saventura entre ses cuisses et atteignant la foufoune, commença à y fourrager Ai-je déjà avoué ici que jadore non seulement les pubis « nature » mais encore davantage les toisons abondantes. Dominique lavait particulièrement drue et frisée, je déroulais doucement des boucles et constatais que certaines devaient mesurer peut-être plus de 5 centimètres !!!…
Mais ma main se fit encore plus coquine et se mit à aller et venir entre foufoune, lèvres, clito, pour finalement, et de proche en proche introduire dans une chatte qui se liquéfiait petit à petit une phalange, puis 2, puis un doigt, puis 2, qui maintenant entreprenaient une gymnastique de va et vient incessant et croissant. La donzelle, très souple décidément, avait largement écarté ses cuisses pour que le manège de mes doigts soit plus efficace. Elle renversait la tête en arrière, blottie contre moi, nous étions alors allongés sur le canapé. Elle se mit petit-à -petit à émettre de petits jappements, je sentis que je tenais le rachat de mon inconduite de laprès-midi, et magenouillant sur la moquette, je la fis pivoter pour pouvoir la sucer.
Aux dires de certaines je suis très adroit suceur, et lune de mes amies ma même surnommée « langue agile ». Jentrepris donc de la sorte la velue Dominique, lui fourrageant la toison, agaçant son bouton, fourrant son vagin alternativement de ma langue et de mes doigts. Je résistais à la tentation de lui réintroduire ma bite, et mefforçais de lamener à lorgasme avec langue, nez et doigts Ses jappements se transformaient insensiblement en halètements, sil faut dire que jy mettais du cur, ma compagne y allait aussi du sien !!!…je sentais ses mains sur ma tête qui me guidaient et me maintenaient et de fil en aiguille elle parvint à lextase. Ses halètements se firent râles prolongés, et comme je la tenais aux hanches et aux fesses, je sentis son corps se tendre et dans un ultime râle plus rauque et plus long elle eut son plaisir, son corps se détendit alors, ses jambes retombèrent, elle resta pantelante un moment. Je me redressais devant elle, fier comme Artaban évidemment, avec une queue dressée et décalottée, toute frémissante du désir de se fourrer quelque part.
Elle mattira et murmura dans un soupir « embrassez-moi » Ce faisant, je la rallongeais sur le canapé et me glissais contre elle. Notre baiser fut suave et tendre, ma trique redoublait, je passais un genou entre ses cuisses, elle ne se fit pas prier et ouvrit largement les jambes de telle sorte que mon pieu trouva tout de suite son logement, trempé de mouille et bouillant comme une forge.
« Prenez votre plaisir, mon Cher, vous lavez bien mérité Dieu, que vous mavez fait jouir !!!… ». « Vous implorez Dieu, pour parler orgasme, maintenant ? » – « Voyez, vous mavez pervertie » répondit-elle avec un sourire mutin
Jétais enconné au fond delle, mais nosais pas encore me mettre en branle « Je peux vraiment, Dominique ?… » – « Vous faites le timide, maintenant ? Allez-y donc, ramonez-moi, mais essayez de ne pas trop me défoncer toutefois ».
Je commençais donc une besogne denfer, pilonnant comme un damné la complaisante dame catéchiste nouvellement convertie au coït effréné. Jy mis sans doute tant de de conscience que, tandis que le canapé couinait à nen pouvoir mais, la brave Dominique décidément si chaude en ce dimanche de communion revint à lorgasme en me murmurant entre 2 jappements des « Allez, foutez-moi ».
Le me laissais aller en même temps quelle et la bite bien enfoncée, les couilles calées contre les pieuses fesses, je jutais en longs spasmes.
Nous mîmes quelques minutes à revenir sur terre. Le reste de la soirée fut une alternance daccès de tendresse chaste et de mini-coïts coquins
Je raccompagnais Dominique chez elle en fin de soirée, en nous promettant de nous voir von zeit zu zeit
Effectivement pendant quelques temps nous eûmes des rencontres aussi torrides que ce dimanche de communion, et puis la passion sémoussa, nos baises sespacèrent et devinrent moins chaudes, de mon côté jallais ramoner et inonder dautres chattes.
Un beau jour, Dominique mannonça que lon ne serait plus que bons amis, elle avait rencontré un prêtre du diocèse et ils étaient vraiment en « communion » tant physique quintellectuelle et religieuse
Nous nous voyons encore parfois, au hasard, pour ma part je bande toujours en me la remémorant, mais jessaye de me contenir quand je saute Anne !!!…