Alors qu’Eva se lève, Janka lui lance : « On gagnera du temps si je te dis ce que tu dois faire ! Qu’est-ce qui t’a excitée le plus ? »
« Me faire, à la fois, lécher, doigter la chatte et masturber le clitoris… » répond-elle, non sans une certaine gêne.
« Parfait ! Alors, tu vas faire la même chose, à chacune de nous. Tu vas jouer de tes doigts surtout, pour essayer de nous faire jouir en dix minutes ! Et si tu n’y arrives pas, on se finira nous-mêmes ! » Janka a un petit rire moqueur.
« Mets-toi à genoux ! » lui ordonne-t-elle, tandis qu’elle-même se place face à son visage. Eva, qui se retrouve avec un sexe encadré de poils follets noirs, quasiment devant sa bouche.
« Sers-toi de tes doigts et fais-moi jouir ! ». Elle écarte les jambes. Eva sent les mains de Janka se refermer sur sa nuque.
Elle lui lèche d’abord la fente, avant d’y enfoncer trois doigts pour commencer à la ramoner « Hmmm ! Que c’est bon ! » fait Janka.
Puis elle ajoute : « Mets-moi un doigt dans le cul ! » Tout en lui ramonant l’intérieur de la vulve, Eva passe l’index de sa main gauche dans la raie de fesses de Janka, et ayant repéré le petit trou, enfonce son index dans l’étui tiède et serré.
Janka commence à mouiller. Un liquide légèrement crémeux sourd de sa vulve.
« Hmmm ! Petite cochonne ! Continue comme ça ! Je vais me masturber le clitoris ! »
Et posant le doigt dessus, elle le titille, accentuant son excitation.
Maintenant, avec quatre doigts, elle lui fouraille le vagin. Tout est si trempé, que cela provoque des clapotis incongrus. Et elle continue de lui vriller l’anus avec son index.
Ce que Janka ne voit pas, elle leur tourne le dos, c’est que les autres n’ont pas attendu leur tour ! Collées les unes aux autres, elles tripotent, caressent, doigtent, lèchent, sucent leur voisine immédiate !
De plus en plus excitée, Janka écarte encore ses cuisses tandis que son index s’active de façon effrénée sur son clitoris. Eva lui ramone tant qu’elle peut le vagin qui devient trempé. Jusqu’à ce que Janka jouisse sous les doigts d’Eva, tandis qu’un liquide crémeux s’échappe par à-coups de sa vulve, avant de dégouliner sur ses cuisses.
« Hmmmm ! Tu es une belle petite cochonne ! J’ai adoré ! » dit-elle tout en lui passant une main dans la chevelure.
Et quand elle se retourne c’est pour voir les quatre filles se faire du bien avec leurs mains et leurs bouches, le tout dans un concert de gémissements, de bruits de succions et de clapotis obscènes.
« Va les aider ! Amuse-toi ! » dit-elle à Eva. Laquelle, une fois debout, s’approche du canapé avec ses doigts, encore visqueux de la cyprine de Janka. Et elle les fourre dans tous les orifices qu’elle trouve inoccupés : l’anus de Monika et de la jeune fille, puis la chatte des deux jeunes femmes. Puis elle finit, à genoux, la tête entre les cuisses de Monika, à lui léchouiller la chatte comme une possédée, la faisant jouir !
Finalement, il est 23h15, quand Janka sonne la fin de la « récréation ».
« Bon, les filles, c’était plus court, mais on s’est bien amusées, non ? J’ai dû organiser ça rapidement… en son honneur ; car elle part demain ! Dommage… »
Elle dit cela en se tournant vers Eva, avec un petit sourire. Eva qui comprend alors que cette « soirée » n’était pas prévue, que Janka l’a organisée uniquement dans le but de la faire participer !
« Bien ! Allons au rez-de-chaussée, nous laver un peu ! »
Elles arrivent toutes les six dans la salle de bain et prennent une petite douche deux par deux, « pour gagner du temps » selon Janka. Il est un peu plus de minuit, quand habillées et sommairement coiffées, elles se retrouvent dans le hall d’entrée.
Les deux jeunes femmes ainsi que la fille, partent les premières. « Elles n’habitent pas loin d’ici, elles rentrent à pied » commente Janka, qui poursuit, à l’adresse d’Eva :
« D’habitude, c’est Gabor qui nous sert de chauffeur à l’aller comme au retour. Mais cette fois-ci, il n’a pas pu se libérer… d’où le taxi… Pour rentrer, j’ai téléphoné avant de partir du camping, mais je ne sais pas trop si nous aurons un taxi… quand j’ai dit « vers 0h15 », l’employée de la station a fait la moue… attendons un peu quand même ! »
« Nous allons sans doute avoir un orage ! » dit Janka, alors que le tonnerre gronde dans le lointain. Puis :
« Bon ! Il est minuit et demi… on va devoir trouver un autre moyen de transport ! »
« L’autobus ! Il y a un arrêt devant le camping. Si on se dépêche… le dernier bus part à 1h je crois » suggère Monika, qui ajoute : « Il y a une station à 500m d’ici ! »
« Alors, allons-y ! » décide Janka, en saisissant un petit sac posé à ses pieds. Et toutes les trois marchent d’un pas rapide. Il fait nuit noire, le ciel est sombre. Et comme les rues sont chichement éclairées, elles se retrouvent parfois dans une quasi-obscurité :
« Tu n’es pas gênée de te promener la nuit avec une robe si courte ? En fait, c’est un t-shirt ! » Janka lance une pique à Eva… par jeu. Sachant que c’est elle qui a voulu la voir ainsi !
« Mais, tu as raison ! Ces jolies cuisses sont faites pour être montrées ! » ajoute-t-elle, avec malice. Alors qu’elles s’engagent dans une petite rue menant à la place où se trouve la station, elle sent une main lui caresser le haut des cuisses.
« J’aime ton joli corps ! » murmure Janka, qui, maintenant, lui palpe les fesses.
« Et tes jolis seins ! » cette fois c’est Monika, qui l’arrête un instant sous un porche, pour glisser une main sous son t-shirt, pour les palper.
« Faites attention, voyons ! On va nous voir, et… » Elle se rend compte que ses compagnes sont gaies… un peu trop, même. Et si elle n’y a pas prêté attention jusque-là, c’est qu’elle-même l’est aussi ! C’est traître le Tokay… ce vin blanc doux, si agréable à boire !
« On va rater le bus ! » Eva essaie de raisonner ses compagnes, tandis que leurs caresses commencent à la troubler… être tripotée comme ça… en pleine rue, la nuit !
Un éclair… puis un deuxième. Dans la chaleur de la nuit, des grosses gouttes s’écrasent sur le sol. Il faut courir jusqu’au prochain abri, qui n’est autre que celui de la station de bus, dans un angle d’une petite place. Juste à temps. Maintenant, c’est l’orage qui s’abat sur la ville.
« Ouf ! Heureusement que ce n’était pas loin ! » dit Monika en riant. Mais le début d’averse a suffi à mouiller plus ou moins leurs robes. Si cela ne se voit pas trop sur Janka et Monika, en robe bleu foncé et vert, il n’en est pas de même pour Eva, avec son maxi t-shirt blanc : le dos est entièrement mouillé et le devant l’est des épaules à la poitrine.
« Maintenant, on voit que tu n’as rien dessous ! » disent-elles pour la taquiner, avant d’ajouter :
« Tu sais, nous n’avons rien non plus ! Au moment de se rhabiller on a décidé de faire comme toi ! Et tout est là !» Elles rient, en tapotant le sac, tandis qu’Eva aimerait savoir comment rentrer au camping !
« Tiens, il y a un bus là-bas ! Je ne sais pas si c’est le nôtre… bon, je vais aller voir ! » dit Janka, alors que la pluie cesse. Elle se lève et se dirige vers le bus. Sa robe mouillée colle à ses formes, surtout au dos. Et quand elle revient, dix minutes plus tard :
« Bon, voilà la situation : ce bus ne prend pas de passagers. Il rentre au dépôt. J’ai parlementé avec le chauffeur et le contrôleur. Ils acceptent de nous emmener, parce que le service des bus est terminé. Ils nous déposeront devant l’entrée du camping ! On y va ! »
Elles se lèvent et se dirigent vers le bus, tandis qu’Eva tire sur son t-shirt, pour se rendre plus présentable. On leur fait signe d’entrer par la porte arrière, masquée, en partie, par un arbre.
« Allez donc vous assoir sur la banquette à l’arrière du bus, sinon on pourrait vous prendre pour des passagers. Vous savez, on fait ça pour vous dépanner ! » dit le contrôleur, tout en balayant du regard toutes ces jolies paires de cuisses dévoilées, surtout celle de cette fille avec sa robe si courte !
« Vous êtes toutes mouillées ! Surprises par l’orage, hein ? » malgré la demi-obscurité, il distingue les tétons qui pointent ; et la fille du milieu, ses seins sont visibles, par transparence. Aucune ne porte de soutien-gorge…
« Ben oui ! Et on n’avait pas de parapluie ! » répond Monika. Le contrôleur, un brun d’une quarantaine d’années, sourit, passablement émoustillé.
« Antal ! Mets donc le chauffage ! Cette dame et ces demoiselles sont mouillées et pourraient prendre froid, même au mois d’août ! » lance-t-il au chauffeur. Puis il se penche derrière la banquette, pour saisir ce qui ressemble à une grande serviette.
« Vous allez retirer vos robes et vous essuyer avec ça ! » dit-il avec à plomb.
« Vous êtes aimable, mais ça n’est pas nécessaire ! Dans un quart d’heure nous serons au camping, et… » argumente Monika.
« Pour que le chauffage soit bien il faut plus que ça ! » Il consulte sa montre :
« 1 h ! Normalement nous partons plus tard puisque nous devons arriver au dépôt à 2 h. En démarrant maintenant, nous vous offrons une promenade en bus ! Vous êtes des touristes ? » Il affiche un sourire coquin. C’est qu’elles sont aguichantes !
« Moi, oui, je suis Tchèque ! » dit Eva, pour connaître le mot de la fin. C’est que, petit à petit, l’audace tranquille de cet homme affable la séduit. Et l’attitude de ses amies hongroises la conforte dans l’idée de se laisser aller.
L’autobus commence à rouler. Par jeu, le contrôleur se mue en guide :
« Bien ! Pour cette jolie demoiselle tchèque, nous allons faire un tour de ville. Quant à vous deux vous êtes d’ici, non ? » Elles acquiescent.
« On commence à sentir le chauffage… vous pouvez retirer vos robes ! » Il les trouve nonchalantes et aussi amusées : « Qu’est-ce qui vous amuse tant ?»
« C’est… qu’on na rien dessous… ni culotte ni soutien-gorge ! Pffft ! » Elles éclatent de rire, devant lui. L’attitude de ces filles l’intrigue, elles sont un peu trop gaies.
« On sort d’une petite soirée. On a bu du Tokay… comme celui-ci ! » Janka sort une bouteille de son sac. »
« Hum ! Il y a quelques gobelets ici… nous allons pouvoir trinquer ! » Il tire des petits rideaux sur les fenêtres de l’arrière :
« Maintenant, vous pouvez retirer vos robes, n’est-ce pas ? » Elles se regardent, visiblement prêtes à le faire. Eva se sent gagnée par l’excitation. Une fois leurs robes retirées, il leur demande, malicieusement :
« C’est la première fois que vous vous retrouvez toutes nues, dans un bus ? » tout en admirant leurs formes appétissantes.
« J’adore les filles un peu potelées, comme vous ! » et il sent son sexe durcir… Puis :
« Retirez vos chaussures ! Je vous veux toutes nues ! Et écartez vos cuisses, je veux voir vos chattes ! » Une fois qu’elles ont fait cela, sans éprouver de gêne, il leur lance :
« La balade ne sera pas trop longue… trois quarts d’heure. Vous êtes suffisamment délurées pour vous être dénudées si facilement. Alors vous pouvez bien accepter de faire ce que je vous demanderai… le jeu de la soumission, ça vous excite ? En plus j’adore voir des femmes se toucher devant moi… quelque chose me dit que ça ne vous posera pas de problème ! »
« En fait, la soirée dont on sort, c’était plutôt ça… une petite soirée entre filles, lesbiennes, quoi… mais on est aussi bi ! » lance Janka, tout en se touchant la vulve avec ses doigts.
« Petites cochonnes, hein ? Je sens que ça va être chaud ! »
Il voit alors Eva se glisser un doigt dans la vulve : « Hé ! Tu ne préfères pas une grosse bite, plutôt ? Approche-toi donc ! »
Elle se lève et se place devant lui, debout : « Tu as une jolie chatte ! » dit-il, en faisant glisser un doigt dessus. « Tu dois avoir un beau cul… tourne-toi ! » Eva lui montre ses fesses…
Elle avait frissonné quand elle avait senti ce doigt sur sa vulve… et maintenant, elle sent ce même doigt glisser dans sa raie : il lui cherche son petit trou. Elle se sent un peu gênée qu’il fasse « ça » devant les autres. Elle se raidit un peu, quand il touche les bords de son cratère anal.
« Autant vous le dire de suite, j’adore les jolis trous du cul féminins… Ouvre ma braguette, et sors ma queue ! » dit-il en regardant Eva dans les yeux.
« J’ai une grosse bite, hein ? » lance-t-il quand Eva en extrait une queue de belle taille et déjà raidie d’excitation. « Tu vas te mettre à genoux et me sucer, avec ta jolie bouche ! »
Elle se trouve avec ce membre assez imposant, devant son visage : « Suce bien, ma poulette ! On dit les Tchèques bonnes suceuses ! » Et elle se met à téter le bout du gland.
« C’est bon, hein ? Allons, avales-en un peu plus ! » L’homme lui caresse les cheveux avec, sans doute, l’intention de lui appuyer sur la tête… alors, spontanément elle s’avance pour engloutir une partie de la bite et se met à sucer.
« T’es une bonne fille, toi ! Hmmm ! Un régal ! » Puis il regarde Monika :
« Tu vas t’agenouiller derrière ta copine et tu vas lui tripoter la chatte avec tes doigts ! »
Eva sent une main se glisser entre ses cuisses et lui caresser le sexe. Monika lui enfonce un doigt dans la vulve et le remue dedans. Et la situation d’Eva devient vite compliquée : devoir sucer cette grosse bite qui lui déforme la bouche, tout en se faisant exciter la vulve par sa copine !
« Hmmm ! Tu suces bien ma poulette ! Jolie coquine ! » dit le receveur en entendant les bruits de succion faits par Eva avec sa bouche. Puis, changeant de ton, il lance :
« Les filles, ça vous plairait une halte dans un endroit… discret ? » il regarde Janka, restée assise sur la banquette, se touchant le sexe.
« Le Danubia Bar, par exemple ? Ce lieu de perdition ! » répond Janka, avec un sourire narquois.
Le receveur, qui commence à être passablement excité, parvient à répondre :
« Lui-même ! Fermé officiellement à 1 h. Mais accès toujours possible, en passant par le portail d’à côté… »
Il ne peut en dire plus. Eva le suce avec tant d’application, qu’il se sent près de jouir :
« Mmmmm ! J’ai envie de juter sur ta figure de petite cochonne ! Tiens prends ça ! » Il lui largue une grosse giclée en pleine figure, suivie d’une autre. Eva est un peu sonnée, avec du foutre gluant sur ses joues, son nez, son menton et ses lèvres.
« Excuse-moi, je n’avais pas baisé depuis un moment… les couilles pleines, quoi ! » lui dit-il avec un sourire vicieux. Tu m’as l’air d’une sacrée salope ! Tu vas t’amuser au Danubia ! »
Les trois se retrouvent maintenant assises sur la banquette. Et tandis qu’Eva essuie le sperme de son visage, le receveur explique :
« Le Danubia Bar, c’est environ à un kilomètre du camping Venus. On gare le bus discrètement, on y passe un moment avant de vous déposer devant le camping ! D’accord ? »
« D’accord ! fait Janka puisqu’on ne peut faire autrement, non ? »
Un peu avant 1h30, le bus se gare discrètement à proximité du bar. Elles remettent leur mini-robe, et tous les cinq se dirigent vers le portail, donnant sur la cour arrière du bar. Une fois à l’intérieur, une certaine animation, invisible du dehors, les fenêtres étant closes, y règne. En plus du comptoir avec ses hauts tabourets, six tables accueillent les clients. Justement, ils sont quatre, là, autour d’une table, à siroter vin blanc et café.
Eva remarque qu’ils sont bien jeunes. « Ce sont des membres de la brigade du travail socialiste employés ici pour préparer le festival de musique qui commence vendredi après-midi ! Rassure-toi, ils sont tous majeurs ! Il faut avoir au moins 18 ans pour en faire partie ! » lui répond Janka, avec entrain, avant d’ajouter, vicieusement :
« Tu veux te faire tous les quatre, c’est ça ? On peut te laisser la place… »
Le receveur invite Eva à s’assoir sur un tabouret au comptoir, tandis que Janka et Monika font de même. Eva se sent un peu gênée : ainsi assise elle exhibe non seulement ses cuisses, mais son sexe. Alors, elle se maintient face au comptoir. Le garçon qui officie, leur sert un Tokay, qu’elles boivent à petites gorgées. A leur table, les jeunes gens ont interrompu leur conversation, pour lutiner les visiteuses.
« On dirait que tu leur plaîs ! » chuchote Janka en devinant que leurs regards lubriques se posent plus volontiers sur Eva. « Tu dois les exciter ! » insinue-t-elle.
Puis elle bavarde à voix basse avec le chauffeur et le contrôleur, avant de revenir vers elle :
« Voilà ce qu’on va faire ! On va te laisser ici, tu pourras t’éclater ! Nous quatre on continue avec le bus. Le garçon du bar te ramènera au camping et on t’attendra là-bas ! »
Eva est estomaquée par les propos de Janka… sa désinvolture aussi. Elle la laisse face à ces jeunes gens visiblement excités… cependant elle-même est travaillée par des sentiments contradictoires : vaguement inquiète, et excitée de se voir désirée par de jeunes mâles. Elle tâche de se montrer sereine, en assurant :
« Bon, je ne peux pas refuser, on dirait ! J’espère qu’ils sauront se tenir ! » lance-t-elle par bravade. Cinq minutes plus tard, elle se retrouve seule avec les quatre derrière elle. Toujours assise sur son tabouret, elle se tourne vers eux :
« Vous m’offrez à boire ? » leur demande-t-elle, façon d’entamer la conversation.
Ils matent ses cuisses avec gourmandise : « Tu n’as pas de culotte, on dirait, ma belle ! » dit l’un d’eux. Et un autre : « Ecarte un peu tes cuisses, qu’on puisse vérifier ! »
Ces quatre paires d’yeux braqués sur elle… Il en faudrait peu pour que la situation évolue dans un sens ou dans l’autre. Elle les a allumés, alors il ne reste plus qu’à gérer… et elle ouvre ses cuisses, laissant apparaître sa vulve avec sa petite couronne de poils.
« Viens ici, ma poulette ! » lui lance un des gars, en lui présentant une chaise. Elle s’approche et vient s’assoir. Eva est sûre qu’ils doivent bander. Et comme, remarquant une protubérance, sur le pantalon de celui qui est en face, elle semble y jeter un il, ce dernier réagit aussi sec :
« Tu veux le voir ?» lui lance-t-il, tout en ouvrant sa braguette… aussitôt suivi par les trois autres. Et quatre bites apparaissent…
« Tu sais, on ne va pas tarder à partir d’ici, il commence à se faire tard, mais avant, tu vas nous faire une pipe ! Enlève ton t-shirt ! Tu seras mieux à poil ! »
Alors qu’elle s’apprête à le faire, le garçon du bar intervient : « Faites ça discrètement les mecs ! Pas dans la salle, en tout cas… aux toilettes, plutôt ! »
Il va ouvrir la porte. Un des gars s’approche. Les toilettes sont petites, juste une cabine et un urinoir, avec un petit lavabo. Il interpelle Eva : « Viens donc ! Tu t’assois sur la cuvette, tu te mets à poil et tu nous attends ! On viendra chacun notre tour ! » dit-il en souriant.
Une fois dans la cabine, elle retire son t-shirt et s’assoit. Encore une minute et le premier se présente ; il porte une petite barbe. Son pantalon et son slip tombent sur ses genoux, exhibant une bite de taille honorable et toute raide.
« T’as des sacrés nichons, ma belle ! Regarde comment tu me fais bander ! » dit-il, tout excité : « Suce bien ma petite cochonne ! » et il lui met le gland directement sur ses lèvres. Eva ouvre la bouche et accueille une partie de la bite, puis commence à sucer. Le gars lui touche les seins. Elle le laisse faire.
« Vas-y, pompe-moi bien profond ! » et il attire la tête d’Eva à lui. Elle a plus de la moitié de sa bite dans la bouche et le suce en cadence. Mais il veut s’enfoncer toujours plus profond dans sa gorge :
« Doucement ! Je peux plus respirer, moi ! » tente-t-elle de lui faire admettre. Maintenant le gars lui besogne la bouche comme si c’était une vulve. Dans le calme des toilettes, on perçoit le bruit des succions ; de la bave coule de la bouche d’Eva et tombe sur ses cuisses.
« Belle salope, hein ? » le mec exprime son contentement, tout en ramonant littéralement la bouche d’Eva, déformant ses joues. De temps en temps, il lui tripote les seins.
« Hmmmmm ! Je vais jouir, je vais jouir ! » Il se retire vivement, et c’est pour éjaculer sur le visage d’Eva… deux gros jets qui viennent s’écraser sur ses joues, ses lèvres, son menton, tandis qu’un filet s’écoule sur sa cuisse.
« Belle petite salope ! Lèche le bout ! Nettoie-moi ça ! » Elle s’exécute, lapant le gland et les restes de foutre. « Reste comme ça ! » ordonne-t-il quand Eva fait le geste de s’essuyer le visage. Il se rajuste et sort. Et immédiatement, le second entre.
Celui-ci lui paraît nerveux. Sa bite, de taille moyenne, est dure comme un morceau de bois, et du liquide perle au bout du gland : « J’ai peur de jouir trop vite, si tu me suces ! » lui dit-il, un peu penaud.
« Je voudrais te tripoter et gicler sur ton corps ! » Eva accepte et le jeune homme lui caresse les seins, s’amuse à tirer les tétons, avant de glisser une main entre ses cuisses. Puis il lui enfonce deux doigts dans sa vulve avant de les remuer dedans.
« Il y en a encore deux qui attendent ! » lui lance Eva avec une pointe d’ironie. Elle regarde cette queue dure qui s’agite devant elle. Elle n’y tient plus et la saisit à pleine main.
« Tu me tripotes, et moi, je te branle, oui ? » Elle lui astique sa pine avec sa main gauche, tandis que la droite lui masse les couilles. Et c’est presque instantanément qu’il jouit, lâchant une grosse giclée de sperme sur ses seins. Il manifeste son contentement par un grognement, et se retire aussitôt, sans demander son reste !
Le troisième entre à son tour. Quasi la même bite que le précédent. Elle le suce avec application : « Hmmmm ! Tu aimes faire ça, toi ! Mais je voudrais que tu finisses en me branlant entre tes nichons… de si beaux nichons ! » dit-il, en matant les seins d’Eva avec gourmandise. Au bout d’un moment, donc, il se retire de sa bouche et se penchant au – dessus d’elle, il place sa bite entre ses seins. Elle les presse autour de sa bite, la faisant coulisser entre eux. On entend la respiration saccadée du jeune homme, qui parvient quand même à lui lancer quelques propos gratinés :
« Mmmm ! C’est bon entre tes nichons ! Tu as une de ces putains de paire de nibards ! Putain… que c’est bon !! » avant que sa jouissance explose : Eva prend presque tout sur le cou et le menton, le reste atteignant même une oreille.
« Jolie petite cochonne ! » lui dit-il, en se rajustant, avant de sortir.
Puis c’est au tour du quatrième, le dernier, d’entrer. Quand il lui présente son engin, elle se dit qu’on lui a gardé le plus gros pour la fin ! Et le gars, lui-même, n’est pas peu fier de le lui montrer :
« Tu dois aimer les grosses bites, hein ? Et toi, t’as de beaux nichons, je vois ! » Le jeune homme pose son regard lubrique sur les seins d’Eva.
« Tu veux que je te branle entre mes seins, c’est ça ? » dit-elle en suivant son regard.
« On verra… commence par me sucer… avec ta bouche de pute… »
Eva happe le gland avec ses lèvres, puis en suce le bout, avant d’en entrer un peu plus dans sa bouche. Sa bite lui rappelle celle du receveur, pas vraiment longue mais épaisse.
« Fais un effort ! Rentres-en plus que ça ! » Il devient impatient et, de sa main droite posée sur sa nuque, il l’attire à lui. Elle a maintenant englouti la moitié de la bite du mec et suce du mieux qu’elle peut ce gros chibre qui lui remplit la bouche. Elle fait un tel effort que des larmes coulent.
« C’est bon, hein, ma grosse bite ! Maintenant fais-moi ça ! » il se retire de la bouche d’Eva et lui montre ses couilles :
« Tu vas les lécher puis les mettre dans ta bouche de pute ! »
Eva doit elle-même lui soulever la bite d’une main pour lui lécher les couilles, avant de les gober- difficilement- avec sa bouche. Le jeune homme exprime son contentement par des grognements de plaisir :
« Maintenant, tu vas te lever… je veux voir ton cul ! Je vais me branler entre tes fesses… pas le temps de t’enculer… »
Il lui tend les mains pour la lever du siège puis la retourne : « T’as vraiment un beau cul ! »
Eva sent la grosse verge toute raide se plaquer dans sa raie, et tandis qu’il se branle entre les globes de ses fesses, elle sent des doigts s’enfoncer dans sa vulve et lui fouiller le vagin.
« Cochonne ! Tu mouilles comme une salope, hein ? Tu aimes la bite ! » Elle sent l’excitation l’envahir. Ce cochon lui fouille si bien la chatte…
« Hmmmm ! Je sens que je vais jouir ! » Eva n’a pas le temps de comprendre que le type l’a retournée, et assise sur le siège. Avant de se finir à la main, juste pour le plaisir de lui balancer son foutre en pleine figure : deux gros jets épais, qui lui éclaboussent le visage. Elle en a partout.
« Hum ! Tu es ravissante comme ça ! Et sois gentille, nettoie-moi ça ! » dit-il en lui montrant sa bite. Eva ne peut que lécher les filets de sperme qui restent.
« Salut, poulette ! Et merci ! » lance-t-il avant de sortir.
Elle a le visage englué, tout collant, des giclées successives de sperme qu’elle a reçues. Elle se dit qu’elle n’en a jamais eu autant depuis le début de ses expériences. Elle en est là de ses pensées quand la porte s’ouvre à nouveau. C’est l’employé du bar :
« Eh bien ! Quelle affaire ! » il la voit, le visage englué de foutre ainsi que ses seins.
« Suis-moi ! Au premier étage, tu pourras t’arranger un peu !
Elle le suit, toute nue, son t-shirt à la main. Un lavabo, du savon, une serviette. Elle se débarbouille comme elle peut, avec une eau à peine tiède. Quand elle redescend, il est un peu plus de 2 h 30 du matin !
« On y va ? Je te ramène en voiture, ça ira plus vite ! » lui lance le garçon.
Elle se retrouve sur le siège avant d’une petite Trabant, et moins de cinq minutes plus tard, la voiture se trouve sur le chemin d’accès au camping. Elle se demande si Janka et Monika l’attendent à l’entrée, quand elle sent une main se poser sur sa cuisse :
« Tu es vraiment bandante ! J’aimerais bien que… » Elle a compris et lui sourit :
« Tu veux que je te masturbe aussi ? C’est ça ? » Elle s’en amuse.
« Mais juste avec la main, hein ? Avec la bouche, ça me suffit comme ça ! »
Elle se tourne vers lui, sort sa bite de la braguette, et commence à le masturber, tandis que, bonne fille, elle le laisse lui tripoter la vulve :
« Tu mouilles vite, toi ! » lui murmure-t-il, sentant la vulve humide sous ses doigts. Puis, il jouit, dans un soupir de plaisir, dans un mouchoir en papier.
Alors qu’elle descend de la voiture, elle voit Janka, seule, s’approcher :
« Alors, tu t’es bien amusée, Eva ? Tu vois, je t’ai attendue ! » Il n’est pas loin de 3 h du matin…
A suivre…
