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Un étrange journal intime – Chapitre 2




Quand je poussai la porte du salon que javais laissée entrebâillée, je surpris mes voisines qui sembrassaient. Elles remarquèrent ma présence mais nen furent pas le moins du monde embarrassées. Sophia avait les jambes écartées et mes yeux glissèrent sur son entrejambe. Cette fois-ci jétais certain quelle ne portait pas de culotte ! Je distinguai même ses grosses lèvres (je pense que cétait les plus grosses que jai jamais vues) et le bas de ses fesses. Ces filles me troublaient et me décevaient. Elles nétaient pas que de simple coloc, elles étaient amante. Ma déception devait être palpable parce quelles me proposèrent, alors que jallais menfoncer dans le fauteuil, de venir masseoir entre elles et déposèrent lalbum photo sur mes genoux.

Ma déception se mua en colère. Jétais convaincu quelles se jouaient de moi. Elles mallumaient et ensuite me démontraient que je navais pas la moindre chance de conclure comme le pauvre Jean Claude Duss dans la série Les Bronzés. Je masquai ma rage en essayant dafficher un air dépité et rouvris le book de Vanessa. Les photographies dégageaient un érotisme de plus en plus torride au fil des pages et ma verge fit encore des siennes. Je venais de siffler deux verres cul sec et Sophia mavait accompagné. Javais lintime conviction que son regard se faisait aguicheur, quil me détaillait avec un désir palpable. La salope, pensai-je, si elle croît que je vais entrer dans son jeu, elle peut se fourrer le doigt dans Cest dans ma tête que jentendis la vois slave de Sophia terminait ma phrase par le groupe nominal « la chatte. » Cela me fit leffet dun coup de massue. Jétais à nouveau excité mais aussi effrayé. Elle communiquait par télépathie ! Tu as un petit peu trop bu, mon vieux me dis-je pour me rassurer mais, voilà que jentendis au centre de mon crâne un rire sonore qui incarnait la malveillance. La frousse me saisit à la gorge et mon excitation retomba aussitôt. Jétais terrifié ! Je me retrouvais dans une situation délirante, paranormale ! Ou bien étais-ce moi qui perdait la boule ?

Javais envie de me lever et de rentrer chez moi. Je ne maîtrisais plus rien ! Je cherchais un prétexte pour quitter cet appartement quand Sophia posa sa main sur mon aine et la fit coulisser vers mon entrejambe. Sa main était plaquée sur mes bourses, immobile. Sa chaleur raviva rondement mon désir et mon phallus fit une bosse sur ma cuisse. Vanessa me prit alors le livre des mains et sortit du salon pour revenir, à peine une minute plus tard, avec un reflex numérique équipé dun objectif impressionnant par sa taille. Sophia se leva quand Vanessa quitta le salon et alla sasseoir dans le fauteuil face à moi. Son regard bleu pénétra le mien une dizaine de secondes avant quelle ouvre grand les jambes pour me dévoiler son intimité. Sa chatte était lisse, avec des lèvres proéminentes et un clitoris déjà apparent. Et déjà gros ! Enorme même ! Avec une célérité impressionnante elle fourra son index et son majeur dans sa fente, les ressortit aussitôt, et les suça du bout des lèvres en me fixant droit dans les yeux. Je navais quune envie ! Je voulais passer par-dessus la table basse qui nous séparait et la prendre sans préliminaire. Elle faisait ressortir la bestialité qui était en moi ! Mais déjà elle se relevait ajustait sa mini jupe en jeans et venait sasseoir à mes côtés comme si rien ne cétait passé. Et jen vins même à douter de ce que javais vu ! Peut-être avais-je halluciné ? Peut-être mavaient-elles même drogué ? On entend souvent des histoires de drogue du violeur, pourquoi serait-ce toujours les femmes les victimes ? Violé par ces deux créatures songeai-je, ne devrait pas être un traumatisme. Je devrais men remettre. Ce fut à cet instant que la voix de Sophia entra à nouveau dans ma tête :

– Ce nest pas sûr que tu en réchappes vivant siffla-t-elle avant de partir dans un rire sardonique.

Je me concentrai et essayai de converser avec elle par la pensée. Probablement parce que jétais déjà fou à lier à ce moment là ! Cela réussit évidement ! Et nous voilà en train de discuter sans quaucun de nous deux nouvrent la bouche.

– Pourquoi essaies-tu de meffrayer ? Que veux-tu de moi ?

– Rien que du sexe ! Encore du sexe ! Toujours du sexe !.

– Pas la peine de me faire flipper dans ce cas. Vous êtes ravissantes, je me ferai un plaisir de vous honorer du mieux que je peux.

– Tu as intérêt à te montrer doué, sinon

– Sinon quoi ? Dis-je mentalement avec un véritable déglutissement.

– Sinon tu seras notre jouet pour léternité !

Sur le moment je ne prêtai guère dattention à cette remarque, mais aujourdhui elle a pris tout son sens !

Jai oublié de préciser que lorsque Vanessa est revenue dans le salon, elle avait quitté sa robe, avec lappareil photo se balançant au bout de sa dragonne entre ses seins. Elle ne portait plus quun string rose avec un lapin blanc imprimé sur le devant.

Elle savança vers moi, défit la lanière du numérique et me le tendit pendant que je contemplais avec beaucoup davidité sa poitrine aussi bronzée que le reste de son corps. Elle était magnifique, avec des formes envoûtantes et des seins fermes qui invitaient à la palpation. Ses longues jambes fuselées lui donnaient une grâce féline renforcée par son regard bleu intense. Sophia venait de passer une main sous son haut blanc et se massait le sein droit avec une langueur aphrodisiaque tandis quelle observait Vanessa qui nous tournait le dos et se penchait en avant, offrant son magnifique cul en spectacle. Je pris le Canon, regardai lécran et zoomai sur les fesses de Vanessa jusquà la ficelle de son string. La haute résolution de lappareil me permettait de contempler les moindres détails de sa peau et je passai un moment à zoomer et à dézoomer les parties de son corps qui mattiraient le plus. Je la contournai même pour zoomer sur sa poitrine et contempler ses tétons en HD ! Jétais tellement obnubilé par mon voyeurisme à travers lécran de lappareil photo que je ne vis pas le moment où Sophia retira son haut, mais ses seins énormes mapparurent comme une vision enchanteresse lorsque je décidai de passer à létape suivante : la photographie.

Je passai lheure suivante à photographier Vanessa sous toutes les coutures et dans toutes les positions. Sur certaines, elle cachait sa poitrine entre ses mains comme si elle les soupesait, sur dautres, elle triturait ses tétons qui étaient devenus turgescents. Elle passait de poses classiques en poses lascives et, pendant tout ce temps, Sophia se caressait la chatte ou les nibards, et je lentendis même plusieurs fois râler de plaisir. Je la vis aussi retrousser sa minijupe et se doigter furieusement en contemplant la plastique de Vanessa. A cet instant, je braquai le Canon sur elle et mitraillai sa foufoune. Lépisode paranormal de télépathie auquel javais participé était oublié !. Mais le paranormal navait pas dit son dernier mot et jallais en faire les frais pour une très longue période à durée indéterminée !

Le soir de lapéro, je dus faire une centaine de photos de Vanessa. Sophia était entièrement nue à la fin de cette torride séance au cours de laquelle lalcool avait continué à couler à flots. Vanessa sétait contentée de faire des photos topless et, malgré mes multiples suggestions, avait toujours refusé de retirer son string. Ce fut Sophia qui le lui enleva sans quelle y oppose la moindre résistance. Elles étaient toute les deux à poil au milieu du salon et ma queue bandée était devenue douloureuse, comprimée par mon jeans. Ce fut ainsi que le paranormal reprit son cours. La voix de Sophia envahissait encore mon esprit et me proposa sur un ton qui masquait plusieurs sentiments :

– Tu vas pouvoir libérer ta bite et te branler ! Mate-moi dévorer la chatte de Vanessa. Regarde-la inonder mes lèvres de son nectar. Je vais la boire jusquà la dernière goutte. Je vais bouffer ses grosses lèvres, les sucer. Jenfoncerai aussi ma langue dans son petit trou. Tu sais elle adore quon lui lèche la rondelle.

Ce langage fit croître mon excitation et lorsque Sophia lapa (à genoux) le vagin de Vanessa qui se tenait debout au milieu du salon, je bandais comme un taureau et défis les boutons de mon jeans pour extraire mon vit que je branlai aussitôt. De ma place je voyais la tête de lukrainienne qui montait et descendait sur le mont de Vénus de sa coloc qui se pâmait de plaisir et finit par empoigner Sophia par ses couettes afin que son visage sécrase contre sa chatte.

Je navais quune envie me lever et les baiser. Je voulais pénétrer tous leurs orifices. Je désirais quelles me sucent, me mordent, me griffent. Ensuite je pourrai les prendre sans ménagement, je pourrai Une nouvelle fois la voix fit irruption dans ma tête :

– Tu pourrais nous enculer ! Vanessa adore quon malmène son petit cul, et si tu savais comme il est doux et chaud, tu y giclerais de nombreuses fois avant que ta soif de sexe soit satisfaite. Quant à mon cul il accueillera ta queue aussi, tu pourras la fourrer jusquaux couilles car je suis une experte de la sodomie !

Ma main continuait à sactiver sur la hampe de mon pénis, le caressant, le frottant, et le branlant de plus en plus vite. Sophia levait les bras à la recherche des seins de Vanessa, quelle agaça dabord avant de les pétrir. Je voulais me lever, m’approcher de Sophia, écartais sa belle paire de fesses pour admirer son petit trou. Les paroles de Sophia sur la sodomie m’avaient chauffé à blanc. Je voulais enfoncer ma bite dans leurs petites fesses. Pourtant, je ne fis rien. Je restai à regarder Vanessa se faire bouffer le minou quand je pris mon courage à deux mains et me levai pour passer derrière Vanessa. Je commençais par caresser timidement ses épaules. Voyant qu’elle ne semblait pas contrarier, je fis courir mes mains le long de son dos jusqu’à ce qu’elles arrivent au sommet de son splendide popotin. J’hésitai un instant avant d’agripper ses parties charnues que je cajolais doucement avant de les malaxer énergiquement. Elle avançait son bassin vers les lèvres de Sophia qui engloutissait l’intégralité de sa chatte. Il ne me fallut pas longtemps pour couvrir ce fessier de baisers et faire coulisser ma langue dans sa raie soyeuse.

J’évitais d’abord de toucher à son anus, mais la tentation étant trop grande, ma langue fusa promptement sur son illet que je finis par suçoter et même mordiller. Quand je remarquai que Vanessa paraissait appréciée ma caresse linguale je m’attardai longuement sur sa rondelle dans laquelle ma langue pénétra à maintes reprises. Sophia aspirait ses lèvres, les mordait avec beaucoup dardeur avant dassaillir son clitoris qu’elle malmenait avec la bouche, et même les dents. Je mangeai son cul quand je m’aperçus que celui-ci bougeait tout seul. Sophia venait d’introduire le majeur et l’index dans le fourreau vaginal de Vanessa qu’elle pistonnait. Je décidai alors de faire la même chose à son rectum. Mais deux doigts y entrèrent comme dans du beurre et explorèrent l’étroit conduit avec beaucoup de délicatesse, pour finir par entrer et sortir à vive allure. Vanessa ondulait de plus en plus vite du bassin qui venait s’écraser, à tour de rôle, sur les doigts de Sophia ou les miens. Sa respiration se fit plus sonore et se transforma en gémissements ponctués de « Oui ! Comme ça. », « Plus vite », « Oh oui ! Cest bon » et autre phrases du même acabit. Quelques minutes plus tard, elle hurlait sa jouissance en faisant tournoyer ses hanches sur nos doigts.

Au moment où je me relevai, la voix étrange de Sophia s’éleva à nouveau dans ma tête.

– Alors tu ne veux pas nous enculer ! Tu ne veux pas enfoncer ta queue dans nos minces conduits qui ne demandent que ça ! Ou alors es-tu trop intimidé pour nous baiser convenablement ?

– Je vais vous malmener, je vais vous enculer jusqu’à ce que vous me suppliiez d’arrêter. Me vantai-je.

– Monsieur est prétentieux ! Voyons voir ce que tu as dans le falzar et fourre nos deux culs. Tu as intérêt à être à la hauteur !

Je me mis debout, fis se pencher Vanessa et frottai mon gland à sa raie luisante de salive. Quand cette dernière recouvrit mon sexe, je me plantai dun seul coup dans son anus et my engouffrai jusquau pubis. Vanessa ne paraissait pas insensible à la sodomie et poussa un long râle de plaisir quand ma queue disparut entre ses fesses. Sophia s’était allongée sur le sol, jambes repliées et écartées pour permettre à Vanessa de goûter à son intimité. Je navais jamais vu de chatte aussi volumineuse, de lèvres aussi épaisses, de clitoris autant imposant, et je dois avouer que cela mexcitait beaucoup ! Javais envie de lécher son gros clito et davaler ses lèvres, mais pour le moment cétait Vanessa qui sy attelait. Elle commença par laper la vulve avec délicatesse, faisant le contour de la pointe de la langue, pendant que je fourrai son cul en entrant et sortant entièrement pour my replanter avant que sa corole anale ne se referme.

J’ai passé une partie de la journée à écrire et je vais devoir marquer une pause. Elles risquent de revenir d’un moment à l’autre ! Si elles me surprenaient à coucher par écrit ce quil marrive, je ne sais pas ce quelles me feraient. Mais avec ce quelles mont déjà fait subir, je ne peux mattendre quau pire ! À quoi vais-je avoir droit ce soir ? Je suis tellement épuisé de ces soirées !

Jeudi 28 août : La soirée a été rude. Elles mont baisé jusqu’à ce que mes couilles deviennent douloureuses ! À la fin je narrivais même plus à bander ! Et apparemment, cela ne leur a pas plu ! Elles ont promis de me tuer si je narrivais pas à assurer. C’est peut-être la dernière fois que j’écris dans ce journal. J’espère vraiment que quelquun mettra la main dessus ! Mais d’abord je dois finir de raconter la première soirée passée en leur diabolique compagnie.

Je sodomisai donc Vanessa tandis quelle régalait Sophia de sa langue. Jessayai de me retenir un maximum et échouai, trop emporté par le spectacle que moffraient mes deux voisines ainsi que la chaleur enivrante du derrière dans lequel mon sexe baignait. C’est à partir de ce moment-là que j’ai commencé à redouter ce qui allait marriver par la suite. Les communications télépathiques avaient déjà généré de l’anxiété que le sexe avait rapidement dissipée.

Lorsque je fus prêt à éjaculer, je sortis de ses fesses et fis gicler mon foutre dessus. Il venait à peine de se déposer sur son cul que la voix de Sophia gronda dans ma tête :

– Qui tas autorisé à jouir ? Je t’ordonne denculer Vanessa !

– Je dois me reposer, je ne peux pas bander sur commande, dis-je en utilisant moi aussi la télépathie.

– Tu as une minute pour faire dresser ton petit oiseau. Après je te larrache !

Je pris d’abord cela pour une plaisanterie et me mis à rire. Grossière erreur ! Vanessa se redressa et un instant ses yeux bleus devinrent deux orbites noires de jais. Il me sembla même voir des canines proéminentes, comme celle des vampires, pointaient de sa bouche. La peur me tétanisait. Je me rassurai une nouvelle fois en me disant quelles mavaient peut-être drogué. Sans effet. La terreur pénétrait tout mon corps et je nétais pas prêt de bander. Mon sexe sétait racorni, et me fit penser à un macaroni trop cuit. Sophia bondit et se retrouva instantanément entre mes jambes. Comment avait-elle fait pour se mouvoir aussi vite ? Ce déplacement avait quelque chose danormal qui ne fît que croître mes angoisses. Néanmoins lukrainienne (est-elle réellement ukrainienne ?) prit mon sexe en bouche et le masturba avec ses lèvres. Sa bouche était moite, très accueillante et dun coup de bassin, je menfonçai jusquà la garde. Sophia, vrai déesse de la fellation, absorbait lintégralité de ma queue sans problème et me remit en forme en deux temps trois mouvements. Dès que ma verge fut dure, elle cessa de me sucer et mintima lordre denculer Vanessa avant de retourner se faire brouter le minou. Je plaçai mon gland à lentrée de son illet et mempalai dun coup sec au fond de ses fesses ce qui la fit haleter immédiatement.

Vanessa poussait maintenant de petits cris aigus, son cul malmené par mon exploration anale de plus en plus vigoureuse, sa tête sécrasant contre la moule de Sophia qui gémissait tendrement. Ces sons érotiques accrurent mon excitation et je me forçai à ralentir la cadence pour ne pas jouir trop vite. Je ne voulais pas les décevoir ! Mais Sophia ne mavait pas arraché la bite après tout. Cétait peut-être une plaisanterie. Je me fis plus doux et Sophia prit à nouveau dassaut mon esprit :

– Qui tas dis de ralentir mon coco ! Baise-la fort. Démonte-lui le cul. Tu aimes que je te parle comme ça ! Ca texcite toute cette vulgarité. Défonce-la ! Agrandit son petit trou ou ce coup-ci, et ce nest pas une plaisanterie (il me sembla quelle insista sur ce mot comme si elle avait pu lire dans mes pensées) je te sectionne la bite. Tu comprends ? Vulgaire déchet ! Casse ce petit cul et fais la jouir sinon gare à toi !

Tous ces propos salaces (vulgaires, très vulgaires) mavaient mis dans tous mes états et je me mis à marteler lanus de Vanessa, lenculant jusquà ce que mes bourses entrent en contact avec sa fente trempée. Heureusement pour moi, elle grimpa aux rideaux avant que je néjacule et Sophia jouit en même temps quelle. Quelque seconde plus tard je mextirpai de ses fesses et déversai plusieurs jets de sperme dans sa raie culière. Vanessa se tourna alors vers moi et me dit sur un ton sévère :

– Allez ! Encule Sophia !

– Quoi ? Tu plaisantes ? Je ne peux

– Encule-la sale lopette ou je te fais bouffer ton macaroni, hurla-t-elle en me foudroyant de ses yeux qui étaient devenus à nouveau deux perles noires inexpressives, sans le moindre blanc.

– Mais je ne peux pas y arriver. Laissez-moi cinq minute !. Jaurais aussi sans doute besoin de votre aide, dis-je timidement.

– Tu as une minute comme tout à lheure, et si tu crois quon est à ta disposition pour te sucer, tu te fourres le doigt dans lil mon coco !

La main invisible de la peur posait ses doigts glacés sur ma gorge, prête à serrer, et je me concentrai pour essayer de la faire lâcher prise. Il fallait que je puisse avoir une nouvelle érection, sinon Sinon quoi au juste ? Je lignorais, mais à mon avis, cela ne présageait rien dagréable. Jattardai donc mon regard sur mes voisines et me focalisai sur les parties libidineuses mimaginant plonger mon sexe dans leur bouche, leur con, entre leurs seins, et dans leur cul. Dailleurs cétait ce quelle me demandait elle voulait que je prenne leur cul ! Etrange demande venant de la part de femmes ! Dhabitude quand ces dames vous autorisez à pratiquer la sodomie, il fallait que cela ne dure pas trop à cause de la douleur. Ces deux là étaient lantithèse des filles que javais connues. Elles voulaient se faire casser la rondelle ! Ces réflexions jouèrent en ma faveur et mon pénis se redressa avant le temps qui métait imparti.

Sophia était restée sur le dos et quand je mapprochai delle, elle ramena ses genoux sur sa poitrine, exhibant son trou du cul. Je me mis à quatre patte et titillai son anus de la pointe de la langue avant de le laper à pleine bouche, lhumidifiant de ma salive pour le préparer à la sodomie. Elle semblait appréciée se faire lécher le cul alors je continuais sur ma lancée, ramollissant son petit trou en y insérant la pointe de ma langue. Puis je me mis sur les genoux et plaçai mon sexe contre son anus. Mon gland se frotta un instant contre cette petite entrée avant de sy enfoncer jusquau pubis. Elle éructa un mot en ukrainien et je me mis alors à remuer dans son rectum avec beaucoup de délicatesse.

Vanessa passa sa main sur mes fesses et leur offrit un voluptueux massage. Ma pénétration devint vite plus vigoureuse et je baisais ce beau cul en faisant claquer mes hanches contre celle de Sophia. Vanessa écartait maintenant mes fesses et de temps en temps, promenait un doigt dans ma raie. Je sentais quelle nallait pas tarder à tripoter mon anus. Je nétais pas vraiment dhumeur à me faire triturer le fion. Personne ny avait jamais touché et je souhaitais que cela reste ainsi. Mais la garce savait y faire. Elle passa derrière moi et me lécha la raie du cul avant de saboucher à ma ventouse quelle osa même pénétrer du bout de la langue. Quand jy repense jen ai encore des frissons. Cétait délicieux ! Dire que personne ne mavait fait cela avant. Et qui plus est cela risquait bel et bien dêtre la dernière !

Sophia navait pas menti, cétait une experte de la sodomie. Je lenculais jusquà ce que ma queue disparaisse entre ses fesses et elle ne bronchait pas. Elle agitait même son cul pour la sentir appuyer partout. Elle ondulait des hanches pour sy empaler et nous adoptâmes de nombreuses positions où jexplorais son cul accueillant. Jétais devenu plus résistant à cause de toutes les fois où javais joui. Jai vraiment pris mon pied à envahir son anus. Dy penser me donne un début dérection !

Elles devraient rentrer dans pas longtemps ! Le reste de la première soirée est assez confus. Je me souviens du moment où jai éjaculé dans lanus de Sophia. Cela ne lui a pas plus et cest à ce moment là quelles mont attaché les mains et les pieds avec de la corde. Sophia hurlait à sen faire péter les poumons :

– Petit bâtard ! Qui tas autorisé à te vider dans mon cul ? Tu vas me le payer. Je vais te montrer comment on traite les petites merdes dans ton genre (elle saisit alors mes poignets et son étreinte était si puissante que je crus un instant quelle allait me les briser.)

– On va tenculer mon gars. Tu vas savoir ce que ça fait de se faire ramoner le trou, beugla Vanessa.

A cet instant Vanessa exhiba lobjet du crime quelle dissimulait derrière son dos. Un gros godemiché noir (nettement plus imposant que ma verge.) Jétais terrifié ! Jamais mon cul naccepterait pareil intrus ! Pourtant la queue de black factice me défonça le cul jusquau petit matin. Jai du me retenir des heures avant de pleurer de douleur et de honte, dans la chambre condamnée dans laquelle elles me sanglèrent sur un lit.

(à suivre.)

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