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Une famille sexuellement débridée – Chapitre 8




La fourgonnette jaune était garée à cheval sur la route et sur la berme.

— Elle est peut-être pas seule ta mère ?

— Qu’est-ce que ça peut foutre ?

— Tu crois qu’elle se le tape aussi ?

— Le facteur ?

— Ben, c’est sa voiture là…

— Ça dépend. Elle se tape le plus jeune. Si c’est lui ce matin, il y a moyen… il doit être en train de la sauter.

— Elle va être surprise de nous voir.

Stéphane avait raison. Nous n’aurions pas dû être là. Mais, en arrivant au bahut, nous apprîmes que les profs venaient de se mettre en grève, l’un des leurs ayant été agressé par un parent d’élève.

— On va chez toi ? Avait-il proposé tout de suite, dès que nous étions montés dans sa voiture.

— Toi, tu veux tirer un coup avec ma mère…

— Ben euh…

— Tu me laisseras baiser la tienne ?

— Non, laisse tomber. C’était pas une bonne idée. On va chez moi et on bosse.

— Non, non… je disais ça pour rire… allez, file. Maman est là ce matin et elle est chaude comme la braise.

— Comment tu le sais ?

— Papa l’a grimpée… bruyamment.

— Putain, qu’est-ce qu’ils sont chauds tes parents !

— T’es chaud aussi toi…

— Pas faux.

Nous n’avions pas prévu que le facteur pourrait être à la maison. Ils étaient deux à faire la tournée, dont le plus jeune, originaire de Martinique, honorait de belle façon les deux dernières syllabes de son département d’origine quand il était avec maman.

Dès que j’eus poussé la porte, je sus qu’il était là. Leurs ébats sonores étaient audibles du rez-de-chaussée.

Nous montâmes en silence.

Ils étaient dans la cuisine. Une tasse à café vide sur la table et ma mère penchée sur l’évier la croupe bien tendue, montraient toute l’hospitalité dont maman était capable.

Le gars avait son pantalon sur les chevilles, sa chemise ouverte et il besognait ma génitrice avec ardeur.

Elle gémissait de plaisir tandis qu’il s’autocongratulait de ses exploits.

— Elle te fait du bien la grosse matraque à Théophane, tu la sens bien ma grosse queue cochonne. T’as vu comme elle entre tout entière dans ta fente…

— Comme une lettre à la poste ! Dis-je.

Ils sursautèrent ! Le postier s’arrêta de piner.

— Mon chou, qu’est-ce que vous faites là tous les deux ? Vous n’avez pas cours ?

— Grève ! Il reste du café m’man ?

— Oui mon chéri, regarde… et toi, ne mollis pas ! Continue.

— Je peux continuer là ? Devant ton fils et l’autre garçon ?

— Ben oui, mon fils est un grand garçon. Il a déjà vu des gens baiser.

— Et lui c’est qui ? Il est pas de la commune.

— C’est mon meilleur pote… Steph… tu lui fais de la place ?

Steph n’attendait que cela et commença à se déloquer. Sa belle tige me faisait envie, comme les fesses noires et bien rebondies de l’employé des postes.

— Assieds-toi mon petit bonhomme, dit maman.

Stéphane prit donc un siège et maman se pencha sur son sexe gonflé tout en se faisant toujours mettre par-derrière par le black qui redoublait d’énergie.

Je les regardai en bandant.

— On change de place ? demanda Steph…

— OK, OK.

Le facteur posa donc son cul sur la chaise en libérant totalement ses jambes. Accroché aux hanches, mon meilleur ami déboîtait ma mère en murmurant :

— Elle est bonne, elle est bonne…

Le noir appuyait bien sur la tête pour se faire sucer bien à fond.

Je n’y tenais plus. J’avais sorti ma verge. Je me pignolais.

— Suivez-moi dit maman en se redressant.

Elle les conduisit jusqu’à la chambre.

— Prenez-moi en double mes chéris !

— Comme avec André, dit Théophane ?

— Non, dans le trou que tu veux.

— Alors je veux bien te prendre dans le cul pour une fois qu’il est libre.

Ma mère s’allongea donc sur mon copain, glissa sur sa queue qui disparut dans la moule jusqu’aux couilles. Le facteur posa ses grosses pattes sur les globes fessiers, les écarta commença à forcer la rondelle.

Les bras de Stéphane se refermèrent sur le corps de maman.

— Aaaah, aaaah, ouiiii c’est bon… allez-y les gars… fourrez-moi vos queues… elles sont bonnes… bougez, bougez… ramone-moi Théo, ramone-moi !

Le gars se déhanchait pourtant et pilonnait comme un forcené. Les chairs de ma mère claquaient sous le choc.

— J’vais juter, j’vais juter… hurla Stéphane.

— Retiens-toi, retiens-toi encore…

— Je viens, putain, je viens… Rhooooooo…

Quand ses spasmes cessèrent tout à fait, le facteur se dégagea. Maman se leva. Un filet blanc s’échappait de son con. Théophane la poussa sur le lit, l’attrapa par les cuisses pour l’amener vers lui en la forçant à relever le derrière et debout derrière elle agenouillée sur le lit, il enfila le con foutreux.

Mon pote était étendu à côté d’eux, bras et jambes écartées, la main droite tendue vers les seins de ma mère qui la frôlaient en oscillant sous les coups de queue.

Le paquet reposait dans sa belle toison, le prépuce avait retrouvé sa place mais la tige luisait encore de foutre et de cyprine. Les couilles rougies par l’effort formaient une belle petite masse compacte sur le poil des cuisses musclées. J’eus envie de tout gober.

Je m’approchai en craignant qu’il referme ses jambes quand, sous le poids de mon corps, le matelas se creuserait en ses jambes. Mais il ne bougea pas.

Ma tête était maintenant au-dessus de son sexe. Il ne pouvait pas se méprendre sur mes intentions mais j’hésitai encore. Je détournai un instant mon regard de ses bijoux de famille qui m’attiraient tant pour voir ce qu’il faisait. Il caressait le bout des seins maternels tout en fixant le couple emboîté.

Je descendis alors vers sa queue. Mon nez la touchait presque. Il devait sentir mon souffle sur ses bourses d’où montait une odeur de mâle qui me fit chavirer. Document, tout doucement, j’effleurai ses testicules du bout de la langue. Il laissa faire. Alors, j’y allais plus franchement. Il écarta les jambes. Je léchai les couilles et la queue puis les avalai alternativement. C’était bon. Je m’astiquais le manche.

J’eus envie de l’embrasser alors je me dressai sur mes bars et me rapprochai de son visage pour saisir ses lèvres.

— Pas de ça ! Dit-il d’un ton sec.

Je retournai donc vers son bas-ventre pour m’envelopper encore de délice.

Le facteur, enfin, donnait les signes précurseurs d’une jouissance imminente. Il se retira à temps et vint éjaculer sur le sexe de Steph qui se recula pour y échapper, sans y parvenir totalement. Des larmes de sperme échouèrent sur les bourses et les cuisses. Je m’empressai d’aller les récupérer avant de m’intéresser à la grosse queue black que le propriétaire agitait nonchalamment comme une invitation à venir la nettoyer. Je ne m’y mépris pas et récurai le bout de fond en comble.

— Putain, s’il est aussi salope que sa mère, ce petit gaillard-là, on va s’amuser plus souvent. Tu prends la bite au cul ?

— Pas encore fait !

— Ah bon ? Avec ton pote là, c’est que des léchouilles… vous allez pas me faire croire ça !

— C’est la première fois.

— T’aimerais que je t’encule, une fois toi, une fois ta mère… si t’es puceau, ça doit être bien serré.

— A voir…

— Bon, ben c’est pas le tout… faut que je finisse ma tournée…

— Ouais, faut que j’y aille aussi.

Le facteur, avant de sortir, demanda à revenir le lendemain.

— Tu sais bien que je bosse…

— Merde ! Une autre fois alors.

— Dès qu’on peut !

Quant à mon pote, il se contenta de me dire :

— On se voit demain.

Ils avaient à peine quitté la chambre que maman s’allongea sur le lit et se mit à se caresser la chatte.

— Ils ne m’ont même pas brouté le minou… t’as pas joui mon Tonio. Tu viens ?

Effectivement, ma queue souffrait encore d’une tension qui se prolongeait. Il fallait que je me soulage. Je m’agenouillai donc au bord du lit et enfouis ma tête entre les jambes maternelles.

Très vite, j’eus le visage mouillé. Elle jouissait et la cyprine se répandait abondamment.

— Enfile-moi ta bite, enfile-moi ta bite !

— Mets-toi à quatre pattes. Cambre ton gros cul. J’veux bien voir la raie !

Je la pris par-derrière car, bizarrement, il m’était plus difficile de m’allonger sur elle. Sans doute, en levrette, oubliais-je davantage qu’elle était ma mère.

Ainsi positionné, je pouvais lui attraper les seins, les pétrir, tout en chauffant la raie à grands coups de bite.

— T’aimes ça la queue, hein, t’aimes ça !

— Vas-y, c’est bon… tringle-moi !

— J’vais te faire jouir grosse pute !

— Oh oui, vas-y… hmmm… pince-moi les tétons !

— Comme ça, hein ?

— Plus fort, plus fort… ouiiiiii

— J’vais te remplir la chatte comme jamais t’as eu !

— Non pas la chatte… sur les seins, sur les seins.

— OK salope, j’vais t’arroser tes grosses loches.

Mais il me fallut encore quelques minutes pour parvenir à l’orgasme. Comme promis je me retirai à temps pour éjaculer sur ses grosses mamelles.

Pendant que je jutai, elle tint collés ses seins l’un contre l’autre en disant.

— Du sperme, j’veux du sperme…

Quand enfin mes couilles furent vides, elle se caressa les nichons pour bien étaler le jus dessus.

— C’est bon pour la peau, dit-elle.

Puis elle se lécha les doigts.

— Tu restes ici la journée chérie ?

— Ben oui, y a pas cours.

— Chic on va pouvoir remettre ça pour le café !

A suivre

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