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Masturbation pas si privée – Chapitre 1




Il était tard ce soir là, je venais de rentrer chez mes parents. Toutes lumières éteintes, je me dirige doucement vers ma chambre, avançant à tâtons afin de ne réveiller personne.

Je parviens jusqu’à ma chambre, je dépose mon sac sur la commode et m’assoie sur mon lit afin de pouvoir enlever mes chaussures. Une certaine fatigue s’empare de mon corps et je n’ai qu’une seule envie, me glisser sous mes draps propres et juste changer de la matinée.

Je décide tout de même d’allumer la télévision avant d’enlever ces bottes.

Un son strident vient me perturber, une femme qui gémit, je m’empresse de baisser le son afin que personne chez moi ne se demande ce que je suis en train de faire. Je suis sur une chaîne qui diffuse des films érotiques. Je n’y prête pas attention et fini d’enlever mes bottes, puis mes yeux sont comme attrapés par ce film. Une femme à la poitrine généreuse est en train de se frotter à une autre femme, son visage transpire le plaisir, ses reins ruisselles de sueur et sa conquête ne cesse de lui saisir la poitrine, assez fermement.

Etant, attiré autant par les hommes que par les femmes, ces images ne me laissent pas insensible après 6 mois sans aucune stimulation sexuelle. Je sens que mes seins se raidissent, que mes tétons commencent à poindre sous mon débardeur, que mon sexe commence à ressentir le battement de mon coeur.

Je ne peux désormais plus me retenir de regarder ce film, de regarder ces deux femmes se faire du bien, ensemble, comme fusionner par le désir et le plaisir.

Une de mes mains commence à malaxer mon sein gauche, pince mon téton, je le sens dur sous mes doigts. Mes seins sont sensible et n’ont qu’une envie, finir dans l’une de ces deux bouches à l’écran. J’entreprend alors de déboutonner mon jean slim pour accéder à cette zone qui je le sens est déjà humide, imaginant une langue, un doigt ou même une cuisse contre elle.

Mon jean vole assez vite à travers ma chambre, je me retrouve en débardeur-boxer sur ma couette, devant ce film érotique. Malheureusement, la scène lesbienne est terminée, il ne me reste plus qu’à attendre la prochaine pendant que mon sexe commence à être trempé et gonflé de désir.

Ma main trouve facilement son chemin jusqu’à lui, mon majeur vient se poser sur mon petit bouton puis glisse le long de mes lèvres et découvre l’ampleur de ce désir… Ce doigt est comme aspiré par la dilatation de mon vagin, je le sens rentré en moi, je le sens faire son premier va, comme s’il ne m’appartenait plus. Je laisse échapper un gémissement, un souffle de bonheur, un souffle de plaisir. Un souffle de soulagement. Enfin, enfin j’ai ce plaisir que je me refuse depuis trop longtemps…

Je ne prends pas plus de temps à me caresser tranquillement, mon cerveau est en pilotage automatique et il a décidé que je devais jouir. Juste jouir, le plus vite possible, avec le plus de doigt possible. J’en introduis un second et sens que je suis de plus en plus humide, que je peux en accueillir un troisième. Mon autre main commence à caresser mon clitoris, à vif, il ne demande que ça, mes lèvres gonflés englobe mes doigts et se délecte de se plaisir si intense.

Je ne sais plus si j’ai gémis à en réveiller ma famille, mais j’ai connu un orgasme particulièrement intense. 6 mois de frustration réparé en quelques minutes, en quelques doigts…

Je mets quelques minutes à reprendre mes esprit et aperçoit que je n’ai pas entièrement fermé la porte. La peur m’envahi "et si quelqu’un m’a vu ?" "Non, il ou elle aurait fait quelque chose, ne m’aurait pas laissé comme ça et n’aurait pas regardé…"

Je ne croyais pas si bien dire, le lendemain, une triste nouvelle m’attendait, quelqu’un m’avait bien vu, et il ou elle n’avait pas fait que regarder…

SECONDE PARTIE :

Après avoir ressenti cet orgasme, la peur de m’être faite surprendre ne m’occupe pas l’esprit bien longtemps. Je reste allongée à savourer ce plaisir que je ressens dans mon bas-ventre.

Je trouve à peine la f***e de me glisser sous mes draps et je m’endors comme ça, sans vraiment y faire attention.

Le lendemain matin, je suis réveillée par de grand bruit dans la cuisine. Je tente de lutter pour me rendormir mais ces bruits se font trop présent. J’enfile un short que j’utilisais à l’époque comme pyjama et descend. C’est mon frère qui se prépare son petit déjeuner…

Je lui demande si il peut faire un peu plus doucement. Il ne me regarde pas mais me lâche une petite phrase qui va me laisser glacé par la peur

— Ah oui, comme toi hier soir ?

Le temps s’arrête, je ne sais plus quoi dire ni ou me mettre.

— Euh de quoi tu parles ? J’ai fais du bruit en rentrant ?

— Je t’ai entendu oui, mais pas quand tu rentrais…

Son sourire en coin veut tout dire, il m’a entendu. Je rougis, je ne sais pas quoi lui répondre. Je m’excuse, je me mets à tituber, à ne pas trouver de mot pour me "défendre"

Je remonte dans ma chambre, la honte s’emparant de moi. Je n’en suis pas ressortie de la journée. La vision de mon frère m’ayant entendu me masturber étant insupportable. Que pense t-il de moi. Quelle honte, j’aurais mieux fait de retenir ma pulsion comme je le fais depuis 6 mois.

Puis la soirée arrive, mes parents sortent et me demande de surveiller mon frère, de faire attention à ce qu’il ne fasse pas le mur (ce qu’il avait l’habitude de faire, alors âgé de 16 ans). J’accepte mais la honte est toujours présente.

Les heures passent, je regarde ma montre, il est minuit et mon frère est toujours enfermé dans sa chambre. Je décide d’aller regarder un film sur une chaîne du câble dans mon salon. Je lance un film à l’eau de rose, une comédie sentimentale américaine comme ils savent si bien les faire.

Soudain, j’entend mon frère descendre les escaliers. Je l’ignore et essaies tant bien que mal de rester digne face à ses yeux qui me semblent accusateur.

Il se fait tard, je n’ai qu’une hâte, que mon film se termine pour que je puisse m’éclipser et le laisser seul, loin de moi.

— T’étais en train de te faire du bien comme hier devant un film de cul ? me dit-il avec un sourire narquois

Je mets quelques secondes à lui rétorquer ces quelques mots mal choisi :

— Tu te crois drôle ? T’es content petit con ?

— Petit con ? Tu devrais rester un peu plus poli avec moi si tu veux pas que je montre certaines choses à certaines personnes

— De quoi tu parles ?

— Hier j’ai pas fait que t’entendre si tu vois ce que je veux dire. La technologie, les appareils photos tout ça quoi tu vois

— Putain t’as pas fait ça ? Je suis ta soeur, t’es dégueulasse

— Je t’ai déjà dis de mieux me parler ou pas ?

Il me fait un clin d’oeil et commence à monter les escaliers. Je le rattrape et lui demande si il m’a vraiment prise en photo. Il se retourne et hoche la tête de haut en bas en mangeant le sandwich qu’il était venu se préparer. Je ne contrôle plus mes nerfs et le gifle.

— T’es sérieuse là ? Tu veux vraiment que tout le monde voit a quel point la sainte n’en est pas une ?

— S’il te plait fait pas ça, j’suis ta soeur… les larmes s’accumulant au bords de mes yeux.

— Il va falloir que tu sois sympa avec moi alors, commence déjà par mieux me parler et ensuite on verra ce que tu devras faire…

Il me tenait, je n’avais plus le choix, ma réputation en dépendait…

TROISIEME PARTIE :

Après cette dernière discussion, je ne savais plus du tout à quoi m’attendre. Qu’allait-il bien pouvoir me demander…

Je m’apprêtais à me coucher quand j’ai entendu un "toc-toc" timide sur ma porte…

— Oui ?

La porte s’ouvre et je vois mon frère rentrer

— Tu veux quoi ? lui demandai-je d’un ton assez agressif

— J’veux juste te montrer un truc…

Il me tend son téléphone et ajoute un "inutile de les supprimer, j’ai déjà une sauvegarde mais c’est juste pour te faire comprendre que je bluffe pas…"

J’ose à peine regarder mais ce que j’y vois me fais comprendre qu’il va pouvoir me demander ce qu’il voudra. En effet, on me voit sur ces photos, jambes écartés, tétons nus et en érection. une main entre les jambes et mon visage est largement reconnaissable…

— Comment t’as pu faire ça ? Des larmes perles de mes yeux mais j’essaie tant bien que mal de les retenir

— Bah écoute c’était plutôt excitant de te voir comme ça

— T’es dégueulasse, je suis ta soeur…

— Et alors, tu restes une meuf, t’as des beaux seins, t’es super belle. Le fait que tu sois ma soeur change rien

— Mais si, ça change tout. Tout ça c’est personnel

— C’est plus personnel quand tu laisses ta porte ouverte…

Il marque un point, sur ce fait là, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même… Mais ma masturbation n’était pas prévu, c’était arrivé sur une pulsion, une pulsion que je n’ai pas pu contrôler…

— Tu veux quoi pour supprimer ces photos ? Tu veux de l’argent ? Tu veux que j’appuie demande à papa et maman de t’acheter cette moto que tu veux depuis 6 mois ?

— Disons que tout ça, ça changera rien. De l’argent j’en ai déjà avec les parents et la moto, c’est pas toi qui les fera changer d’avis…

— Mais alors tu veux quoi ? Tu peux pas garder ça, si quelqu’un tombe dessus, j’suis fichu…

— Personne tombera dessus tant que tu feras ce que je te dis !

— Ben dis moi alors !

J’hausse le ton mais je sais que ça ne changera rien. Je le connais, il est déterminé et ça fait bien longtemps que je ne l’impressionne plus…

— Calmes toi. La première chose que tu vas faire, ça va être de me donner un de tes sous-tif.

— Quoiiii ?

— T’as bien entendu je pense

— Non mais t’es dingue ?

— Non, j’ai juste des choses que tu veux. Et en retour t’as des trucs qui m’intéresse. Donnant donnant…

Que dois-je faire… Je suis au pied du mur, si il montre ces photos à mes amis, ou pire à mes parents. Je serais fichu, je n’aurais plus aucune fierté…

— D’accord je t’en donne un mais après c’est fini et tu supprimes ces photos

— On verra, donne moi celui que tu portes et on avisera

— Mais t’es vraiment malade ma parole. Je vais t’en donner un qui est dans mon armoire c’est tout

— Celui que tu portes et tu l’enlèves devant moi, sinon Coralie, Kevin et je sais pas trop qui encore pourrait recevoir des jolies petites photos…

— T’es vraiment dégueulasse !

— Ouais ouais, t’as que ce mot à la bouche mais moi j’attend toujours ton sous-tif par contre…

Je décide de lui donner ce qu’il veut en espérant qu’il va tenir parole et effacer les photos… Je commence à retirer mon pull, puis mon débardeur. Je me retrouve en soutien-gorge face à lui. Ma lingerie est plutôt agréable à regarder, un push-up à motif marin qui remonte mon joli 90C

— Je vais te le donner mais tourne toi le temps que je l’enlève

— J’ai pas envie de me tourner, puis en plus, je t’ai déjà vu ! dit-il en rigolant

Pour ma part, je suis très loin de rire mais je m’exécute… Je passe mes mains dans mon dos et dégrafe les attaches de mon soutien-gorge. Je repasse une de mes mains sur le devant de ma poitrine pour y maintenir les deux bonnets collés à mes seins pendant que je retire les bretelles et les fait glisser le long de mes bras avec mon autre main.

Je retire entièrement ce dessous et protège mes tétons avec un de mes bras… Mes seins sont plaqués contre moi et j’aperçois dans mon miroir que ça me fait une poitrine très volumineuse mais c’est toujours mieux que de lui dévoiler mes tétons qui pointent par l’effet du froid.

Je fini par lui lancer mon sous-tif…

— Voilà t’as eu ce que tu voulais, maintenant effaces ces photos !

— Merci mais… Non, je vais pas les effacer, je trouve que tu me donnes pas assez

— Mais t’avais dis…

— *Il me coupe* J’avais dit qu’on aviserait, et j’avise que c’est pas assez. Enlèves tes mains, je veux voir tes seins

— *Après un court instant* Tu les as déjà vu il parait, donc s’il te plait, fais ça pour moi, supprimes ces photos et on en reste là, on oublie tout ça, tu gardes mon soutien gorge, tu fais ce que tu veux avec, mais s’il te plait, on en reste là.

— Non non, ça marche pas comme ça. Pour une fois c’est moi qui domine et je suis bien décider à en profiter !

— Aujourd’hui tu as le dessus mais ce sera pas toujours le cas, alors si tu veux pas qu’un jour je me venge, vaut mieux que tu t’arrêtes là

— On s’arrête pas, enlèves ton bras et tes mains maintenant !

Les larmes deviennent de plus en plus dur à retenir, mais je fais ce qu’il me demande, je m’y sens obligé… Mes seins se dévoilent à lui. Etant très ferme, ils ne retombent que très peu de la pression que je leur imposais

J’ose à peine le regarder mais pendant quelques dixièmes de secondes, j’ai croisé ses yeux et j’ai pu y voir de l’excitation… Mon frère, excité par mes seins, en admiration devant mes tétons et mon ventre plat…

N’oubliez pas de laisser vos commentaires et de me dire si vous avez envie d’avoir la suite…

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