Histoires érotiques Histoires érotiques au travail

L'homme de la taverne – Chapitre 1




 Dans notre cité ardente (Liège), il y a une taverne bien connue pour y faire des rencontres.Un soir de septembre 2010, ma coquine (et moi, mais pas en couple) s’y est rendue afin de voir si il lui était possible de "lever" un partenaire à son goût.

                        Précisions sur son goût: âgé de 60 ans et plus, pas trop mince.

 Comme pour toutes rencontres de ce style, nous ne savions pas si elle pourrait le ramener chez nous afin que je sois voyeur ou participant. Même si à ces âges-là ils sont plus ouverts, tous ne veulent pas de la présence du mari (gêne, peur, trac, …). 

Par 2 fois, le mois précédent, nous nous y étions rendus et elle était restée bredouille. Rien que des jeunots entre +_ 40 et 55 ans qui ne lui avaient pas ouvert l’appétit.

Allait-on avoir plus de chance ce soir-là ? Nous l’espérions fortement car depuis plusieurs semaines nous n’avions plus "libertiné".

 Il faisait doux, presque trop chaud pour la saison. Elle avait longtemps hésité à se décider si elle mettrait des bas nylon ou pas vu la presque canicule qu’il faisait. Finalement elle avait opté pour des jambes nues, même si c’est moins sexy.

Donc, lorsque nous avons quitté notre domicile, elle portait sur elle: une petite jupe à volants de +_ 37 cm, un haut à décolleté plongeant, un string noir en nylon transparent également et une paire d’escarpins de 11 cm. Rien d’autre si ce n’est son petit sac. 

 Arrivés au parking souterrain tout proche, elle est restée dans la voiture tandis que je me suis directement rendu directement à la taverne. 5 minutes plus tard c’est elle qui y faisait son entrée. Et je vous assure que son "entrée" a été remarquée !! Elle s’est prise un talon dans la petite grille devant la porte et s’est presque retrouvée étendue sur le carrelage.

Ce n’était pas voulu, mais cela a donné matière à un client pour venir la secourir. De mon côté je pouffais intérieurement, on aurait dit une comédie avec Pierre Richard.

N’empêche que la chance semblait avec elle, parmi la quinzaine de clients présents, seul son sauveteur avait la bonne soixantaine (nous avons su par la suite qu’il en avait 68).

Elle le remercia et alla s’asseoir à une table située à moins de 2 mètres du comptoir. Comptoir où son "zorro" était accoudé. 

Elle commanda un mojito et quand le serveur le lui apporta il lui dit que "le monsieur au comptoir vous l’offre". Elle leva son verre et, en regardant l’homme, le remercia.

Faisant mine de surfer sur son téléphone portable, elle s’arrangea pour titiller l’homme. Croisement et décroisement de jambes, écartement discret des cuisses, auto-caresses sur l’une d’elles. Bref, de quoi mettre en émotion tout homme qui se respecte.

Et le résultat fut là !!!!!

L’homme se dirigea vers elle et lui demanda si il pouvait s’asseoir à sa table. Elle accepta et il prit place. Mais pas n’importe quelle place ! Pas face à elle, mais à côté d’elle.

D’où j’étais j’avais une vue imprenable sur eux, que ce soit au-dessus ou en-dessous de la table.

Je les voyais discuter et rire, mais je ne comprenais pas un mot à cause de la musique distillée par la chaîne stéréo. 

Je sus quand la conversation prit une direction intéressante lorsque ma coquine, avec discrétion, me fit un petit signe pouce levé.

Et pas plus de 2 minutes après je vis le vieux cochon mettre son bras droit sur les épaules de ma coquine. 

Bla bla bla, bla bla bla durant quelques instants et sa main gauche alla se déposer sur la cuisse. 

Ma chérie riait à ce qu’il lui disait au creux de l’oreille, je devinais qu’elle appréciait son verbiage.

Il commença à lui donner un petit baiser chaste sur la joue, puis un second. Voyant qu’elle ne se rebiffait pas il tenta un sur les lèvres. Elle le lui rendit, mais en étant plus "hot", en l’embrassant avec la langue. Ce baiser fut long, très long. Et pendant cet échange il aventura sa main sous la jupe. Au mouvements légers de son avant-bras j’avais compris qu’il devait avoir pénétré le string et certainement l’abricot de ma coquine qui écarta considérablement les cuisses.

En moi-même je me suis dit: "pour finir il va la baiser sur la table !".

Embrassades, caresses, parlottes, embrassades, caresses, parlottes, ce manège dura un certain temps.

Puis je vis ma coquine plus sérieuse qui lui chuchotait des choses à l’oreille. 

Le regard de l’homme se dirigea sur moi et il me salua. J’avais compris qu’elle lui avait révélé ma présence et ma qualité de mari. 

Ils discutèrent encore de longs instants, instants durant lesquels il ne cessait de la caresser sous la table, lorsqu’elle se leva et vint me trouver.

Elle m’annonça que son "gibier" marquait son accord pour venir chez nous, mais qu’il ne garantissait pas "parvenir" devant moi.

Advienne que pourra, même s’il n’arrivait qu’à la tripoter je serais satisfait malgré tout.

Nous sortîmes tous les 3 et, après lui avoir expliqué où nous étions garés, nous nous sommes donné rdv devant cette taverne avec nos véhicules.

Nous y étions avant lui et avons patienté plusieurs minutes durant lesquelles nous avons cru qu’il nous posait un lapin. Mais non, il est arrivé et nous avons rejoint notre domicile en le précédant.

 Une fois bien installés dans le salon, moi dans un fauteuil et eux dans le canapé, j’ai fait jouer le variateur d’intensité lumineuse jusqu’à une atmosphère chaude.

Il restait timoré, n’osant aucun geste.

Comprenant qu’il risquait de ne pas se décider, ma coquine prit l’initiative.

Elle se mit à califourchon sur lui et enleva son haut, se retrouvant seins nus. Elle s’empara de ses mains qu’elle plaça sur sa poitrine et se pencha pour l’embrasser.

Enfin il eut une réaction !! Répondant au baiser langoureux, il la pelota d’une main tandis que de l’autre il s’aventura à lui caresser les fesses. Ouf ! 

Moi je ne perdais rien de la scène qui se jouait sous mes yeux, surtout quand elle quitta les jambes de l’homme pour venir se placer à genoux devant lui et lui détacher son pantalon afin d’en extraire son sceptre. 

Il bandait bien le vieux coquin, et sa queue aurait fait rougir des bien plus jeunes.

Ma salope lui donna quelques coups de langue puis l’ingurgita presque toute.

Elle y mit toute sa science et toute son ardeur, le léchant, le suçant, le mordillant. On voyait

qu’elle aime ça et que lui était aux anges.

Elle se releva et enleva sa jupe ainsi que son string puis attira la tête de l’homme vers sa chatte bien lisse. De ses 2 mains elle écarta bien ses lèvres afin qu’il puisse y introduire sa langue et bien fouiller son intérieur. Je vis quelques gouttes s’écraser au sol, était-ce sa cyprine ou de la salive appartenant à son amant ?

J’avais sorti mon sexe et je jouais gentiment avec mon gland, que j’aime la voir ainsi offerte !

Elle se retira et, prenant son lécheur de minou par la main, l’emmena dans la chambre.

Avec le tact qui me caractérise :-), j’ai patienté un petit temps avant de les rejoindre. Timide comme il l’était j’étais certain qu’il aurait du mal à se déshabiller et commencer à la baiser devant moi.

Quand je suis arrivé il avait la tête entre les cuisses de ma salope et se délectait. Elle poussait de petits cris rauques qui me firent comprendre que ce gars était un expert en cunnilingus.

Doucement, sans un bruit, je me suis dévêtu et allongé à côté d’elle. Je l’ai embrassée tout en lui pinçant les tétons afin de faire croître son excitation. Là, ce ne furent plus des petits cris mais de véritables hurlements. 

L’homme releva la tête et m’aperçut. Mais dans l’état où il se trouvait ma présence il s’en fichait. Il pria ma femme de se mettre à 4 pattes et la prit en levrette. Ses coups de buttoir provoquaient des râles déchaînés à ma petite putain (plus elle est garce, plus les mots que j’utilise envers elle sont crus). 

Tandis qu’il la martelait je me suis placé devant elle et elle me suçait. Elle m’a même fait mal à plusieurs reprises tellement le gars était sauvage. 

Trop excité je n’ai pu me contenir et lui ai envoyé la sauce qu’elle a bu avec gourmandise.

Je me suis retiré et suis allé m’asseoir dans le fauteuil de la chambre pour continuer à les regarder.

Le gars nous a épaté ! Que dis-je ? Sidéré est plus exact.

Malgré son âge il a tenu presque 1 heure et s’est permis plusieurs position.

Il a terminé en la sodomisant avec la même fougue qu’il avait en débutant la soirée.

Et je ne vous parle pas de la quantité de sperme qui est ressortie d’entre les fesses de ma pouliche, ça coulait comme une source.

Quand il est parti il nous a demandé si il serait possible de nous revoir, mais nous lui avons gentiment répondu que non, que ce n’était pas dans nos habitudes de revoir un partenaire.

A bientôt pour d’autres aventures

Related posts

Ma meilleure amie, la femme de ma vie – Chapitre 1

historiesexe

La jeunesse -b – Chapitre 1

historiesexe

Un tel désir – Chapitre 3

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .