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Mes premiers congés payés – Chapitre 46




Michèle : « coucou mon tonton, je viens payer mon dû et en même temps jaimerais que tu fasses un dépôt »

Jacques : « ah bon, ben payer ses dettes cest important, mais quel dépôt dois-je faire ? », Michèle se mit à genoux et tout en ouvrant le pantalon de son oncle lui dit : « ben je veux que tu déposes ta queue su ma langue et ensuite ton foutre au fond de ma gorge » et sortant la bite de son oncle de sa prison vestimentaire, elle lavala et commença à faire coulisser sa bouche dessus, je voyais le sexe qui se développait à chaque fois quelle le sortait de sa bouche puis elle accéléra ses mouvements et en quelques minutes son oncle se vida dans sa bouche en rugissant « putain, tu es la plus salope des truies que je connaisse, avales tout ma chérie », Michèle vida sa bouche et se releva, puis regardant Jacques elle lui dit en flattant sa bite qui se recroquevillait sur elle-même « mais cest toi qui a bien dressé ta truie, mon tonton, par contre je repasserais cet après-midi en allant chercher mes hommes, jai envie dun dépôt supplémentaire, mais cette fois au fond de mon cul, alors repose-toi et reprends des forces », puis elle fit demi tour et sortit de la stalle.

Je neus pas le temps de me retirer et elle tomba nez à nez avec moi, elle fut surprise mais ne dit rien, elle mit simplement un doigt sur sa bouche en signe de silence, me prit la main et nous rejoignîmes la voiture, en sortant de létable je lui dis « ton oncle a raison, tu es vraiment une grosse salope de truie », elle madressa un grand sourire et me dit en montant en voiture « merci mon chéri, je prends ça comme un compliment », je montais en voiture à mon tour et lui dit « entre ton histoire et la pipe que tu viens de tailler à ton oncle, je suis dans tous mes états moi », elle posa sa main sur la bosse qui déformait mon pantalon, la flatta et répondit « je finis mon histoire en roulant et je moccupe de toi dès quon est arrivés chez moi, mon chéri, je te promet que tu ne vas pas le regretter », je démarrais la voiture et Michèle reprit son récit.

Michèle : « où en étais-je, ah oui, donc le lendemain matin quand je me levais, tonton était déjà partit, je déjeunais puis fis ma toilette et me mis au ménage, vers 11h le jeune facteur rentra dans la cour, je me mis derrière la fenêtre de manière à pouvoir le regarder sans quil le sache, et comme la veille, il fit le tour de la cour, puis sortit son sexe et commença à pisser, quand il eut fini, il rangea son matériel, cest là que jai fait la plus grosse connerie de ma vie, je suis sortit de la maison alors quil grimpait sur son vélo, et je lai apostrophé

Michèle : « hé, il y a du courrier », il venait denjamber son vélo, il avait le pied droit sur la pédale et le gauche par terre, un peu en déséquilibre, il se tourna vers moi et devint rouge comme une tomate,

Le facteur : « euh bonjour, non pas de courrier », je vis quil était mal à laise et je décidais de mamuser un peu,

je mapprochais de lui « alors tu ne viens ici, depuis deux jours, que pour pisser », la rougeur saccentua encore et il balbutia « euh non, oui, tu mas vu ? »

Michèle : « ben difficile de ne pas voir, tu as sorti ton engin au beau milieu de la cour et tu tes vidé la vessie pendant 5 bonnes minutes, ceci dit jétais un peu loin et je nai pas bien vu, mais ça avait lair de mériter de voir de plus près » et je fixais son entre jambe, de la manière dont il était placé, à moitié à cheval sur son vélo, je vis que son sexe commençait à donner un relief intéressant à son pantalon, je tendis la main, et la posait sur la bosse en lui disant « là il est un peu tard et mon oncle ne va pas tarder, mais demain matin il ne sera pas là, tu pourrais peut-être venir plus tôt et me montrer de plus près ce que jai envie de voir », je crus quil allait tombé de son vélo, il se récupéra et me dit « tu as quel âge, tu parais vachement jeune », je décidais de lui mentir pour être sur quil revienne, je craignais quen lui disant que javais 16 ans il ne revienne pas : « merci, jai 18 ans ½ et toi ? »

Le facteur : « 20 ans, et toi tu ne fais pas ton âge, par contre jaime bien ta manière de minviter, ok je passerais demain matin pour voir si tu es toujours aussi contente de me voir ».

Je venais de faire connaissance avec le connard qui allait devenir mon mari, jaurais mieux fait de rester dans la cuisine à me branler plutôt que de sortir.

Nous étions arrivés devant chez Michèle, elle me dit tout en caressant doucement la bosse qui déformait mon pantalon « je nai pas fini mon histoire, tu veux rester manger avec moi, comme ça jaurais le temps de terminer et on ira chercher les mecs après ? » je nhésitais pas longtemps, Brigitte était à la maison, donc pas de galipettes avec Jeanine aujourdhui, je répondis « ok, mais je vais dabord emmener la viande chez ma cousine et chez ta mère puis je reviens »

Michèle : « ok mon chéri, mais dépêche-toi, je vais nous préparer un repas froid quon prendra derrière sur la terrasse, et comme il fait beau ce sera très agréable », elle sortit de la voiture, fit le tour pour venir de mon côté, se pencha, déposa un baiser sur mes lèvres puis se relevant me dit « fais vite, mon cur, ta grosse salope de truie a très envie de sentir ta bite au fond delle », je souris et démarrais, quelques minutes plus tard je prenais la route qui emmenait chez mes cousins, juste au coin, une 4L garée sur le bas côté et une femme qui regardait une carte sur le capot, elle me fit signe quand jarrivais à sa hauteur, je marrêtais, la femme portait une mini jupe qui laissait voir de très belles jambes, une veste de survêtement dont la fermeture était à moitié descendue et laissait voir la naissance de ce qui semblait être une superbe poitrine, elle avait les cheveux longs dun noir de jais et me fit un grand sourire quand jarrivais à sa hauteur.

« bonjour, merci de têtre arrêté, je suis complètement perdue, je cherche la route de la futaie et elle nest pas sur ma carte »,

Moi : en souriant « ben vous y êtes », puis un éclair traversa mon esprit et je lui demandais « euh si je puis me permettre, vous nallez pas au numéro 247 ? »,

Elle, surprise « ben si comment le sais tu ? »

Moi : « et vous ne seriez pas entraineuse de hand ? »

Elle : « mais qui es-tu ? »

Moi : « donc jai raison, je suis le cousin de Brigitte, et il me semble que vous ressemblez beaucoup à une personne dont elle ma parlé hier soir, par contre elle ne ma pas dit que vous veniez, simplement que vous deviez appeler aujourdhui »

Elle en souriant : « ok, tu mas bluffé, oui cest de moi quelle ta parlé, et jespère que cétait en bons termes »

Moi : « tellement bons que je vous ai reconnu tout de suite, et que je suis un peu jaloux, jaurais presque envie dêtre une fille maintenant que je vous ai vu »

Elle en éclatant de rire : «je vois quelle ta raconté beaucoup de choses, tu es mignon, mais effectivement, tu as quelque chose en trop entre les cuisses pour mattirer, je peux te suivre jusque chez tes cousins ? »

Moi : « bien sur, je vais my arrêter mais je ne reste pas, je suis invité à manger et je crois que ce nest pas plus mal, vous allez certainement discuter beaucoup, je reviendrais dans laprès-midi avec le père et le frère de Brigitte, ça vous laisse le temps de déjà convaincre sa mère ».

Je remontais en voiture et lorsque nous arrivâmes je dis à la femme « je pense que Brigitte doit être sur la terrasse derrière, passez par le côté et faites lui la surprise, moi je vais prévenir sa mère » puis prenant le sac avec la viande, je rentrais dans la maison. Jeanine était dans la cuisine, je vis quelle avait pleuré, et je lui demandais pourquoi, elle me raconta ce que je savais déjà et que même si elle pensait que cétait une bonne chose déloigner sa fille des ses fréquentations du village, ça lui faisait mal au cur de la laisser partir vivre chez une inconnue, je déposais la viande sur la table et lui dis quelle allait pouvoir en discuter encore laprès-midi puisque lentraîneuse dont il était question était en ce moment chez elle, sur la terrasse, et que moi je repartais emmener la viande chez Marianne et ensuite que jallais manger avec Michèle qui voulait profiter un peu de moi avant que je ne reparte car nous avions bien sympathisé.

Jeanine me dit « je pense que cest bien, que tu ailles la voir comme ça je pourrais discuter avec cette femme qui est prête à soccuper de Brigitte et ce soir il faudra faire passer la pilule et convaincre Bernard ». Jallais sur la terrasse pour dire au revoir aux filles et je les trouvais très occupées, elles étaient entrain de sembrasser et la main de la femme avait disparu dans le bas du maillot de bain de Brigitte qui commençait à gémir, je fis un peu de bruit et en sursautant elles se redressèrent, je leurs dit que Jeanine allait arriver, la femme me tendit la main en disant « merci, mois cest Béatrice », je serrais la main et leurs dis « à ce soir, amusez-vous bien ».

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