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Les portes de l'interdit – Chapitre 5




Les portes de linterdit : Saison 2

Le retour dAnaïs

Anaïs était revenue depuis deux jours et cétait cloitré dans sa chambre depuis tout ce temps. Elle nous avait a peine parlé a son arrivé et depuis elle adoptait un mutisme total. Jétais exaspérée et très inquiète pour elle, javais essayé de joindre Jean pour avoir des explications mais je nobtenais que sa messagerie, de toute évidence il filtrait mes appels. Ny tenant plus jordonnais à Marie daller recueillir les confidences de sa sur de grés ou de force. Elles avaient toujours été complices et jespérais quelle lui accorderait sa confiance tôt ou tard.

Ma fille ainée était en train de pomper son papy chéri quand je lui demandais daller voir sa sur. Cétait devenu leur rituel matinal, mon père nourrissait de son sperme chaud sa petite-fille, lui remplissant le gosier de son foutre abondant. Marie mavait avouée adorer se repaitre de la semence de son papa au réveil alors quelle était encore à jeun. Lidée de salimenter par la bite de son géniteur lémerveillait, il lui semblait quelle puisait dans cette source séminale une force nouvelle. Se nourrissant de son sperme elle se sentait plus puissante, plus belle, plus désirable et plus satisfaite. Elle se régalait de savoir ses spermatozoïdes grouiller dans sa gorge puis dans son estomac. Ainsi repue elle lui offrait alors sa croupe pour quil la saillisse, lui offrant sa chatte baveuse et trempée, surexcitée a lidée de se faire baiser et surtout engrosser par celui qui était son grand-père mais aussi son père.

Jinterrompais leur ébats a leur première partie, Marie se ferais titiller les ovaires par le sperme de son père plus tard, il fallait que je sache ce qui était arrivée a Anaïs. Contrariée mais compréhensive Marie enfila sa nuisette alors quun reliquat de foutre gouttait du coin de ses lèvres pulpeuses et sécrasait sur son sein droit. Sans y faire attention elle nous quitta pour tenter dexécuter sa mission.

Papa partageait mon inquiétude et approuva mon initiative bien quil détenait encore une superbe érection. Il ne se lassait pas de nous honorer malgré son âge, il avait retrouvé la vigueur de sa jeunesse si bien quil lui était possible de rebander très rapidement après avoir joui. Il nous gratifiait donc de sa copieuse semence a de nombreuses reprises.

Bien quinquiète et préoccupée je ne pouvais laisser mon papa dans cette situation. Jôtais mon peignoir et mempalais sur son vit. On forniqua comme des bêtes si bien que les poils de ma chatte étaient gluants de ma mouille et de nos sueurs quand il déversa sa semence féconde dans mon ventre fertile.

Notre accouplement avait eut lavantage de me faire oublier un long moment langoisse qui métreignait.

Quand Marie revint enfin je vis aussitôt sur son visage quelle savait ce qui cétait passé.

« -Elle ta enfin parlé, raconte moi tout. »

« -Oui elle ma dit ce qui cest passé, mais elle ne veut pas que je vous en parle. »

« -Elle ta dit ça, mais elle sait bien au fond que tu vas tout venir me raconter. Ne ten fait pas, allez dis moi tout ! »

« -Maman, elle a bien insisté, ça doit rester entre elle et moi. »

« -Tu es pénible ! Dis-moi au moins si cest grave. »

« -Oui, ça lest. Bien que ce que nous faisons nous, lest aussi mais là cest plus glauque. »

« -Quoi ? Tu veux dire quil a abusé delle ? Il la violée ? »

« -Non mais Oh jen ai trop dit. Cest dur de ne pas ten parler. »

« -Allez, tu ne peux pas garder ça pour toi ma chérie, il faut quon sache. »

« -Bon daccord Voila ce quelle ma dit :

Quand elle est arrivée elle a trouvé papa enfin Jean très triste et malheureux. Tu sais quelle a toujours été plus proche de lui que moi. Elle a eue lenvie de le réconforter, de prendre soins de lui. »

« -Ca il sait le faire, il est même très doué pour se faire plaindre ! »

« -Bon, son appart était en vrac, le premier jour elle a jouée a la ménagère, la vaisselle, le linge, le ménage et les courses. Elle ma dit quil ne mangeait plus que du mac do et des pizzas. »

« -Ca ne me surprend vraiment pas, il nen foutait pas une et ça na pas changé. »

« – En tous cas ça a plu a Anaïs de soccuper de lui comme ça. »

« -Ca métonne, elle rechignait toujours à nous aider. »

« -Oui, mais la, elle ma dit quelle se sentait responsable de lintérieur, comme si elle devenait la femme de la maison, du foyer. »

« -Bon ok, jai peur dentendre la suite. »

« -Jarête si tu veux. »

« -Non, non vas y je ne tinterromps plus. »

« -Ok, en fait je pense quelle a toujours été un peu amoureuse de lui et là de se retrouver seule avec lui dans cette situation a fait rapidement évoluer ce sentiment. En plus il la complimentait pour tout ce quelle faisait pour lui. Il ne cessait de la remercier dêtre venue le voir, quelle était la seule à se soucier de lui. Que de toute façon elle avait toujours été sa fille préférée. Si bien que le troisième soir ils on commencer à flirter un peu et en plus il ny avait quun seul lit. Du coup ça cest précipité et ils couchaient ensemble, enfin je veux dire ils baisaient. »

« -Putain, je naurais jamais cru ça de lui. Quel porc pourri !»

« -Mais maman, cest aussi ce que nous faisons… »

« -Nous cest lamour qui nous uni, lui il fait ça pour avoir une bobonne a la maison et ce vider les couilles. »

« -Je pense quAnaïs laimait à ce moment là. Mais lui il a profité delle tu as raison parce-que les choses ont vite mal tourné. Après un week-end en amoureux elle a vite déchanté. Le lundi soir il a ramené des types pour jouer au poker. Apparemment il les connaissait depuis un moment et leur devait déjà du fric. Ils ont joué et pas mal bu, Anaïs ne se sentait pas a laise, certain lui touchait les jambes ou les fesses quand elle leur portait des bières et Jean ne leur disait rien. A la fin de la soirée Jean était encore plus plumé et les autres voulaient leur pognon. Apparemment papa, heu Guy, était mort de trouille et il leur a dit quil ne pouvait pas les payer. Alors il y en a un, un barbu avec une cicatrice sur la joue qui a sorti un couteau. Jean lui a aussitôt dit quils pouvaient quand même sarranger et qua la place du fric il pouvait avoir Anaïs, même que cétait pour ça quil les avait emmenés joué chez lui ce soir. »

« -Quoi ! Mais quel fils de pute. » Mécriais-je.

« -Ce type est une ordure qui mérite de crever ! » souffla papa entre ses dents.

« -Bon dis nous la suite. »

« -Anaïs était terrorisée, mais elle avait peur pour son père aussi. Les trois hommes ont accepté. Deux lont prise dans la chambre pendant que papa et le barbu attendait. Quand ils ont eut fini le barbu a dit quil voulait quelle vienne chez lui le lendemain parce-que Jean lui devait beaucoup plus de fric quaux autres. Elle y a été et ça a dut être très dur parce que elle na rien voulut me dire sur ça. Mais le pire cest que quand elle est rentrée, Jean lui a dit que maintenant il pouvait jouer encore plus au poker vu quil naurait plus à débourser du pognon. Cest là quelle a compris quil nen avait rien à foutre delle alors elle a appelée pour rentrer. »

« -Je vais moccuper du cas de Jean. Je peux vous assurer quon nen entendra plus jamais parler les filles. »

« -Fais le bien souffrir avant cet enfoiré ! »

« -Ne ten fais pas je connais des types dont cest la profession. »

« -La pauvre, elle doit être complètement traumatisée, elle nest pas prête de refaire confiance à un homme. »

« -Tu sais maman, elle est bien plus forte quil ny parait. »

« -Alors pourquoi reste telle murée dans sa chambre, pourquoi ne veut telle pas quon la réconforte ? »

« -Parce quelle a honte de ce quelle a fait avec celui quelle croit être son père. Elle a peur que tu lui en veuille, que tu la déteste et la rejette. »

« -Mon dieu, mais cet faux bien au contraire, cest tout linverse. »

« -Je sais maman. »

« -Je naurais pas du la laisser aller la bas. »

« -Je crois quelle devait y aller, sans ça elle ne se serait pas rendu compte de la vraie nature de Jean, maman. »

« -Si je lui avais dit quil nétait pas son père tu crois que cela aurais changé quelque chose ? »

« -Peut-être, tu sais elle ma dit quau lit il nétait vraiment pas exceptionnel mais quelle avait beaucoup joui parce que cétait son père. »

« -Cest incroyable, décidément linceste nous excite beaucoup a toutes. Je regrette vraiment de ne lui avoir rien dit. »

« -Je nai pas osé lui dire quoi que ce soit sur nous. Je préférais venir vous voir avant, jétais perdu. »

« -Je pense que tu dois aller lui parler immédiatement Florence ! »

« -Tu crois papa, ce nest pas un peut trop tôt. »

« -Non, le plus tôt sera le mieux justement, il ne faut pas la laisser se recroqueviller dans la culpabilité et senfermer dans une carapace de vertu quelle voudrait retrouver. Allez y toutes les deux et dites lui tout. Elle a jouit de linceste, cest notre seule chance ! Elle aura envie dy regoûter. Croyez moi, maintenant quelle sait quon sait, il faut tout mette sur la table, après il sera trop tard. »

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