Bonjour à tous et à toutes. Mon nom est Corentin, j’ai 20 ans, je suis d’un naturel assez timide, et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a quelques années.
Cet événement eut lieu l’année dernière. Nous étions en soirée avec plusieurs de mes amis proches. Une soirée agréable, mais assez habituelle. Une dizaine de personnes, principalement des garçons. Bonne entente, blagues graveleuses et consommation plus ou moins excessive d’alcool étaient au rendez-vous.
Vers 3h du matin, la plupart des invités étaient soit rentrés chez eux, soit couchés, si bien que je me suis retrouvé à dormir dans le même lit que Maxime, un de mes amis proches. Aucun problème à cela, et une fois les plaisanteries habituelles sur les relations sexuelles complètement dingues que nous aurions, chacun a retiré son pantalon et s’est tourné vers son mur. J’avais une copine, qui n’avait pas pu venir ce soir-là, et même s’il s’amusait souvent à venir m’attraper les fesses lorsqu’il était derrière moi ou agripper mon visage lorsque j’étais penché en avant, je prenais tout ça à la rigolade.
Nous discutions de tout et de rien en nous attendant que le sommeil nous gagne, jusqu’à ce qu’on en vienne à parler de ma copine.
"Et alors, au lit, ça se passe bien avec Mathilde, me demanda Maxime.
-Mec arrête de demander, je t’ai déjà dit que c’était privé toutes ces histoires-là.
-Oh ça va, on est entre couilles là, tu peux me dire ! Je suis sûr qu’elle te fait des trucs cochons en plus."
Je n’ai pas répondu, étant habitué à ses petites digressions sur le sujet. Elles avaient d’ailleurs habituellement pour effet de réjouir Mathilde, qui adorait provoquer le désir d’autrui.
"Si tu savais le nombre de fois où je me suis imaginé, vous deux, en train de le faire …"
Ça, c’était nouveau. Maxime a dû sentir ma gêne, car il a rapidement essayé de rattraper ses mots maladroits.
"Enfin, je veux dire, pas vous deux, forcément. Juste elle des fois. Enfin non, je déconne hein, t’inquiète !"
Comme je ne répondais rien, et qu’il préférait arrêter de s’enfoncer, nous avons tous les deux arrêté de parler. Cependant, cette dernière phrase avait, malgré moi, imprimé des images osées dans mon esprit. J’imaginais Maxime, grand et bien bâti, en train de pénétrer ma copine. Pour une raison que j’ignore, cette pensée m’excitait beaucoup plus qu’elle ne l’aurait dû. Comme une érection naissante commençait à arriver, j’ai vite demandé à Maxime son avis sur le dernier jeu vidéo en date. La discussion s’est un peu poursuivie, mais ma demie-molle ne semblait pas vouloir se calmer.
Puis, Maxime s’est légèrement rapproché de moi, sans le vouloir. Je lui tournais le dos, son corps était à quelques centimètres du mien. Je pouvais presque sentir son souffle doux et chaud sur ma nuque. D’un seul coup, mon caleçon commença à me paraître très serré. Je n’avais jamais eu de pensées homosexuelles avant, mais j’étais irrésistiblement attiré par l’entrejambe de mon camarade. Des picotements agréables commençaient à parcourir mon bas-ventre, et je n’osais pas bouger, de peur de briser la magie.
Je me suis humecté les lèvres ; je voulais … Non, il fallait que je le touche.
"Maxime, dis-je tout doucement, la voix tremblante. Tu voulais dire quoi, quand tu t’imaginais, moi et Mathilde ?
-Non mec t’inquiète, c’était une petite blague, tu me connais …
-Tu t’es déjà masturbé en pensant à nous ?"
Il n’a pas répondu. Je me retournai, afin de lui faire face. Dans la pénombre, je pouvais apercevoir ses yeux, bleus et grands ouverts.
"Tu te branles sur nous ?
-… Oui."
Cette réponse contracta mon sexe, et je laissai échapper un petit gémissement de plaisir. Ma respiration commença à s’accélerer, et celle de Maxime se fit plus forte. Bien qu’aucun de nous ne se soit rapproché de l’autre, j’avais l’impression que nous étions plus proches.
Timidement, j’ai effleuré sa cuisse du bout des doigts. Comme il restait sans réaction, j’ai cette fois caressé sa jambe avec ma main, en remontant lentement vers son entrejambe. Il avança son bassin vers ma main, et lorsque je commençai à toucher sa queue à travers son caleçon, il laissa échapper un soupir rauque.
"Retire mon slip, m’a-t-il dit, d’un ton ferme et décidé".
Bien trop heureux d’exécuter sa requête, je descendis son caleçon jusqu’à ses chevilles. Dans la pénombre, je voyais son sexe, bien plus long que ce que j’imaginais, mais pas très large. Je rapprochai mon visage de sa bite, déjà toute tendue. Alors qu’une petite partie de moi essayait de me raisonner, mon être entier réclamait le goût de cette queue. Timidement, je déposai un baiser sur le bout de son gland.
C’est à ce moment-là que Maxime m’agrippa la tête de ses deux mains et colla sa verge contre mon visage. Sur le dos, il faisait des va et viens contre ma bouche entrouverte. Je restai abasourdi.
"Ouvre la bouche et suce-moi".
Sans trop savoir ce que je faisais, j’ouvris un peu plus la bouche pour permettre à sa bite de se frayer un chemin contre ma langue. Il m’agrippa le crâne de plus belle et commença à gémir en me pénétrant la bouche. J’essayais tant bien que mal de me débattre pour ne pas étouffer, mais il ne me laissait pas faire, et de longs filets de bave vinrent bientôt se déverser sur ses couilles rasées.
Quelques gouttes de sperme atterrirent sur ma langue. Leur goût était exquis, et je m’abandonnai complètement à lui. Jouant avec ma langue tandis qu’il me salopait la bouche, je ne pensais plus à rien ; ni à l’acte qui était en train de se produire, ni à ma copine que j’étais en train de tromper, ni aux bruits de ses boules claquant contre mon menton, qui risquaient de réveiller les invités dormant dans les chambres d’à côté. Je voulais qu’il m’utilise comme un objet, qu’il vide ses couilles au fond de ma gorge et me force à avaler.
Après quelques minutes de ce traitement intensif, Maxime se retira de ma bouche, déversant un flot de salive et de liquide pré-séminal sur ses couilles et ses cuisses. Il m’attira contre lui, et, bien plus imposant que moi, me retourna sur le dos, pour venir s’asseoir sur mon torse. Le mélange chaud se déversa dans mon cou. Il tapa sa bite contre mes joues :
"Branle-moi un peu pendant que tu te reposes, puis prépare-toi. Je veux me finir dans ta bouche".
Cette pensée seule parvint presque à me faire jouir. Une quantité non négligeable de sperme se forma au bout de mon gland. De mes deux petites mains, je branlai frénétiquement avec aisance sa bite trempée. Bientôt, il vint se mettre accroupi au-dessus de ma tête, ses mains sur l’arrière de mon crâne, et commença de nouveau à pénétrer ma bouche. Pendant ce temps, je lui malaxais les couilles. Ses mouvements devenaient plus rapides, moins profonds. Il faisait de tout petits va-et-vient rapides, son gland seul enserré par mes lèvres, lorsque sa voix monta dans les aigus. Puis, il s’arrêta, fut pris de convulsions, et déversa d’énormes rasades de spermes sur ma langue et au fond de ma gorge, que j’avalai goulument. Ce gland tout gonflé déversant par à-coups ce doux nectar suffit également à me faire jouir.
Une fois ma bouche remplie, il se retira, tomba à côté de moi sur le dos, et tenta de reprendre son souffle. Mon caleçon tout trempé de mon sperme et ma langue souillée du sien, mon excitation retomba bien vite, et j’essayais de m’imaginer comment j’allais devoir expliquer tout ça à ma copine, le lendemain …
Si cette histoire vous a plu et que vous aimeriez en connaître la suite, faites-le-moi savoir dans les commentaires !