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Le pouvoir de l'inceste – Chapitre 15




Francis Zeller, le père de Marlène avait eut un accident de travail sur un chantier et était devenu paraplégique, il partait régulièrement plusieurs jours pour des soins. Depuis son accident son caractère sétait beaucoup assombri, il était devenu agressif et odieux. Ces départs soulageaient beaucoup sa mère Béatrice qui sombrait peu à peu dans la dépression depuis cet événement. Le changement physique et moral de son mari laffectait beaucoup, il la rabaissait constamment, semblait la mépriser et vouloir lui faire payer son état. Cette magnifique femme dont Marlène était la copie conforme, était rayonnante autrefois, mais elle séteignait désormais peu à peu. Marlène était inquiète pour elle désormais, elle en voulait à son père de se comporter ainsi avec elles. Déjà avant il nétait pas gai et très strict, mais maintenant sétait devenu un véritable conard.

Marlène et sa mère avaient un lien très fort qui allait bien au-delà de leur incroyable ressemblance physique. Elles avaient les mêmes goûts, des centres dintérêts très proches, les mêmes choses les faisaient rire, elles étaient mère et fille, elles étaient aussi amies. Alors quand Damien lui avait parlé de lincroyable relation quil avait avec sa mère, cela avait fait tilt dans sa tête et elle sétait tout simplement dite quelle pouvait partager son petit ami avec sa mère. Plus elle y pensait et plus elle trouvait cette idée géniale, ça redonnerait de la joie à sa mère et ça exciterait Damien de baiser une fille et sa mère, rien que dimaginer ça, elle était toute humide. En y pensant, elle se rappela que Damien avait tout de suite plu à Béatrice et que le courant passait bien entre eux. Elle ne lui avait jamais reproché le fait quil vienne souvent chez eux comme elle avait pu le faire avec dautre. Mais ces autres ne lui avait jamais autant plu que Damien, lui elle laimait, alors sa mère lappréciait aussi, mais de là à le mettre dans son lit, il allait falloir sacrément manuvrer. Elle en avait tout dabord parlé à Damien qui bien évidemment cétait montré enthousiaste à cette idée. Cest lui qui lui avait suggéré la manière de procéder, elle avait trouvé son idée remarquable. Malgré ses craintes elle se fiait à lui et à son intuition, après tout il avait déjà réussi pour sa mère et leur prof.

Marlène et Béatrice avaient lhabitude et le plaisir de souvent parler ensemble. Elles abordaient tous les sujets, rien nétait tabou et surtout pas celui des garçons, qui était depuis quelques années au centre des préoccupations de Marlène. La sexualité avait été abordée, mais seulement par le côté protection, de la pilule au préservatif. Marlène allait le remettre sur le devant de la scène mais sous un tout nouvel angle.

Cétait un soir où elles étaient seules, sa mère était morose, il était temps de remédier à cela !

« -Maman, comment tu trouves Damien ? Il te plaît ? »

« -Cest vraiment un charment garçon, il est très gentil. Cest de loin le mieux que tu mes présenté. »

« -jai vu quil te plaisait bien celui-là. »

« -Oui, je lapprécie, il est poli, bien élevé et joli garçon ce qui ne gâche rien. Ca va toujours bien avec lui ? »

« -Oui ça va, pourquoi tu me demandes ça, »

« -Oh comme tu mas habituée à les remplacer rapidement, je minforme cest tout. »

« -Tu tinformes tu as peur que je le quitte ? »

« -Je tavoue que ça mennuierais, pour une fois que tu en as un qui me plaît. Mais comme il est plus jeune que toi ça me surprend un peu, tu as plutôt lhabitude de les prendre plus âgés. »

« -Cest vrai, mais avec lui cest différent, lâge na pas vraiment dimportance. Il est mûr dans sa tête, tu vois ce que je veux dire. »

« -Je pense, oui. »

« -Et puis il est si mignon, je suis folle de lui. Et pour le sexe je te raconte pas, cest incroyable. »

« -Ah bon, pourtant à le voir on ne dirait pas, on croirait même le contraire, il fait si jeune, il a lair si naïf, je le pensais même encore puceau pour tout te dire. Cest même cela qui me faisait demander pourquoi tu lavais choisi. »

« -Eh bien détrompe toi maman, je peux même te dire quil a une sacrée expérience. Il est doué et il me fait jouir comme jamais on ma faite jouir. Si tu savais toutes les choses quil ma faite faire, toutes les merveilleuses sensations quil ma faite ressentir. »

« -Tant que ça, eh bien tu as une sacrée chance dans ce cas là. » Commenta Béatrice surprise.

« -Oh oui maman, jai de la chance de lavoir rencontré. Il est doux et viril à la fois. Il adore les préliminaires, jouer avec sa langue et ses doigts. Il sait prendre son temps pour faire monter lenvie. Quand je suis à point, bien chaude, il me prend dans plusieurs positions, il est rapide puis lent, ça dure longtemps, je jouis plusieurs fois. Cest bon maman, oh cest si bon si tu savais. »

« -Bon et bien je vois quil te comble, mais garde ça pour toi, tu veux. Cest ton inimitée, je, je préfère que cela reste entre vous. » Conclut Béatrice visiblement très troublée par son éloquence.

Marlène regarda sa mère séloigner et rejoindre la cuisine. Elle souriait, son objectif était atteint.

Elle ré aborda le sujet plusieurs fois avec malice et ingéniosité. Sa mère se laissait piéger par ses anecdotes légèrement salaces, ses commentaires sur lanatomie de Damien. Béatrice demandait parfois quelques détails ou précision avant de se reprendre et de sesquiver encore. Au bout dune semaine cest presque elle qui abordait le sujet de la sexualité de sa fille. Elle avait eu si peu doccasion davoir ce genre de sensation ces derniers temps. Même avant, le sexe avec son mari navait jamais été vraiment satisfaisant pour elle. Francis prenait son plaisir sans jamais se préoccuper du sien. Elle navait dailleurs connu que très peu dhomme et aucun ne lui avait fait ressentir ce quéprouvait sa fille dans les bras de Damien. Elle expérimenta un vif réveil sexuel, il lui sembla quelle ne pensait plus qua ça. La journée au travail il lui arrivait très souvent de sattarder sur nimporte lequel de ses collègues mâle en se demandant quel amant il ferait. Durant la soirée elle parlait à sa fille et inévitablement la discussion dérivait sur les prouesses sexuelles du jeune couple et sur les performances de Damien. En se couchant elle les imaginait en train de faire lamour, se sentant trop coupable, elle se retenait de se masturber. Mais la nuit elle en rêvait aussi et elle se réveillait souvent le feu entre les cuisses, ny tenant plus elle se laissait alors aller à quelques caresses intimes durant lesquelles apparaissait immanquablement le jeune ami de sa fille. Elle était dans un tel état que le mercredi suivant elle posa sa journée avec une idée précise en tête, une idée qui la torturait, Béatrice était partagée entre lexcitation et la culpabilité.

A midi, quand Marlène et Damien arrivèrent ils firent semblant dêtre surpris de la voir à la maison. Elle leur expliqua quelle ne sétait pas sentie bien en arrivant au travail et quelle avait pris sa journée, ils firent mine de prendre cela pour argent comptant. Béatrice leur dit de ne pas soccuper delle et de vaquer à leurs habituelles occupations, quelle allait se reposer dans sa chambre. Marlène et Damien échangèrent un regard entendu et après le délicieux repas quelle leur avait préparé ils filèrent dans la chambre de Marlène. La jeune fille prit la précaution de laisser sa porte entrebâillée puis rejoignit Damien sur son lit. Ils sembrassèrent longuement avant quelle ne finisse complètement nue, la bite de Damien dans sa bouche, sa chatte pleine de sa salive avait déjà explosé deux fois. Cest à ce moment là que Damien perçut une ombre derrière la porte avant quelle ne sentrebâille un peu plus. Il fit un léger signe à Marlène qui comprit aussitôt ce qui arrivait. Depuis louverture de la porte sa mère avait une vue densemble de la scène. Elle tâcha de prendre la meilleure positon pour que leur spectatrice nen perde pas une miette.

Ils lui donnèrent un véritable festival de gâteries buccales, de positions lascives et luxurieuses, de pénétrations frénétiques et jouissives, accompagné de gémissements et halètements appuyés. Devant tant de débauche et de plaisir sexuel, Béatrice qui trépignait de chaleur devant louverture eut un mouvement incontrôlé qui buta contre la porte dun bruit sec. Cétait le moment quattendait sa fille, elle fixa lembrasure et croisa le regard de sa mère qui se liquéfia avant de senfuir.

Le soir venu sa mère faisait tout pour léviter, mais Marlène était bien décidée à parachever son stratagème. Le dernier acte était crucial et elle ne devait pas le manquer, il fallait battre le fer tant quil était chaud. Elle se rendit dans la chambre de sa mère où elle cétait cloîtrée et frappa à sa porte.

« -Maman, je peux entrer ?… Maman tu es là, tout va bien ? »

« -Oui, tout va bien, entre si tu veux. » finit par répondre sa mère dune voie hésitante.

« -Excuse moi de te déranger, mais je te sens bizarre ce soir, quelque chose ne va pas ? » demanda telle hypocritement.

« -Je, si tout va bien ma chérie. Cest juste que je suis un peu fatiguée, tu sais cest pour ça que jai pris ma journée. » Réussit à mentir Béatrice toute heureuse de trouver cette explication dans le fol espoir où sa fille ne laurait pas vue en train de les espionner.

« -Ah bon, je croyais que tu ne voulais plus me parler parce que je tai surprise en train de nous mater quand on baisait cest aprèm. » Répondit abruptement Marlène. Béatrice se liquéfia pour la seconde fois de la journée.

« -Oh mon dieu, tu mas vue alors. Je suis désolée ma chérie, je ne sais pas ce qui ma pris. Je suis désolé, jai si honte. Pardonne-moi. » Implora la mère de Marlène, assise sur son lit. Elle avait la tête baissée et les mains jointes, accablée par sa conduite. Sa fille sassit à côté delle et lui posa une main réconfortante sur lépaule.

« -Tu nas pas à texcuser maman, cela ne ma pas choquée, ni dérangée tu sais. »

« -Ah non ? »

« -Non, bien au contraire, après toutes nos discutions je comprends bien ton manque et ta frustration sexuelle. Jai dû tintriguer avec tout ce que je tai raconté sur moi et Damien, si tu tes retrouvée là cest de ma faute. »

« -Mais non pas du tout ma chérie, cest moi je ne sais plus où jen suis, jaurais dû me maitriser. »

« -Cest normal maman, on parle beaucoup de sexe ces temps-ci. Et toi comme tu mas dit, ça fait longtemps quavec papa tu ne fais plus rien. Tes envies se sont réveillées cest tout. Tu es une très belle femme qui a besoin et qui mérite quon prenne soin delle, maman. »

« -Cest gentil, mais comment veux tu que cela arrive. Avec ton père cest fini, même si il pouvait Et tu me vois avoir un amant, je ne sais même pas comment je devrais my prendre et qui ? Tout le monde ce connais par ici, cest une petite ville, quelle honte si ça sapprenait. »

« -Pourtant cest ce quil te faut maman, tu ne peux pas rester comme ça, tu vas dépérir. »

« -Allons nexagérons rien, ce nest pas si vital que ça tu sais. Jai bien vécu sans jusqu’à maintenant. »

« -Parce-que tu ne savais pas que ça pouvait être si fort et si bon. Tu las vu, je ne tai pas mentie. »

« -Oui cest vrai, ça avait lair vraiment agréable. Tu as beaucoup de chance davoir rencontré ton Damien. Moi, même si je prenais un amant, il est très peu probable que jen trouve un quil lui arrive à la cheville. Il me faudrait beaucoup de chance ou en tester un grand nombre mais ça je ne peux pas. » Béatrice était au bord des larmes, dans un grand état dabattement. « -Mon dieu, je ne devrais même pas parler de ça avec toi, quelle mère je fais. »

« -Allons maman, ne te démoralise pas, tu es la meilleure des mères, cest pour ça quon peut tout ce dire. Cest pour ça que je peux te proposer une solution. »

« -Ah oui, tu mas trouvé un amant ? Je te préviens si il est en plastique ça ne suffira pas, jen ai déjà un. » Tenta telle de plaisanter.

« -Non, jai bien compris quil ten fallait un vrai. Un que personne ne puisse soupçonner et qui soit aussi doué que Damien. »

« -Et tu connais cet oiseau rare ? »

« -Damien » Béatrice mit quelques secondes à comprendre ce que lui proposait sa fille.

« -Tu veux que Damien, ton Damien devienne mon amant. Cest, cest nimporte quoi. »

« -Pourtant il correspond à tous tes critères. »

« -Mais enfin, cest un gamin. Il pourrait être mon fils. »

« -Il ne te plaît pas ? »

« -, je nais pas dit ça, il est mignon comme tu dis, mais il est si jeune. Mais et toi, tu laimes pourtant. »

« -Je suis très amoureuse de lui, mais je veux bien le partager avec toi. »

« -Cest très gentil ma chérie, mais ce nest pas une veste ou un bijou quon pourrait se prêter. Cest ton petit-ami. Je, ce nest pas possible. »

« -Ne ten fais pas pour ça il est daccord. »

« -, vous, vous avez parlé de ça ensemble. »

« -Bien sûr, il ta vue lui aussi et après jai bien été obligée de lui parler de toi. »

« -Mon dieu quelle honte. »

« -Ne ten fais pas, il a très bien compris ta situation. »

« -Et qui a eu lidée de, de »

« -Cest moi. »

« -Et il a dit quoi ? »

« -Au début il croyait que je déconnais, mais quand il a vu que jétais sérieuse il a de suite accepté. »

« -Ah oui ? »

« -Tu lui plais beaucoup, remarque ça parait normal vu quon se ressemble vachement. Et puis tout exceptionnel quil est, ça reste un mec, alors une occase de se taper une fille et sa mère»

« -Oui vu comme ça. Mais non ce nest pas possible, ça serait mal, très mal. »

« -Allez maman, jai bien vu que tu le kiffais quand tu nous matais. Tu le dévorais des yeux. Tu avais envie de ce quil me faisait, tu avais envie dêtre à ma place. Ne laisse pas passer cette occasion. »

« -Non, je, je ne sais pas cest »

« -Je te laisse réfléchir, tu nes pas obligée de prendre une décision tout de suite. Mais sache que si cest ce que tu veux, si tu en as envie, on est daccord tous les deux. » Marlène embrassa sa mère sur la joue et la laissa seule.

Béatrice était complètement déboussolée, la proposition de sa fille était si absurde, si ahurissante, si malsaine. Et pourtant elle narrivait pas à se la sortir de la tête, à la rejeter, sans doute parce quelle contenait une part de vérité. Oui elle avait envie de sexe et de jouir, oui elle sétait projetée à la place de sa fille, oui Damien lui plaisait malgré son jeune âge, à cause de son jeune âge. En fait la proposition de sa fille contenait une grande part de vérité. Mais elle était adulte et raisonnable, une femme mariée et respectable, pas une enfant qui faisait un caprice pour un nouveau jouet. Tout cela était ridicule, il fallait vite loublier.

En pleine nuit elle se réveilla en nage, le sexe trempé du rêve quelle venait de faire, un rêve très érotique où elle et Damien nier ses envies nallait pas être si aisé.

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