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Les six week-ends marquants d'Emilie – Chapitre 4




Contexte : Mars 2007. Depuis deux ans, Emilie et moi vivons la meilleure période de notre vie de couple. Elle est épanouie, très coquine et sexy. La lingerie fine devient lingerie du quotidien puisqu’Emilie met régulièrement des porte-jarretelles ou des guêpières sous ses tenues pour aller travailler. Mariés depuis dix mois, nous faisons l’amour au moins deux fois par jour. Je suis aux anges, comblé par Emilie. La sodomie fait partie intégrante de notre sexualité et nous la pratiquons plusieurs fois par mois. A notre mariage, nous avions reçu en cadeau un bon pour une nuit et un massage dans un hôtel du Jura. Nous nous y rendons au sortir de l’hiver.

Week-end : En arrivant devant l’hôtel ce samedi en début d’après-midi, nous comprenons rapidement qu’il n’y aura pas beaucoup de clients. Le parking est presque vide. A la réception, nous nous voyons surclassés dans une magnifique suite. Pour mon plus grand plaisir, la petite robe noire d’Emilie, élégante et sage, dissimule une torride guêpière en dentelles. Je me délecte de déshabiller mon épouse et nous faisons divinement l’amour. Préparée avant de partir, Emilie propose la sodomie et son orgasme est impressionnant.

Après cette excellente entrée en matière, nous passons nos maillots de bains. Emilie en a amené deux et vu le peu de monde à l’hôtel, elle opte pour le bikini string minuscule que je lui ai offert avant notre voyage de noces. Nous descendons en peignoir à l’espace spa et profitons du petit jacuzzi. Nous sommes rejoints par un jeune couple âgé d’une vingtaine d’années. Bien que fine, la fille a néanmoins une poitrine très généreuse et son bikini blanc laisse transparaitre complètement ses aréoles. Elle me regarde fréquemment, comme si elle me connaissait.

Nous restons dans les bulles un moment avant d’aller au sauna. Emilie me dit :

— Elle ne cache pas grand-chose de ses gros seins, la brune.

Je ris.

— Je pense qu’il en est de même pour le bas. Elle et ses transparences, toi et ton minimalisme, c’est un après-midi très réussit.

Elle rit.

Assis sur les lattes de bois, nous apprécions de suer, mais il fait très chaud. Emilie retire le haut et je regarde avec gourmandise les gouttes de sueur perler jusqu’au bout de ses seins. Le couple entre, apportant un peu de fraicheur qui disparait rapidement. L’homme ne semble pas à l’aise. La brune, comme Emilie, retire le haut de son bikini et dévoile sa magnifique poitrine. J’aimerais rester encore, mais Emilie ne tient plus, nous sortons. Une dizaine de minutes dans le jacuzzi, une bonne douche et nous remontons à la réception où on nous indique la chambre à laquelle nous rendre pour le massage. Un massage en duo qui nous fait un bien fou.

Nous remontons dans notre chambre complètement détenus et nous nous endormons sur le lit. Il est 19h15 lorsqu’Emilie se réveille. Elle me tape sur l’épaule :

— Il faut qu’on songe se préparer.

Une demi-heure plus tard, je fais quelques photos de ma femme, joliment habillée d’une petite robe marron bien décolletée. Après plusieurs photos debout, Emilie s’assied dans le fauteuil et je shoote en contre-plongée sur sa poitrine. Elle rit et va s’asseoir sur la chaise sur bureau. Lorsqu’elle croise les jambes, ses jarretelles apparaissent sans qu’elle n’ait à remonter sa robe. Encore deux photos puis elle se lève. Un baiser doux et chaud puis nous descendons.

Un agréable apéritif accompagné d’amuse-bouches originaux, une entrée simple et bien réalisée, un plat principal succulent et un dessert léger : le souper est une vraie réussite. Nous prenons encore un digestif avant de remonter dans la chambre. Emilie met un peu de musique et nous dansons tendrement. Nos vêtements tombent les uns après les autres puis elle me suce avant que nous allions sur le lit. Je fais jouir ma compagne par un cunnilingus puis notre rapport est uniquement anal. C’est seulement depuis les dernières fêtes de fin d’année que nous avons ce type de rapports, sans pénétration vaginale préalable. C’est également à Noël que nous avons eu deux rapports anaux la même journée, au réveil et en revenant de chez mes beaux-parents. Depuis, cela s’est produit à une dizaine de reprises.

Après notre ébat et un passage par la salle de bains, nous discutons ensuite pendant près d’une heure avant de nous endormir.

Au matin, Emilie est en pleine forme et elle suce ma trique matinale pour me réveiller. Elle me chevauche ensuite en s’empalant sur mon sexe. Je la laisse faire et, sublime, elle s’emmène à l’orgasme. L’intensité de ses mouvements provoque mon orgasme un instant après le sien. Calmé, le regard d’Emilie est ensuite coquin et elle me dit :

— J’ose pas te le dire, mais j’avais encore envie de sodomie.

Elle rosit un peu. Je ris et réponds en l’embrassant :

— Il faut que tu arrêtes de la vouloir toujours dans le cul si tu veux qu’on fasse un bébé !

De rose, Emilie passe au rouge cramoisi.

— Oh mais tu crois que c’est trop ? j’ai trop honte

— C’est une plaisanterie, ma puce, tu n’as pas à être gênée de tes envies et désirs.

— C’est beaucoup, non, tu trouves pas ?

— Non. C’est aussi souvent que nous en avons envie, toi et moi.

— Depuis Noël, j’ai envie presque tous les jours, je sais l’orgasme que je vais atteindre et c’est comme une drogue. Il faut que je me calme avec ça.

— Dommage de frustrer tes désirs Tu en as parlé avec tes amies ?

— Noémie m’a dit qu’elle le faisait 2 à 3 fois par semaine avec Cédric avant les enfants alors qu’elle ne jouit pas.

— Alors il est assez logique d’avoir deux fois plus envie qu’elle puisque tu jouis.

Songeuse, elle répond :

— Peut-être

— Arrête de te poser des questions, allez On fait l’amour tous les jours, même plusieurs fois par jour et tu ne te poses pas de questions. On le fait parce qu’on aime ça, qu’on aime le faire ensemble et qu’on prend beaucoup de plaisir. C’est pareil pour la sodomie.

Emilie sourit. Nous nous embrassons et passons à la douche avant de descendre prendre le petit-déjeuner. En remontant dans la chambre, notre baiser passionné nous électrise. Ma main passe sur les fesses d’Emilie, soulève sa petite robe et glisse sous son string. J’enfile un doigt dans l’anus de mon épouse. Je lui murmure à l’oreille :

— J’ai envie de t’enculer.

Elle sourit.

— Comment puis-je refuser

Quelques minutes plus tard, après une fellation et un début d’ébat dans son vagin, je pénètre l’anus d’Emilie dont le gémissement traduit autant le plaisir que le soulagement d’une frustration.

Nous quittons l’hôtel peu avant midi et déjeunons au bord d’un lac sur le chemin du retour. Malgré le temps maussade, nous prenons notre temps et prolongeons notre sortie par une balade au bord de l’eau. Nous arrivons chez nous en fin d’après-midi et pour la quatrième fois du week-end, je sodomise Emilie.

Ces deux jours, et peut-être également notre discussion du dimanche matin, décomplexent Emilie par rapport à la sodomie. Elle n’hésite plus à faire par de ses envies de plaisirs anaux, dont la fréquence ira crescendo durant les deux mois suivants. En avril, la moyenne monte de trois à six rapports anaux hebdomadaires. En mai, la sodomie est quotidienne. Un samedi soir, à la fin du mois, alors que nous fêtons mon anniversaire, Emilie "m’offre" ses fesses pour la semaine : de notre retour à la maison, le dimanche à 3h du matin au dimanche suivant à midi, je ne pénétrerai que ses fesses et y jouirai à seize reprises ! Cette semaine extrême calmera les ardeurs d’Emilie et nous reviendrons à une pratique moins frénétique de la sodomie.

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