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Bonne année, chère cousine – Chapitre 1




Ce soir, c’est le 31 décembre. Comme à l’accoutumée, ma famille, composée de mes parents, de mes frères et surs mais également de mes cousins, cousines, oncles, tantes et toute la compagnie, se retrouve pour une grande fête dans une salle louée pour l’occasion. Il est sept heures et demi de l’après-midi. Dans une demie-heure, nous partirons quelques kilomètres plus loin.

Mais où avais-je la tête ? J’ai oublié de me présenter. Je m’appelle Melvin, j’ai 19 ans et suis étudiant en mathématiques au Havre. Célibataire depuis mes 14 ans, je ne connais pas la douce sensation d’une femme collée à mon corps ni, à fortiori, le plaisir charnel ressenti lors d’un coït. Brun aux yeux verts, je suis en quelques sortes le scientifique de la famille.

Plus qu’une demie heure et je devrai partir. Je commence par prendre une bonne douche avant de me raser et m’habille. Je prends le temps de bien faire rentrer ma chemise dans mon pantalon noir parce que, si l’on en croit ma mère, ça fait plus « classe ». Toutefois, je ne mets pas de cravate, je déteste cela et, après tout, c’est une fête de famille, pas un dîner à l’Élisée. J’enfile mes chaussures récemment cirées et attends impatiemment dans la pièce à vivre, devant la télévision.

Cinq minutes avant le départ, j’éteins la télévision et interromps ainsi la présentatrice posant l’ultime question à deux candidats surexcités avant de vérifier que je n’ai rien oublié. Je quitte la maison et monte dans le voiture. Après discussion, mon père décide de conduire afin que je puisse profiter quelque peu de l’alcool (étant jeune permis, il m’est interdit de boire la moindre goutte de ce breuvage paralysant les neurones). Nous nous mettons en route et nous arrivons à destination en un petit quart d’heure. Lorsque nous arrivons, ma sur, Wendy, en robe noire et brillante de paillettes, nous accueille avec ses deux filles de cinq et trois ans. Nous pénétrons dans le vestibule et déposons nos manteaux sur les patères de la pièce située à notre gauche avant d’entrer dans la salle à proprement dite. Là, je me rends compte que nous sommes dans les premiers à être arrivés. Je fais rapidement la bise aux membres de la famille déjà présents et nous discutons de tout et de rien. Enfin, par de tout et de rien, je veux dire de sciences. En effet, mis à part ce domaine, j’ai énormément de mal à avoir une conversation de plus de deux minutes. Nous sommes donc partis, ma cousine et moi, pour parler de physique. Elle commence par me demander ce que j’étudie en ce moment. La discussion en vient alors à « pourquoi le ciel est-il bleu ».

-C’est parce que le ciel se reflète sur la mer, répond mon petit-cousin, Matthis.

-Non, c’est la mer qui se reflète sur le ciel, dis-je. Tu es sûre de vouloir savoir ça, Céline ? C’est plutôt compliqué, réponds-je.

-Vas-y, après tout, peut-être que je vais comprendre, rit-elle

-Peut-être, souris-je à mon tour. Bon, si le ciel est bleu, c’est à cause de l’atmosphère. Il contient des particules qui absorbent la lumière venue du soleil parce que cette couleur est la plus énergétique. Ces particules se mettent alors à rayonner. Ce rayonnement atteint alors d’autres particules et ainsi de suite jusqu’à nos yeux.

-OK, t’avais raison, j’ai pas tout compris mais j’ai retenu l’essentiel, c’est déjà ça. Bon je te laisse, il faut que j’aille voir Aurélie, il paraît qu’elle a besoin d’aide avec sa fille.

Je souris et la laisse partir. Pendant ce temps, Matthis, qui n’avait rien perdu de mon explication quant à la couleur de notre ciel, m’interpelle.

-Eh, t’es vraiment si fort que ça en maths ?

-Tout dépend de ce que tu veux dire par fort.

Et là, il me pose un calcul absolument insolvable sans calculatrice. Je peine à lui expliquer que je ne suis pas une machine et que les mathématiques ne sont pas uniquement du calcul mental. Il me demande alors ce sur quoi je travaille en ce moment alors je lui montre, très rapidement via mon téléphone (et avec une certaine envie de changer de sujet), quelques fonctions comprenant des symboles qu’il n’a jamais vus par le passé. Après tout, il est vrai que les sommes d’intégrales multipliées par des coefficients binomiaux effraient la plupart des gens. J’avoue avoir une moue amusée lorsque je vois ses yeux s’agrandir devant l’énoncé face à lui. Impressionné, il me laisse et va retrouver sa mère, sans doute pour lui raconter ce qu’il vient de voir.

Une demie heure s’écoule et presque tout le monde est arrivé. Nous avons tous discuté entre nous et j’ai finalement rejoint le fils aîné de Céline : Sullivan. Nous nous sommes toujours entendus depuis notre plus tendre enfance et même notre croissance d’hormones n’avait pu altérer cela. Nous nous mettons alors à discuter des filles que nous avons rencontrées. Je lui ai raconté ma récente déception amoureuse tandis que, lorsque vient son tour, il me parle de ses coups d’un soir dont l’une avec une maquilleuse de vingt-deux ans. Nous discutons alors de tout et de rien jusqu’à ce que les derniers arrivés pénètrent dans la salle. Ainsi entrèrent Christophe et ses trois filles : Jiulia, Sasha et Nolwenn. Le première, âgée de six ans, est la benjamine. La seconde, à treize ans, commence à peine sa transformation en adolescente tandis que la dernière, Nolwenn, a dépassé cette phase de puberté depuis longtemps. La jeune femme, âgée de vingt ans, avait acquis des formes on ne peut plus attirantes. Je n’ai pas l’habitude de me rincer l’il sur les membres de ma famille, mais là je ne peux pas m’en empêcher. Ses cheveux bruns tombant sur sa poitrine développée et masquée par une robe noire étaient somptueux. Lorsqu’elle se tourne pour poser son manteau, j’en profite pour regarder subrepticement ses fesses, absolument parfaites. Je m’imagine déjà faire glisser mes mains le long de cette peau que je suppose si douce et délicate. Je rêve de passer outre ses vêtements brillants et de m’amuser avec son corps, mais elle reste ma cousine. Je me rends alors compte qu’il faut que je calme mes pulsions sinon une érection risque de pointer le bout de son nez.

-Vous êtes finalement arrivés, leur dis-je en riant. Vous vous êtes perdus en route ou quoi ?

-Non, c’est ma faute, répond Christophe. J’avais pas vérifié le réservoir d’essence de la voiture et j’ai dû faire le plein.

-Heureusement que t’es pas tombé en panne sur la route, ç’aurait été dommage que tu ne puisses pas venir.

-C’est clair.

Nous continuons à discuter. Au passage, je fais la bise aux trois nouvelles venues et, lorsque nous avons fini de discuter, je rejoins Sullivan. Toutefois, au passage, Nolwenn me fait signe de la rejoindre et j’obtempère. Elle m’attend devant la table sur laquelle boisons et biscuits apéritif attendent pour remplir les estomacs de ma famille affamée.

-Salut Melvin, ça fait longtemps, me dit-elle gentiment.

-Je crois que ça fait cinq ans. Ou peut-être six, je ne sais plus.-C’est ce que je dis, ça fait longtemps, rit-elle. Alors, quoi de beau ?

-Toujours aussi solitaire, et toi ?

-Toi, solitaire ? Pourtant, un gars intelligent dans ton genre ne devrait pas avoir à de mal à trouver une copine.

-Tu vas peut-être être étonnée, mais il ne suffit apparemment pas de pouvoir démontrer le théorème de Pythagore en dix secondes et demi pour attirer les nanas.

-Ce que tu peux être bête, quand tu t’y mets, me dit-elle.

Elle prend une poignée de cacahuètes et les avale en un rien de temps. Là, elle regarde par-dessus mon épaule et commence à s’en aller.

-Excuse-moi, mon père m’appelle, je te rejoins tout à l’heure.

Je la laisse partir avec un sourire avant de me servir un verre de soupe de champagne.

La soirée continue. J’ai passé une bonne heure à discuter avec Sullivan des courts-métrages qu’il réalise (mon cousin veut devenir acteur). J’avais d’ailleurs regardé, quelques jours plus tôt, sa dernière production et, aujourd’hui, je le complimente sur ce sujet. Je lui ai tout de même dit que la fin manquait d’émotion et il a tout de suite acquiescé en me remerciant du conseil.

-Et toi, tu fais autre chose que des maths ?

-Ouais, de la physique, plaisante-je.

-Non, mis à part tes études, t’as des projets ?

-Puisque tu le demandes, je dois t’avouer qu’en ce moment, j’écris un bouquin. Du fantastique, pour être exact.

-Sérieux ! T’es vraiment écrivain ?

-Pas encore, mais j’aimerai bien, réponds-je.

-C’est génial ! Et tu n’écris que ça ?

-Non. J’écris aussi des nouvelles sur quelques sites de littérature.

-Ah oui ? Encore du fantastique ?

-Non, loin de là, ris-je. Je veux dire, j’en écris un peu, mais j’écris aussi des polars et surtout de l’érotisme.

Là, mon cousin ouvre de grands yeux. Il ne s’attendait certainement pas à ce que moi, son cousin qu’il connaît depuis toujours, encore et toujours vierge d’une quelconque relation sexuelle, puisse écrire sur ce domaine.

-T’es sérieux ? Tu veux dire que tu écris des passages où des gens baisent ?

-Effectivement. Tu as l’air choqué.

-Bah, c’est que je m’y attendais pas, à celle-là. Je pensais que tu ne savais pas comment ça se passe avec les filles.

-Voyons, tu penses que je ne me suis jamais renseigné ?

-Ouais, t’as raison. D’ailleurs, est-ce que je peux te demander un petit service ?

-Demande-moi et on verra.

-J’aimerai bien faire un nouveau court-métrage mais je suis à court d’idées. Ça te dérangerait d’écrire un scénario pour moi. Ce serait pas grand-chose.

-Ouais, pas de problème. Tu veux un sujet en particulier ?

-Non, je te laisse choisir. Et si tu pouvais éviter le fantastique, on n’a pas accès aux effets spéciaux.

-C’est noté, pas de magiciens.

Nous rions ensemble avant qu’il ne rejoigne sa sur afin de prendre une photo avec elle. Je me dirige vers le bar et me sers en biscuits jusqu’à ce que Nolwenn me retrouve.

-Alors c’est vrai ce que Sullivan m’a dit ? Tu écris ?

-C’est vrai, réponds-je. Pourquoi ? Toi aussi tu veux un scénario ?-Non, débile, rit-elle. Je me suis juste dit que j’aimerai bien lire l’un de tes trucs.

-Comme tu veux, dis-je en souriant.

Je l’emmène alors dans le vestibule. Même si je suis fier de ce que j’écris, je ne cherche pas à ce que toute ma famille soit au courant.

-Tiens, t’as qu’à lire celui-là. J’espère que ça va te plaire.

Je lui passe mon téléphone sur lequel j’avais affiché l’un de mes texte sur le site Story. Elle prend l’appareil et commence à le lire. Là, elle me regarde et, en faisant attention à ce que personne ne l’entende, elle me dit :

-En fait, je suis intéressée par tes récits érotiques.

-Oh, je vois, il t’a aussi parlé de ça, dis-je gêné. Attends, je vais t’en montrer un.

Je reprends mon téléphone et, cette fois, c’est l’adresse du site Xstory que je rentre dans le moteur de recherche. Une fois la page d’accueil atteinte, je me connecte et lance mon tout premier texte.

-Tiens, regarde celui-là si tu veux, mais je te préviens, à cette époque, je n’écrivais pas forcément très bien et, surtout, j’écrivais des choses assez trash.

-On va voir ça, dit-elle en reprenant le téléphone.

Elle commence à lire le texte dans sa tête. C’est peut-être le fruit de mon imagination mais je crois remarquer qu’elle se mord les lèvres de temps en temps. Je sors cette idée ridicule presque aussi vite qu’elle est apparue. Lorsqu’elle a terminé, elle me rend mon téléphone et croise les jambes.

-C’était mal écrit, ça ? dit-elle, étonnée.

-Disons que j’ai progressé, depuis. Alors, ça t’a plu ?

-Et comment. Oh, bordel, je crois que je te déteste.

-Pourquoi ?

-Parce qu’avec ton histoire de frère qui baise sa sur, tu m’as faite mouiller, dit-elle en

chuchotant.

-Quoi ? Réponds-je tout bas. T’es sérieuse ?

-Ouais. Et j’ai pas pris de culotte de rechange, je pensais pas que j’en aurais besoin.

-Désolé, dis-je timidement.

-T’es marrant, tu sais ? T’es désolé mais t’y est pour rien. Bon, tant pis. Après tout, personne n’est censé regarder sous ma robe.

-Au pire, t’auras qu’à dire que tu t’es pissée dessus, ricane-je.

Elle me fait une grimace à laquelle je rigole davantage.

-Dis, Melvin, est-ce que je peux en lire une autre ?

-Mais c’est que t’es devenue accro, plaisante-je.

-Totalement, dit-elle dans un sourire. Ça te dérange si on va dehors ?

-Pour être honnête, ça m’arrange. Je n’ai pas très envie que ma mère apprenne que j’écris de l’érotisme, j’ignore comment elle le prendrait.

-C’est sûr qu’elle ne doit pas s’y attendre, dit-elle en prenant son manteau dans la pièce voisine.

-Elle sait que j’écris, mais elle pense que je n’écris que du fantastique, précise-je en prenant moi aussi mon manteau.

Nous sortons dehors et nous éloignons un peu de la salle. Nous nous retrouvons sous des arbres avec pour seule lumière la lueur de mon téléphone. C’est là que je lui montre un autre de mes textes. Elle le lit et, lorsqu’elle le termine, elle me rend mon téléphone.

-Waouh, c’était génial. Oh, merde, dit-elle aussitôt ensuite.

-Qu’est-ce qu’il t’arrive?

-J’ai la culotte trempée et c’est vraiment désagréable. Je crois qu’il va falloir que je la retire.

Sans que je puisse dire quoi que ce soit, elle remonte sa robe, attrape l’élastique de son sous-vêtement et le retire. Effectivement, grâce à l’éclairage apporté par mon portable, je peux remarquer que sa culotte est inondée.

-Ah oui, on dirait presque que t’as été à la piscine avec, plaisante-je.

-Très drôle, dit-elle. Dis, tu pourrais me rendre un service, s’il te plaît ?

-Demande toujours.

-Laisse-toi faire, s’agenouille-t-elle.

Son visage est à hauteur de mon entrejambe lorsqu’elle commence à défaire la ceinture de mon pantalon.

-Mais qu’est-ce que tu fais ? dis-je surpris.

-Ne me dis pas que t’en as pas envie, je te croirais pas avec une érection pareille, on la sent même à travers le tissu.

-Mais nous sommes cousins, on ne peut pas faire ça !

-Dixit celui qui écrit des nouvelles érotiques à propos d’un frère et de sa sur.

-Mais là, c’est la vraie vie !

-Bon, tu sais quoi ? Si t’as pas envie que je te suce, t’as qu’à me repousser.

Je suis alors pris d’un doute. Après tout, personne n’en saura jamais rien. Je décide donc de ne rien faire et de laisser le destin contrôler la situation à ma place.

-Tu vois quand tu veux, sourit-elle.

Je ne réponds rien et me contente de la regarder retirer entièrement ma ceinture et baisser à la fois mon pantalon et mon caleçon. Elle se lèche les lèvres en regardant mon membre, si bien que l’on aurait pu la prendre pour une prostituée.

-C’est pas croyable que ce truc n’ait jamais servi, dit-elle. Il mesure combien ?

-17 centimètres, réponds-je sans aucune pudeur.

Elle sourit devant ma réponse et, sans crier gare, elle embrasse doucement mon gland. Le contact de sa peau et de la mienne m’électrise. Elle réitère et, derechef, je me retrouve électrisé par un plaisir dès lors inconnu. Elle décide alors de sortir sa langue et, par une tendresse sans nom, elle lèche la partie sensible de mon corps. Un soubresaut me traverse tandis que je la regarde avec passion. Sans perdre de temps, Nolwenn enfonce lentement mon pénis dans sa gorge. La sensation d’humidité mixée à cette chaleur et à cette tendresse est incomparable. Je ne peux m’empêcher de gémir très faiblement sous la douceur de sa langue, sous la pression de ses lèvres, sous la profondeur de ses yeux lorsqu’elle me fixe ainsi du regard. J’apprécie passivement les bienfaits qu’elle me prodigue jusqu’à ce qu’elle sorte mon membre de sa gorge.

-Je ne vais quand même pas te laisser jouir aussi vite, dit-elle.

Là, elle se relève et m’embrasse fougueusement. Initialement surpris, je finis par apprécier ce petit jeu de langues et décide de jouer à mon tour ; je place mes deux mains sur ses fesses et les masse à travers le tissu de sa robe. Je m’attends presque à ce qu’elle me repousse, mais au contraire, elle prend mes mains pour les placer sous sa robe. Je peux alors caresser directement cette douce peau si intime. Nos langues, toujours en symbiose, finalement se dessoudent et, comme si cela était naturel, elle se retourne et se plaque contre l’arbre planté derrière elle. Elle se penche en avant tandis que je m’avance vers elle. Je pose mon pénis contre les parois de son vagin. Je peine à y croire, je n’ai jamais vu une fille nue auparavant (je ne compte pas les virtuelles) et aujourd’hui, je m’apprête à faire l’amour avec l’une de mes cousines.

-Qu’est-ce que tu as attends ? me demande-t-elle impatiemment.

-J’attends que tu me le demandes.

-Allez, s-il te plaît, pénètre-moi, baise-moi, dit-elle avec un ton on ne peut plus excité.

Satisfait, je place mon sexe contre le sien. Je peux déjà ressentir la chaleur et l’humidité qui s’en échappent, c’est si exquis. Je pousse un peu et, comme dans du beurre, mon membre glisse dans son antre. A chaque centimètre parcouru, une nouvelle contraction me fait exploser d’un plaisir bien plus exaltant que le précédent.

-Alors c’est ça qu’on ressent dans une fille, pense-je tout haut.

-Ça te plaît ?

-C’est tellement mieux qu’une main.

-Ravie de l’entendre, dit-elle. Bon, c’est quand tu veux que tu me pilonnes.

Mince, je suis tellement obnubilé par mon plaisir de l’instant présent que j’en ai oublié de bouger. Je répare cette grossière erreur instantanément et entame de longs va-et-vient. Étant un novice dans ce domaine, je préfère les mouvements lents et sensuels plutôt que les gestes brusques et, d’après les petits gémissements de ma cousine, cela lui plaît. Sûrement à cause du fait que je m’efforce de toujours frotter son poing G, pense-je. Je me languis de cette sensation de compression autour de mon gland. Je savoure physiologiquement l’abondante cyprine débordant du vagin de ma cousine. Mes mains sur ses hanches, je lui fais l’amour pendant quelques minutes. C’est étonnamment elle qui jouit en premier, sans doute la lecture proposée initialement avait déjà bien entamé Nolwenn. Elle me force à me retirer et se met à genoux.

-Désolée, mais je vais devoir te terminer à la main, il ne faudrait pas que j’en reçoive, je n’ai rien pour m’essuyer.

Elle attrape alors mon bâton de plaisir dans sa paume et le masturbe avec énergie. Je ferme les yeux et apprécie cette sensation. Je ne mets pas longtemps à venir et jouis dans l’herbe. J’espère simplement que les vaches du coin ne penseront pas à venir brouter par là, le lendemain matin.

-C’était génial, me dit-elle après s’être relevée.

Elle remet sa culotte, bien que trempée, et rentre dans la salle. Je la suis. Durant le reste de la soirée, rien de spécial ne s’est produit, si ce n’est les nombreux regards que me jetait Nolwenn. Je ne pense plus qu’à une chose : vivement l’année 2018 !

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